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    Les Chatouilles
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    384 critiques spectateurs

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    Nathalie Q
    Nathalie Q

    7 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 novembre 2018
    Un sujet délicat : la pedophilie, abordé avec humour, violence et sensibilité.
    Les chorégraphies en disent autant que les mots.
    Il faut voir ce film.
    J’ai été très touchée et ébranlée .
    PLR
    PLR

    466 abonnés 1 559 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 novembre 2018
    Un scénario coup de poing. Très vite on entre dans le vif du sujet, sans détours, son fioritures. Evidemment, être témoin passif comme l’est nécessairement le spectateur met mal à l’aise. La mise en scène est originale, alternant présent, passé, narration, quelque peu onirique ou allégorique de temps en temps avec le recours à de belles chorégraphies très expressives. Au final, après avoir digéré tout ça, certains spectateurs applaudissent. Non pas de plaisir d’avoir vu racontée une telle histoire mais de satisfaction qu’elle ait pu être ainsi portée à l’écran de manière aussi sobre et démonstrative, très efficace pour témoigner. Un film qui restera dans les annales.
    Revo67
    Revo67

    15 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 novembre 2018
    Bouleversant ,ce film traite ce sujet délicat avec une grande émotion, c’est violent et ça fait mal de voir l’innocence d’une enfant bafouée par un adulte. La mise en scène est très originale et les acteurs excellents.
    bouddha5962
    bouddha5962

    61 abonnés 735 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 novembre 2018
    Un film à la fois perturbant et surprenant. Entre danse et récit sur le thème de la pédophilie la réalisatrice / actrice nous emmène dans son histoire bouleversante.
    Les acteurs sont sublimes.
    La réalisation est très particulière voire dérangeante comme l’est le thème.
    Katy Colin
    Katy Colin

    7 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 novembre 2018
    Magnifique film sur un sujet, hélas, trop connu !
    Mise en scène très originale, ce qui permet de « supporter » l’  « insupportable » : la pédophilie !
    À voir
    Ufuk K
    Ufuk K

    518 abonnés 1 473 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 novembre 2018
    " les chatouilles " plébiscité par la critique est un drame autobiographique subtil. En effet en dépit d'un récit parfois un peu confus à causes de nombreuses ellipse, Andrea Bescond a mis ses tripes pour décrire l'horreur de son enfance ponctué d'abus sexuel et conséquences sur sa vie adulte avec en fil rouge l'importance de la résilience.
    didbail
    didbail

    30 abonnés 512 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 novembre 2018
    Ouah ! Je sors de la salle et je suis encore sous le choc. Il FAUT voir ce film ! Mais il ne vous laissera pas indemne. Sur un sujet très difficile mais ô combien actuel Andréa Bescond réussit l'impossible. Tout exprimer sans rien montrer. Grâce à une mise en scène très inventive qui privilégie la métaphore, elle nous fait vivre la souffrance d'Odette sans avoir à nous infliger des scènes scabreuses.
    FREDDY44600
    FREDDY44600

    10 abonnés 125 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 novembre 2018
    Ca chatouille mais ca ne fait pas rire du tout. Excellente mise en scène axée sur la thérapie, qui montre juste ce qu'il faut de la relation entre Gilbert et Odette pour qu'on comprenne mais que ca ne tombe pas dans le voyeurisme sordide. Acteurs excellent, la mère hystérique, le père trop gentil, Odette enfant avec un regard qui montre bien sa souffrance, Gilbert et sa terrible explication finale, et bien sur Odette adulte puisque Andrea Bescond joue (ou revit) son propre rôle. Courage Odette, et bonne renaissance.
    Christophe Stéphanie Mathilde L
    Christophe Stéphanie Mathilde L

    4 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 novembre 2018
    Film nerveux, comme un coup de poing en plein cœur de tout papa...un film conçu comme une danse de rue, rage et urgence.
    Les comédiennes et comédiens sont dans le vrai, on est happé par le film...
    Espérons que la société change et rejette ce cancer qu ‘est la pédophilie.
    Chris58640
    Chris58640

    210 abonnés 757 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 novembre 2018
    Difficile de sortir indemne d’un film comme « Les Chatouilles », c’est une évidence… En mettant en scène son propre récit, celui de sa propre enfance, Andrea Bescond va au bout de sa démarche de résilience. J’imagine mal la dose de courage qu’il lui a fallu pour filmer le traumatisme qui a été le sien, et avant même de parler des qualités et des défauts du film, il faut le souligner, ce film est plus qu’un film de cinéma, pour elle d’abord, mais aussi pour le spectateur que nous sommes. Pour déminer un tout petit peu la lourdeur de son sujet, Andrea Bescond et Eric Metayer ont choisi de déstructurer un maximum leur récit : mélangeant la passé et le présent, le rêve et la réalité, filmant les souvenirs comme des scènes de théâtre que la patiente met en scène elle-même. C’est un peu déroutant au début, c’est même carrément bizarre et au premier abord, on ne comprend pas bien cette démarche : insuffler du surréalisme, voire de la poésie, et même de l’humour dans la mise en scène d’un film comme celui-là peut paraitre incongru. Sauf qu’à bien y réfléchir, c’est ça qui rend le film supportable à regarder. Parce que lorsque Bescond doit montrer les attouchements, les viols, elle a beau y mettre toute la pudeur et la retenue du monde, les scènes sont abominables. Si l’acte lui-même est seulement suggéré, la pression psychologique, la honte de la petite Odette, la perversité de Gilbert sont belle et bien montrées, sans fard, sans allégories, sans faux semblants. Alors, pour pouvoir supporter ces quelques scènes il faut que le reste du film soit différent, sinon on sort de la salle… Le montage nerveux, l’enchevêtrement des scènes, le télescopage entre la psychanalyse d’Odette, ses souvenirs et son présent chaotique rendent le film techniquement très intéressant, maîtrisé et cohérent. J’imagine que cette forme originale, assez rare au cinéma, va dérouter quelques spectateurs mais elle sert, encore une fois, à rendre le sujet intelligible : les sujets graves doivent aussi, parfois, se traiter avec une certaine légèreté, ça n’est pas manquer de respect à quoi que ce soit, c’est une façon de montrer le contraste entre la normalité et la monstruosité. On peut juste trouver que, à deux ou trois occasions, la réalisation abuse un peu et que le film est a deux doigts de se perdre en route, de devenir confus et même abscons. Le surréalisme c’est bien, en abuser c’est dangereux ! Bescond a choisi de jouer son propre rôle, c’est courageux, et on ne peut que s’incliner devant la force, l’énergie, la puissance de son jeu. Son Odette est une boule d’énergie, une pile électrique qui ne s’arrête jamais, car si elle s’arrête, elle sombre. Son personnage adulte n’est pas follement attachant, il est même parfois exaspérant mais nous, spectateur, nous savons pourquoi, ce qui n’est pas le cas de tous ceux qui la côtoient, qui l’aiment. Si elle accorde à ses seconds rôles des personnages truculents (et assez drôles), comme celui d’Ariane Ascaride, Eric Metayer ou encore Carole Franck, c’est sur le trio formé par Clovis Cornillac Karin Viard et Pierre Deladonchamps qu’il faut se pencher. Clovis Cornillac d’abord, très juste en père aimant mais maladroit, qui refuse de voir quoi que ce soit (même quand on attire son attention) parce que lui, en père normal, en type bien, il n’imagine tout simplement pas qu’on puisse faire des choses comme celles-là, c’est hors de son schéma de pensée. Karin Viard, de son propre aveu, a incarné un rôle sans le comprendre. Elle donne corps à une mère sèche, cassante, dont on sent bien qu’elle a des comptes à régler mais on ne sait ni quoi, ni avec qui. Sa cécité, on peut l’admettre, mais sa réaction lorsque la vérité éclate est incompréhensible, sans aller jusqu’à être dans le déni (encore que…), elle minimise, sa colère se tourne plus vers sa fille que vers le coupable. Il y a surement quelque chose à comprendre de son attitude, c’est effleuré dans sa dernière scène mais le film ne livre pas la clef et du coup, cette femme nous apparait comme à la limite de la maltraitance. De point de vue de la psychologie, c’est un des rôles les plus complexes que je lui ai vu incarner, et ce personnage fascine autant qu’il déboussole le spectateur. Il y aurait presque de quoi faire un second film rien que sur ce personnage ! Pierre Deladonchamps a accepté le rôle de l’agresseur, et j’imagine qu’il lui a fallu un sacré courage pour jouer les quelques scènes (particulièrement celle de la voiture) où il abuse d’une gamine de 8 ans. Parfaitement normal dans ses relations avec les autres, il use de toute la palette de pervers lorsqu’il est avec Odette, il fait pression sur elle, lui fait du chantage psychologique et/ou affectif, et il ira jusqu’à nier son non-consentement, bien entendu, comme le font les pervers lorsqu’ils sont acculés par la justice. On a envie de coller une balle entre les deux yeux de son personnage au bout de 10 minutes de film, c’est dire s’il a réussi son coup et si sa performance d’acteur fonctionne. Je souligne aussi la performance de la petite Cyrille Mairesse, dans un rôle difficile qui j’espère, ne lui aura pas donné trop de cauchemars ! Le scénario du film peut s’interpréter comme une longue séance de thérapie, mettre des mots sur le traumatisme pour commencer, puis lentement comprendre qu’il n’y aura pas d’issue sans que la vérité n’éclate. Odette va repousser indéfiniment cette issue parce qu’elle sait que l’onde de choc va briser ses parents mais le déclic se fera un jour, en un seul regard, en une seconde. Le dernier quart d’heure, qui consiste à régler les comptes devant les parents, la police puis la justice, sont vécues par Odette (comme par le spectateur) comme une sorte de délivrance, presque dans le sens obstétrique du terme ! Au final, et malgré ce qu’on aurait pu craindre, il y a dans « les Chatouilles » un vrai souffle de vie, une énergie, une vraie puissance qui est tout le contraire de mortifère. C’est une mise en image de ce que la psychiatrie appelle, je crois, la résilience : une démarche courageuse, forte, douloureuse mais qui pousse puissamment vers l’avant.
    AHEPBURN
    AHEPBURN

    101 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 novembre 2018
    J'ai rarement vu un sujet aussi bien traité. C'est bouleversant, magnifique. La mise en scène est coup de poids , tonique à l'image de la victime. Je prédis des césar pour ce film.
    Laurent M.
    Laurent M.

    8 abonnés 73 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 novembre 2018
    Très beau film. La pédophilie racontée sans pathos inutile, juste avec la force nécessaire pour en démontrer la violence et les ravages. Personne n'est épargné, on comprend l'extrême solitude de la victime face à un bourreau aux allures de gentleman parfait, une mère terrible et un père aveugle... Mise en scène excellente, acteurs parfaits, brillamment dirigés. Une vraie claque.
    hawke1
    hawke1

    1 abonné 38 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 novembre 2018
    Un film fort sur un sujet difficile mais traité avec sensibilité ni aigreur en fil rouge la danse qui a aidé l héroïne à sortir de cet enfer .. des acteurs formidables qui jouent juste
    ed69
    ed69

    9 abonnés 62 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 novembre 2018
    Un film poignant bouleversant déroutant et nécessaire pour montrer être attentif à l’enfant ...
    le montage du film pose l’histoire de la reconstruction...
    les acteurs sont justes habités mention spéciale à Karine Viard ...
    Je vous encourage à la découvrir
    tupper
    tupper

    132 abonnés 1 378 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 novembre 2018
    Un film intense qui nous met face à la perversité de la pédophilie dans tous ses aspects. De la violence de l’acte, à ses conséquences psychologiques en passant par les comportements de l’entourage des plus compatissants aux moins compréhensifs. Présent, souvenirs, rêves, s’entremêlent habilement sans jamais nous perdre et donnant au film dynamisme et originalité.
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