Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Cette fantaisie romanesque, finement écrite, rappelle les belles heures des comédies françaises.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une comédie policière dont le scénario sophistiqué et les dialogues narquois font immédiatement mouche, tout autant que la mise en scène alerte et référencée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Une belle distribution sert des dialogues ciselés. Charles Berling incarne un commissaire, veuf d’une amatrice d’art qu’il a docilement suivie dans des expositions, sur le point de basculer dans la page blanche d’une retraite sans projet. Plus qu’un beau coup en fin de carrière, il attend de cette dernière enquête un divertissement, un ultime frisson.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Le commissaire Beffrois attend la retraite avec un enthousiasme mitigé quand un vol de tableau retient son attention. Est-ce l’élégance du procédé ? L’audace du délit ? La beauté de l’oeuvre volée ? Beffrois se lance à la recherche d’un voleur atypique, véritable courant d’air, acrobate à ses heures. On aime.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Personnages farfelus et attachants, ballets sur les toits de Paris… Ce premier film au charme désuet est une belle réussite.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Un jeu de chat et de la souris entre flic et filou, où l’on se plaît évidemment à être du côté du second plutôt que du premier.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé Loisirs
par Emilie Leoni
Charles Berling et Swann Arlaud forment le duo drôle et délicat de cette comédie policière aérienne et audacieuse.
Télérama
par Guillemette Odicino
Face à Swann Arlaud (le voleur), subtil, tout en sourire doux et regards piquants, Charles Berling excelle en Colombo saisissant sa dernière chance. Avec ses dialogues ciselés, le réalisateur chaparde du côté de Pierre Salvadori ou de Philippe de Broca.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Ce premier film, d’un assistant de Coline Serreau et Tonie Marshall, est une comédie d’humeur lunaire, qui relève d’une tradition parisienne truculente. La trame policière n’est qu’un prétexte pour des compositions de personnages attachants dans leurs chimères.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Christophe Foltzer
En dépit des quelques errements narratifs, "Un beau voyou" demeure un film particulièrement sympathique et efficace, emporté par une galerie de personnages hauts en couleurs, des répliques cinglantes et drôles et un casting qui donne l'impression d'avoir pris un pied monstrueux sur le tournage.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Figaro
par La Rédaction
Bien joué, le film pêche par un scénario bancal et trop d'invraisemblances pour retenir l'attention du public.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Malgré des facilités scénaristiques et une course-poursuite sur les toits parisiens peu vertigineuse, ce premier long métrage dispose d’un certain charme, se révèle rafraîchissant tout en rappelant le ton de certaines comédies policières hollywoodiennes des années 1950.
Le Parisien
par La Rédaction
(...) au final « Un Beau voyou » retrouve son équilibre et la capacité d’entraîner le spectateur dans une aventure assez captivante. Le scénario est travaillé et le trio central assure : à savoir Charles Berling, Swann Arlaud et la très convaincante Jennifer Decker.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par La Rédaction
Une étrange comédie policière qui ne manque pas d'humour ni de bons mots.
Première
par Thierry Chèze
En choisissant pour antihéros un personnage affranchi de toute obligation morale, Lucas Bernard entraîne son récit dans des méandres inattendus. Un régal à jouer pour ses comédiens très à l’aise dans cet espace de liberté (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par La Rédaction
Une comédie décalée sympathique mais plutôt flottante.
Le Monde
par Clarisse Fabre
Il manque de la profondeur à ce "beau voyou" pour qu'il s'incarne réellement. Le premier long métrage de Lucas Bernard raconte surtout l'histoire d'un drôle de flic.
Les Fiches du Cinéma
par La rédaction
Premier long métrage de fiction de Lucas Bernard, "Un beau voyou" vaut essentiellement pour le couple de restaurateurs, père et fille, qu’il met en scène.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Fabien Baumann
Naît pour le spectateur l'impression désagréable qu'il a été bien sot de vouloir s'intéresser à une intrigue à laquelle le film lui-même ne croit pas.
Femme Actuelle
Cette fantaisie romanesque, finement écrite, rappelle les belles heures des comédies françaises.
L'Obs
Une comédie policière dont le scénario sophistiqué et les dialogues narquois font immédiatement mouche, tout autant que la mise en scène alerte et référencée.
La Croix
Une belle distribution sert des dialogues ciselés. Charles Berling incarne un commissaire, veuf d’une amatrice d’art qu’il a docilement suivie dans des expositions, sur le point de basculer dans la page blanche d’une retraite sans projet. Plus qu’un beau coup en fin de carrière, il attend de cette dernière enquête un divertissement, un ultime frisson.
Le Dauphiné Libéré
Le commissaire Beffrois attend la retraite avec un enthousiasme mitigé quand un vol de tableau retient son attention. Est-ce l’élégance du procédé ? L’audace du délit ? La beauté de l’oeuvre volée ? Beffrois se lance à la recherche d’un voleur atypique, véritable courant d’air, acrobate à ses heures. On aime.
Les Inrockuptibles
Personnages farfelus et attachants, ballets sur les toits de Paris… Ce premier film au charme désuet est une belle réussite.
Libération
Un jeu de chat et de la souris entre flic et filou, où l’on se plaît évidemment à être du côté du second plutôt que du premier.
Télé Loisirs
Charles Berling et Swann Arlaud forment le duo drôle et délicat de cette comédie policière aérienne et audacieuse.
Télérama
Face à Swann Arlaud (le voleur), subtil, tout en sourire doux et regards piquants, Charles Berling excelle en Colombo saisissant sa dernière chance. Avec ses dialogues ciselés, le réalisateur chaparde du côté de Pierre Salvadori ou de Philippe de Broca.
aVoir-aLire.com
Ce premier film, d’un assistant de Coline Serreau et Tonie Marshall, est une comédie d’humeur lunaire, qui relève d’une tradition parisienne truculente. La trame policière n’est qu’un prétexte pour des compositions de personnages attachants dans leurs chimères.
Ecran Large
En dépit des quelques errements narratifs, "Un beau voyou" demeure un film particulièrement sympathique et efficace, emporté par une galerie de personnages hauts en couleurs, des répliques cinglantes et drôles et un casting qui donne l'impression d'avoir pris un pied monstrueux sur le tournage.
Le Figaro
Bien joué, le film pêche par un scénario bancal et trop d'invraisemblances pour retenir l'attention du public.
Le Journal du Dimanche
Malgré des facilités scénaristiques et une course-poursuite sur les toits parisiens peu vertigineuse, ce premier long métrage dispose d’un certain charme, se révèle rafraîchissant tout en rappelant le ton de certaines comédies policières hollywoodiennes des années 1950.
Le Parisien
(...) au final « Un Beau voyou » retrouve son équilibre et la capacité d’entraîner le spectateur dans une aventure assez captivante. Le scénario est travaillé et le trio central assure : à savoir Charles Berling, Swann Arlaud et la très convaincante Jennifer Decker.
Ouest France
Une étrange comédie policière qui ne manque pas d'humour ni de bons mots.
Première
En choisissant pour antihéros un personnage affranchi de toute obligation morale, Lucas Bernard entraîne son récit dans des méandres inattendus. Un régal à jouer pour ses comédiens très à l’aise dans cet espace de liberté (...).
Voici
Une comédie décalée sympathique mais plutôt flottante.
Le Monde
Il manque de la profondeur à ce "beau voyou" pour qu'il s'incarne réellement. Le premier long métrage de Lucas Bernard raconte surtout l'histoire d'un drôle de flic.
Les Fiches du Cinéma
Premier long métrage de fiction de Lucas Bernard, "Un beau voyou" vaut essentiellement pour le couple de restaurateurs, père et fille, qu’il met en scène.
Positif
Naît pour le spectateur l'impression désagréable qu'il a été bien sot de vouloir s'intéresser à une intrigue à laquelle le film lui-même ne croit pas.