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    Green Book : Sur les routes du sud
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    1 268 critiques spectateurs

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    Selingues G
    Selingues G

    73 abonnés 956 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mai 2019
    Un film surprenant tant par sa justesse que par sa beauté. Tour à tour émouvant,perturbant voir même choquant; on suit ce road movie magistralement interprété par Viggo Mortensen et Mahershala Ali.

    Peter Farelly plutôt connu pour ces films comiques s'est assagit et démontre qu'il maîtrise les temps morts et le duo d'acteurs sans trop de facétie.
    Les instants les plus forts sont les échanges entre les deux personnages principaux et les effets de cinéma sont parfaits.

    On sort grandi de la morale portée par ce très beau récit encore bien encré dans notre histoire actuelle.
    Un vrai bijoux.
    jcguerrero
    jcguerrero

    130 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 janvier 2019
    The Negro Motorist Green Book (soit, "Le livre de l'automobiliste nègre" par Victor H. Green) est un guide qui fut publié de 1936 à 1966 par un postier de New York.
    En pleine ségrégation raciale aux Etats-Unis, il s'adressait aux Afro-Américains pour, selon les propres mots de l'auteur, "donner au voyageur noir une information le mettant à l'abri des difficultés et tracas, rendant son voyage plus agréable"…
    Nous sommes en 1962 et cette histoire, VRAIE, va se dérouler précisément dans ce contexte-là.
    Tony Lip, un videur italo-américain du Bronx, baraqué, inculte, raciste, spécialiste de l'embrouille, est engagé pour conduire et protéger le Dr Don Shirley, un pianiste noir de renommée mondiale, précieux, cultivé, raffiné, esthète, lors d’une tournée de concerts qu'il doit donner dans le Sud profond…
    Durant leur périple, ils vont s'appuyer sur le fameux "Green Book" pour dénicher les établissements où l’on ne refusera pas de servir Shirley et où il ne sera ni humilié ni maltraité.
    Ce film absolument magnifique, où les stéréotypes sont inversés de manière réjouissante, est profondément drôle et émouvant.
    La jubilation du spectateur, comme dans tous grands films qui se respectent, provient d'abord de l'évolution des personnages entre le début et la fin du récit. Et là c'est un festival que de voir la complicité puis l'amitié grandir entre ce gros lourdaud de Tony et ce précieux snob de Don Shirley.
    Mais "Green Book" offre encore plus : il y a du Pygmalion et du Cyrano chez ces deux humains, il y a du road-movie et du western violent dans ces grands espaces, il y a des lettres d'amour attendrissantes et des riffs de jazz ravageurs dans ces images et ces sons si incroyablement agencés.
    Green Book est un film costaud, noble, mémorable et DRÔLE de surcroît, autant dire un film complet à qui nous sommes fiers de décerner le titre de Grand Film Bonheur 2019.
    Dernière minute : "Green Book" a obtenu hier 5 Nominations aux Oscars et pas des moindres : Meilleur Film, Meilleur Acteur, - Meilleur Acteur dans un Second Rôle, Meilleur Scénario, Meilleur Montage, mais vous, vous n'allez pas attendre qu'il en ait ou qu'il n'en ait pas ! Parce que c'est juste un beau film, fort et généreux. Juste un Grand Film Bonheur ! Alors n'attendez pas !
    PaulGe G
    PaulGe G

    108 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 janvier 2019
    deux comédiens d'exception pour un film d'exception. la traversée des états du sud par un musicien noir et son chauffeur émigré italien. dans les années 60 , la ségrégation viscérale est quotidienne . dit avec des dialogues simples et magnifiques . tout au long du voyage va se nouer une véritable amitié et chacun apprendra la vie a l'autre. mise en scene bouleversante qui vous transporte, images de toutes beauté font de ce film qui restera "culte" un chef d'oeuvre de sincérité et d'honnêteté , un miracle du cinéma américain.
    patosud26
    patosud26

    105 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 février 2019
    Je suis une adepte des Biopics, car ils nous racontent l'histoire de personnes qui ont réellement existé et, même si quelques raccourcis sont utilisés pour romancer un peu la vérité, ils nous apprennent des choses sur notre société. Par exemple, j'ignorais ce qu'était le Green book. J'aime les livres, mais l'existence de celui-ci est une vraie honte pour l'humanité, mais il a existé, tout comme la ségrégation raciale.
    Difficile, pour le visage pâle que je suis d'imaginer à quel point il a fallu du courage à tous les victimes de la ségrégation et particulièrement aux hommes et femmes qui ont été l'affronter sur son terrain, dans l'espoir de faire changer les choses, comme l'a fait Doc Shirley. Dans ce film, on voit les deux personnages évolués, arrivant progressivement au respect, puis à l'amitié. Au début de l'histoire, Tony Lip fait un geste raciste d'une violence extrême, même si il le fait dans le dos des blacks. Alors, c'est vrai qu'on se demande comment il va pouvoir tenir deux mois en étant au service d'un black. C'est un film plein de courage, d'ouverture d'esprit, avec beaucoup d'émotion et aussi beaucoup de sourires, et même de rires.
    Jonathan P
    Jonathan P

    67 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 janvier 2019
    Beaucoup de classe émane du duo à l’alchimie incroyable. Élégance naturelle des mots et de l’humour. On n’aimerait que ce film ne s’arrête jamais et ainsi poursuivre cette tournée qui assurément a pu aider à faire grandir petit à petit l’Amérique et faire changer les mentalités en 1962. Le film parle bien sûr de la question raciale, ainsi que celle de l’homosexualité, empruntant pas la route la plus simple au monde. Don Shirley interprété par le toujours très classe et talentueux Mahershala Ali. Voilà devant nous plus qu’un simple pianiste légendaire, il part avec apaisement et courtoisie à la guerre contre toute forme de racisme et d’injustice sociale. Accompagnée d’un homme a la tchatche et à l’appétit vorace, interpréter par l’immense Viggo Mortensen qui mérite incontestablement un peu plus de reconnaissance de la part de la profession. Au-delà d’une élégance indéniable grâce aux duos tellement savoureux, le film est bonifié par le travail de Peter Farrelly. Qui même sans son frangin Bobby Farrelly, réussi comme toujours à trouver le sens du tempo parfait entre l’humour et la force d’un pareil récit. La route de la vie peut se poursuivre, voilà une délicieuse escapade, où l’on garde les yeux sur une route ou le racisme ne manque pas de sel. Face à un monde qui ne dispose pas du manuel parfait. L’amour extra-large se déploie et cela n’a pas de prix.
    Isabelle E.C.
    Isabelle E.C.

    52 abonnés 297 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 mars 2019
    Très bon film, l’équivalent d’une comédie romantique entre deux hommes que tout sépare et qui deviennent de très bons amis à la fin en se découvrant.
    Comme un «intouchable » sans le handicap mais avec la ségrégation raciale au sud des États Unis.
    Drôle et émouvant, assez classique mais vraiment touchant.
    Steph N.
    Steph N.

    41 abonnés 88 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 janvier 2019
    Oscar du meilleur film, sinon rien ! intelligence, humour, respect, tolérance, le tout bien mis en scène, filmé, joué, tout y est, un régal...
    Denis L.
    Denis L.

    28 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 janvier 2019
    petite pépite de l'année 2018 ! Avec 2 acteurs géniaux et une histoire magique ce film est un chef d'œuvre
    Jeanluc.M
    Jeanluc.M

    21 abonnés 219 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 janvier 2019
    Un moment incroyable de cinéma, authentique et touchant, les interprètes sont remarquables en VO, l'écriture nous plonge avec tact dans une relation surprenante et pleine d'humour entre deux mondes opposés.
    Un chef d'oeuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 mars 2019
    Dans toutes les histoires voulant dégouliner de bons sentiments, on évoquait la traite des noirs pas le "dominateur" blanc. On avait toujours cette vision unilatérale. Mais pour une fois, on évoque l'histoire d'un homme noir qui a réussi grâce à son don, en montrant comment il est perçu par les autres noirs, qui eux, sont encore soumis à leur condition de l'époque. J'ai trouvé ce regard innovateur, bien pensé et bien traité. Quand Ali Mahershala, dans une prestation magistrale, l'évoque dans le film, on en a les poils qui s'irisent. Puis rappelons qui s'agit d'une histoire vraie ! Chapeau !
    Guillaume C.
    Guillaume C.

    86 abonnés 182 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 février 2019
    Rarement un film n’aura aussi bien abordé le racisme et l’apartheid américain que « Green Book ». Car contrairement à beaucoup d’autres il traite avec bonne humeur ce sujet si grave. Mais attention, bonne humeur ne veut pas dire bouffonneries. Car si la bonne humeur est quasi constante, elle laisse place à la gravité du propos traité quand il le faut, si bien que ce « Green Book » est un parfait alliage de rires (on rit vraiment beaucoup) et d’émotions. Alors parfois il y a de la colère, parfois du découragement, parfois de l’incompréhension, mais toujours toujours une réplique bien sentie, un petit évènement, une remarque viennent nous redonner le sourire. Et c’est le gros point fort du film, répondre à la bêtise la plus crasse par une bonne humeur parfaitement incarnée par Tony Lip, qui est magistralement porté par Viggo Mortensen qui prouve une nouvelle fois qui l’est un des très grands acteurs de ce début de siècle.

    Mais il fallait bien quelqu’un à la hauteur pour lui donner la réplique et Mahershala Ali n’est pas en reste relevant haut la main le défi. Il convient de s’attarder sur ce duo, car tout (ou presque) repose sur lui. Et quel duo, dès les 1ers kilomètres passés avec eux on ne peut plus se passer de leurs incessantes chamailleries et peu à peu nous sommes témoin d’une complicité naissante, puis grandissante (toujours en ce chamaillant) qui plus elle croit, plus elle nous fait aimer ces 2 personnages haut en couleur que tout oppose au début. Une opposition jusque dans le langage et les mimiques, entre un Don Shirley bien trop guindé et emprunté et un Tony Lip mal dégrossi. Ces différences sont non seulement à l’origine de la plus part des moments de rires (vraiment nombreux), mais sont surtout toute la leçon du film, s’enrichir de l’autre au lieu de s’en défier. Car « Green Book » parle avant tout de tolérance, comme rarement un film n’en aura aussi bien parlé, et le tout sans angélisme, sans caricature, ni didactisme, ni morale, « Green Book » sonne incroyablement juste.

    Et encore je ne fais qu’effleurer le duo Tony Lip, Don Shirley qui va, sous nos yeux, sacrément évoluer l’un grâce à l’autre, chacun rendant l’autre meilleur si bien qu’à la fin on a le sourire jusqu’aux oreilles et on a qu’une envie, repartir faire un tour des USA avec eux. A l’image de ce formidable duo (qui clairement va me marquer à l’instar des plus grands duos du cinéma, Django-Dr Schultz par exemple) « Green Book » est puissant, beau, amusant, un hymne vibrant et juste à la tolérance et à l'humanisme car avec un peu plus de Tony Lip et de Don Shilrley ce monde irait tellement mieux. Un grand moment de cinéma, à voir absolument.
    Diabloxrt
    Diabloxrt

    37 abonnés 1 440 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 décembre 2022
    "Green Book : Sur les routes du sud" est un des multiples films qui sort au moment des Oscars. De ce postulat de base, en lançant le visionnage du film, je n'en attendais vraiment pas grand-chose. J'avais rapidement lu le synopsis du projet, que j'avais trouvé sympathique sans pour autant être convaincu, et je n'avais regardé aucune bande-annonce. Me laissant influencer par les nombreuses critiques élogieuses envers ce long-métrage, je me suis donc lancé. Et ce fut une belle surprise. Comme quoi, les plus belles séances sont celles dont on n'en attend rien ! Ce long-métrage est un véritablement excellent et il mérite amplement ses récompenses. Et pourtant, la réussite du film est assez simple si on n'y pense bien. Nous ne sommes pas face à une mise en scène absolument dantesque, ni même face à une bande-son qui obligatoirement reste en tête (même si les partitions du pianiste sont excellentes). Mais tout tient par une chose essentielle : la qualité d'écriture et le talent des acteurs. Le film est beaucoup plus subtil que ce que laisse penser le synopsis. Nous ne sommes pas dans un film où le racisme n'est pas bien et où les blancs sont principalement des mauvaises personnes. Le long-métrage va beaucoup plus jouer avec cela, notamment grâce à nos deux personnages principaux. Tony est montré comme un homme arrogant et prétentieux, qui se veut finalement avoir un grand cœur. Quant à Don, il est montré comme un homme noble et intelligent, mais horriblement déconnecté de la réalité. Les deux personnages vont donc avoir un développement très intéressant et en parallèle, les rendant extrêmement attachants, tout en étant superbement bien joué par leurs interprètes. Leurs dialogues alternant entre grandes leçons de vie et humour bien assaisonné. Le tout est donc très agréable. Et bien que le film puisse être long en durée, on ne voit pas le temps passer. Moi qui suis un adepte des films parfaitement bien rythmé, j'avais un peu peur. Pourtant, je certifie que jamais le film ne m'a lassé. Le projet est donc une véritable réussite et il est vraiment à voir. Il mérite complètement ses récompenses et a été une véritable surprise pour moi. Pour conclure, un résultat inattendu.
    touny69
    touny69

    12 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 avril 2019
    Juste une très belle histoire, ne passer pas à coter de ce film magnifique loin des effets spéciaux, batailles et autres histoires de héros actuel. Une belle leçon de vie sur une époque pas si lointain, ou grâce à quelque hommes les mentalités ont changés
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    687 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 décembre 2019
    Green Book porte en son titre le périple à venir, cette somme de trajets et de haltes musicales qui suivent le planning de l’artiste et s’égrainent, la nuit tombée, dans deux hébergements que le fameux livre vert permet de distinguer. Il orchestre ainsi une rencontre, celle de deux cultures opposées qu’un espace clos – la Cadillac bleue avec, sur le siège de devant, des restes de nourriture tout près du paquet de cigarettes et du journal – va réunir : au volant, Tony, populaire et bon vivant qui peine à museler son franc-parler ; sur la banquette arrière, le docteur Don Shirley, musicien précieux et cultivé. Et ce qui devait arriver arriva : le conflit initial se mue peu à peu en découverte réciproque, en amitié enfin ; c’est dire que le récit suit une trajectoire similaire à celle d’un apprentissage au terme duquel chacun aura appris de l’autre et corrigé ses erreurs. Œuvre d’intégration qui chante l’humain dans son droit fondamental à la différence, Green Book se démarque néanmoins des stéréotypes ainsi mis en place par l’originalité de son ton et la beauté de sa mise en scène. Car Peter Farrelly réussit l’exploit de conjuguer ce qui fait l’essence de son cinéma – à savoir la grossièreté au service d’une peinture de l’amitié – avec l’âpreté d’une société américaine meurtrie par le racisme et la ségrégation. Or, l’Histoire n’apparaît jamais ici comme démonstrative ou artificielle ; non, nous la vivons avec les personnages, au gré des pauses, des altercations, des repas, des concerts, et de toutes les discussions qui scandent les voyages. Il y a une simplicité et une justesse d’écriture qui suffisent à ancrer notre duo dans leur époque : le langage fleuri de Tony dissone avec la poésie qui se dégage des propos de Shirley, et pourtant les deux niveaux de langue se rassemblent pour jouer à l’unisson l’un de l’autre une même partition. Les lettres adressées à Dolores en sont un bel exemple. Le langage et le corps vont de pair : la lourdeur des formules et des pensées du chauffeur traduisent son appétit et, au-delà des enfilades de cuisses de poulet et de hot-dogs, dont il remporte le concours du plus gros mangeur par vingt-six contre vingt-quatre (50 dollars !), son rapport au monde, un rapport lourd de préjugés. La préciosité de Shirley divulgue mal sa peur devant une violence qu’il ne parvient à contrôler ; elle résulte d’un isolement de sa personne en raison de sa couleur de peau pour les Blancs, de son niveau intellectuel et de sa réussite professionnelle pour les Noirs, deux critères qui l’empêchent de se rattacher à la communauté afro-américaine. Shirley est un exilé, contraint de sillonner des contrées qu’il ne connaît pas et qu’il se contente de traverser, de jour de préférence : descendre de la voiture, poser ses valises pour les rembarquer le lendemain. Encore et encore. L’itinérance est la traduction de son piétinement existentiel, accentué par une sexualité qu’il peine à accepter et ne peut révéler au grand jour. Pourtant, ces thèmes forts – racisme, homosexualité latente – imprègnent l’œuvre sans jamais l’envahir, y coulent de la manière la plus naturelle qui soit, aidés par des dialogues subtils et des acteurs au sommet de leur art. Car la relation qui unit Viggo Mortensen à Mahershala Ali a ce quelque chose de beau, cette pureté du geste où un simple regard en dit plus long que le plus long des discours, qui la rend magnifique, bouleversante, inoubliable. Et on vibre devant Green Book au volant de la Cadillac bleue : on aura rarement fait une aussi belle rencontre de cinéma, bercé par ce mélange de classique et de jazz, de poésie et de grossièretés, de salade et de pizza dévorée sur un lit d’hôtel (après l’avoir pliée en deux, type sandwich). L’une des œuvres les plus importantes de l’année 2019, et un passeport qui invite le spectateur à sillonner l’humain, aussi étroites en soient les routes.
    Yves 4.
    Yves 4.

    102 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 janvier 2019
    phénoménal , cela sent les Oscars.
    Film plein d'humanité , la relation entre un chauffeur homme de main Tonny la Tchatche , et son patron musicien de talent et noir , avec les problèmes de ségrégations dans le Sud des USA , dans les années 60.
    magistral.
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