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Votre avis sur Green Book : Sur les routes du sud ?
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Du bon gros cinema americains, bien joué, surinterpreté même, mais qui satifzit tout le monde! De là à ramener l'occasion, il y a de la marie...Ça dedouane à bon compte la societe americaine. Mais franchement Mortensten dans le rôle d'un Rital "bas de plafond", y' avait mieux!
Un film engagé qui parvient à contourner (presque) tous les écueils du film américain où l'engagement est servie par l'émotion. Le dernier tiers du film est particulièrement réussi car pas de message asséné avec force : tout repose sur la pudeur de la mise en scène et la profondeur de l'interprétation. Mais pourquoi les oscars ont-ils nominé Mahershala Ali dans la catégorie "second rôle" ?! No comment car ce "twist" nous invite à regarder le film d'un autre oeil...
C'est un film sympas. Il est bien filmé, les acteurs sont bons mais il me manque un petit truc je ne saurais pas dire quoi... Sinon la bande son est sublime!
C'est une histoire touchante d'un célèbre pianiste noir, Dr Shirley, qui emploie les services d'un italien raciste, Tony Vallelonga, pour être son assistant pendant toute la durée de sa tournée. Je ne comprends pas pourquoi on le classe dans les "drames" alors que ça n'a rien d'un drame, c'est un biopic, avec des scènes comiques en plus. De ce côté là on a une bonne surprise. Les acteurs sont bons, même si certaines scènes sont inutiles
spoiler:
(comme la scène où les flics surprennent Dr Shirley et un blanc dans les douches avec un homme blanc)
. Le racisme de Tony évolue vers une sorte d'amitié et tendresse envers son employeur. Le film est bien, mais rien de nouveau, on connait le début, le milieu et la fin. Réaliser des films concernant le racisme des années 50 aux Etats-Unis est certes compliqué, mais est-ce vraiment utile ? On ressasse des choses au lieu d'avancer... et certaines scènes sont difficiles. Et bien sûre, le fameux happy end américain, tout le monde s'aime à la fin et fête Noël ensemble...
. Le racisme de Tony évolue vers une sorte d'amitié et tendresse envers son employeur. Le film est bien, mais rien de nouveau, on connait le début, le milieu et la fin. Réaliser des films concernant le racisme des années 50 aux Etats-Unis est certes compliqué, mais est-ce vraiment utile ? On ressasse des choses au lieu d'avancer... et certaines scènes sont difficiles. Et bien sûre, le fameux happy end américain, tout le monde s'aime à la fin et fête Noël ensemble...
Homme de main blanc de milieu modeste tendance rustre, employeur noir de milieu artistique aisé tendance précieux, une simple variante de Miss Daisy et son chauffeur trente ans après ? Fort heureusement, ce parcours sur de peu avenantes routes du sud dans les années 1960 emprunte une approche différente du très surcoté opus de Bruce Beresford (4 oscars), à la fois moins prétentieuse quant à son influence sociétale et plus riche dans le rapport humain décrit. Entre ces deux protagonistes que tout oppose va naître une vraie connexion, la personnalité de l'un va déteindre sur l'autre avec sur le fond le refus d'une ségrégation alors ancré dans les mœurs. S'il demeure dans une structure qu'il maîtrise, le buddy movie, le réalisateur Peter Farrelly, spécialiste du potache (Dumb & Dumber, Mary à tout prix) passe un cap important avec ce récit touchant avant d'être hilarant, séduisant plus que militant. Le message politique d'ouverture sur le monde est finement glissé, jamais asséné. Il n'y a pas de hiérarchie ni manichéisme dans le traitement de son duo phare : l'Italo-Américain Tony « La Tchatche », représentant lui aussi une minorité, subit stéréotypes et une forme de mépris social quand Don Shirley, malgré la considération qu'on lui renvoie pour son talent, est sans cesse ramené aux limites de son époque. Le choc culturel est réel sans être binaire, les préjugés sont vite remis en cause, les dialogues sonnent justes et naturels, les gags sont omniprésents mais équilibrés dans le temps. Et si la touche finale autour du repas de Noël paraît forcer le trait, on excusera aisément cette facilité sous couvert de l'histoire vraie dont le film s'inspire. Un feel good movie plein de sens.
Portés par deux grands acteurs, une histoire vraie certes, mais une mise en scène où l'humour et les personnages, dont les traits de caractères semblent grossis pour être facilement compris, rendent le film léger. Un bon moment de détente, mais qui au final n'a pas la force de porter un message fort sur la discrimination (racisme, homophobie, aporophobie ...). Je m'en retrouve gêné, de passer un bon moment devant un film qui arrive à éviter les clichés, sans être soufflé par un discours militantiste comme pouvait l'avoir Mandela, American History X, Je ne suis pas votre nègre... BlacKKKlansman semblait avoir trouvé cette équilibre, entre de l'humour et choc.
Film (très) grand public. Le sujet est intéressant mais le traitement est malheureusement trop holywoodien : personnages et stéréotypés qui surjouent à tout bout de champs. C'est vraiment dommage car avec un peu plus de finesse et un scenario un peu plus travaillé, ce film aurait pu être une pépite.
C’est fou comme 2h peuvent passer à une vitesse folle ! Aucune longueur n’est présente et voilà de nouveau un scénario lié à la ségrégation et basé sur une histoire vraie.
Le sujet abordé, le contexte historique et la rencontre de ces deux personnages aux deux univers divergents ne peuvent que plaire au spectateur et attiser sa curiosité.
Bien qu’il soit important de respecter l’authenticité de l’histoire de base, je trouve cependant que le déroulement du scénario est un peu prévisible et que l’intensité de la complicité des personnages n’est pas assez exploitée dans la réalisation.
En effet l’enjeu dû au racisme est fort, mais le lâcher prise et l’évolution des personnages n’est à mon sens pas assez illustré.
Pour sa sensibilité vis à vis du racisme, ce film se rapproche beaucoup de la couleur des sentiments, le majordome, django unchained, ou bien même 12 years a slave..
Mais à mon sens n’atteindra pas comme eux les 5 étoiles pour son manque de finition et sa réalisation trop superficielle concernant l’émotion du spectateur.
Le sujet abordé, le contexte historique et la rencontre de ces deux personnages aux deux univers divergents ne peuvent que plaire au spectateur et attiser sa curiosité.
Bien qu’il soit important de respecter l’authenticité de l’histoire de base, je trouve cependant que le déroulement du scénario est un peu prévisible et que l’intensité de la complicité des personnages n’est pas assez exploitée dans la réalisation.
En effet l’enjeu dû au racisme est fort, mais le lâcher prise et l’évolution des personnages n’est à mon sens pas assez illustré.
Pour sa sensibilité vis à vis du racisme, ce film se rapproche beaucoup de la couleur des sentiments, le majordome, django unchained, ou bien même 12 years a slave..
Mais à mon sens n’atteindra pas comme eux les 5 étoiles pour son manque de finition et sa réalisation trop superficielle concernant l’émotion du spectateur.
Même si l’histoire peut paraître cousue de fil blanc, on se laisse embarqué avec plaisir dans ce road movie porté par un fabuleux duo d’acteurs.
Film qui retrace l'histoire vraie de Tony Vallelonga, Green Book est un film sympa, mais on reste finalement sur sa faim. Car bien que l'histoire soit touchante, on l'a déjà vu des dizaines de fois au cinéma. Certes, Mahershala Ali est excellent et Viggo Mortensen est bon, mais l'ensemble n'est pas transcendant. Suivre la relation entre les deux protagonistes est plutôt intéressant, mais je pense qu'il y avait mieux à faire. Ici, on reste sur une amitié entre un blanc et un noir pendant la période de la ségrégation raciale. Et c'est du réchauffé.
Voici un film épatant émanant d’une réalisation soignée basée sur un scénario dynamique : road movie oblige. Le tout est assez bien ficelé pour contenir des rebondissements distrayants sans pour autant dévier d’une ligne narrative prévisible et bien pensante : feel good movie. Je suis sorti de ce film ravi de ma soirée. En écrivant ces lignes, je dois admettre que je me suis un peu laissé embarquer. En effet, cette aimable comédie ne parvient à un résultat agréable qu’en procédant à un jeu de réductions qui me laisse songeur et qui pourrait légitimement agacer certains spectateurs chatouilleux sur le chapitre du racisme. D’abord, il y a, disons, l’ »illusion héroïque » qui désigne deux individus isolés pour mener un combat contre la ségrégation alors que ceux-ci traversent des Etats – les Jim Crow States - dans lesquelles se déroulent un important mouvement de masse. Non seulement, Doc Shirley, le héros noir, pianiste « virtuoso », ignore l’existence des stars de la musique noire du début des années 60, mais il n’a pas non plus entendu parler de Rosa Parks, de Malcom X ou du pasteur King. Bizarre… On dirait qu’il débarque de Mars. Par contre il a en poche le numéro de téléphone personnel de Bob Kennedy. Ensuite, le choix des personnages incarnant la croisade est construit selon un procédé asymétrique curieux : le Blanc est un stéréotype de petit blanc non protestant- non-anglo-saxon tandis que le Noir est tellement atypique qu’il fait l’effet d’un extraterrestre, sa seule concession à la condition humaine consistant à descendre tous les soirs une bouteille de Cutty Sark. Tout le jeu du film consiste alors à rabattre finalement sur la case départ les deux protagonistes égarés : le Noir dans un honkytonk, le Blanc dans sa famille du Bronx. Cela manque un peu de souffle et ne doit cependant pas faire oublier ce qui est fort bien réussi dans ce film : les différentes scènes reconstituant la ségrégation à l’œuvre dans la vie quotidienne du Sud profond. L’attitude de l’organisateur du dernier concert refusant avec des assauts de courtoisie de servir un dîner au musicien qui va être la vedette de la soirée est très réussie et résume très bien l’esprit de ce qui est tragique dans cette comédie.
Un film fondamentalement bon et bien construit. Le message est positif et les acteurs le portent avec talent. Quelques longueurs retirent cependant à ce film un peu d’épaisseur, le bon scénario ne suffit pas à rattraper des personnages qui paraissent parfois inachevés.
Difficile de trouver des défauts majeurs dans ce film, peut-être le manque d'humour dans les 20 premières minutes, avant que l'intrigue ne se lance ? Ensuite la relation entre les deux personnages passe par les étapes obligatoires du genre, avec fluidité et un charme certain. Les deux acteurs sont très bons, entre clichés et surprises. Le film décolle t-il vraiment de temps en temps ? Yatil une exaltation spéciale ici et là? Pas vraiment. Certaines situations sont-elles un peu démonstratives ? Oui. Mais le propos n'est pas trop appuyé, et le film se passe, maîtrisé et bien agréable. La dernière réplique est parfaite. Ca vaut le coup
C'est une belle histoire d'un Amérique que l'on connait peu mais que l'on soupçonne depuis longtemps d'être ainsi.
C'est très bien joué, sans tomber dans le pathos
A voir vraiment
C'est très bien joué, sans tomber dans le pathos
A voir vraiment
Le film renvoie beaucoup d'intensité , il faut le reconnaître. Les 2 personnages sont affirmés dans leur style respectif.
On assiste à une confrontation entre 2 genres, et j'ai apprécié une forme de leçon de vie que l'un et l'autre se renvoyait.
Le chanteur qui pensait avoir ses manière pour lui sans se douter que le chauffeur avait de la culture et une oreille musicale.
Les gens s'attendaient à un film sur le racisme, moi même je m'attendais à autre chose, mais dans tout combat à 2, les faits finissent pas montrer autre chose, plus fine, et plus intelligente finalement.
Il est dommage que le film est long et on se demande comment cela va finir?
Les critiques négatives ont l'air d'oublier que c'est une histoire vraie, et que le pianiste est un grand virtuose dans son art.
Mais en comparant 2 histoires vraies j'ai préféré largement Ray, du début à la fin.
On assiste à une confrontation entre 2 genres, et j'ai apprécié une forme de leçon de vie que l'un et l'autre se renvoyait.
Le chanteur qui pensait avoir ses manière pour lui sans se douter que le chauffeur avait de la culture et une oreille musicale.
Les gens s'attendaient à un film sur le racisme, moi même je m'attendais à autre chose, mais dans tout combat à 2, les faits finissent pas montrer autre chose, plus fine, et plus intelligente finalement.
Il est dommage que le film est long et on se demande comment cela va finir?
Les critiques négatives ont l'air d'oublier que c'est une histoire vraie, et que le pianiste est un grand virtuose dans son art.
Mais en comparant 2 histoires vraies j'ai préféré largement Ray, du début à la fin.
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