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    Green Book : Sur les routes du sud
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    Sam L.
    Sam L.

    20 abonnés 121 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2019
    Histoire vraie avec une complicité extraordinaire entre ces deux personnages. Elle met en valeur l’absurdité du racisme qui persiste en Alabama, Mississipi, Louisiane, et autres régions du Sud. Les échanges entre Don et Tony sont magistraux.. Très bon film
    touny69
    touny69

    12 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 avril 2019
    Juste une très belle histoire, ne passer pas à coter de ce film magnifique loin des effets spéciaux, batailles et autres histoires de héros actuel. Une belle leçon de vie sur une époque pas si lointain, ou grâce à quelque hommes les mentalités ont changés
    RealPrime
    RealPrime

    85 abonnés 1 754 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 février 2021
    On pourrait croire, qu'avec un tel titre, on va se plonger dans un livre vert le long d'une route du Midwest ou de l'Alabama... Et bien non, pas du tout, un livre ne servant qu'à nous indiquer les itinéraires pour population "noire". Une histoire vraie qui par moment est très crue mais reste "calme" dans tous ses aspect, du bar en soirée au restaurant à la même heure jusqu'au champ de récolte forcée, tous remet en cause la place de cet homme noir, d'apparence totalement banal mais qui pourtant, l'est, mais reste avant tous, un pianiste et le meilleur de son époque dans son domaine. Une complicité assez déroutante au départ, à se demander combien de temps nos 2 compères vont bien pouvoir se supporter étant donner que l'un est un "homme à tout faire" et recherche un nouveau job pour 2 mois, et l'autre en snobe très droit et classe ne voulant aucune familiarité en son saint espace. Les routes du sud se suivent et nous y voyons 2 hommes, au départ opposés, apprennent à se connaître et finalement, se pardonne mutuellement. spoiler: La scène des morceaux de poulet fris est juste une perle et montre comment cette simple virée américaine se transforme en film comique.
    Une Amérique justement profonde ou l'on côtoye très clairement spoiler: les racistes de l'apartheid qui invitent cet artiste mais veulent le faire manger et dormir en chambre de bonne ou limite, dans le placard à ballait. Un film qui montre la connerie démentielle de cette partie historique de l'Amérique, ou le seul blanc engager par un noir, ne va pas supporter très longtemps, cette non civilisation jusqu'à se laisser s'emporter.
    Une très bonne moral sur la fin, pour une épopée très bien faite. "Green Book" ? Non, "Black and White Road".
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    693 abonnés 3 019 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 décembre 2019
    Green Book porte en son titre le périple à venir, cette somme de trajets et de haltes musicales qui suivent le planning de l’artiste et s’égrainent, la nuit tombée, dans deux hébergements que le fameux livre vert permet de distinguer. Il orchestre ainsi une rencontre, celle de deux cultures opposées qu’un espace clos – la Cadillac bleue avec, sur le siège de devant, des restes de nourriture tout près du paquet de cigarettes et du journal – va réunir : au volant, Tony, populaire et bon vivant qui peine à museler son franc-parler ; sur la banquette arrière, le docteur Don Shirley, musicien précieux et cultivé. Et ce qui devait arriver arriva : le conflit initial se mue peu à peu en découverte réciproque, en amitié enfin ; c’est dire que le récit suit une trajectoire similaire à celle d’un apprentissage au terme duquel chacun aura appris de l’autre et corrigé ses erreurs. Œuvre d’intégration qui chante l’humain dans son droit fondamental à la différence, Green Book se démarque néanmoins des stéréotypes ainsi mis en place par l’originalité de son ton et la beauté de sa mise en scène. Car Peter Farrelly réussit l’exploit de conjuguer ce qui fait l’essence de son cinéma – à savoir la grossièreté au service d’une peinture de l’amitié – avec l’âpreté d’une société américaine meurtrie par le racisme et la ségrégation. Or, l’Histoire n’apparaît jamais ici comme démonstrative ou artificielle ; non, nous la vivons avec les personnages, au gré des pauses, des altercations, des repas, des concerts, et de toutes les discussions qui scandent les voyages. Il y a une simplicité et une justesse d’écriture qui suffisent à ancrer notre duo dans leur époque : le langage fleuri de Tony dissone avec la poésie qui se dégage des propos de Shirley, et pourtant les deux niveaux de langue se rassemblent pour jouer à l’unisson l’un de l’autre une même partition. Les lettres adressées à Dolores en sont un bel exemple. Le langage et le corps vont de pair : la lourdeur des formules et des pensées du chauffeur traduisent son appétit et, au-delà des enfilades de cuisses de poulet et de hot-dogs, dont il remporte le concours du plus gros mangeur par vingt-six contre vingt-quatre (50 dollars !), son rapport au monde, un rapport lourd de préjugés. La préciosité de Shirley divulgue mal sa peur devant une violence qu’il ne parvient à contrôler ; elle résulte d’un isolement de sa personne en raison de sa couleur de peau pour les Blancs, de son niveau intellectuel et de sa réussite professionnelle pour les Noirs, deux critères qui l’empêchent de se rattacher à la communauté afro-américaine. Shirley est un exilé, contraint de sillonner des contrées qu’il ne connaît pas et qu’il se contente de traverser, de jour de préférence : descendre de la voiture, poser ses valises pour les rembarquer le lendemain. Encore et encore. L’itinérance est la traduction de son piétinement existentiel, accentué par une sexualité qu’il peine à accepter et ne peut révéler au grand jour. Pourtant, ces thèmes forts – racisme, homosexualité latente – imprègnent l’œuvre sans jamais l’envahir, y coulent de la manière la plus naturelle qui soit, aidés par des dialogues subtils et des acteurs au sommet de leur art. Car la relation qui unit Viggo Mortensen à Mahershala Ali a ce quelque chose de beau, cette pureté du geste où un simple regard en dit plus long que le plus long des discours, qui la rend magnifique, bouleversante, inoubliable. Et on vibre devant Green Book au volant de la Cadillac bleue : on aura rarement fait une aussi belle rencontre de cinéma, bercé par ce mélange de classique et de jazz, de poésie et de grossièretés, de salade et de pizza dévorée sur un lit d’hôtel (après l’avoir pliée en deux, type sandwich). L’une des œuvres les plus importantes de l’année 2019, et un passeport qui invite le spectateur à sillonner l’humain, aussi étroites en soient les routes.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 082 abonnés 3 968 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 février 2019
    Je n'aime pas le cinéma des frères Farrelly, alors là il n'y en a qu'un, mais rien ne change, je trouve toujours ça aussi stupide et vulgaire. Alors oui on passe de la comédie potache au road movie dramatique sur fond de discrimination raciale, mais ça ne change rien, c'est d'une vulgarité, d'une bêtise à toute épreuve.

    Je ne sais même pas d'où viennent les critiques positives de ce truc, qui est d'un ennui profond... Ici tout y est cliché. La seule différence avec les autres productions du genre c'est que pour une fois le rôle du bourgeois est joué par un noir et le rôle du prolo par un blanc. Ce qui permet bien sûr de caricaturer encore plus le prolétaire.

    Bon déjà la tronche de Mortensen m'énerve, pas que je n'aime pas cet acteur, mais là le mec bedonnant, grossier, vulgaire, qui parle avec un faux accent italien... je ne peux pas, c'est pas possible. Je n'y crois pas... Et pourquoi je n'y crois pas ? je l'ai vu dans tellement d'autres films où il est à l'opposé... je ne crois pas au contre emploi.

    Je ne connais pas Mahershala Ali, donc je peux dire qu'il s'en sort mieux, même s'il n'est lui-même qu'une caricature du bourgeois maniéré. Tellement caricatural qu'il est en est ridicule. Sauf que moi ça ne me fait pas rire, je soupire et j'ai juste envie que ce trop long métrage se termine.

    Donc l'histoire est connu c'est un mec raciste qui va devenir un peu moins raciste et un bourgeois qui va apprécier quelques trucs de prolos au fur et à mesure... Intouchables c'était pareil hein...

    Le problème c'est que le film ne va s'éviter aucune grossièreté pour caractériser le personnage de Mortensen, que le réalisateur n'a aucune idée de comment raccorder les scènes entre elles, que tout ça n'est finalement qu'une juxtaposition de sketchs où ils s'aident l'un l'autre dans un milieu raciste et hostile. Par exemple les deux personnages sont dans la voiture, parlent d'un sujet, enchaînent sur un autre sans lien logique entre les deux. Il fallait juste passer, artificiellement, de la blague à l'information dont le spectateur avait besoin pour continuer le film. C'est du bricolage.

    Bien sûr tout est cousu de fil blanc, rien ne surprend jamais, aucune blague, aucune remarque, aucune réflexion... même la fin est d'un cliché et d'un prévisible que je l'avais devinée dès le départ. Genre le mec demande à être rentré pour Noël... à ton avis ? qu'est ce qu'il va se passer ?

    Ce n'est ni original, ni imaginatif et le pire dans tout ça c'est qu'à aucun moment on a quelque chose de bien filmé, un beau plan sur des acteurs qui jouent bien. C'est juste de néant... Et le film met deux heures à se rendre compte de ce que le spectateur a remarqué depuis le début, Mortensen a plus a voir avec la culture noir que Mahershala Ali, parce que la majorité des noirs sont des prolétaires comme lui. Et qu'a contrario l'autre a tous les codes de la grande bourgeoisie mais ne peut pas s'y intégrer à cause du racisme... Waouh... fallait vraiment un film pour cette trouvaille ?

    En plus je déteste cette manière de filmer les lieux, ou plutôt devrais-je dire, de ne pas filmer les lieux, ils s'enchaînent on ne voit rien ou presque, on n'a pas l'impression d'être dans le sud des États-Unis ni rien... c'est principalement des lieux clos qui pourraient être n'importe où... Alors si le message du film c'est que nord ou sud ça ne change rien... pourquoi pas, mais à part dans un dialogue vite fait ça n'est jamais réellement évoqué et surtout ça n'excuse pas cette négation du décor et de la géographie.

    Bref on a un gentil film qui va sans doute tout faire pour gagner des gentils oscar, qui est bien dans l'air du temps... qui ne dit rien de plus que des banalités, qui est laid, inintéressant, pas pensé, pas réalisé et d'un ennui cosmique.
    lmc-3
    lmc-3

    272 abonnés 463 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 janvier 2019
    Biopic poignant, ce film est drôle et émouvant, sans ennui, une belle réussite avec des personnages aux acteurs au top.
    Gillesr1
    Gillesr1

    12 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 février 2019
    Tres beau film, une belle histoire, avec de tres bons acteurs.
    Le sujet est grave mais il y a beaucoup de moments drôles et donc le ton est plutôt léger.
    Yves 4.
    Yves 4.

    104 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 janvier 2019
    phénoménal , cela sent les Oscars.
    Film plein d'humanité , la relation entre un chauffeur homme de main Tonny la Tchatche , et son patron musicien de talent et noir , avec les problèmes de ségrégations dans le Sud des USA , dans les années 60.
    magistral.
    Greg A.
    Greg A.

    49 abonnés 455 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 janvier 2019
    Green Book est un film qui a du coeur et ça se ressent ! Un film très drôle mais qui sait alterner les scènes comiques et les scènes dramatique de façon à ce que le sujet abordé et traité , assez puissant et poignant , ne tombe jamais dans la lourdeur . Deux grands acteurs pour deux interprétations exceptionnelle ; mention spéciale pour Viggo Mortensen grandiose dans son rôle . On passe un super moment devant ce road movie , touchant , sincère et humain , qui fait vraiment du bien . Merci ! Ma note : 9.5/10
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 janvier 2019
    SUBLIME !! Green Book est un road movie tout ce qu’il y a de plus banal, mais sa sincérité et son habilité à nous raconter cette histoire, en font une œuvre tout à fait exceptionnelle.

    À la fois drôle et touchant, le film va nous raconter le périple d’un musicien afro-américain de talent et de son chauffeur, un italien brute de décoffrage. Tout deux vont être confrontés à un racisme absurde, mais également à des doutes entourant leurs identités.

    En effet, ces deux personnages, relativement différents, vont au fil du récit, s’apporter mutuellement. Et ce duo improbable va s’avérer être très touchant, grâce notamment à la superbe prestation de Mahershala Ali et Viggo Mortensen.

    Le sujet, plutôt grave, est traité avec une certaine légèreté, parfois cliché, mais qui permet au film de garder un côté « Feel good » très agréable. C’est de la guimauve, mais ça fait du bien. C’est généreux,c’est humain, c’est tendre, et c’est en ce moment au cinéma. Donc foncez !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 27 janvier 2019
    C'est mignon. Esthétique. Intéressant. Parfois drôle. Mais c'est une caricature de film américain avec son déluge de bons sentiments. Ses rebondissements attendus et son happy end.
    Bref. Bon moment. Mais c'est pas non plus un chef d'œuvre.
    cosette2010
    cosette2010

    51 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 février 2019
    Je suis déçue. Vigo n'est pas convaincant dans son numéro de plouc italien... Pas besoin de prendre 20 kilos franchement. On n'y croit pas une seconde. Le film est pétri de bons sentiments. C'est un film moralisateur et sans originalité. Une leçon de tolérance certes... Mais bon.
    Xavier B.
    Xavier B.

    17 abonnés 283 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 mars 2019
    En 62, Tony Lip, un videur italo-américain du Bronx, est engagé pour conduire et escorter Don Shirley, un célèbre musicien classique noir, pendant une tournée de concerts, jusque dans le Sud profond où la ségrégation n’a pas commencé à être réellement contestée.

    Tout oppose les deux personnages qui, pourtant, nouent vite une relation de curiosité l’un envers l’autre. Tony Lip apprendra ainsi au musicien, très sophistiqué, à manger des ‘’fried chicken’’ avec les doigts ; Don Shirley essayera en retour d’inculquer les bonnes manières à son chauffeur. C'est passionnant !

    Bien au-delà de la confrontation des modes de vie et des cultures, P. Farrelly veut sans doute traiter de la difficulté pour un artiste noir, particulièrement dans le contexte violent de la ségrégation, de s’épanouir dans un domaine où il n’est pas attendu, en l’occurrence la musique classique, une musique de blanc…

    Mais avec trop de bons sentiments (notamment l’overdose de guimauve de la dernière scène) et l’absence de la moindre scène violente (un passage où Tony Lip essaye de récupérer Don Shirley des mains de la police aurait dû être, au moins, un peu trash) le film glisse sans laisser beaucoup de traces…
    Damien H.
    Damien H.

    13 abonnés 344 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 février 2019
    Un film poignant sur le racisme, la différence et l'acceptation, dans une Amérique pas si éloignée.
    Les performances d'acteurs sont excellentes et mettent en avant des personnages profonds et leurs évolutions au contact l'un de l'autre.
    Jorik V
    Jorik V

    1 274 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 décembre 2018
    C’est une histoire vraie (encore). C’est une histoire qui fait écho à certains relents racistes ayant toujours cours aujourd’hui (encore), et donc terriblement d’actualité. C’est aussi une histoire d’amitié (encore). Mais c’est aussi une histoire qui prend comme décor les routes des Etats-Unis (encore). Enfin, c’est également une histoire qui semble totalement calibrée pour la course aux récompenses (encore), avec en ligne de mire les Oscars. Ces similitudes nombreuses ou pas avec une multitude d’autres œuvres n’est pas un défaut en soi. Mais cela permet de cerner « Green Book, sur les routes du Sud » qui déroule son programme attendu durant deux heures de cinéma à l’ancienne. Un programme sans surprise, certes, mais néanmoins joliment mis en place et qui fait ce qu’on attend de lui.

    Soit divertir avec une belle histoire emplie de valeurs et d’une morale adéquates. Ce qui semble plus étonnant c’est de voir que Peter Farrelly est à la réalisation de cette œuvre classique et passéiste. Souvenez-vous, le monsieur est quand même la moitié de la fraternité qui a accouché de « Mary à tout prix », « Dumb & Dumber » ou encore « L’amour extra-large ». Des comédies à l’humour pas très fin, potache et graveleux même, mais qui laissaient pourtant toujours transparaître une petite dose d’émotion et développaient une tendresse certaine pour les personnages. Donc finalement ce virage plus consensuel n’est guère étonnant et il est habilement négocié dans un long-métrage qui plaît et qui sait flatter l’œil. La mise en scène est classique mais appliquée. Farrelly n’innove jamais dans sa façon de filmer le Sud raciste (déjà maintes fois vu au cinéma) préférant se focaliser sur la belle relation entre ces deux personnages principaux, laissant d’ailleurs de côté toute incursion d’un quelconque second rôle à performance.

    Et le duo que l’on voit ici, celui d’un chauffeur italien qui va conduire un musicien noir dans l’Amérique raciste des années 60 est particulièrement probant et incarné par deux acteurs au sommet de leur art. L’oscarisé Mahershala Ali (pour « Moonlight ») et Viggo Mortensen forment un superbe binôme de cinéma. On apprécie que le trait, d’ailleurs ce n’est peut-être parfois pas assez démonstratif et trop gentil, tout comme l’émotion ne soient jamais forcés, ne prenant jamais ainsi le spectateur en otage. Mais, par petites touches, Farrelly fait de son « Green Book, sur les routes du Sud » un beau film humaniste dont les rapports entre les personnages sont parfaitement explicites. Leur psychologie est bien amenée et on se prend d’affection pour eux dans un déroulement pépère et sans accroc. C’est peut-être un peu sage mais tout à fait plaisant. Un film qui a du cœur et de l’esprit en somme mais trop prévisible.

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