Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Intelligent, drôle et corrosif.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Eric Derobert
De "Metropolis" (Fritz Lang) à "Land of the Dead" (George A. Romero), on en a vu, des métaphores binaires de la société de classes, déguisées en films d’anticipation. Mais rarement avec ce sens anarchisant de l’absurde, où des figures hébétées, évidemment calquées sur celles de notre époque – une volonté de bien faire, cara - pacée dans la niaiserie managériale –, côtoient des brebis égarées en provenance de "L’Ange exterminateur" de Luis Buñuel.
L'Obs
par François Forestier
Les amateurs d’humour surréaliste seront séduits par cette histoire de survivants qui habitent un grand building, en l’an 9177, soumis à la dictature d’un roi (Gabino Diego). (...) Les spectateurs réfractaires seront, eux, agacés par cette comédie absurde (genre Terry Gilliam à la sauce ibère) qui vire à la satire politique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un côté anar très seventies, sur le fond comme sur la forme, qui n'est pas pour déplaire, même si l'abondance de situations et dialogues loufoques peut finir par être indigeste.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Dans un futur très lointain, les Hommes sont divisés en deux castes : les habitants de la Tour, et les pauvres qui vivent aux pieds de la Tour dans des bidonvilles. Une comédie totalement surréaliste à l’humour acide comme du citron.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Véronique Cauhapé
La dernière farce du réalisateur espagnol José Luis Cuerda (mort en février à l’âge de 72 ans) s’alourdit hélas de trop de redondances.
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Hélas, si quelques idées font mouche, le long-métrage souffre d'une répétitivité exténuante, et surtout d'un manque d'audace assez gênant au vu d'un sujet brûlant.
Paris Match
par Yannick Vely
Si le scénario manque de zest et que les gags sont trop répétitifs pour séduire sur la longueur, «Tiempo despuès» a l'avantage de rassembler tout le gratin du cinéma espagnol contemporain, de Roberto Álamo («Que Dios nos Perdone»), à Blanca Suárez («La Piel que Habito»), en passant par Antonio de la Torre («El Reino) dans le (petit) rôle d'un prêtre meurtrier.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Sylvestre Picard
C'est une farce pas vraiment subtile qui caricature lourdement l'Espagne contemporaine à l'aide de curés flingueurs (avec un caméo d'Antonio de la Torre), de gardes civils hispano-écossais, de coiffeurs poètes, d'hommes-volants...
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Fiches du Cinéma
Intelligent, drôle et corrosif.
Positif
De "Metropolis" (Fritz Lang) à "Land of the Dead" (George A. Romero), on en a vu, des métaphores binaires de la société de classes, déguisées en films d’anticipation. Mais rarement avec ce sens anarchisant de l’absurde, où des figures hébétées, évidemment calquées sur celles de notre époque – une volonté de bien faire, cara - pacée dans la niaiserie managériale –, côtoient des brebis égarées en provenance de "L’Ange exterminateur" de Luis Buñuel.
L'Obs
Les amateurs d’humour surréaliste seront séduits par cette histoire de survivants qui habitent un grand building, en l’an 9177, soumis à la dictature d’un roi (Gabino Diego). (...) Les spectateurs réfractaires seront, eux, agacés par cette comédie absurde (genre Terry Gilliam à la sauce ibère) qui vire à la satire politique.
Le Journal du Dimanche
Un côté anar très seventies, sur le fond comme sur la forme, qui n'est pas pour déplaire, même si l'abondance de situations et dialogues loufoques peut finir par être indigeste.
aVoir-aLire.com
Dans un futur très lointain, les Hommes sont divisés en deux castes : les habitants de la Tour, et les pauvres qui vivent aux pieds de la Tour dans des bidonvilles. Une comédie totalement surréaliste à l’humour acide comme du citron.
Le Monde
La dernière farce du réalisateur espagnol José Luis Cuerda (mort en février à l’âge de 72 ans) s’alourdit hélas de trop de redondances.
Mad Movies
Hélas, si quelques idées font mouche, le long-métrage souffre d'une répétitivité exténuante, et surtout d'un manque d'audace assez gênant au vu d'un sujet brûlant.
Paris Match
Si le scénario manque de zest et que les gags sont trop répétitifs pour séduire sur la longueur, «Tiempo despuès» a l'avantage de rassembler tout le gratin du cinéma espagnol contemporain, de Roberto Álamo («Que Dios nos Perdone»), à Blanca Suárez («La Piel que Habito»), en passant par Antonio de la Torre («El Reino) dans le (petit) rôle d'un prêtre meurtrier.
Première
C'est une farce pas vraiment subtile qui caricature lourdement l'Espagne contemporaine à l'aide de curés flingueurs (avec un caméo d'Antonio de la Torre), de gardes civils hispano-écossais, de coiffeurs poètes, d'hommes-volants...