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    Proxima
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    Fargo Boy
    Fargo Boy

    87 abonnés 164 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 décembre 2019
    Mais quel ennui, mais quel monotonie ! On apprend quelques petites choses sur le métier d'astronautes mais le reste est convenu. L'ex mari et la fille manquent totalement de charisme et ne sont pas adaptés au rôle. Seul Eva Green s'en sort. Vraiment je ne comprends pas les bonnes critiques.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 décembre 2019
    Film magnifique de sensibilité,j'ai beaucoup pleuré tant c'est bien écrit - par une femme pour les femmes -remarquablement interprété par Eva Green ,la précision des détails,les décors naturels grâce auxquels on est impressionné,la mise en valeur de ces énormes machineries et technologies face à la fragilité de l humain et la force de ces femmes qui ont une volonté de fer tout en étant féminine.C'est à la fois un documentaire d'exception avec une super héroïne maternelle ,du jamais vu !Bravo , bravo,même si vous n'êtes pas attirés par l'espace (comme moi) allez-y! vous serez bouleversés et vous apprendrez beaucoup .Merci à Aline Winocour
    Christoblog
    Christoblog

    825 abonnés 1 673 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 décembre 2019
    Proxima est ce genre de film qui se résume à son pitch : la difficile séparation d'une mère et de sa fille pour raison professionnelle.

    A part ça, pas grand-chose.

    Eva Green est plutôt bien, les autres rôles aussi (en particulier Sandra Hüller - Toni Erdmann, toujours parfaite). La vie quotidienne des apprentis astronautes est montrée de façon réaliste, que ce soit dans les steppes du Kazakhstan ou dans les tristounets bureaux de l'Agence Spatiale Européenne. Thomas Pesquet vient donner des conseils, les machines sont impressionnantes, les Russes pas commodes. Rien que du classique donc, mais plutôt bien filmé.

    Le scénario est anémique, l'ambiance lugubre (pourquoi ne ressent on jamais l'envie de partir dans l'espace ?), et le sentimentalisme est évité jusqu'au dernier quart d'heure.

    Le film est finalement ennuyeux, et ressemble à un projet de fin d'étude de la FEMIS (dont est issue Alice Winocour), qui aurait des moyens.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    352 abonnés 1 786 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 décembre 2019
    Je m’attendais à un INTERSTELLAR (2014) à la Française, mais ça n’a rien à voir. Ça m’apprendra à me fier juste à l’affiche. Et donc forcément, ma vision de ce drame était faussée et je me suis énormément ennuyé. Il ne se passe pas grand-chose. On voit Sarah se préparer à son aventure dans l’espace mais ça ne soulève pas des foules. Par contre, si l’envers du décor du métier d’astronaute vous intéresse, ça se peut que vous soyez pris dedans. Tout l’aspect entrainement et simulation est bien détaillé. C’était trop strict et ressemblait plus à un reportage. Il y a tout de même de belle image. J’étais frustré qu’on n’ait pas un peu de partie espace. Au-delà de ce côté acheminement vers l’épreuve spatiale, on va aussi aborder tout ce qui est relationnel entre Sarah et sa fille. Même sur cette partie j’étais déçu, car je trouve qu’on n’aborde pas vraiment les choses. On touche la surface sans rentré dans le complexe déchirement que peut engendrer cet événement. Ce qui est plutôt dommage, car les acteurs sont vraiment bons. La Française Eva Green avait impressionné dans MISS PEREGRINE ET LES ENFANTS PARTICULIERS (2016) ou encore cette année dans DUMBO (2019). Son retour dans un film avec la langue de Molière lui réussit. J’ai beaucoup aimé sa prestation. Son collègue Matt Dillon, m’a agréablement surpris car je n’avais en tête que son rôle dans MARY À TOUT PRIX (1998). PROXIMA devait nous préparer à atteindre les étoiles, mais il ne m’a pas fait décoller.
    remyll
    remyll

    188 abonnés 433 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 décembre 2019
    Un bon film semblant vraiment proche de la réalité assez stupéfiante que vivent les quelques très rares femmes astronautes quelques semaines avant leur grand depart dans l'espace.
    J'ai beaucoup aimé.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 327 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 décembre 2019
    Comme dirait l’autre : « Je ne m’attendais à rien, mais je suis quand même déçu. »
    Ce film, je suis pourtant allé le voir sans rien en savoir. Du moins très peu de choses.
    Quelques bons échos. Un titre. Une affiche. Un casting.
    Une promesse très vague en somme, mais une promesse pourtant non tenue.

    Parce que bon : oh ! On ne va pas me la faire à l’envers non plus : quand tu appelles ton film « Proxima » et que tu mets sur ton affiche une mère et sa fille avec, en arrière-plan, une fusée, il me semble que ce n’est pas tout à fait un acte anodin.
    Moi, quand je vois ça, je me dis qu’AU MINIMUM il va être question d’un rapport à l’espace et au temps, d’un rapport au charnel et à l’infini, d’une relativité aux choses du quotidien et de l’absolu.
    « Proxima » c’est à la fois l’étoile, c’est à la fois l’idée de rester auprès des êtres aimés. On est bien tous d’accord hein ? Ce n’est pas moi qui extrapole là !

    Mais bon. Il faut croire que j'étais trop exigeant. Car, de tout ça, il n’y aura finalement presque rien.
    En fait virez l’espace. Virez la relativité. Virez le questionnement.
    « Proxima » ne raconte qu’une seule chose : l’histoire d’une femme qui se retrouve à cheval entre son rôle de mère et son boulot. Et that’s it.

    Voyez le film et posez-vous juste une question.
    « Pourquoi l’espace ? »
    Si on vire l’espace de cette intrigue et qu’on le remplace par un hôpital, une banque ou un banal service compta, c’est juste LE MÊME film.
    Alors vous allez peut-être me rétorquer : « oui mais dans un service compta ça aurait sûrement été plus chiant, plus banal… »
    Bah oui ! C’est vrai.
    Mais franchement, en quoi voir l'héroïne attacher des mousquetons sous l’eau et courir sur des tapis roulants ça rend tout de suite le film plus excitant ?

    Parce qu’il est là le problème avec ce « Proxima. »
    Au fond ce film ne dit rien si ce n’est que du très banal.
    En gros, toute la démarche ne repose que sur un seul axe : celui qui consiste à démontrer qu’être une mère qui bosse, bah c’est pas cool.
    Une heure et quarante-six minutes de : « Attendez je suis en retard car il faut que je téléphone à ma fille ! » ou de « ça vous dérange si je ramène ma fille à la réunion ? » quand ce n’est pas du « Mais dis donc ! On dirait bien que ma carrière m’empêche de profiter de moments forts avec ma fille ! Snif ! »
    Voilà.
    Une heure et quarante-six minutes de ça.
    Le problème c’est que – ô surprise ! – au bout de dix minutes de visionnage on a à peu près compris le message.
    Et au moment où moi je me suis dit « OK, j’ai l’idée. Et sinon à part ça qu’est-ce que t’as à dire ?, le film m’a grosso modo répondu : « Ah… Mais… Mais y’a que ça ce que j’ai à dire en fait… »

    Bon…
    On ne va pas se mentir. Moi, ce « Proxima », c’est clairement le cinéma qui m’agace.
    Pire, c’est le cinéma qui m’exaspère.
    Voilà où on en est arrivés.
    Aujourd’hui quand un mec ou une nana veut faire un film, il/elle ne réfléchit plus en termes d’univers, d’atmosphère, d’exploration des sens ou de rythme. Non, maintenant on pense en termes de « causes ». On vient défendre sa cause et puis ça s’arrête là.
    Le cinéma, au fond, c’est juste un support. Ce n’est même plus un domaine créatif.

    Pourtant ce film avait clairement les moyens pour des ambitions plus grandes.
    A quelques instants, des scènes se posent là et démontrent qu’il y avait quand même moyen de faire quelque-chose qui avait plus d’ampleur et de profondeur.
    Une gamine qui joue sur une lune factice.
    Une astronaute marchant au milieu des eaux.
    De puissants moteurs qu’on sort de hangars démesurés.
    Autant d’images au potentiel énorme mais dont finalement on ne fait rien.
    Car les images ne sont visiblement que des illustrations pour Alice Winocour. Juste quelque-chose en plus, au service de l’histoire. Pas un vecteur de narration.

    Quel gâchis.
    Quel gâchis d’avoir un décor pareil pour au final ne produire que des images aussi plates.
    Comme un syndrome de son temps la quasi-totalité du film est tournée caméra au poing, même quand tout est figé.
    Mais quel intérêt franchement ?
    Cette pratique c’est vraiment devenu le cache-misère du pauvre.
    « Ah mais moi j’ai tout tourné caméra au poing pour qu’on sente la réalité crue ! Façon documentaire ! Genre "on a saisi l’instant malgré l’agitation et la spontanéité de l’instant."
    – Mais là ils sont assis à une table et ils parlent. Y’a pas d’agitation.
    – Oui mais c’est pour faire documentaire j’te dis ! Captation brute du réel quoi !
    – Bah justement. Dans un documentaire, pour un banal champ-contrechamp autour d’une table, ils auraient posé la caméra sur un trépied.
    – Ouais mais bon ! Moi si je fais ça dans mon film, ça va faire tout plat !
    – Mais ça fait déjà tout plat en fait. C’est pas parce que tu vas refiler la gerbe à tout le monde en agitant un cadre fixe que soudainement ta réalisation va prendre du relief hein... Mais qu’est-ce que tu crois ? »

    Alors voilà.
    Voilà comment, en France, on ne sait même pas tirer parti d’un vrai décor cinégénique.
    Voilà comment, en France, on ne sait même pas tirer parti d’un casting au fond plus que convenable. Eva Green, par exemple, nous sort une prestation plus qu’honorable. Et franchement, heureusement pour ce « Proxima » qu’elle est là. (Me concernant, c'est sa performance qui rapporte à ce film une petite étoile de plus.)
    Et voilà surtout comment, en France, on ne sait même pas tirer parti d’un Ryuchi Sakamoto qu’on a pourtant à sa disposition mais qu’on n'utilise au final que très peu.
    C’est… C’est juste navrant.

    Et au fond, c’est navrant car c’est révélateur.
    Révélateur d’un tout.
    Révélateur de ce qu’est en grande partie notre cinéma hexagonal.

    Déjà l’an dernier, Claire Denis s’était risquée à aller dans l’espace.
    Elle avait fait un film qui s’appelait « High Life » ; un titre lui aussi trompeur puisqu’au final, aucune vie ni aucune hauteur.

    Avec ce « Proxima », même logique, mais en allant peut-être encore plus loin.
    Cette fois-ci on se décide à aller dans l’espace, mais sans vouloir pour autant franchir le pas. En fin de compte on a préféré rester sur le plancher des vaches parce qu’au fond, se projeter, dans le petit carcan français, c’est quelque-chose qu’on ne sait pas faire.
    A part donner des leçons de morale et se morfondre sur les petits tracas du quotidien on ne sait plus rien faire, on ne sait plus rien dire.
    On ne sait même plus faire ressentir.
    Et ça, moi, ça m’afflige…

    Mais bon… Après ça ne reste que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    Clémentine K.
    Clémentine K.

    191 abonnés 1 429 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 décembre 2019
    Un film dont l'intrigue, même si elle rappelle de grands films hollywoodiens, reste simple et très intéressante. Un aspect de la vie des astronautes féminines qui est bon de rappeler.
    orlandolove
    orlandolove

    134 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 décembre 2019
    Voici un film français ambitieux et original. Très touchant dans la relation mère-fille, subtil dans son aspect féministe et passionnant sur ce qu'il nous apprend de la préparation des astronautes. Eva Green est superbe, et l'ensemble du casting suit de près.
    patosud26
    patosud26

    105 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 décembre 2019
    Très belle hommage aux femmes qui ont participé à la conquête spatiale. Jolie histoire d'une relation mère/fille, dans le contexte très particulier, celui d'une carrière hors du commun et de la préparation au voyage sur Mars. C'est beau et poétique. C'est émouvant, sans être larmoyant. Et c'est un plaisir de retrouver la magnifique et fantastique actrice qu'est Eva Green, qui comme son nom ne l'indique pas, est française.
    pauletvirginie
    pauletvirginie

    2 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 décembre 2019
    Pas inintéressant, mais vraiment pas passionnant. On peut y emmener les enfants qui rêvent d'être spationautes, pour les en dissuader.
    Greg B.
    Greg B.

    3 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 décembre 2019
    Très joli film, humain et touchant, avec des actrices et acteurs au top ! Ce n'est pas un film d'action ni de science fiction, n'y allez pas pour ça !
    75001tine
    75001tine

    12 abonnés 51 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 décembre 2019
    Film trop lacrymal, trop dans l'émotion pour être intéressant. On attend, on attend mais, au final, on s'ennuie ferme pour une fin attendue et sans surprise !
    Le dernier tango
    Le dernier tango

    1 abonné 11 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 décembre 2019
    Film assez sobre, avec un scénario simple mais efficace, Eva Green excelle et embellie le film terne à certain moment
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 6 décembre 2019
    Très bons acteurs et scenario crédible
    Relation mère fille réaliste et un peu de rêve de l'entraînement des cosmonautes.
    Évidemment Eva Green excellente et trop belle..
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    631 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 décembre 2019
    Vu par hasard, j'ai été troublé par la sincérité du film d'Alice Winocour. Une dualité entre la mère et l'aventurière. Presque filmé comme un documentaire, sans étoffer le scénario d'une intrigue extraordinaire, "Proxima" observe le processus de séparation d'une mère astronaute avec sa fille unique, tout en mettant en parallèle le parcours du combattant pour pouvoir décoller de la terre. La réalisatrice rend hommage aux femmes, à ces super-héroïnes des temps modernes qui embrassent leur destinée dans un monde ultra-masculin. J'ai beaucoup aimé comment la réalisatrice a filmé de façon épuré cet entrainement quasi surhumain, puissamment motivé par l'instinct maternel. Alors certes, il n'y a pas de rebondissements mais la force de l'invisible suscite toute notre attention. Personnellement, je ne me suis pas ennuyé et j'ai été hypnotisé par la simplicité de son actrice principale. Contrairement au récent "Ad Astra" de James Gray où le lien du sang réunissait un père et son fils aux confins de l'espace, "Proxima" témoigne du lien ombilical et fusionnel qui se scinde délibérément à l'aube d'une excursion spatiale. Dans cette sobriété, Eva Green est flamboyante de justesse et de détermination. Ca fait du bien de la voir dans un rôle dénué de tout jeu de pouvoir et de mysticisme. Pour le coup, j'ai eu l'impression de la redécouvrir, notamment dans sa sensibilité. Par contre, Matt Dillon est vraiment secondaire mais on retient les belles présences de Zélie Boulant et Lars Eidinger. Alice Winocour met superbement en exergue le lien maternel au travers d'un contexte original et exclusif. Qu'on apprécie ou non ce regard, la réalisatrice pose une empreinte singulière et profonde qui promet des prochains films riches en émotions.
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