Mon compte
    Proxima
    Note moyenne
    3,6
    2564 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Proxima ?

    200 critiques spectateurs

    5
    13 critiques
    4
    59 critiques
    3
    61 critiques
    2
    42 critiques
    1
    15 critiques
    0
    10 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    79 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 novembre 2019
    Ou la conquête de l’espace vu sous l’angle maternel ! Bon, dit comme ça, on ne s’emballe pas !
    La conquête spatiale, par le petit bout de la lorgnette ?
    Deux parties ou deux thèmes centraux:
    - après la sélection des cosmonautes: la préparation, l’entrainement physique, la surveillance médicale,presque documentaire.
    - la Maman, qui se prépare à quitter sa petite fille, avec tous les problèmes psychologiques (vais-je revenir? j’abandonne ma fille)
    et de la petite fille (Maman préfère l’espace à sa fille).
    Une approche singulière qui fait l’intérêt du film
    gaetan1.arnould
    gaetan1.arnould

    49 abonnés 386 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 novembre 2019
    Alors que la plupart des films traitant des voyages dans l'espace sont loin d'être terre à terre (logique !) et contribuent à l'image quelque peu enjolivée de l'espace, ce film a le mérite de rappeler la difficulté et les conséquences pour devenir astronaute. Et c'est loin d'être une sinécure ! Il faut être à la fois très intelligent, très fort physiquement, très fort mentalement et très fort socialement ( un surhomme ou une surfemme en fait). Après avoir vu ce film, on a d'autant plus de respect pour ceux qui sont à la fois assez forts et assez fous pour être arrivés jusque là. Chaque enfant rêvant de devenir astronaute devrait voir ce film ! S'il n'a pas changé d'avis à la fin, c'est déjà bon signe ...
    bertrand l
    bertrand l

    1 abonné 10 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 novembre 2019
    Vraiment un mauvais film. Il ne se passe rien. Insipide.
    à part la petite fille qui joue son rôle comme elle peut, Eva Green est n'est pas crédible, ni dans son rôle d'astronaute, ni dans son rôle de mère.
    Pauline R.
    Pauline R.

    7 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 novembre 2019
    Un très beau film tout en finesse qui rend hommage aux femmes astronautes qui sont avant tout des mères. C'est émouvant et touchant, très bien dosé. On suit Eva Green avec plaisir dans ce nouveau rôle qui lui va parfaitement. La jeune actrice qui lui fait face est très bien choisie également. Un très bon moment et une superbe découverte !
    Yrieix R.
    Yrieix R.

    4 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 novembre 2019
    Je suis mitigé après ma séance. Eva Green est magnifique, le reste du casting passe bien mais n'arrive pas à la hauteur d'Eva. La bande annonce donne très envie (adorant les films sur les astronautes et l'espace) mais cette relation Mère-fille est trop présente et par moment agaçante. Je n'y suis pas du tout rentré dans le film.
    selenie
    selenie

    6 218 abonnés 6 178 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 novembre 2019
    "Proxima" est avant tout une comédie dramatique familiale dont la trame principale reste la relation mère-fille. La cinéaste s'intéresse moins à la préparation technique qu'aux relations de l'astronaute femme avec ses collègues masculins, elle doit s'imposer comme telle alors que son instinct maternelle ne lui facilite pas la tâche. Idem pour la relation mère-fille, si le personnage principal reste Sarah, jamais on oublie l'angoisse de Stella de perdre sa maman. Par contre, on se demande pourquoi avoir ajouter au drame des petits handicaps à Stella ?! Superflus en tous points (pas un handicap, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué !). Le film est d'une justesse et d'une subtilité rare sur ces sujets (mère-fille, maman au travail). A voir et à conseiller.
    Site : Selenie
    adeleh
    adeleh

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 novembre 2019
    Alice Winocour réussit le pari d’un film ambitieux, dans lequel on découvre une Eva Green méconnaissable et un panel d'acteurs très talentueux de tout horizon.Tout en évitant le cliché, ce film a pour vertu de nous instruire sur cet univers si spécial, celui des astronautes, et notamment sur leur préparation.
    Pourtant, les problématiques rencontrées ici sont bel et bien terrestres : l'éloignement physique et mental de ceux qu'on aime et la difficulté à assumer des choix décisifs. Un film émouvant d'une grande finesse. À ne pas manquer.
    Alarach
    Alarach

    11 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 novembre 2019
    Tout est parfait, la technique, les acteurs....Mais au service d'un scénario décevant. La femme disparaît trop derrière la mère. On ne partage pas assez sa passion.
    Gfa Cro
    Gfa Cro

    52 abonnés 573 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 novembre 2019
    Vu et avis le 20191127

    Fin, délicat, bien fait et en plus interessant.

    Je ne changerais pas une virgule au film, tel quel il me convient tres bien.

    Je ne l ai pas évalué chez d oeuvre car il manque plusieurs choses pour que je le fasse. L envie de le faire (l impression d en avoir vu un, la sensation d exceptionnel - de toucher la grace parfois). Il lui manque aussi l envie pour moi de le voir et revoir mais j y reviendrais. De la profondeur, l impression que le film m apprend quelque chose, qu il a un sujet impérieux, quelque chose d apodictique. Il n a pas non plus d evidence de mise en scene, esthétique, quelque chose de cinématographiquement remarquable et memorable. J en passe peut être mais en gros, il n a pas ce quelque chose en plus qui le rend unique et attachant.

    Et pourtant, j ai beaucoup apprécié le sujet : la preparation a une tres longue separation entre une mere et sa jeune fille. Il y a d autres sujets, mais je pense que c est le plus fondamental du film. En sortant fu film, je me rend compte qu a la vision, finalement, je me suis plus attaché au point de vue de la fille qu a celui de la mere. Je pense que je pourrais donc le revoir pour mieux apprehender cet aspect du film.
    dejihem
    dejihem

    137 abonnés 672 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 novembre 2019
    Après Ad Astra, Gravity et autres Solaris moins récents, voici un nouveau film spatial intimiste.
    Et nettement plus axé sur la partie féminine de l'aventure spatiale.
    L'équilibre est délicat à trouver, entre séquence d'entraînement (filmées de façon très partiate) Et vie de famille. Mais grâce aux interprètes d'exception Eva Green et Zélie Boulant-Lemesle qui trouve toujours le ton juste pour exprimer la peur de la séparation entre une mère et sa fille.
    Un film ample au rythme doux, entre le site de Cologne de L'agence spatiale européenne et le site de lancement de Baïkonour.
    Pas de scènes folles mais c'est très bien comme ça !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 novembre 2019
    Alice Winocour signe un portrait boulversant d'une mère astronaute et de sa fille, mélant l'infinement grand de l'espace aux détails de leur intimité. Loin des clichés hollywoodiens, le film fait de cette mère une héroine des temps modernes. L'un des plus beaux rôles d'Eva Green. A voir de toute urgence.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    685 abonnés 3 006 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 novembre 2019
    Toujours placée au plus près de l’humain, la caméra d’Alice Winocour ne quitte pas une seconde son duo de tête, et là où la déchirure tragique occupe d’ordinaire une scène ou deux aux effets pathétiques fortement appuyés – pensons ici à Interstellar de Christopher Nolan –, elle s’ouvre et se referme dans le silence et sans jamais cicatriser, à l’instar de la blessure à la jambe dont souffre Sarah. Proxima refuse grandiose et grandiloquence pour se resserrer de façon très étroite sur une cellule familiale d’emblée présentée comme fragilisée : la séparation des parents n’a d’égal que l’isolement et le faible niveau en mathématiques de la fille, un niveau d’autant plus insuffisant que père et mère sont ingénieurs et brillants scientifiques. Cette caractérisation tend à isoler chaque membre de la famille tout en affirmant la nécessité d’un lien capable de les réunir : la nécessité d’une présence malgré l’absence. Un dessin, un coquillage, une photo. Tant que ça tient dans une boîte à chaussures, c’est bon. La vitre sépare, tue la spontanéité de l’échange, empêche le contact. On y remédie, on risque gros, par amour. Car l’absent a tous les torts, il est trop loin, il ne partage pas grand-chose de l’intimité de l’enfant qui, lui, a besoin de la présence de ses parents pour se construire. Le regard de la petite fille, suivi de questions à la naïveté déroutante, suffit à montrer du doigt le parent fautif. La langue du père est l’allemand, celle de la mère est le français. On parle anglais un peu partout, russe aussi. Comment s’y retrouver ? Le récit dans son ensemble consiste donc à mettre en scène une douloureuse passation de pouvoir d’une mère qui doit s’absenter à un père jusqu’alors absent et dont l’accomplissement final offre à Stella les ailes dont elle avait besoin pour prendre son envol. Il traduit, du point de vue de l’enfant, un sevrage symbolique doublé d’une renaissance dans les bras de cet autre curieusement familier. C’est le loup pour commencer, puis le cheval. Le totem a changé, la galopade a succédé à la prédation, état d’animosité envers un monde perçu comme hostile. Derrière ces deux animaux a priori anodins se cache, en réalité, l’évolution psychologique et affective de Stella : après l’expérience de la souffrance qui la pousse à rester sur ses gardes vient l’acceptation de la solitude profonde de chaque être. Le chat est sorti de sa cage pour vagabonder dans le domicile, en toute liberté ; Stella quitte la salle de réunion, s’enfuit dans le parc en réalisant ainsi le grand saut qui la retenait plus tôt de retrouver ses jeunes amis muets. Lorsque la fusée décolle et irradie la nuit de son immense réservoir lumineux, le public près de là baisse les yeux, aveuglé par un spectacle infernal ; il faut attendre sa lente disparition hors de l’atmosphère pour enfin discerner une forme, la forme d’une étoile qui monte, monte, monte. C’est la latine Stella, émancipée, qui inscrit son identité parmi les astres. C’est la fille qui sait désormais que sa mère est là-haut et qu’elle veille sur elle ; et qu’il suffit, pour la rejoindre, de regarder les étoiles. Proxima est une œuvre qui touche au cœur, qui réussit à dégager une poésie de la mécanique d’un quotidien marqué par l’entraînement physique et la porosité de la sphère publique avec la sphère privée : la relation qui unit Stella à ses parents sonne juste et bénéficie d’une écriture soignée qui sait attribuer à ses protagonistes les mots adéquats. Si la démarche féministe reste néanmoins un peu trop visible, au point d’alourdir certaines scènes, elle n’affecte en rien la qualité qui se dégage de l’ensemble. On ressort de Proxima avec cette curieuse impression – mais ô combien délectable – de s’être remémoré une vie entière, ou plutôt les moments décisifs dans la construction d’une identité familiale et dans l’affirmation des particularités individuelles. Hymne à la persévérance, le film brosse un magnifique portrait de mère active dont la profession n’empêche pas de donner la vie et d’aimer. Pour l’incarner, une Eva Green impeccable. Pour incarner Stella, une jeune actrice tout aussi formidable : Zélie Boulant-Lemesle. Proxima prouve qu’il y a bien un grand cinéma français contemporain, et qu’il s’écrit dans les marges des grosses productions à la fois insipides et trop visibles.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 27 novembre 2019
    L'intrigue repose essentiellement sur les rapports mère fille plutôt que sur le problème d'une femme astronaute. Si effectivement quelques scènes montrent l'entraînement difficile de ces femmes et de ces hommes lorsque enfin la fusée décolle le film est ...fini.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 27 novembre 2019
    L'idée de scénario, la distribution donnaient envie de découvrir ce film.
    Comment une femme gere-t-elle sa carrière et sa famille? A quels antagonismes est elle confrontée ? Quelles concessions doit elle faire?
    Faire un film centré sur l'espace en ne s'intéressant qu'à ce qui précède le décollage, très bonne idée. Montrer les efforts, la construction de l'équipe, les rapports humains. très bien!
    Les acteurs, Eva, Matt, Zélie et les seconds rôles sont justes.
    Malheureusement la réalisatrice gâche son propos avec une scène surréaliste à la quelle personne ne peut croire. Cela dessert complètement la cause des femmes. Voire cela abonde le discours des machistes,:"voyez même une femme explique qu'une femme est complètement irresponsable. on ne peut pas lui faire confiance".
    Enfin le mari qui rate l'avion avec sa fille avant que la mère n'entre en quarantaine. Qui peut croire cela?
    Dommage vraiment. Cela ternit le film.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 novembre 2019
    Sublime "Proxima" qui nous enveloppe de toute sa finesse, de tout son amour maternel, de sa musique sensorielle, tel que le ferait un cocon de soie.
    Le casting est formidablement intelligent, on est heureux de re-découvrir Eva Green, en français, et le magnifique et profond Matt Dillon, icône du cinéma d'auteur américain et mondial.
    Merci à la réalisatrice de nous proposer un regard si différent et personnel sur des thèmes qui attendaient un changement de cap si impatiemment.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top