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    Proxima
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    Charles P.
    Charles P.

    11 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 décembre 2019
    Bon jeu d'acteur. Thème profond et intelligent, ça fait du bien
    _____________________________________
    eliacam
    eliacam

    20 abonnés 202 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 décembre 2019
    Attention ceci ressemble à un film de science fiction mais n'en est pas un du tout ! Il s'agit d'un film sur la passion d'une jeune femme astronaute et de ce que cela veut dire pour sa petite fille à qui elle doit annoncer qu'elle va la quitter pour une année entière passée en orbite autour de la terre ... pas sûr qu'un enfant puisse comprendre cela, pas sût que je le comprenne non plus ... quand on vit une passion aussi dévorante, aussi extrême, aussi dangereuse, peut on y mêler d'autres personnes a fortiori ses enfants ?
    CinÉmotion
    CinÉmotion

    175 abonnés 223 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 décembre 2019
    Très beau film. Il ne faut pas s'attendre à un film sur l'espace avec pléthore d'effets spéciaux. Non, les seuls effets spéciaux sont les effets dégagés par ce magnifique scénario, cette histoire forte sur la relation mère-fille. La jeune actrice Zélie Boulant-Lemesle y est incroyable de justesse et Eva Green bouleversante. On vit littéralement cette comparaison de l'éloignement de la terre avec l'éloignement de sa famille et sa fille. Quitter ce que l'on connait pour un univers si vaste et imprévisible. Quitter ce qu'il y a de plus cher pour soi avec ce risque de le perdre à jamais. Le jeu est toujours juste et le rythme lent du film ne fait qu'appuyer l'émotion qui se dégage. Sentir cette peur maternelle à mesure que le départ se rapproche. Puis cette scène de spoiler: la quarantaine où une vitre sépare littéralement l'amour et l'affection mère-fille rendue abstraite.
    Il y a juste la scène qui suit qui me parait peu crédible, le fait que spoiler: la mère puisse s'échapper du centre de préparation et quarantaine de cette façon pour rejoindre sa fille à l'hôtel et tenir la promesse à laquelle elle s'était engagée,
    sans qu'elle se fasse voir, sans caméras de surveillance, en brisant clairement le protocole de sécurité et sanitaire. Le film présente aussi le combat des femmes pour intégrer ce milieu qui se veut très masculin, les femmes ne représentant que 10% des astronautes aujourd'hui. A ce titre, j'aurai apprécié que le personnage de Mike Shanon, l'un des autres astronautes partant en mission avec elle, et qui a quelques répliques sexistes, puisse finalement lui aussi être montré comme ému et touché de l'éloignement de ses enfants à la fin, simplement pour ne pas signifier que l'amour maternelle serait la faiblesse des femmes, et difficile uniquement pour les femmes ce qui tend à renforcer la discrimination envers elle dans ce milieu. Malgré tout le film est sublime et fort. Le courage et la force maternelle/féminine une fois de plus prouvé et démontré et joué admirablement bien par Eva green. Sympas aussi de voir la participation de l'excellent Thomas Pesquet au projet.
    Tom C
    Tom C

    4 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 décembre 2019
    Vraiment trop bien, la seule chose qui m'empêche de mettre 5 étoiles est la scène de la quarantaine, qui casse un peu le réalisme du film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 2 décembre 2019
    Les films de la réalisatrice Alice Winocour sont assez rares, le dernier remontait à 2012, elle est le plus souvent scénariste, on se souvient avec délectation du film franco-turc « Mustang », lequel avait raflé une dizaine de Prix, de Cannes aux César et ailleurs. Aujourd’hui est sorti en salles, son dernier film en tant que réalisatrice, « Proxima » comme la planète du Centaure, la plus proche de chez nous en dehors du système solaire, à quand même un peu plus de 4 années lumière. Belle balade à faire !

    « Proxima », c’est un très bel hommage aux femmes cosmonautes. J’emploie le terme russe parce que seuls les russes envoient aujourd’hui des êtres humains dans l’espace à bord des Soyouz, et parce qu’une grande partie du récit se déroule à Baïkonour, au Kazakhstan,

    Sarah, magnifiquement interprétée par Eva Green, rêve depuis son enfance de voler dans l’espace. On la retrouve en plein entraînement à Cologne, au Centre spatial européen. Elle a une fille, Stella, environ 8 ans, est séparée de son compagnon, bien que ce dernier vive aussi au Centre spatial. Sélectionnée pour partir dans le prochain vol vers la station orbitale, puis vers Mars, elle quitte sa fille pour un séjour, d’abord à la Cité des Etoiles, puis à Baïkonour. Séparation pas simple du tout entre la fille et la mère, remarquablement décrite par Winotour. La réalisatrice propose deux histoires parallèles, celle de la mère en Russie, celle de la fille en Allemagne, histoires qui se rejoignent parfois quand Stella va rejoindre sa mère.

    On est plongé en plein cœur de l’entraînement des cosmonautes, sorte de documentaire, manifestement les russes ont ouvert en grand leur centre spatial à la réalisatrice. On découvre que ces hommes et ces femmes ne sont que des êtres humains, en aucun cas des surhommes (ou surfemmes), chacun pouvant avoir des moments de faiblesse, quelque blessure, mais à la fin, on part. Le final est somptueux : d’abord, lorsque les 3 cosmonautes arrivent devant la fusée, la caméra devient l’œil de Sarah sous son scaphandre, le pope est là pour bénir (c’est toujours ainsi à Baïkonour), puis le départ avec les caméras de Winotour, placées sous la fusée nous offrent un spectacle son et lumières absolument fabuleux.

    Petit reproche : on aurait pu se passer de l’extravagante escapade de Sarah et de sa fille, la veille du départ, en pleine nature. C’est totalement irréaliste ! Même si cela règle une fois pour toutes les problèmes de la fille qui ne verra plus sa mère pendant un an, Stella repartant en Allemagne avec son père, le cœur apaisé.

    Et ne manquez pas le générique final avec les photos de toutes ces femmes qui depuis Terechkina en 1963, ont volé dans l’espace. Il y en a plus qu’on ne croit. La française Claudie Haigneré en fait partie.
    Yves G.
    Yves G.

    1 455 abonnés 3 482 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 décembre 2019
    Le rêve de Sarah Loreau est sur le point de se réaliser. cette brillante astronaute a été retenue pour participer à la prochaine mission internationale Soyouz vers la Station spatiale internationale (ISS) en orbite autour de la Terre. Objectif : préparer la conquête de Mars.
    Sarah, qui travaille à Cologne, à l'Agence spatiale européenne (ESA) va devoir quitter sa fille unique pour se préparer. D'abord à la Cité des étoiles près de Moscou puis à Baïkonour sur le pas de lancement. Même si elle est séparée, elle peut compter sur Thoma, le père de Stella, pour prendre soin d'elle.

    Depuis quelques années, suite peut-être au succès de "Gravity" et d'"Interstellar", la conquête spatiale redevient à la mode. Mais elle n'est pas traitée sur le mode épique des décennies passées façon "L'Étoffe des Héros" ou "Appolo 11". Le genre est plutôt le prétexte à une introspection métaphysique - comme l'était déjà en son temps le génial "2001". C'est le cas du très raté "High Life" comme des très réussis "Ad Astra" ou "Premier contact".

    "Proxima" explore le même filon, sur un mode quasi-documentaire. On y suit le parcours d'obstacles que doit franchir un astronaute avant son départ. Et l'épreuve est d'autant plus éprouvante que c'est une femme qui la subit, en proie non seulement à la dureté objective d'un programme épuisant, mais aussi au machisme ambiant - incarné ici par Matt Dillon. Le film du coup se teinte de féminisme.

    Mais le vrai sujet du film est, comme l'annonce son affiche, dans la relation mère-fille. Le plus dire pour Sarah Loreau ne sera pas en effet de s'arracher à l'attraction terrestre, mais de couper le cordon ombilical qui l'unit à son enfant. Le dilemme est cruel qui l'oblige à choisir entre vivre l'accomplissement de sa carrière professionnelle et abandonner pendant une longue année sa fille.

    Le dilemme est sans doute poignant quoique - et j'écris la phrase qui suit en tremblant de me faire arracher les yeux par mes lectrices et par la moitié de mes lecteurs - il le soit sans doute plus pour une mère que pour un père. Mais plus grave, il ne fonctionne pas ; car, pas l'ombre d'un instant on ne doute de la détermination de la froide astronaute à aller au bout de sa mission.

    "Proxima" ne décolle pas. Il ne quitte pas la surface de la Terre pas plus qu'il ne suscite de vraie émotion.
    tupper
    tupper

    132 abonnés 1 378 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 décembre 2019
    Eva Green est sensationnelle dans ce rôle de mère déchirée entre son amour pour sa fille et son rêve d’espace remontent à l’enfance. L'aspect documentaire sur la préparation des astronautes est très bien traitée mais secondaire. Le vrai fond, au travers de ce destin exceptionnel, c’est bien de traiter de la place, dans notre société, des mères célibataires, indépendantes et ambitieuses. Et ce film, grâce à sa réalisatrice, le fait avec talent.
    Ufuk K
    Ufuk K

    516 abonnés 1 473 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 décembre 2019
    " proximia" qui a faillit représenter la France au oscar l'année prochaine est un drame féministe touchant. En effet même si le sujet du film n'a rien de transcendant, Eva Green porte à elle toute seule le film dans son quotidien difficile astronaute tiraillé entre sa passion et l'amour pour sa fille offrant de beaux moments émotions et visuelle.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 1 décembre 2019
    Quelle déception ! Aucun sous titre alors que tout au long du film les antagonistes parlent russe, allemand ou anglais . Pour un film français bravo !
    Ne parlons pas de l’histoire qui ne nous a vraiment pas transporté.
    Imparfaite99
    Imparfaite99

    60 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 décembre 2019
    L'idée du scénario ainsi que la bande-annonce m'avaient donné envie de voir ce film. Je l'attendais avec beaucoup d'impatience !
    Quelle grosse déception... c'est long, ennuyeux, beaucoup trop de bla-bla pour pas grand chose. Je prenais mon mal en patience durant le film. Quand LA scène complètement incohérente, à laquelle personne ne croit, vient discréditer totalement tout le film
    Eva Green reste par ailleurs très agréable à regarder. Ça ne suffit pas pour sauver un film...

    (((!!!! SPOILER !!!! LA scène: l'astronaute décide de "faire le mur", de s'échapper du lieu de la mise en quarantaine, pour honorer une promesse qu'elle avait faite à sa fille. Arrivé à la veille du grand départ dans l'espace, le moment de toute une vie donc, une personne hautement qualifiée telle un(e) astronaute, peut-elle commettre une telle bourde???)))
    Yoh R.
    Yoh R.

    4 abonnés 100 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 décembre 2019
    Si le pitch était intéressant, le film m'a plutôt déçu, se révélant plus un drame qu'un film de science-fiction...si le voyage vers Mars en est le point de départ, il n'est absolument pas question de tout cela durant tout le film, celui-ci préférant se concentrer sur les préparatifs et le dilemme qui paralyse le personnage joué par Eva Green. Celle-ci se révèle d'ailleurs très bonne en mère partagée entre sa passion et son amour pour sa fille. Les questionnements, la culpabilité sont très bien retransmis par l'actrice, qui porte à elle seule le film. Heureusement, car le rythme est lancinant, pouvant perdre certains spectateurs.
    Un drame français plutôt décevant et absolument pas un film de science-fiction. A voir mais vite oublié.
    Delph I
    Delph I

    131 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 décembre 2019
    Un film d'une grande sensibilité sur la relation mère/ fille et la difficulté d'être une femme et une mère dans un milieu professionnel particulièrement masculin. Partir un an dans l'espace n'est pas chose facile pour un homme même s'il s'agit du rêve d'une vie.... alors cela se complique lorsqu'il s'agit d'une mère célibataire qui doit organiser son départ et lutter contre la culpabilité permanente "d'abandonner" son enfant.
    tonton29
    tonton29

    23 abonnés 294 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 décembre 2019
    Qu'est-ce qu'être parent ? Tout sacrifier pour ses enfants ? Les couvrir d'Amour, de baisers ? Être toujours présent pour eux ? S'oublier pour eux ? Ou penser à soi et les laisser grandir ? Leur apprendre que la Vie est faite de rires et tristesses, de pertes et découvertes, de séparations et retrouvailles ? De peurs et de joies ? De caprices et de surprises ? Comme le dit Matt Dillon "il n'existe pas d'astronaute parfait, pas plus que de mère (parents) parfait(e)s. On suit alors une spationaute, mère séparée, dont le rêve d'enfance est sur le point de se concrétiser avec son lot de travail acharné et de doutes existentiels (partir pour son accomplissement personnel qu'elle pense "égoïste") Comme le cordon ombilical qui relie la fusée jusqu'au décollage, l'aventure de la Vie est de couper ce cordon pour prendre son envol et équilibrer ses sentiments. On sent les craintes et envies, la fatigue, les envies, les frustrations jusqu'à la compréhension que tout le monde ressort grandit des situations difficiles. On sent le dilemme de la mère entre ambition personnelle (la réalisation se soi) et son envie de partage. De même chez sa fille, capricieuse à vouloir garder sa mère pour elle et le refus du changement initial, jusqu'à l'acceptation de grandir et s'ouvrir aux autres, même des gens "différents" mais qui sont ouverts au Monde . . . Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort. Et ceux pour qui "loin des yeux loin du Coeur" est la devise, c'est qu'ils n'ont pas appris à laisser partir pour mieux apprécier les retours ! Laisser les autres s'accomplir en les accompagnants est un grand satisfecit personnel pour qui sait donner et recevoir. Quand une mère se montre forte, courageuse, aimante malgré les difficultés, ses enfants le ressentent et en ressortent plus forts également. Et film français mais pleinement international avec un casting respectant les nationalités, on parle français, anglais, allemand, russe.
    Marc Mhr
    Marc Mhr

    2 abonnés 1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 décembre 2019
    Je me suis ennuyé, c'est un film basé sur les relations mere fille, le lot commun de beacoups de parents qui doivent élever leur enfants et mener en même temps leur vie professionnel, payer pour voir ce genre de banalité sur fond de conquête de l'espace BOFFFFF
    Olivia W.
    Olivia W.

    6 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 décembre 2019
    C'est très rare que je m'ennuie devant un film mais là, aucun intérêt, je ne comprends absolument pas le but du film, aucun rebondissement !!!!
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