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    Proxima
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    moket
    moket

    523 abonnés 4 326 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 août 2020
    Le film décrit avec une précision quasi documentaire l'envers du décor du monde de l'astrophysique, mais la conquête spatiale est presque anecdotique ici, au profit des atermoiements de l'excellente Eva Green, tiraillée entre sa fille et sa carrière. L'actrice est formidable mais le film manque un peu d'envergure et reste trop terre à terre...
    Hotinhere
    Hotinhere

    547 abonnés 4 954 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 septembre 2020
    Une femme déchirée entre sa passion d'astronaute s'apprêtant à partir un an dans l'espace, et celle de sa fille. Un film sensible qui a la précision d'un documentaire mais un peu mou, malgré la prestation impeccable d'Eva Green.
    maxime ...
    maxime ...

    237 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 mai 2023
    Le Proxima d'Alice Winocour tiens d'une étrangeté, proche et si lointaine d'Augustine, motivation principale de mes envies de découvertes. Après un premier long métrage aussi fort et prenant, cette réalisatrice parviens à s'infiltré dans une autre sphère, un autre cocon et en extrait une source ou le hors du commun est affaire de norme ...

    Dès le départ, on commence par une forme d'exo. Physique et psychologique. Il ne faut pas chercher bien loin pour comprendre qu'ici, le rôle, sera l'un des objets d'expertises, une loupe sur un présent et un avenir. Une femme, qui dans l'exigence de ses obligations, jongle entre pro et perso, dans une conjugaison à double sens, dans la proximité et la distance. Franchement, le film parait froid, austère parfois, mais une fois quitté, on comprend ... On ressent !

    J'ai aimé le mélange des langues qui d'emblées fait le lien de la parabole commune, entre concurrence et partage. L'organisation / planification de la quête se ressert dans cette communion étrange fait de rivalité et d'adversité, aux travers d'une union encore une fois qui se calque sur une drôle de mécanique, qui passe à la moulinette ces routines peu communes. Se préparer à la séparation et la mission à venir, avec les sacrifices évidents, comme pour d'autres un peu moins.

    Le fait d'être une femme, dans ce milieu, principalement masculin, avec les préjugées et moqueries de " bonne " camaraderie considère avec une vision télescopique le rapport de force qui s'instaure et l'épreuve nettement plus délicate pour Sarah, ce personnage pour lequel on obtiens une sympathie à la fois soudaine et renversante. Elle, qui doit endurer le choc, sans rien montrer, être encore plus robuste que ses congénères, jugé plus durement à la moindre entrave à ce code de marche forcée. Qui sourit devant, qui vomit en cachette ... Mise sur le banc pour un retard, remplacée pour une faiblesse, une fatigue, incomprise car difficile de cacher ses émotions dans une telle condition. Elle qui gère touts, ou presque. Qui plus est, pas très fan des protocoles par dessus le marché !

    La relation mère - fille est d'ailleurs son épicentre. C'es par passent ses instants les plus renversants. Dans une piscine, ou derrière une vitre, en pleine présence, ou dans une absence, Proxima raconte dans les yeux de l'une et de l'autre la tendresse qu'elles éprouvent. Cette femme, cette mère, qui mène sa carrière, sa vie comme elle l'entend, à sa guise, bouleverse et transperce les murs. Sans grosse louche, au contraire, dans une finesse assez folle ...

    La quarantaine, et sa demi-fuite pour voir la fusée avec cette compagnie si recherchée en est la plus belle des preuves. Un moment d'on l'image và me rester ! L'allumage et le décollage, dans les yeux fiers et tristes des entourages aussi.

    L'hommage final d'Alice Winocour pour ses femmes astronautes est à prendre avec une considération en pointillé, comme une marge, prenant de la place, un modèle du genre. A l'image de sa mise en scène, fluide, discrète et original, rationnelle, pertinente, intense dont l'étincelle prévaut tous les brasiers ... J'aimerai finir comme çà, mais j'oublie un point, crucial qui plus est ... Son actrice titre !

    Touts les comédien.e.s sont superbes, vraiment très bien, mais j'insiste sur Eva Green, qui trouve là une place pour une facette nouvelle. Elle m'a captivé, touché et ému, de A à Z. Voilà comment je termine cette critique d'un film qui sans m'emballer complètement m'a eu, dans un tour de force royal.
    Clémentine K.
    Clémentine K.

    191 abonnés 1 429 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 décembre 2019
    Un film dont l'intrigue, même si elle rappelle de grands films hollywoodiens, reste simple et très intéressante. Un aspect de la vie des astronautes féminines qui est bon de rappeler.
    Chris58640
    Chris58640

    208 abonnés 757 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 décembre 2019
    Alice Wincotour propose, avec « Proxima », un long métrage de fiction à la limite du documentaire. Pour son film, elle a eu l’autorisation de filmer à la Cité des Etoiles et à Baïkonour, ce qui est sans doute très rare, voire inédit, pour le cinéma. Son long métrage, qui dure deux heures, montre par le menu toute la préparation physique, technique, mais aussi mentale, même si sur ce dernier point le film aurait pu en montrer davantage. Elle à mis son actrice Eva Green en condition en lui faisant subir en vrai toutes les épreuves des futurs spationautes, à l’exception toutefois de la centrifugeuse (apparemment, même un acteur ultra motivé ne peut subir la centrifugeuse). En utilisant la musique au minimum (ce qui est un peu dommage quand on a la chance d’avoir Ryuichi Sakamoto aux commandes), en alternant la vie de Stella en Allemagne avec celle de sa mère en Russie, en n’ayant pas peur des gros plans, des scènes un peu contemplatives, un peu silencieuses, Alice Wincotour veut clairement privilégier l’expérience humaine par rapport à l’expérience technique. Son film n’est pas très glamour, c’est sur, pas de scènes d’anthologie, pas d’effets spéciaux, une photographie volontairement sombre, presque éteinte, tout concoure à faire de « Proxima » le film spatial le moins spatial de l’histoire du cinéma ! Il est peut être un tout petit peu trop long, il y a quelques scènes qui tirent peut-être un petit peu en longueur, mais dans l’ensemble « Proxima » fonctionne bien, on ne s’ennuis pas, et on se prend même à voir arriver le décollage vers l’ISS avec une certaine tension mêlée d’impatience, comme Sarah. Sans vouloir déconsidérer les seconds rôles tenus par Matt Dillon ou encore Lars Eidinger, le film tourne essentiellement autour du couple mère-fille Eva Green-Zélie Boulant-Lemesle. Eva Green est tout à fait crédible en femme passionnée, qui voit enfin arriver le rêve de toute une vie de travail mais qui vacille devant la perspective de la séparation d’avec sa fille de 8 ans. Eva Green a été physiquement courageuse avec le rôle de Sarah, mais émotionnellement ce n’était surement pas évident de faire passer à l’écran ce déchirement silencieux. Quant à la petite Zélie, elle incarne une petite fille presque fusionnelle avec sa maman (divorcée) et qui cache mal son angoisse de voir partir sa mère si loin, si longtemps. 12 mois, à l’échelle d’une vie, ce n’est pas grand-chose. Mais quand on a que 8 ans, 12 mois, c’est colossal ! Le couple mère-fille, immédiatement crédible et attachant, est le véritable socle du film. Le scénario a beau montrer par le menu la préparation herculéenne de ces héros des temps modernes que sont les astronautes-cosmonautes-spationautes (respectivement américains, russes et européens) , il a beau faire une petite place à Thomas Pesquet, qui dans son propre rôle participe à un briefing, il a beau expliquer les protocoles et tout ce qui prépare aux lancements des fusées, le vrai sujet du film n’est pas là. Comment partir si loin, pour des missions si longues et si importantes en laissant sur Terre ceux qu’on aime ? D’une manière très différente, c’était plus ou moins le sujet du film « Ad Astra » sorti il y a quelques semaines : le grand défi de l’aventure spatial n’est pas juste technologique, il est dans la tête ! S’éloigner des siens, perdre de vue la Terre, l’esprit humain se prépare à ce défi inhumain. En choisissant de mettre en scène une mère de famille, on pourrait croire d’emblée que « Proxima » cherche à monter que c’est plus difficile pour une femme que pour un homme. Cette impression m’a été désagréable au début du film, spoiler: et j’ai même crains un moment que le scénario ne nous fasse un mauvais plan, comme « Finalement, je ne pars pas, c’est trop dur pour ma fille ! ». Il faut dire que Sarah doit gérer des problèmes supplémentaires que les hommes ne gèrent pas, dont le plus désagréable : le machisme. Etrangement d’ailleurs, il a l’air plus présent chez l’américain que chez le russe, alors que la société russe n’est pas forcément un modèle sur ce plan là. Mais le film ne dérape pas, puisque Sarah s’accroche et s’impose cette séparation, va au bout de son rêve, ne se sacrifie pas pour sa progéniture, elle s’accomplit en tant que spationautes et en tant que mère. Dans le générique de fin, Alice Wincotour montre que dans l’histoire de la conquête spatiale, les femmes ont pris leur place et on été mères en même temps : l’accomplissement féminin passe aussi par l’accomplissement de soi. C’est difficile, Sarah en souffre, sa fille en souffre, mais elle va au bout. J’aime bien le message du film, c’est féministe, mais sans les gros sabots qu’on aurait pu craindre.
    Reste que « Proxima » n’est pas franchement un film grand public, je ne suis pas sure que tous ceux qui aiment les films sur la conquête spatiale y trouve leur compte puisque le film s’arrête au moment où le plus passionnant commence, le décollage. Mais j’ai bien aimé ce film si bien documenté qui, en plus de rendre hommage aux femmes de la conquête spatiale, rend aussi hommage à tous ces nouveaux explorateurs dont on sous-estime malheureusement aujourd’hui le courage et le sens du sacrifice.
    S-Kayp
    S-Kayp

    151 abonnés 1 220 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 septembre 2020
    Si le scénario est bien, le film manque de rythme et il y a trop de "bla bla". C'est bien de voir l'entrainement des astronautes avant leur départ pour l'espace, de voir comment c'est difficile pour une mère astronaute de devoir se séparer pendant une longue période de son enfant, mais je pense que ce film aurait été meilleur si il avait été tourné façon documentaire qui suit une mère astronaute qui va partir dans l'espace. Et il aurait été bien de voir aussi la mère astronaute dans l'espace et donc de voir aussi ses émotions dans l'espace.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 622 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 octobre 2021
    Une jeune femme française est à quelques semaines d’atteindre son objectif, plus que çà, son rêve d’enfant, devenir spationaute et partir 1 an dans l’espace. On comprend vite que le sujet n’est pas la conquête spatiale, mais bien la difficile séparation d’une mère et de son enfant. En plus d’une préparation physique hors norme, cette mère doit affronter un autre défi d’envergure qui pourrait remettre en question son rêve de toujours. Eva Green nous confronte à cette fragilité supplémentaire qu’une femme doit gérer pour aller au bout du défi. En face d’elle, Zélie Boulan-Lemesle joue une petite fille très touchante à chaque regard. Alice Winocour offre un scénario d’une grande solidité et intelligence, cette histoire se prêtait au pathos, aux larmes et à un happy end. Elle ne tombe dans aucun de ces pièges et fait preuve de subtilité de bout en bout jusqu’à la séquence finale donnant les clés d’un au revoir réussi et apaisé. Elle montre aussi bien un père reprenant sa place et surtout les ressources dont peuvent faire preuve les enfants. Plusieurs petites vignettes témoignent d’une séparation dont la fillette est actrice à 100%, elle se repositionne, recalibre ses relations, œuvre inconsciemment à cette séparation.
    Un très joli film sur un thème peu exploité.
    tout-un-cinema.blogspot.com
    ninilechat
    ninilechat

    71 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 novembre 2019
           Pari presque réussi que de marier un documentaire sur la préparation des spationautes à la Cité des Etoiles et une histoire de mère, une histoire de femme filmée par une femme hyper douée: Alice Winocour (Maryland, Mustang, Augustine...)

           Sarah est choisie pour participer à une mission dans la station spatiale. C'est le rêve de sa vie, l'aboutissement de tous ses désirs d'enfants. On redécouvre Eva Green, débarrassée de son maquillage charbonneux de sorcière en rut.... on s'aperçoit qu'elle a finalement un visage quelconque, mais tellement plein de charme! Et que c'est une excellente actrice, une fois les oripeaux de sex-symbol retirés.....

           Mais voilà, Sarah a une petite fille d'une dizaine d'années, Stella, (la talentueuse petite Zélie Boulant-Lemesle), qu'il va falloir confier pour plusieurs mois au papa dont elle est séparée, un bon gros nounours allemand, astrophysicien qui travaille lui même pour l'agence spatiale européenne (Lars Eidinger). Et mère et fille sont tellement fusionnelles....

           On suit donc Sarah dans sa préparation (Thomas Pesquet a supervisé, alors ça doit être réaliste) avec ses deux camarades de mission, l'expérimenté Anton (Alexei Fateev) et le bon macho américain, Mike (Matt Dillon) pas trop ravi de coopérer avec une nana.... Et de fait, Sarah a souvent la tête ailleurs. Et c'est en cela que je reste partagée. Un peu trop mère, pas tout à fait assez pro, l'avant dernière scène frôle le grotesque.

           Le générique de fin nous donne à voir toutes ces spationautes qui ont été en même temps des mères, parfois de trois enfants.... il y en a bien plus qu'on ne le pensait! Dont notre Claudie Haigneré nationale, mais je me demande si elle n'a pas eu son bébé après la fin de ses missions.

           Musique de Ryuichi Sakamoto....
    Philippe C
    Philippe C

    97 abonnés 1 050 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 janvier 2024
    un film qui illustre la difficulté d'êtes à la fois femme mère de famille et exercer des activités spécifiques, ici astronaute.
    Le problème est bien traité, illustré avec des images réalistes des conditions d'entrainement des astronautes, sans fioriture ni complaisance, tout en soulignant la souffrance de la séparation mère-fille et le jeu ambigu parfois d l a fillette.
    Mais au final, c'est certes sérieux, mais ça manque un peu de souffle, de surprise, de rêve
    shindu77
    shindu77

    91 abonnés 1 605 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 août 2020
    C'est un bon film. Une actrice principale, Eva Green, très convaincant dans son rôle. L'enfant qui joue le rôle de sa fille est très intéressante elle aussi. Les deux formes une certaine alchimie qui rend le film crédible et donc de qualité. La mise en scène est efficace à défaut d'originalité et le reste du casting tient bien la route.
    mazou31
    mazou31

    94 abonnés 1 281 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mars 2021
    Un sacré beau film, intelligent, sensible et sacrément original Voilà qui nous change des super productions américaines interlgalactiques, sidérales et bien peu sidérantes ! Il n’y a pas George Clooney, il n’y a pas Brad Pitt, mais avec Eva Green et sa petite partenaire, Zélie Boulant, elles nous font oublier la grosse frime ennuyeuse ! On est chez les astronautes – et c’est sacrément bien documenté - mais on est aussi dans la profondeur de la relation mère-enfant et dans le roman d’héroîsme de tou(te)s ces cosmonautes qui ont une famille et qui ne reviendront peut-être pas d’un pays hors de notre monde. Richesse des personnages, même s’ils sont très « technos », interprétations admirables tout en finesse, histoire intimiste qui arrive à créer du suspense ! Et aux regards de la jeune Zélie Boulant, on peut penser que l’on assiste à l’éclosion d’une star ! Un film qui a fait peu de bruit mais auquel on peut attribuer plein…  d’étoiles !.
    ATON2512
    ATON2512

    58 abonnés 1 124 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 janvier 2024
    De Alice Winocour-2019-
    Entre film et documentaire. Le film déploie une somme de données sur la préparation d'un vol spatial. En ce sens le film est une réussite. Pour autant on s'ennui très vite ! Il y avait certainement beaucoup de thèmes à aborder comme le risque de ne pas revenir, le danger d'une telle mission, la peur de ne pas revoir sa mère ou femme .. Mais cela ne décolle pas et la chronique de cette vie familiale est souvent plate et vide . Bref on attend la fi du film !
    Avec Eva Green, Zélie Boulant-Lemesle, Matt Dillon
    petitlapinnoir
    petitlapinnoir

    60 abonnés 318 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 janvier 2024
    Un sacré portrait de femme, porté encore une fois de manière magistrale, par une actrice que j'adore : Eva Green. Sur fond de conquête spatiale, et réalisé en partie à Baïkonour (!), on se prend petit à petit à aimer cette relation mère / fille, condamnée à être séparée par l'espace intersidérale. C'est un grand moment d'émotion, de voir cette fusée partir dans les étoiles, à la fin du film. Je ne peux m'empêcher aussi, de mettre une mention spéciale à Ryuchi Sakamoto, dont certaines musiques, nous transposent... au delà de l'infini.
    gooneur
    gooneur

    47 abonnés 840 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 avril 2021
    Une chronique intimiste sur l'entraînement et les sacrifices personnels des astronautes portée par la performance d'Eva Green et quelques beaux moments. Un peu plat sur la forme malgré tout, et une séquence irréaliste sur la fin qui gâche un peu la vraisemblance générale.
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    63 abonnés 771 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 mars 2022
    L'aspect documentaire de l'entrainement et la préparation des cosmonautes à Baikonour est une première et nous ouvre les portes d'un monde clos. Des mamans qui ont volé dans l'espace, il y en a eu, le film les rappelle dans le générique de fin. On reste donc dans la description et le reportage. Comment faire une fiction à partir de données aussi factuelles: à partir de là, on ne risque pas d'être happé par le fait que la petite fille soit triste de voir partir sa mère, et la fiction que l'on attendait a du mal à décoller. Le scénario reste ténu, et les acteurs, pourtant réputés, manquent d'inspiration en conséquence. Marginalement, on se pose des questions sur la crédibilité de certaines scènes - pénétrer aussi facilement en fraude dans la bas spatiale russe!! . L'espace mérite autre chose de plus grandiose, voire mythologique ou philosophique, et le cinéma nous la déjà donné bien avant Proxima.
    DVD mars 22
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