AlloCiné
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Votre avis sur Un Homme Pressé ?
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Malgré un scénario manquant de subtilité, le jeu pour une fois sobre et sans outrance finit par rendre ce film regardable, voire presque attachant. La rédemption par la marche et la sueur de ce grand "patron" diminué, qui s'est humanisé, est toutefois assez peu convaincante. Je n'étais pas trop exigeant ce soir là.
Le style Fabrice Luchini ne sied pas à ce film traitant de ce très beau et profond sujet si poignant à notre époque. Je ne suis pas arrivé un instant à croire à cette séquelle d'AVC qui fait parler verlan seulement quand cela peut donner lieu à des gags, alors que parfois plusieurs phrases sont alignées sans erreur..... c'est trop "grossier", ça manque de subtilité et de sensibilité, ça finit par être gonflant. De plus voulant sûrement être sobre, Luchini est en fait fade. Si le but est une comédie c'est raté, par défaut... et si le but est un film sérieux c'est raté aussi, par excès.
De l'émotion, la musique,père et fille, Luchini, l'homme et le chien ,la fidélité. c'est simple ,c'est beau .les yeux embués de larmes ,
encore un Fabrice Luchini qui joue la carte de l'excellence !
Merci le cinéma Français !
encore un Fabrice Luchini qui joue la carte de l'excellence !
Merci le cinéma Français !
Alain D.
Pas de temps mort dans cette Comédie drôle et tendre, scénarisée et mise en scène par Hervé Mimran. Son scénario, pourtant grave, nous offre une histoire d'une grande intensité émotionnelle. Une histoire très réaliste, avec un joli coté social, menée avec une grande fluidité.
Ce film démontre d'autres qualités : des "Liadogues" subtils, un montage très efficace, une BO riche et bien placée et une belle photographie.
Outre la prestation grandiose, comme à l’habitude, de Fabrice Luchini, le casting nous propose également des rôles secondaires de bonne facture avec la présence de Leïla Bekhti et de Rebecca Marder qui joue la fille de l'homme pressé.
Ce film démontre d'autres qualités : des "Liadogues" subtils, un montage très efficace, une BO riche et bien placée et une belle photographie.
Outre la prestation grandiose, comme à l’habitude, de Fabrice Luchini, le casting nous propose également des rôles secondaires de bonne facture avec la présence de Leïla Bekhti et de Rebecca Marder qui joue la fille de l'homme pressé.
excellent !!!!!!!!!!😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍
je recommande !!!!!!!!!!!!!!!😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍
je recommande !!!!!!!!!!!!!!!😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍😍
Une bonne idée à côté de laquelle passe le réalisateur. Le procédé comique répété à l’envi finit par irriter. Le monde des affaires et le milieu médical sont très mal restitués. La relation malade /orthophoniste est peu crédible, tout comme la relation père/fille.
Un très beau film. Luchini , Bekgti , Marder , Gotesman et tous les autres acteurs sont excellents .
Émouvant, drôle, sensible.
Émouvant, drôle, sensible.
FaRem
Premier film en solo pour Hervé Mimran qui retrouve Leïla Bekhti après l'avoir dirigée avec Géraldine Nakache dans "Tout ce qui brille" et "Nous York". Pour cette première, il adapte le livre de Christian Streiff, PDG du groupe Peugeot Citroën qui après avoir fait un AVC a dû tout réapprendre ou presque pour reprendre une vie normale. Pour incarner un homme éloquent qui perd sa plus grande qualité, il ne pouvait y avoir personne d'autre que Fabrice Luchini. L'acteur, même s'il efface son personnage, est excellent dans ce rôle. Peu importe les facettes de son personnage, l'acteur est convaincant que ce soit au début lors qu'il doit faire de grands discours ou ensuite quand il doit jouer avec les mots. L'adaptation de cette histoire vraie est romancée et un peu trop d'ailleurs. Si tout ce qui touche le personnage d'Alain Wapler offre de jolis moments de renaissance et de rédemption, il y a un peu trop de choses inutiles à côté. Le lien avec Jeanne est sous-développé, la relation avec sa fille n'est pas assez exploitée tandis que la naissance de la relation entre Jeanne et Vincent est inutile. Le récit se disperse un peu trop souvent à trop vouloir toucher à tout. Malgré ça l'équilibre entre comédie et drame est plutôt bien trouvé même si l'histoire aurait dû être davantage centrée sur l'essentiel. Le réalisateur s'amuse des problèmes de dictions d'Alain qui confond les mots et parle de façon sérieuse de cette rédemption avec cet homme qui s'intéresse enfin aux autres. Il n'y a pas vraiment de surprise, mais c'est un sympathique petit film qui doit beaucoup à Fabrice Luchini.
un très bon film , magistralement interprété par fabrice luchini, et extrêmement bien épaulé par tout les autres acteurs. On y crois, on rentre facilement dans cette histoire pleine de charme et d'humour à petite touche. Juste ce qu'il faut ! bravo
Superbement joué par un Luchini qu'on a la surprise de découvrir autrement. Lui si éloquent, grandiloquent même, est littéralement piégé dans les problèmes d'expression de son personnage.
Quant à Leïla Bekhti, au contraire elle ne nous surprend pas... puisqu'elle est toujours aussi efficace dans la séduction du spectateur.
Oui, bien sûr, on se doute bien de la tournure des choses et ce, dès la synopsis. Mais le seul risque que vous prendriez en matant ce film, c'est qu'il vous rende la larme facile. Et le rire aussi...
Quant à Leïla Bekhti, au contraire elle ne nous surprend pas... puisqu'elle est toujours aussi efficace dans la séduction du spectateur.
Oui, bien sûr, on se doute bien de la tournure des choses et ce, dès la synopsis. Mais le seul risque que vous prendriez en matant ce film, c'est qu'il vous rende la larme facile. Et le rire aussi...
Bien que Christian Streiff, l'auteur dont est inspiré ce film, dit ne pas du tout se reconnaitre dans ce grand patron assez odieux il dit surtout avoir aimé le film.
Comme on le comprend !!
C'est extrêmement bien interprété.
Fabrice Luchini, Leïla Bekhti et la jeune Rebecca Marder sont remarquables.
Vraiment très bien.
Comme on le comprend !!
C'est extrêmement bien interprété.
Fabrice Luchini, Leïla Bekhti et la jeune Rebecca Marder sont remarquables.
Vraiment très bien.
Très bon film , acteurs au top
Une histoire bien rendue et si réelle !
Un " grand Luchini" dans ce rôle d'homme d'affaires qu'il vit sur un fil
Une histoire bien rendue et si réelle !
Un " grand Luchini" dans ce rôle d'homme d'affaires qu'il vit sur un fil
Film plaisant dont on connait la fin depuis le début, mais qui parvient à nous accrocher avec ses moments tant cocasses qu'émouvants. Bon, mes connaissances en médecine sont assez limitées mais j'ai du mal à imaginer que les séquelles d'un AVC puissent réellement être semblables à celles décrites dans le film. Luchini est bien dans son rôle de PDG à qui arrive l'accident, mais réapprendre le langage avec une Leïla Bekhti aussi vulgaire (et non, ce n'est pas voulu, elle joue ainsi chaque fois que je la vois) doit être un véritable sacerdoce. L'ensemble est sympathique mais manque un peu de profondeur.
Fabrice Luchini endosse parfaitement le rôle qui lui est confié, et pour cause : il incarne un orateur brillant, certes doublé d'un homme d'affaires qui pour le coup lui ressemble beaucoup moins. Mais il est crédible dans ce rôle, et très attachant. L'histoire est intéressante et montre à quel point tout homme, et toute femme, peut être fragile face aux sorts que le vie réserve, et ce quel que soit son statut social. J'ai passé un bon moment, même si je dois reconnaître que l'admiration que j'ai pour Fabrice Luchini me rend peut-être moins objectif qu'un spectateur lambda. Alors à vous de juger !
4 / 5 - On peut reprocher 10.000 choses à Fabrice Luchini.
D'en faire trop, de s'aimer trop, de s'écouter parler, d'être arrogant, sûr de lui, prétentieux, élitiste et à la fois beauf, facile, et contre-productif.
Mais il reste un excellent acteur, quand on n'est pas aveuglé par ses défauts. Et quand il incarne Christian Streiff, ancien PDG de PSA, victime d'un AVC en plein exercice de son mandat, dans l'adaptation de son roman du même nom, on ne peut que constater ses grands talents et sa capacité à nous embarquer dans son histoire. Ou pas.
On peut être aussi lassé du jeu d'actrice persistant de Leila Bekhti, ou déçu par les erreurs de script, les incohérences du scenario ou sa facilité.
Comme pour la fine fleur de la boboItude germanopratine habituelle qui ne se gène pas pour massacrer le film (je regarde toujours par curiosité la note de Télérama, et là j'ai pas pu m’empêcher de lire l'intégralité des critiques. Certaines sont édifiantes).
Ce qui me donne encore plus de raisons d'aimer ce film.
Car on peut aussi tout simplement se laisser porter par le film, entrer dedans, et se laisser convaincre, malgré tous ces petits défauts.
Cela m'était aussi aidé par le fait que cet accident est arrivé à l'un de mes meilleurs amis, ce qui aide à se sentir concerné et donc à rentrer dans le film.
Enfin, une excellente BOF (dont un très bon cover de "Father & Son - Yusuf / Cat Stevens" (par, je crois, Liz Gillies) pour couronner le toui.
D'en faire trop, de s'aimer trop, de s'écouter parler, d'être arrogant, sûr de lui, prétentieux, élitiste et à la fois beauf, facile, et contre-productif.
Mais il reste un excellent acteur, quand on n'est pas aveuglé par ses défauts. Et quand il incarne Christian Streiff, ancien PDG de PSA, victime d'un AVC en plein exercice de son mandat, dans l'adaptation de son roman du même nom, on ne peut que constater ses grands talents et sa capacité à nous embarquer dans son histoire. Ou pas.
On peut être aussi lassé du jeu d'actrice persistant de Leila Bekhti, ou déçu par les erreurs de script, les incohérences du scenario ou sa facilité.
Comme pour la fine fleur de la boboItude germanopratine habituelle qui ne se gène pas pour massacrer le film (je regarde toujours par curiosité la note de Télérama, et là j'ai pas pu m’empêcher de lire l'intégralité des critiques. Certaines sont édifiantes).
Ce qui me donne encore plus de raisons d'aimer ce film.
Car on peut aussi tout simplement se laisser porter par le film, entrer dedans, et se laisser convaincre, malgré tous ces petits défauts.
Cela m'était aussi aidé par le fait que cet accident est arrivé à l'un de mes meilleurs amis, ce qui aide à se sentir concerné et donc à rentrer dans le film.
Enfin, une excellente BOF (dont un très bon cover de "Father & Son - Yusuf / Cat Stevens" (par, je crois, Liz Gillies) pour couronner le toui.
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