AlloCiné
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Une intéressante perspective du monde vu du côté des « puissants » et des conséquences d’un handicap à ce niveau-là. Les acteurs jouent juste, même si Leïla finalement ne sort pas vraiment de son genre de personnage. Le tout reste relativement superficiel, prévisible (c’est sensé être une comédie quand même donc happy end oblige !), caricatural (ou pas ?), et un peu long, redondant (les gags reposent uniquement sur les décalages de langages, donc c’est moins marrant qd on en a vu 50 !). Et puis on ne voit pas trop l’intérêt de la recherche de la mère biologique de l’orthophoniste (à part avoir voulu faire écho au rapprochement père-fille, mais était-ce hyper pertinent et réaliste ?!). Un peu décevant au vu de la bande-annonce et du casting...
L'histoire est gentille... Elle met en scène du grand du beau F Luccini qui une fois de plus nous montre sa maîtrise des mots et son talent d'acteur. Et en plus, c'est drôle.
Une charmante petite histoire qui vaut surtout pour F.LUCHINI et L.BEKTI.
De quoi passer un bon moment.
De quoi passer un bon moment.
Complètement raté.
Un film plein de clichés, d’invraisemblances et de maladresses ( parfois même presque insultantes quand on sait ce que c’est que de se relever d’un AVC, ou alors lorsqu’on nous fait croire qu’un pdg multimillionnaire licencié se retrouve à pôle emploi au milieu de tout un chacun. De qui se moque -t-on!!! Et la scène n’est même pas drôle, ce qui est encore plus impardonnable !!!!).
tout repose sur le trouble du langage du personnage joué par Luchini. Mais ce n’est drôle à aucun moment tant c’est toujours la même blague. Ce n’est pas émouvant non plus tant le sujet est survolé.
Vraiment bâclé et paresseux. Pourtant les acteurs sont des valeurs sûres, et l’histoire aurait pu être forte ( même si déjà vue de multiples fois!!) mais le réalisateur à l’air de ne compter que sur le cabotinage de Luchini . Largement insuffisant !
Un film plein de clichés, d’invraisemblances et de maladresses ( parfois même presque insultantes quand on sait ce que c’est que de se relever d’un AVC, ou alors lorsqu’on nous fait croire qu’un pdg multimillionnaire licencié se retrouve à pôle emploi au milieu de tout un chacun. De qui se moque -t-on!!! Et la scène n’est même pas drôle, ce qui est encore plus impardonnable !!!!).
tout repose sur le trouble du langage du personnage joué par Luchini. Mais ce n’est drôle à aucun moment tant c’est toujours la même blague. Ce n’est pas émouvant non plus tant le sujet est survolé.
Vraiment bâclé et paresseux. Pourtant les acteurs sont des valeurs sûres, et l’histoire aurait pu être forte ( même si déjà vue de multiples fois!!) mais le réalisateur à l’air de ne compter que sur le cabotinage de Luchini . Largement insuffisant !
Etant fan de Luchini, je me suis laissée tenter par cette comédie.
Je me suis ennuyée ferme, tout est dans la bande annonce!
C'est cliché et pas réaliste. Le minimum quand on traite d'un sujet c'est de renseigner, non les personnes qui ont fait un AVC ne parlent pas "verlan" mais inversent les mots n'ayant pas du tout la même signification.
Bref très déçue
Je me suis ennuyée ferme, tout est dans la bande annonce!
C'est cliché et pas réaliste. Le minimum quand on traite d'un sujet c'est de renseigner, non les personnes qui ont fait un AVC ne parlent pas "verlan" mais inversent les mots n'ayant pas du tout la même signification.
Bref très déçue
L'AlsacienParisien
"Un homme pressé" est adapté de l'histoire vraie de Christian Streiff, l'ancien PDG de PSA Peugeot Citroën qui fût victime d’un AVC en mai 2008. C'est aussi la première réalisation en solo de Hervé Mimran qui avait collaboré avec Géraldine Nakache sur "Tout ce qui brille" et "Nous York". Il signe ici son meilleur film à ce jour.
Alain est un homme d'affaire parisien respecté et influent et donne des interventions à la fac dans le cadre du concours d'éloquence. Courant après le temps, il ne s'arrête jamais pour lui ou pour sa famille. En plein surmenage, il est victime d'un AVC et entrainant des troubles du langage et de la mémoire. Il va donc devoir faire preuve de patience et de repos lors de sa rééducation qui lui ouvrir les yeux sur tout ce qu'il a mis de côté jusque là dans sa vie...
On s'oublie soi-même derrière une fausse renommée, une réputation qui écrase notre valeur personnelle et nos besoins vitaux. C'est de ça dont parle "Un homme pressé". Ici, le quotidien d'Alain est overbooké et son corps le lui fait comprendre par un accident cérébral. Au delà de la force comique avec laquelle Fabrice Luchini nous embarque, c'est un véritable appel à la liberté que dresse le film : une quête vers soi-même, reconnecter avec le gout de vivre. C'est donc à la fois drôle et touchant et de façon réaliste, il éveille une réflexion nécessaire : sommes-nous vraiment heureux ? Y a-t-il des choses que je n'ai pas encore pris le temps de réaliser ? Qu'est-ce qui est primordial et essentiel pour moi ?
Evidemment, le film ne serait rien sans Fabrice Luchini, qui, par son jeu atypique et son visage illuminé, porte toute la subtilité risible de cette situation. Il déclame avec un naturel déconcertant des répliques incohérentes mais pourtant compréhensibles par le sens qu'il leur apporte. Il bégaye, trébuche sur les mots, fait des contre-sens, et ce, sans nous perdre et rentrer dans la caricature d'une quelconque folie. Le début est sans doute le plus jouissif et ses rendez-vous avec l'orthophoniste jouée par Leïla Bekhti (la "psychopathe" comme il l'appelle) apporte quelques jolis moment, chargés d'émotions notamment.
Bien que le développement soit prévisible et se perde dans des longueurs, "Un homme pressé" marquera les esprits par la cohérence de son message. Dommage qu'on ne s'attache pas autant au personnage de l'orthophoniste ou de sa fille unique, pourtant bien tenus, mais dont les problèmes personnels ne nous parviennent pas. La fin, aussi, n'est pas à la hauteur de son début épatant. Inégal, donc.
Alain est un homme d'affaire parisien respecté et influent et donne des interventions à la fac dans le cadre du concours d'éloquence. Courant après le temps, il ne s'arrête jamais pour lui ou pour sa famille. En plein surmenage, il est victime d'un AVC et entrainant des troubles du langage et de la mémoire. Il va donc devoir faire preuve de patience et de repos lors de sa rééducation qui lui ouvrir les yeux sur tout ce qu'il a mis de côté jusque là dans sa vie...
On s'oublie soi-même derrière une fausse renommée, une réputation qui écrase notre valeur personnelle et nos besoins vitaux. C'est de ça dont parle "Un homme pressé". Ici, le quotidien d'Alain est overbooké et son corps le lui fait comprendre par un accident cérébral. Au delà de la force comique avec laquelle Fabrice Luchini nous embarque, c'est un véritable appel à la liberté que dresse le film : une quête vers soi-même, reconnecter avec le gout de vivre. C'est donc à la fois drôle et touchant et de façon réaliste, il éveille une réflexion nécessaire : sommes-nous vraiment heureux ? Y a-t-il des choses que je n'ai pas encore pris le temps de réaliser ? Qu'est-ce qui est primordial et essentiel pour moi ?
Evidemment, le film ne serait rien sans Fabrice Luchini, qui, par son jeu atypique et son visage illuminé, porte toute la subtilité risible de cette situation. Il déclame avec un naturel déconcertant des répliques incohérentes mais pourtant compréhensibles par le sens qu'il leur apporte. Il bégaye, trébuche sur les mots, fait des contre-sens, et ce, sans nous perdre et rentrer dans la caricature d'une quelconque folie. Le début est sans doute le plus jouissif et ses rendez-vous avec l'orthophoniste jouée par Leïla Bekhti (la "psychopathe" comme il l'appelle) apporte quelques jolis moment, chargés d'émotions notamment.
Bien que le développement soit prévisible et se perde dans des longueurs, "Un homme pressé" marquera les esprits par la cohérence de son message. Dommage qu'on ne s'attache pas autant au personnage de l'orthophoniste ou de sa fille unique, pourtant bien tenus, mais dont les problèmes personnels ne nous parviennent pas. La fin, aussi, n'est pas à la hauteur de son début épatant. Inégal, donc.
Ce film est un bon film français qui ne restera pas dans les annales de l'histoire du cinéma.
L'histoire est assez attendue mais bien menée.
J'ai passe un agréable moment lors de la séance.
L'histoire est assez attendue mais bien menée.
J'ai passe un agréable moment lors de la séance.
J'attendais ce film avec impatience.......et je ne suis pas déçu du tout. Car il est magnifique, et nous réconcilie avec le Bonheur. Une leçon de vie, remarquablement orchestrée, et il est vrai, portée par un Fabrice Luchini comme on l'aime au top, et Leila Bekhti - la psychopathe (!) la plus adorable qui soit !!! Le sourire sur chacun des spectateurs et ceci sans discontinuer..... c'est magique en fait, le jeux de mots et bégaiements justifient à eux seuls le déplacement !! Je m'amuse à imaginer le travail de composition pour décomposer ainsi les mots, les syllabes, croisant le verlan joyeusement. Et puis, il y a de l'émotion, du recul (chemin de Compostelle avec son chien en est une illustration) et de l'humour.... Et ne vous levez pas trop vite - attendez le générique, il vaut le détour, j'avoue parmi les meilleurs !! **
Nicothrash
Très bonne idée de base et excellent choix de glisser Fabrice Luchini dans ce rôle pas évident, le talentueux comédien relève le défi avec brio et sobriété, le petit soucis c'est qu'il cannibalise tout le reste, on a rapidement l'impression que tout repose sur ses épaules malgré un casting général intéressant. En fait, passé le point de départ, on tourne vite en rond, heureusement le débit de Luchini et les quelques traits d'humour nous emmènent au bout sans trop d'embûches mais j'ai eu la désagréable impression que ça avait duré bien plus de deux heures, pas bon signe en général. Maintenant le sujet principal est parfaitement abordé ainsi que ses sujets satellites et Hervé Mimran nous a réservé quelques jolis moments d'émotion, en revanche, la partie finale m'est apparu assez improbable. Assez partagé du coup au final mais ça se laisse franchement voir malgré ses défauts.
Je me réjouissais d'aller voir Luchini dans ce film. Mais que diable a-t-il été faire dans cette galère !
Malheureusement, j'ai trouvé ce film très mauvais. Scénario totalement creux, on n'accroche absolument pas. Luchini a l'air totalement perdu dans cette histoire creuse. Leila Bekhti que je trouve d'habitude charmante, est très mal filmée, rôle quasi vide. Tout flotte dans ce film, pour ne pas dire coule.
A éviter de toute urgence !
Malheureusement, j'ai trouvé ce film très mauvais. Scénario totalement creux, on n'accroche absolument pas. Luchini a l'air totalement perdu dans cette histoire creuse. Leila Bekhti que je trouve d'habitude charmante, est très mal filmée, rôle quasi vide. Tout flotte dans ce film, pour ne pas dire coule.
A éviter de toute urgence !
Un homme pressé est une comédie honnête, sérieuse mais qui ne tient la route que par la répétition des effets comiques de Fabrice Luchini toujours aussi talentueux. C’est aussi une aventure humaine, touchante sur la relation retrouvée d’un père et de sa fille. Les images du chemin de saint Jacques sont belles
A voir mais rien d’obligatoire mes amis
A voir mais rien d’obligatoire mes amis
Je suis généreuse dans mon appréciation étoilée, parce que je suis une admiratrice de Fabrice Luchini et parce que le film permet de passer un moment très agréable, malgré les reproches qu’on peut faire à la réalisation (incohérences, …
Alain, PDG dans l’automobile a un agenda de ministre et néglige sa fille. Un jour il est terrassé par un AVC. Les séquelles affecteront les zones du langage et en partie la mémoire.
Il réapprend à parler et tout simplement à vivre. Il perd son travail mais redécouvre les valeurs essentielles de la vie et se rapproche de sa fille.
Le jeu de Fabrice Luchini est impeccable. Il devient un autre homme après l’AVC et incarne bien cette métamorphose. Il s’amuse avec les troubles du langage, heureusement dans ce cas, réversibles.
La virée vers Saint Jacques de Compostelle offre de belles images.
Pour tous les inconditionnels de Luchini.
Mon blog : larroseurarrose.com
Alain, PDG dans l’automobile a un agenda de ministre et néglige sa fille. Un jour il est terrassé par un AVC. Les séquelles affecteront les zones du langage et en partie la mémoire.
Il réapprend à parler et tout simplement à vivre. Il perd son travail mais redécouvre les valeurs essentielles de la vie et se rapproche de sa fille.
Le jeu de Fabrice Luchini est impeccable. Il devient un autre homme après l’AVC et incarne bien cette métamorphose. Il s’amuse avec les troubles du langage, heureusement dans ce cas, réversibles.
La virée vers Saint Jacques de Compostelle offre de belles images.
Pour tous les inconditionnels de Luchini.
Mon blog : larroseurarrose.com
un assez bon film avec pal mal d'émotions, de tendresse et des passages drôles. des acteurs tous bons, ils en font pas de trop ils font juste ce qu'il faut. un "fabrice Lucchini" toujours égal à lui même et "leila beiki" aussi est pas ma dans son rôle. on passe un bon moment durant 1h40 sans temps mort.
Cette comédie passe à côté de son propre scénario. L’ensemble est faible et les acteurs surnagent sur un sujet grave . Le film a le mérite d’informer sur l’AVC.
Le reste n’est pas très emballant mais reste sympathique.vite vu , vite oublié. Une déception.
Le reste n’est pas très emballant mais reste sympathique.vite vu , vite oublié. Une déception.
A voir. Je ne m'attendais pas à la seconde partie du film mais cela renforce son intérêt. Très intéressant.
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