Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
BIBA
par Lili Yubari
Ce premier film en solo du coréalisateur de "Tout ce qui brille" offre un rôle idéal au maître des mots Luchini.
CNews
par La rédaction
Fabrice Luchini prouve une nouvelle fois l’étendue de son talent en déclamant des phrases incompréhensibles avec un aplomb qui fait mouche. Face à lui, Leïla Bekhti, dans la peau de l’orthophoniste pleine d’empathie, apporte fraîcheur et légèreté à ce récit inspiré de l’histoire vraie de Christian Streiff, ancien PDG de PSA Peugeot Citroën, victime d’un AVC en mai 2008.
Closer
par La Rédaction
Une comédie drôle et émouvante.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
L’extraordinaire, c’est que Luchini, même bégayant, trébuchant, avec des mots en désordre, ouvre un espace de liberté et de jubilation. Il est éloquent encore, comme s’il disait des mots magiques, avec une fantaisie capable de changer le monde.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un film lumineux. Fabrice Luchini nous épate.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une comédie joliment enlevée.
Le Parisien
par La Rédaction
Le film aurait pu s’épargner quelques petites longueurs, mais rien de très grave. C’est un bonheur d’aller, en compagnie d’Alain, sans se presser, sur les chemins retrouvés, d’être soi-même et de goûter au bonheur de vivre.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Loisirs
par Emilie Leoni
Tendre, tragique et truculent à la fois.
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Cette histoire bouleversante, la chute mais aussi la reconstruction d’un homme, a largement inspiré Hervé Mimran pour son "Homme pressé".
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Antoine Le Fur
Il ne révolutionne pas le cinéma, mais se révèle être un divertissement plutôt sympathique.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Si paradoxalement Un homme pressé prend son temps jusqu’à risquer de manquer de rythme et ne réserve guère de surprise, il demeure néanmoins un long métrage plaisant sur une jolie renaissance doublée d’une rédemption.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Hervé Mimran écrit fort bien ses personnages, y compris les seconds rôles. Et il a eu la bonne idée de ne pas tomber dans les clichés du romanesque à l'eau de rose. Le scénario reste tout de même paresseux, d'autant que la mise en scène ne fait pas d'étincelles.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Olivier De Bruyn
Un divertissement honorable, mais frustrant.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
[une] jolie comédie, certes cousue de fil blanc, sur la fragilité de la vie.
Voici
par Lola Sciamma
Une comédie humaniste.
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Film tendre qui part d’un accident qui peut tout changer dans une vie, Un homme pressé aborde avec délicatesse différents thèmes, tels que le passage du temps, la difficulté de tout gérer en une journée ou encore la nécessité parfois de prendre du temps pour soi, pour se retrouver et se rappeler ces rêves d’enfants que nous n’avons pas réussi à réaliser.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
[...] plutôt sympathique mais prévisible qui peine à tenir la distance.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Hervé Mimran livre ici un déroulé sans inventivité de toutes les ficelles éculées de la comédie dramatique grand public.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Une mise en abyme amusante pour Luchini qui finit par tourner un peu en rond faute de scénario solide.
Première
par Christophe Narbonne
Le résultat est dans un premier temps efficace mais l’argument finit par tourner en rond, voire par irriter -l’abus de verlan est mauvais pour la santé du spectateur. Reste la relation, en mode “Intouchables” (je t’apprivoise, tu m’apprivoises), entre Luchini et Leïla Bekhti, son orthophoniste un peu dépressive, qui fournit au film quelques jolis moments d’émotion. On n’en reste pas sans voix non plus.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
par Caroline Vié
Le film ne tient pas ses promesses, malgré les présences de Leïla Bekhti et Fabrice Luchini sous la direction du réalisateur de « Tout ce qui brille ».
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Mais le héros n'est visiblement pas le seul à être pressé. Le cinéaste-scénariste et le monteur semblent l'avoir été également. Le premier en multipliant de très visibles incohérences narratives, le second en accumulant les faux raccords. Les deux pariant sans doute sur le fait que – puisque c'est une comédie et qu'elle est portée par un acteur bankable – le spectateur n'y verrait que du feu. Pas de chance, c'est criant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Comme un symbole, l’homme pressé est devenu l’homme en marche. Et, de fait, on ne spoilera pas, mais il n’aura même pas besoin de traverser la rue pour retrouver un job.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Ce film d’Hervé Mimran, tiré d’une histoire vraie, exploite le trouble cognitif d’Alain avec si peu de finesse que son potentiel comique s’anéantit vite.
Télérama
par Cécile Mury
Hélas, cet habile numéro d’acteur sert une histoire de rédemption prévisible et mièvre : ou comment, à force de fréquenter une gentille orthophoniste (Leïla Bekhti) et au terme d’un parcours très plat, l’homme odieux devient un brave type. La preuve : il apprend à dire « merci » à son chauffeur. Sacré progrès social.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
BIBA
Ce premier film en solo du coréalisateur de "Tout ce qui brille" offre un rôle idéal au maître des mots Luchini.
CNews
Fabrice Luchini prouve une nouvelle fois l’étendue de son talent en déclamant des phrases incompréhensibles avec un aplomb qui fait mouche. Face à lui, Leïla Bekhti, dans la peau de l’orthophoniste pleine d’empathie, apporte fraîcheur et légèreté à ce récit inspiré de l’histoire vraie de Christian Streiff, ancien PDG de PSA Peugeot Citroën, victime d’un AVC en mai 2008.
Closer
Une comédie drôle et émouvante.
Dernières Nouvelles d'Alsace
L’extraordinaire, c’est que Luchini, même bégayant, trébuchant, avec des mots en désordre, ouvre un espace de liberté et de jubilation. Il est éloquent encore, comme s’il disait des mots magiques, avec une fantaisie capable de changer le monde.
Femme Actuelle
Un film lumineux. Fabrice Luchini nous épate.
Le Dauphiné Libéré
Une comédie joliment enlevée.
Le Parisien
Le film aurait pu s’épargner quelques petites longueurs, mais rien de très grave. C’est un bonheur d’aller, en compagnie d’Alain, sans se presser, sur les chemins retrouvés, d’être soi-même et de goûter au bonheur de vivre.
Télé Loisirs
Tendre, tragique et truculent à la fois.
Franceinfo Culture
Cette histoire bouleversante, la chute mais aussi la reconstruction d’un homme, a largement inspiré Hervé Mimran pour son "Homme pressé".
L'Express
Il ne révolutionne pas le cinéma, mais se révèle être un divertissement plutôt sympathique.
La Croix
Si paradoxalement Un homme pressé prend son temps jusqu’à risquer de manquer de rythme et ne réserve guère de surprise, il demeure néanmoins un long métrage plaisant sur une jolie renaissance doublée d’une rédemption.
Le Figaro
Hervé Mimran écrit fort bien ses personnages, y compris les seconds rôles. Et il a eu la bonne idée de ne pas tomber dans les clichés du romanesque à l'eau de rose. Le scénario reste tout de même paresseux, d'autant que la mise en scène ne fait pas d'étincelles.
Positif
Un divertissement honorable, mais frustrant.
Télé 7 Jours
[une] jolie comédie, certes cousue de fil blanc, sur la fragilité de la vie.
Voici
Une comédie humaniste.
aVoir-aLire.com
Film tendre qui part d’un accident qui peut tout changer dans une vie, Un homme pressé aborde avec délicatesse différents thèmes, tels que le passage du temps, la difficulté de tout gérer en une journée ou encore la nécessité parfois de prendre du temps pour soi, pour se retrouver et se rappeler ces rêves d’enfants que nous n’avons pas réussi à réaliser.
Le Journal du Dimanche
[...] plutôt sympathique mais prévisible qui peine à tenir la distance.
Les Fiches du Cinéma
Hervé Mimran livre ici un déroulé sans inventivité de toutes les ficelles éculées de la comédie dramatique grand public.
Ouest France
Une mise en abyme amusante pour Luchini qui finit par tourner un peu en rond faute de scénario solide.
Première
Le résultat est dans un premier temps efficace mais l’argument finit par tourner en rond, voire par irriter -l’abus de verlan est mauvais pour la santé du spectateur. Reste la relation, en mode “Intouchables” (je t’apprivoise, tu m’apprivoises), entre Luchini et Leïla Bekhti, son orthophoniste un peu dépressive, qui fournit au film quelques jolis moments d’émotion. On n’en reste pas sans voix non plus.
20 Minutes
Le film ne tient pas ses promesses, malgré les présences de Leïla Bekhti et Fabrice Luchini sous la direction du réalisateur de « Tout ce qui brille ».
L'Obs
Mais le héros n'est visiblement pas le seul à être pressé. Le cinéaste-scénariste et le monteur semblent l'avoir été également. Le premier en multipliant de très visibles incohérences narratives, le second en accumulant les faux raccords. Les deux pariant sans doute sur le fait que – puisque c'est une comédie et qu'elle est portée par un acteur bankable – le spectateur n'y verrait que du feu. Pas de chance, c'est criant.
Les Inrockuptibles
Comme un symbole, l’homme pressé est devenu l’homme en marche. Et, de fait, on ne spoilera pas, mais il n’aura même pas besoin de traverser la rue pour retrouver un job.
Sud Ouest
Ce film d’Hervé Mimran, tiré d’une histoire vraie, exploite le trouble cognitif d’Alain avec si peu de finesse que son potentiel comique s’anéantit vite.
Télérama
Hélas, cet habile numéro d’acteur sert une histoire de rédemption prévisible et mièvre : ou comment, à force de fréquenter une gentille orthophoniste (Leïla Bekhti) et au terme d’un parcours très plat, l’homme odieux devient un brave type. La preuve : il apprend à dire « merci » à son chauffeur. Sacré progrès social.