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    Wonder Woman 1984
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    Roub E.
    Roub E.

    995 abonnés 5 024 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 septembre 2021
    Cela fait des mois que j’entend dire que ce Wonder Woman 84 est une catastrophe et que le COVID aura eu comme effet bénéfique de nous épargner une sortie cinéma. N’ayant déjà pas aimé le premier, mes sentiments envers le DCU allant de la simple déception à la détestation pure et simple, mes attentes en lançant ce film étaient donc très limitées. Est ce parce que je n’en attendais rien, mais il ne m’a pas catastrophé plus que cela. Oui ça n’est pas terrible, personnellement je trouve le film surtout plombé par des scènes d’action franchement ratées (toujours problématique pour un film à grand spectacle) et une hésitation au niveau du ton, il semble se demander tout le long s’il doit être sérieux ou lorgner vers l’esprit plus léger de la série télé Wonder Woman auquel il rend hommage. Sinon j’ai trouvé les personnages intéressants, le film aurait peut être même gagné à être plus intimiste en les creusant un peu plus (Kristen Wiig et Pedro Pascal que j’apprécie beaucoup font beaucoup pour le film) et puis le côté Revival années 80 même s’il paraît très mercantile est réussi. Bref ça n’est pas le plus honteux des films de super héros, mais juste un ersatz de plus, qui manque d’audace et d’innovation.
    elriad
    elriad

    441 abonnés 1 870 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 avril 2021
    J'avais espéré que la presse et les spectateurs aient été sévères sur les critiques de ce nouvel opus de " Wonder Woman ", et qu' à l'arrivée il y ait une bonne surprise. Hélas, je ne peux qu'ajouter ma voix à la leur. Car vouloir placer l'héroïne dans les années 80 finit par donner le sentiment d'un vieux film des années 80, ringard et ennuyeux. L'histoire elle-même manque de modernité et lorgne sans trouver son rythme du côté des " aventuriers de l'arche perdue", l'humour en moins.
    Et que dire des longueurs, terribles longueurs qui plombent le film dans des scènes redondantes cucul à l'eau de rose....
    Bref, le spectateur ne trouvera pas son compte dans ce labellisé 84, et malgré une 3D profonde avec de bons débordements et jaillissements, le film déçoit.
    Cinememories
    Cinememories

    489 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 juin 2021
    Patty Jenkins entretenait l’espoir d’enfin laisser son héroïne au lasso s’envoler pour de bon depuis son premier opus. L’ironie du sort n’arrange pourtant pas le cas de cette dernière, malmenée dans d’inconfortables péripéties, qui se superposent plus qu’elles ne communiquent entre elles. Les intentions restent toutefois visibles, mais dans une lourdeur excessive, qui n’échappe pas à l’ouverture olympique de l’œuvre. Entre un deuil non résolu et les archétypes du capitalisme et du féminismes qui se tapent mutuellement dessus, il n’y a plus de place pour les poilus de 14-18. La transition est aussi soudaine que celle qui nous ramène dans l’extravagance des années 80, où les décors constituent le seul intérêt notable, si ce n’est une sorte de régression technologique. Hélas, tous ces efforts sont vains, car jonchés de maladresses qui nous apparaissent périodiquement dans une aventure trop gourmande.

    On le sent dès le premier flashback qui renvoie Diana (Gal Gadot) dans son immaturité, car face à la première opportunité, elle succombe à des raccourcis. Seule face à son désespoir, son manque de perspective, elle ramène Steve Trevor (Chris Pine) dans sa vie pour mieux rebondir. Il ne s’agit pas d’une surprise et encore moins d’une nouvelle rafraîchissante, dès lors que l’on s’engouffre dans la fièvre esthétique d’une époque que l’on finit par dénaturer, à force de l’exploiter à tort et à travers. Cette légèreté tranche évidemment avec le conflit qui préoccupait la demi-déesse en Europe et cela aurait pu servir la complicité, puis la dualité avec sa collègue cryptozoologiste, Barbara Minerva (Kristen Wiig). Personnage attendu dans son développement, elle incarne à elle seule la haine des victimes de misogynie. La scientifique a pourtant les atouts pour se sortir du cliché, avant basés sur une reconnaissance de ses pairs qu’elle convoite. En pleine ascension, elle finit par devenir le véritable objet d’étude d’un musée, lieu où l’on redonne du sens et de l’intérêt aux espèces vivantes et au patrimoine de la nature elle-même. Malheureusement, ses dérives rattrapent ses ambitions, qui semblent toujours honnêtes dans l’idée, mais qui finissent par la trahir dans sa détermination hasardeuse.

    Comme chacun est à la recherche de son modèle, un autre profil se détache du lot. Maxwell Lord (Pedro Pascal) constitue tout de l’illusion d’une nation qui ne cesse de rêver et d’espérer. Le pouvoir et le vampirisme qui le séduisent deviennent à présent son identité, lui qui peinait à exister dans sa carrière et dans une cellule familiale brisée. Son renversement n’est que la contrepartie qu’il parsème au fur et à mesure de l’intrigue avec les personnages, mais c’est notamment un temps précieux qu’il arrache au spectateur. Les expositions n’en finissent plus et s’entremêlent dans la même logique qu’une pierre magique, dont on ne saura finalement pas grand-chose, même dans sa mécanique primaire. Le donnant-donnant devient source de contradictions, qui riment avec le départ d’un politicien dont on fera grossièrement l’analogie. Le souci est que le film arrivera trop tard dans l’hexagone, du fait que ses caractéristiques situationnelles. L’égoïsme n’est qu’un des penchants humains qui manifeste son impuissance et son ignorance, mais il aurait été souhaitable de mesurer la portée de cette thématique pour une héroïne qui ne cesse de se chercher et de se justifier derrière une humanité sans faille.

    Si l’amour donne des ailes, c’est bien sur une autre échelle que « Wonder Woman 1984 » voudrait danser. D’une certaine manière, Diana finit par communier avec son amant disparu pour se laisser porter dans les airs et enterrer la solitude qu’elle cultivait dans la douleur. Et ces rares moments d’audaces manquent cruellement dans une œuvre qui ne captive ni par ses effets spéciaux, ni par la partition d’Hans Zimmer, ni par ses ruptures de ton, invoquant prématurément une mélancolie sèche et expédiée. Le sentiment de vouloir recoller avec les pages de comics tente Jenkins, mais la prise d’assaut numérique et le résultat anti-spectaculaire condamne tout un projet qui se vante plus qu’il ne convainc. Dommage pour un film sincère, qui rampe autour d’anecdotes, toutes aussi superficielles que le portrait d’un monde qui se déchire dans l’avidité.
    tisma
    tisma

    299 abonnés 2 022 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 septembre 2023
    Wonder Woman 1984 est trop long et possède un montage et un scénario qui traînent. On est donc plus ennuyé qu'emporté par ce film où les acteurs et les effets spéciaux ne sauvent en rien ce film.
    Shephard69
    Shephard69

    342 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 avril 2021
    Quatre ans après de convaincantes premières aventures, voici enfin, après plusieurs sorties repoussées, le second volet des récits héroïques de Wonder Woman mais qui s'avère nettement moins envoutant et prégnant tout d'abord à cause d'une intrigue qui n'offre que très peu d'originalité avec une morale simpliste et un antagoniste avide de puissance, de pouvoir, des scènes de combat impeccablement calibrées mais sans magie, ni réel impact. Alors que le premier film de Patty Jenkins offrait une vision intéressante, sensée et pleine de justesse d'une femme forte, une suite qui a une certaine tendance à verser, par de grossières ficelles et autres raccourcis scénaristiques trop faciles, dans une caricature féministe en lutte avec une société américaine patriarcale violente qui trouve un écho autant dans les années 80 du film que dans le monde actuel. Une réflexion également sur le travail de deuil dans une relation amoureuse, la cupidité. Reste une Gal Gadot qui habite littéralement son rôle face à une Kristen Wiig à la prestation plutôt réussie sans que son personnage soit d'une grande finesse dans son écriture, par contre Pedro Pascal, en Maxwell Lord, cabotine un peu trop pour livrer une interprétation satisfaisante. Au final, un blockbuster divertissant mais sans non livrer une réflexion intellectuelle marquante ou un spectacle vraiment mémorable, une semi-déception.
    videoman29
    videoman29

    252 abonnés 1 839 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 avril 2021
    La réalisatrice Patty Jenkins, forte du succès de son « Wonder Woman », reprend la caméra avec les coudées franches et un budget plus que confortable... pour nous offrir une suite, finalement assez décevante. En effet, bien qu'on retrouve avec plaisir la jolie Gal Gadot (Miss Israël 2004) dans sa tenue de super-héroine, qui lui va comme un gant... on peine en permanence à retrouver l'engouement du premier épisode. La scène d'ouverture est pourtant très réussie et on se dit qu'on part sur des bases hyper solides. Malheureusement la suite est nettement moins excitante et les années 80, pourtant habilement restituées à l'écran, offrent un cadre qui manque trop d'originalité et de « punch » pour convaincre. Du coup, c'est tout le scénario qui patine... ce qui provoque des baisses de rythme rédhibitoires dans un film d'action de 2h30 ! Le temps semble donc bien long et les super-vilains ne font pas grand chose pour relever le niveau. Ils forment un couple « dramatiquo-comique », mal assorti, qui finit invariablement par provoquer l'agacement. Il reste bien quelques images splendides et des effets spéciaux de grande qualité... mais c'est vraiment le stricte minimum pour un « blockbuster » de ce genre. Il faudra donc faire beaucoup mieux pour le troisième épisode, sinon...
    maxime ...
    maxime ...

    252 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 novembre 2022
    Wonder Woman 1984, ne commence pas de la manière la plus enchanteresse qui soit, pour moi toujours. J'avoue avoir été moyennement captivé par ses Olympiades et ce retour à Themyscira, pour mon plus grand plaisir il s'agit du seul flashback de la partie.

    Je sais que beaucoup considère ce second long-métrage de la Franchise comme étant très nettement inférieur au premier, il y'a certainement des raisons au flots de négativité à son encontre, néanmoins pour mon cas je le préfère. Etant débarrassé de ses prémices lourd et pas spécialement bien emmené, ce deuxième film capture une autre lecture et adopte une approche plus linéaire mais encline à stimulé son rythme. Ce point à je le sais beaucoup déplu, j'ai moi au contraire eu un certain plaisir à prendre le train en marche et revoir quelques madeleines du genre. D'ailleurs il s'agit d'une suite à références. Back to the Future II et Spider Man II sont les deux concordances majoritaires que j'ai notés ici et là, pas les plus mauvaises en l'occurrence.

    Il y'a dans son entreprise de Nostalgie et d'Idéologie de quoi dire. En étant partisan ou détracteur, ce film est complètement obnubilé par sa perception et son message. Je le trouve certes boursouflés, mais honnête et authentique, j'irais même jusqu'à dire franc ! La toute puissance de la Tech, l'omniprésence des médias, le pouvoir dans son ensemble est détricoté et envoyé entre différentes mains et troubles les ordres pour devenir un retentissant champ de bataille ou la colère, la vengeance et la peur triomphe et sème la terreur. WW84 met les pieds dedans, ce n'est pas très finaud mais il y'a du cœur à l'ouvrage.

    J'ajoute qui plus est que son entreprise sert à ravir la prestation des ses interprètes. A commencer par une Gal Gadot moins poseuse et bien plus touchante. L'expression de sa Solitude est attenante à la situation, elle aussi est vraiment remis en cause et déjoue avec résilience le foutoir au quelle elle aussi participe. Vraiment, elle m'a épaté dans son registre plus précis, raffiné, moins brute de décoffrage. Je déplore les quelques moments ou l'Iron Man sarcasme est de mise, seul point noir au tableau.

    Kristen Wiig m'a aussi pour le coup assez convaincu, j'étais dans un premier temps sceptique au vue de la tournure des évènements. Le détournement du code vu et revu et au fond un peu revendiqué deviens une force notamment dans son affrontement avec Wonder Woman ( à la Maison Blanche !!!!!! ) lorsqu'elle expose son ressentit et son vécu. La vision de la pulsion autodestructrice par la politique de la terre brulée à après tout du sens au-delà de la blague et de sa couche de pathos. Pareil d'ailleurs pour Pedro Pascal qui a une trajectoire de vilain Willem Dafoe / Alfred Molina / Thomas Haden dans la trilogie de Sam Raimi. La teinture va bien avec le kitsch !

    Chris Pine lui reviens et reprend dans un substitut inversé la découverte d'un monde étranger au près de Diana et malgré les défauts et ridicules de la situations arrive toutefois à prendre une place assez probante dans le déroulé de cette histoire. La scène du vole de l'avion et le feu d'artifice du 4 Juillet est quand même assez incroyable si on dépasse la petite pointe de cynisme, non ? spoiler: Ses Adieux, et son discours sur sa " belle vie " sont aussi un moment charnière de ce film pour qui l'amour est centrale, et pourtant relégué au second plan ... La fin sous la neige de Noel, entre lumière et tasse de chocolat chaud ( on l'imagine, un peu de placement de produit doit se caché ici et là !) ravive un peu d'espérance .


    Patty Jenkins signe une réalisation que je trouve complètement en phase avec son article, rien à dire sur ses démonstrations à revenir dans les 80's et faire étalage de sa culture cinématographique et de la main mise sur son artifice, j'ai quand même un sacré problème avec certaines de scènes d'actions ... Le Womder Woman mobylette interviens après une des plus belles scènes du film et là-dessus le bricolage aux rabais se fait sentir. Pareil pour sa scène au Caire ( je passe le super marché en début de film qui à quand même une place et un ancrage avec l'idée globale défendu par le film ) qui est juste hyper mal fichu !

    Wonder Woman 1984 s'en être une immense contribution au cinéma prend place dans le paysage et se raconte avec une bienveillance et une tendresse pertinente. J'avoue que la découverte de ses deux films, de ce dernier surtout à été une belle surprise.
    Ricco92
    Ricco92

    231 abonnés 2 159 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 avril 2021
    Suite à l’énorme succès de Wonder Woman en 2017, il était inévitable que l’héroïne créée par William Moulton Marston obtienne un second film solo. Pandémie de Covid-19 oblige, celui-ci atterrit hélas directement en VOD en France et dans de nombreux pays.
    Ce qui est ironique, c’est que Wonder Woman 1984 semble avoir été affadi pour élargir au maximum son public. Inutile de chercher la noirceur de l’univers de Zack Snyder qui l’avait introduit dans le DCEU (Batman v Superman : L’Aube de la justice, Justice league dans ses deux versions). En effet, si la fin adopte un aspect plus sombre d’un point de vue colorimétrique, l’ensemble cherche à être visible par un jeune public et reste globalement assez lumineux.
    L’histoire en elle-même semble assez anecdotique pendant une très grande partie du film et le méchant principal n’est pas suffisamment marquant (bien que provenant des comics) et crédible spoiler: (il est assez caricatural que ça soit dans son désir de pouvoir ou dans son revirement final)
    . Le personnage de Cheetah est, quant à lui, assez intéressant mais son parcours rappelle trop celui de la Catwoman de Batman : Le Défi spoiler: et sa toute dernière scène est également peu claire sur ses motivations (et accentue la recherche d’un public familial en évitant une fois de plus de la tuer)
    .
    Wonder Woman 1984 reste toutefois un film assez divertissant spoiler: (malgré l’aspect un peu ennuyant et fade de la romance entre Diana et le Steve ressuscité)
    et continue d’installer Gal Gadot comme une excellente incarnation de l’amazone même si elle moins marquante que dans le premier épisode ou dans les films de Zack Snyder. Le long-métrage de Patty Jenkins est ainsi assez anecdotique et peut être vu comme une sorte d’épisode sans conséquence cherchant surtout à confirmer la volonté de Warner de s’éloigner de l’univers sombre qui avait été installé par les œuvres de Zack Snyder pour reproduire la formule plus grand public adoptée par Disney et Marvel (comme le prouve la présence d’une scène post-générique mettant en scène Lynda Carter, la Wonder Woman de la série télévisée des années 70). Wonder Woman 1984 est donc une œuvre décevante par son manque d’ambition mais qui peut plaire cependant à un public familial peu exigeant.
    Shelby77
    Shelby77

    168 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 juillet 2021
    2h30 minutes pour ça ? Si la scène du début promet un film réjouissant, la suite hélas démontrera le contraire. Doté d'une intrigue bancale, insignifiante et mal amenée, le film s'enlise dans une intrigue romanesque de mauvais gout et les scènes d'actions sont trop rares pour nous réveiller ou nous intéresser outre mesure.
    CH1218
    CH1218

    209 abonnés 2 915 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 mars 2022
    Autant le premier m’avait séduit, autant cette suite n’est qu’une mièvrerie inconsistante à tous les niveaux. Le scénario a beau s’attaquer à divers thèmes actuels, à quoi bon s’étendre sur ces 150 très longues minutes de vide. Tenir jusqu’au bout, même pour se délecter de Gad Gadot, est un véritable défi en soi que je n’ai pas réussi à relever.
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    219 abonnés 2 871 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 mars 2022
    Si le style devait séduire, si cet épisode au cœur des années 80 était prétexte à rendre les effets démodés et le cadre suranné, alors c'est gagné.
    Frédéric M.
    Frédéric M.

    192 abonnés 1 867 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2021
    Gal Gadot est toujours aussi craquante en wonderwoman. Dommage que le coté "84" ne soit pas plus developpé
    Idem pour Cheetha qui n'est pas assez présente. Max Lord ne ressemble pas au comics, et fait un peu fade. Le film aurait gagné à etre un peu plus court. Divertissant, mais ne marquera comme un Dark knight
    Jerem69tt
    Jerem69tt

    109 abonnés 1 692 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 décembre 2021
    Autant si le premier était très bon au point de donner un nouveau souffle à DC, autant celui-là c’est une autre histoire…. On se demande toujours à quoi servent les 10 premières minutes dans la jeunesse des Amazones qui ne servent à rien dans l’histoire mais qui sont pourtant le meilleur moment du film (peut-être auraient-ils du réaliser un film sur le passer et non le futur). La suite est en effet un film à l’intrigue assez fade, aux personnages vides ( spoiler: la blonde coincée qui change de caractère et de personnalité sans savoir pourquoi, le méchant avide de pouvoir mais au grand cœur
    ) couplé à des dialogues creux, à l’action pas terrible, aux incohérences (toucher la main au début puis à travers le monde par télépathie…) et une fin …. dont on ne commentera pas. La déception est grande après le 1er.
    Nicolas S.
    Nicolas S.

    98 abonnés 1 554 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 mars 2021
    "Wonder Woman 1984" commençait bien. Il parvenait à ne pas être une simple suite mais à proposer un scénario un peu différent qui le singularisait à la fois en terme de narration et de ton.

    Exit la gravité et le sérieux des années 40 en Europe et bienvenue à l'insouciance et à la mode des années 80 aux États-Unis.

    On partait donc sur un ton plus léger, avec de nouveaux personnages assez intéressants et une quête proche d'un Indiana Jones.

    Le film baissait en qualité seulement quelques instants, lorsque Diana Prince enfilait son costume de Wonder Woman.

    Là, les effets spéciaux faisaient cheap, la musique (belle au demeurant) était bien trop présente et le personnage principal devenait porteur d'un message assez lourd.

    Puis vint la deuxième moitié du film durant laquelle Wonder Woman se fit plus présente. Et c'est le drame.

    Les scénaristes prirent alors leurs gros sabots pour dire aux spectateurs : "La morale c'est bien". Et si vous ne le compreniez pas, on vous soulignait le message à l'aide de la musique.

    Aucune subtilité dans le message.

    Et puis, les scénaristes enchaînèrent alors des incohérences monstres, si bien que l'histoire reposait sur des présupposés aberrants. ( spoiler: il suffirait d'un seul être dans le monde qui refuserait de renoncer à son voeu pour que le plan capote ... Et même les terroristes renoncent à leur voeu !!
    ).

    La fin devint du grand n'importe quoi. Comme si les scénaristes n'avaient pas su comment terminer leur histoire et étaient partis en improvisation totale.

    Du coup, les acteurs étaient eux aussi en totale roue libre.

    Ça ne mérite pas un Razzie Award pour autant parce que la 1ère partie était plutôt bonne mais quel dommage !
    Michael R
    Michael R

    107 abonnés 1 274 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 avril 2021
    Ce devait être mon bonbon de 2020, avec cette bande annonce de dingue. Je comptais me le faire en IMAX.
    Je l'ai enfin et finalement découvert sur ma télé, en très bonne qualité.
    Bon, je vous cache pas ma déception. En 3 mots : c'est niais, c'est long, c'est laid.
    Les années 80 Youpi, mais pas pour en faire ça. Cheetah, mazette.
    Pedro Pascal... qu'est-ce que tu fais ?
    Heureusement il y a la 1ère heure et Gal Gadot qui est impériale.

    Ah si, les enfants ont adoré.
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