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T-Tiff
92 abonnés
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2,5
Publiée le 1 octobre 2023
Après un premier volet plutôt réussi, le duo formé par Patty Jenkins à la réalisation et Gal Gadot dans le rôle principal, revient avec "Wonder Woman 1984". Nous avions plutôt de bonnes attentes pour ce film, et la déception n'en fut que plus grande. On est très loin du charme du premier volet. Si le film essaie de retrouver l'âme des années 80 et des comics, cela n'excuse certainement pas un scénario qui n'a aucun sens et qui enchaîne les facilités et incohérences. Le film démarre pourtant assez bien, avec une introduction dans les terres des Amazones comme pour le premier volet, puis une autre scène d'exposition dans un centre commercial qui, malgré quelques maladresses, est assez sympathique. Et ensuite, le film s'enfonce progressivement dans une histoire peu crédible, qui se terminera sur un final presque nanardesque. Avant cela, peu de scènes d'action, sauf une aux effets spéciaux particulièrement mauvais. La direction d'acteur semble également absente du film, puisque l'ensemble du casting est peu convaincant, y compris Gal Gadot qui interprétait pourtant si bien ce personnage dans les précédents films du DC Extended Universe. "Wonder Woman 1984" est une véritable déception, et surtout un film raté.
Un point pour les effets spéciaux et un point pour Gal Gadot. Quelle déception par rapport à Wonder Woman, le premier opus sorti en 2017 ! Le script est approximatif. Tout s'étire en longueur, telle la confiture qu'on étale comme la culture qu'on n'a pas. Certaines incongruités sont sans doute réservées à un public averti, expert de l'univers DC Comics. Pour les autres, il en sort comme une étrange impression d'avoir raté un épisode. Par exemple, pourquoi tout d'un coup un gars (Chris Pine) est un autre homme quand il se regarde dans le miroir ?! Comment le méchant sait-il faire fonctionner la pierre ? Puis on se perd dans les méandres de "la puissance de la pensée positive." Plus rien n'a de sens, sous couvert d'un pseudo mysticisme : "Exprimez vos souhaits, c'est l'univers qui écoute." Au final on se laisse bercer pendant 2h31 par de belles images dont on ne tire rien. À réserver aux passionnés.
C'est clairement très mauvais. Rien n'est mis en place pour tenir le spectateur éveillé, tant et si bien qu'on lâche forcément le film à un moment ou un autre. Les personnages sont indigestes, le scénario inexistant et l'ambiance 80's totalement absente!! A voir en jouant sur son portable en même temps, ou si vous avez 2h30 à perdre...
Très difficile de regrouper tous les défauts du film tant ils sont nombreux. La scène de braquage au début du film est grotesque. La scène d'action importante de course poursuite au milieu du film est d'une laideur incroyable vu le budget du film, on reconnait les fonds vert à des kilomètres. On essaye de vendre l'année 84 dans laquelle se déroule le film mais hormis quelques éléments vestimentaires (très forcés, lourds et peu drôles) on a la sensation qu'il aurait très bien pu se dérouler de nos jours. Le message principal est d'une mièvrerie affligeante et la pensée #metoo jamais loin (la quantité d'hommes qui sont des salops dans ce film est éloquent). Le personnage de Chris Pine est totalement inutile. Pedro Pascal est un excellent acteur mais il en fait des tonnes et devient très vite agaçant, etc etc... Le seul personnage intéressant (loin d'être originale faut pas exagérer) reste Barbara. DC va devoir enfin comprendre qu'ils doivent s'éloigner de la méthode Marvel et aussi que Patty Jenkins n'a pas les compétences nécessaires pour faire ce genre de film.
Après un premier épisode de bonne facture, qui dénotait des autres productions DC ou même Marvel, qui arrivait à insuffler du girl power tout en projetant une super-héroïne en plein milieu d'une guerre mondiale, ce deuxième opus a réussi à faire l'exact opposé à tous les niveaux. Déjà au niveau de l'histoire, c'est cette fois-ci une Wonder Woman qui s'est adaptée à la vie humaine au point de n'être que Diana Prince pendant une bonne partie du film et un Steve Trevor, revenu grâce à une pirouette scénaristique peu inspirée et projeté dans les années 80, une époque aux antipodes de ce qu'il a vécu. Ensuite, sur le féminisme, Wonder Woman tardant à apparaitre, et n'ayant à tout casser que deux scènes d'action à se mettre sous la dent, je n'ai pas eu l'impression de voir Wonder Woman, ni même Diana Prince, mais Gal Gadot, bien maquillée dans des superbes robes. Quand un film arrive à rompre la suspension d'incrédulité de cette manière, c'est inquiétant. Et puis arrive le personnage de Kristen Wiig, tellement mal écrit que je pense que c'est le pire point de cette critique. Reprenant le vieux cliché de la fille que personne ne remarque jusqu'à ce qu'elle enlève ses lunettes et décide de se maquiller, sérieusement on est plus en… 1984, son unique motivation est la jalousie, de ne pas être aussi "fraiche" que Diana Prince et par conséquent elle succombe avec une grande facilité aux manipulations de l'autre antagoniste de ce film… Max Lord (sérieusement c'est Chris Pratt qui a choisi le surnom ?). Et celui-ci ne relève pas le niveau, je recommande à toute personne appréciant Pedro Pascal de rester loin de ce film. Ses motivations sont tout aussi primaires que celles de Cheetahspoiler: , son revirement totalement ridicule . Le film veut jouer à fond la carte de la nostalgie des années 80, comme "Stranger Things" a su le faire avec succès ces dernières années, mais il aurait pu être ciblé n'importe où dans le temps que ça serait resté un film médiocre, tant l'écriture des personnages a été bâclée, la faute à une ambition de faire revenir ce personnage trop tôt, coincé entre un Justice League qui ne lui rendait pas hommage et un flou artistique complet sur l'avenir du DCEU. Tout ça vous donnera l'impression d'être devant une mauvaise série Disney+ côté Marvel, un film fait avec des gens suffisamment talentueux mais pour de mauvaises raisons, n'y avait-il pas d'autres arcs narratifs intéressants à explorer dans l'univers de Wonder Woman ?
Film moyen mais plutôt agréablement surpris positivement au vu des avis plus que négatifs qui pour la plus part ne sont pas objectifs. J'ai pas mal aimé la dessante aux enfers des souhaits de l'humanité. Si tout le monde faisait un souhaite , ça serait le chaos ?
Ce deuxième est clairement inférieur au précèdent. Il y a deux problèmes majeurs : d'abord le film met énormément de temps à démarrer. Il faut patienter près de 1h20 avant d'avoir un peu d'action. Ensuite le film est devenu presque enfantin tant l'humour est parfois léger et le propos du film simpliste. Heureusement que la deuxième partie du film est plus mouvementée mais malgré tout je suis resté vraiment sur ma faim.
quel déception autant je premier volume valait un tout petit coup d œil, autant celui la tombe dans la surenchère l ennui et le mauvais film de super héros. le scénario est spécialement mauvais il fallait l écrire cette histoire mais un peu comme à l image du premier on était limite du n importe quoi et bien la on l atteint c est inconstant et inintéressant on s ennuie ferme sur la longueur meme l action est banale , les personnages très mauvais !!! sauf notre belle héroïne qui se démène dans ce personnage.. le final qui surjoue l emotivite la remise en cause , l humanisme universelle... une catastrophe. une bande sonore par contre qui mérite d etre approfondie dommage
On aime parce qe Gal Gadot fait une bonne WW, mais le scenario n'est pas dingue. Pas sure que la périodes des années 1980 était le choix le plus judicieux.
Diana Prince (Gal Gadot) alias Wonder Woman vit toujours parmi les humains, en 1984, à Washington. Elle n'a pas oublié Steve Trevor (Chris Pine) le bel aviateur qui s'était sacrifié pour sauver le monde quelques années plus tôt. Au "Smithsonian Institute" où elle travaille et où elle vient d'accueillir une collègue particulièrement maladroite (Kristen Wiig), un artefact mystérieux vient d'être livré. Il aurait l'incroyable pouvoir d'exaucer les vœux de ceux qui s'en saisissent. Il a tôt fait de susciter la convoitise de Maxwell Lord (Pedro Pascal), un businessman au bord de la faillite.
Comme "Mulan", dont j'ai déjà dit beaucoup de mal, "Wonder Woman 1984" a eu bien du mal à se frayer un chemin jusqu'aux salles. Le précédent film, sorti en 2017, avait enregistré un tel succès (ses recettes ont approché le milliard de dollars) que le tournage d'une suite était immédiatement lancé. Il y en aurait même deux dit-on. Le tournage en était terminé dès décembre 2018, mais la production traîna et la date de sortie mondiale en fut fixé au 5 juin 2020. Une première fois repoussée au 14 août puis au 2 octobre, Warner la fixa finalement au 25 décembre 2020 et prit une décision inédite qui risque de faire jurisprudence : "Wonder Woman 1984" sortirait simultanément en salles et sur les plateformes.
J'avais déjà eu la dent dure avec le premier opus. Je serai plus féroce encore avec le second. Je n'y ai vu qu'un immense gâchis (le budget du film s'élève à deux cents millions de dollars), une histoire sans intérêt que ne réhausse même pas la musique passée d'âge de Hans Zimmer, des personnages caricaturaux (le "méchant" est ridicule de bout en bout), des scènes d'action interminables qui réussissent à endormir le spectateur, des effets spéciaux qui ne provoquent aucune magie... Il n'est rien jusqu'à la morale sur laquelle le film est construit - la dénonciation du "toujours plus" - qui ne sente pas la naphtaline.
Les résultats très décevants que "Wonder Woman 1984" a engrangés, aux Etats-Unis et en Chine notamment, risquent de compromettre la réalisation d'un troisième opus.
Stylisé “WW84”, “Wonder Woman 1984” est la suite du film sorti en 2017. Depuis la fin de la Première Guerre Mondiale, Diana Prince vit parmi les humains tout en remettant parfois son costume de Wonder Woman pour aider les autres. L’action se déroule donc en 1984 et Diana travaille dans un institut d’archéologie. Sa discrète collègue étudie une pierre dont la légende raconte qu’elle exauce les vœux de ceux qui la touche. Entre désir d’une simple voiture, de confiance en soi ou de pouvoir, l’intrigue va donc tourner autour de cette pierre. Quant à Diana, elle rêve le retour de son seul amour décédé durant la guerre… Si le premier opus nous avait bien fait comprendre que le romantisme était le maître mot de cette franchise, l’amour est malheureusement trop présent. Cette idée abstraite semble tout résoudre alors que certaines explications plus terre à terre auraient été préférables. Moins punchy que le premier épisode, “Wonder Woman 1984” reste un spectacle visuel épatant qu’il faut vivre sur grand écran, rien que pour son introduction époustouflante. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Alors que le premier Wonder Woman tenait à peu près la route, Patty Jenkins se fourvoie totalement dans cette suite forcée... La cinéaste propose un blockbuster ennuyeux, mal huilé, et bourré de clichés. Alors qu'elle tente d'offrir un cinéma old school, presque parodique, elle signe un film de super-héros qui a 20 ans de retard sur son temps. Un divertissement poussif, à l'humour bas de gamme, au scénario téléphoné et aux séquences d'action brouillon. Bref, sans doute le pire film du DCEU...
Cela fait des mois que j’entend dire que ce Wonder Woman 84 est une catastrophe et que le COVID aura eu comme effet bénéfique de nous épargner une sortie cinéma. N’ayant déjà pas aimé le premier, mes sentiments envers le DCU allant de la simple déception à la détestation pure et simple, mes attentes en lançant ce film étaient donc très limitées. Est ce parce que je n’en attendais rien, mais il ne m’a pas catastrophé plus que cela. Oui ça n’est pas terrible, personnellement je trouve le film surtout plombé par des scènes d’action franchement ratées (toujours problématique pour un film à grand spectacle) et une hésitation au niveau du ton, il semble se demander tout le long s’il doit être sérieux ou lorgner vers l’esprit plus léger de la série télé Wonder Woman auquel il rend hommage. Sinon j’ai trouvé les personnages intéressants, le film aurait peut être même gagné à être plus intimiste en les creusant un peu plus (Kristen Wiig et Pedro Pascal que j’apprécie beaucoup font beaucoup pour le film) et puis le côté Revival années 80 même s’il paraît très mercantile est réussi. Bref ça n’est pas le plus honteux des films de super héros, mais juste un ersatz de plus, qui manque d’audace et d’innovation.
J'avais espéré que la presse et les spectateurs aient été sévères sur les critiques de ce nouvel opus de " Wonder Woman ", et qu' à l'arrivée il y ait une bonne surprise. Hélas, je ne peux qu'ajouter ma voix à la leur. Car vouloir placer l'héroïne dans les années 80 finit par donner le sentiment d'un vieux film des années 80, ringard et ennuyeux. L'histoire elle-même manque de modernité et lorgne sans trouver son rythme du côté des " aventuriers de l'arche perdue", l'humour en moins. Et que dire des longueurs, terribles longueurs qui plombent le film dans des scènes redondantes cucul à l'eau de rose.... Bref, le spectateur ne trouvera pas son compte dans ce labellisé 84, et malgré une 3D profonde avec de bons débordements et jaillissements, le film déçoit.