AlloCiné
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Votre avis sur Wonder Woman 1984 ?
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Décidément c’est tout ou rien chez DC! Le résultat est triste venant de ce « Wonder Woman 1984 » qui était assez attendu sachant que le premier opus avait beaucoup convaincu. Tout d’abord, et les bandes annonces m’y avaient préparées, j’ai eu du mal avec le côté décalé, supporté par les années 80. L’équipe du film a peut-être voulu prendre du risque, Patty Jenkins avait certainement le champ libre suite au succès du métrage précèdent, mais c’est compliqué à passer pour moi. De plus, malgré son important budget, le neuvième film du DCEU n’est pas si spectaculaire visuellement. Je ne trouve pas les scènes d’action bien belles. Heureusement, la musique (de Hans Zimmer qui reprend la baguette d’un long métrage DC après « BvS ») aide à s’y sentir un minimum impliqué. Même le climax a des difficultés pour être prenant. Des moments de l’épilogue ont d’ailleurs tendance à être ridicule. Pour souligner un autre défaut à ce « Wonder Woman 2 », le rythme est lent, et le film est long, très long. On a l’impression que le scénario fait 3 lignes alors que l’on dépasse les 2 heures et 30 minutes de visionnage. Aussi, l’histoire de la pierre est totalement tirée par les cheveux. L’aspect super héroïque a l’air mis au second plan, notamment dans les 90 premières minutes où on a du mal à se rendre compte que l’on est dans un film de super-héros. Par rapport aux personnages, le retour de Chris Pine me dérange et me semble trop facile pour remplir le casting et servir à développer les personnages. Pedro Pascal en fait trop et n’est pas bien crédible. La méchante Cheetah (petit élément positif pour l’un des vilains les plus connus de WW) est plutôt intéressante. Enfin, j’ai été surpris de constater que la guerrière amazone en elle-même me paraît pas si puissante dans cet opus, ce qui n’est pas bien cohérent, surtout après avoir vu ce dont elle est capable dans « Justice League ». Bref, ce n’est franchement pas facile de trouver des qualités dans ce gros blockbuster. WW2 va assurément se faire oublier très rapidement. Il va falloir changer beaucoup de choses pour préparer un éventuel troisième opus. Je retourne voir la Snyder Cut pour me réconforter.
vraiment rien a dire de bon sur ce film, même le début ou diana en l'an
...... après JC porte jeunette synthétique.
l'histoire est nul, c est nunuche au possible , feminin, plein de bonnes intentions féerique.
film à rallonge sur-jouer ou treyvor S est la pour des truc nul. des actions nul , cela méritais pas d aller au cinema, film du même aquabi que power rangers au cinema. ecrit avc un bâtonnet de glace. pour des enfants jusqu'à 14ans . pas plus. action dans l l'obscurité a la fin pour ne pas changer quand il y a plus de budget.
film à ne pas voir dutout.
meme après le generic le cameo sert à rien, jai envie de dire à paty J ,de ne plus faire de film héroïque mais de reste au film normal .
...... après JC porte jeunette synthétique.
l'histoire est nul, c est nunuche au possible , feminin, plein de bonnes intentions féerique.
film à rallonge sur-jouer ou treyvor S est la pour des truc nul. des actions nul , cela méritais pas d aller au cinema, film du même aquabi que power rangers au cinema. ecrit avc un bâtonnet de glace. pour des enfants jusqu'à 14ans . pas plus. action dans l l'obscurité a la fin pour ne pas changer quand il y a plus de budget.
film à ne pas voir dutout.
meme après le generic le cameo sert à rien, jai envie de dire à paty J ,de ne plus faire de film héroïque mais de reste au film normal .
Quel magnifique film ! Pas pour ses combats, ou ses effets spéciaux, réussis, comme attendu. C'est un magnifique film parce qu'il porte des valeurs... C'est une critique de l'avidité, de l'individualisme, de la société de consommation, et de ses rêves malsains, vouloir toujours plus, qui détruisent le monde (clin d'oeil dans le titre à Orwell).
Ce Wonder Woman est un vrai conte philosophique, dans lequel l'héroïne, choisit , in fine, la vérité et la vertu. Sous couvert de super-héros, d'action, et de grand spectacle, voici un film à réfléchir.
Otez vos oeillères, passez sur les quelques longueurs sirupeuses du début (qui ont un sens, qu'on ne comprend qu'ensuite : les sirènes du désir, et de l'avidité, la recherche du plaisir à tout prix), et ouvrez votre esprit.
Ce Wonder Woman est un vrai conte philosophique, dans lequel l'héroïne, choisit , in fine, la vérité et la vertu. Sous couvert de super-héros, d'action, et de grand spectacle, voici un film à réfléchir.
Otez vos oeillères, passez sur les quelques longueurs sirupeuses du début (qui ont un sens, qu'on ne comprend qu'ensuite : les sirènes du désir, et de l'avidité, la recherche du plaisir à tout prix), et ouvrez votre esprit.
Yetcha
Autant j'ai aimé le premier, autant ce deuxième volt me déçoit. On retombe dans les travers des films Marvel ou DC avec un scénario moins creusé et des personnages moins peaufinés. S'il reste des relents du traitement du premier volet, je n'ai vraiment pas compris pour quelle raison et quelle est l'utilité
spoiler:
de faire revenir Steve Trevor incarné par Chris Pine, aucune nécessité et
ça m'a sorti du film spoiler: dès son arrivée!
Du coup, le reste se passe sans panache et dans la lutte contre le gros méchant et un antagoniste. Grosse déception pour ce Wonder Woman qui se passe pourtant dans une temporalité que j'adore.
ça m'a sorti du film spoiler: dès son arrivée!
Du coup, le reste se passe sans panache et dans la lutte contre le gros méchant et un antagoniste. Grosse déception pour ce Wonder Woman qui se passe pourtant dans une temporalité que j'adore.
ConFucAmuS
Depuis 5 ans, je me suis résigné à voir le genre devenir un prolongement des séries télévisées, et pas les meilleures. En somme, aucune cohérence d'ensemble ni sur les films solos ni sur les trilogies persos et encore moins sur les réunions de super-héros. Ce qu'il reste, c'est un positionnement démago visant à caresser le fan dans le sens du poil et une absence de motivation pour singulariser l'œuvre attendue. La norme, c'est une ville passée à la broyeuse (minimum), des enjeux coupés de toute forme de crédibilité et des placements de produits en guise de héros/héroïnes. Puis évidemment la promesse que la prochaine fois, ce sera encore mieux. Sur le papier, qu'est ce qui pouvait bien m'indigner avec Wonder Woman 1984 ? Rien. Et pourtant, je m'indigne. Ça arrive souvent quand on voit de bonnes volontés se faire écraser par le cahier des charges.
Pendant une heure, Patty Jenkins prend le contre-pied de beaucoup de ses collègues qui enchaînent les rebondissements et la pyrotechnie et elle fait bien. Ce n'est peut-être pas d'une subtilité exemplaire mais les personnages ont assez de place et d'air pour vivre. Le fait d'avoir jeté son dévolu sur une histoire évoquant autant l'hommage à la Quatrième Dimension qu'au Superman de Richard Donner permet au film d'assumer une nature de conte moral assez kitsch. Eh bien ça marche, car l'écriture se polarise d'abord sur les émotions humaines, ce qui favorise l'identification aux personnages. Certaines peinent à faire leur deuil, d'autres se dévalorisent par rapport aux autres. Même l'homme d'affaires archétypal (Maxwell Lord) suscite un peu d'empathie, son avidité étant mûe par un désir aussi humain que celui de la revanche. Partir d'un postulat aussi intimiste qu'universel (vous avez droit à un vœu, que faîtes-vous ?) change quand même pas mal la donne comparé aux sempiternelles histoires de domination du monde/de la galaxie, toutes plus infantiles les unes que les autres. Hélas, c'est sur ce terrain aberrant que va se paumer Wonder Woman dans sa deuxième moitié.
À partir du moment où l'intrigue s'emballe, le script se vautre. Non contente de multiplier les grosses incohérences à un rythme effarant, ce deuxième volet fait "avancer" ses enjeux à coups de facilités et d'ellipses totalement incongrues. Si encore la progression loufoque de l'antagoniste (Pedro Pascal, très bon) peut se justifier par la ritournelle "greed is good" caractéristique des années 80, rien ne sera plus douloureux que le traitement indigne réservé à l'irrésistible Kristen Wiig. La destinée de sa Barbara était une des belles promesses de la première partie, son revirement incompréhensible est à l'image d'un Wonder Woman 1984 incapable de s'affranchir des mauvais réflexes. Le spectacle enfle jusqu'à perdre tout sens des proportions, l'ambiance 80's est un cache-misère superficiel et même la candeur finit par jouer contre le film. Jusqu'à ce final hautement gênant avec ses effets visuels torchés (ils le sont d'ailleurs sur tout le film). Même Hans Zimmer semble s'être réglé sur le mode mineur pour cette séquelle, en recyclant les motifs des précédents films du DCEU.
Au final, je comparerai l'expérience à une sorte d'ascenseur émotionnel. J'ai commencé par y croire avant de me résigner à le voir. Ce cahier des charges qui impose, qui enferme et détruit à petit feu les beaux efforts. Patty Jenkins et la comédienne Gal Gadot ont manifestement conscience des espoirs placés en elles et de la nécessité d'un personnage fort. Mais ce n'est pas en le cloisonnant dans une formule qui a déjà largement montré ses limites que Wonder Woman pourra briser ses chaînes. Tout au plus retiendra-t-on le film pour le contexte inédit dans lequel il est sorti. Et même sur ce terrain, la victoire n'a pas été remportée...
Pendant une heure, Patty Jenkins prend le contre-pied de beaucoup de ses collègues qui enchaînent les rebondissements et la pyrotechnie et elle fait bien. Ce n'est peut-être pas d'une subtilité exemplaire mais les personnages ont assez de place et d'air pour vivre. Le fait d'avoir jeté son dévolu sur une histoire évoquant autant l'hommage à la Quatrième Dimension qu'au Superman de Richard Donner permet au film d'assumer une nature de conte moral assez kitsch. Eh bien ça marche, car l'écriture se polarise d'abord sur les émotions humaines, ce qui favorise l'identification aux personnages. Certaines peinent à faire leur deuil, d'autres se dévalorisent par rapport aux autres. Même l'homme d'affaires archétypal (Maxwell Lord) suscite un peu d'empathie, son avidité étant mûe par un désir aussi humain que celui de la revanche. Partir d'un postulat aussi intimiste qu'universel (vous avez droit à un vœu, que faîtes-vous ?) change quand même pas mal la donne comparé aux sempiternelles histoires de domination du monde/de la galaxie, toutes plus infantiles les unes que les autres. Hélas, c'est sur ce terrain aberrant que va se paumer Wonder Woman dans sa deuxième moitié.
À partir du moment où l'intrigue s'emballe, le script se vautre. Non contente de multiplier les grosses incohérences à un rythme effarant, ce deuxième volet fait "avancer" ses enjeux à coups de facilités et d'ellipses totalement incongrues. Si encore la progression loufoque de l'antagoniste (Pedro Pascal, très bon) peut se justifier par la ritournelle "greed is good" caractéristique des années 80, rien ne sera plus douloureux que le traitement indigne réservé à l'irrésistible Kristen Wiig. La destinée de sa Barbara était une des belles promesses de la première partie, son revirement incompréhensible est à l'image d'un Wonder Woman 1984 incapable de s'affranchir des mauvais réflexes. Le spectacle enfle jusqu'à perdre tout sens des proportions, l'ambiance 80's est un cache-misère superficiel et même la candeur finit par jouer contre le film. Jusqu'à ce final hautement gênant avec ses effets visuels torchés (ils le sont d'ailleurs sur tout le film). Même Hans Zimmer semble s'être réglé sur le mode mineur pour cette séquelle, en recyclant les motifs des précédents films du DCEU.
Au final, je comparerai l'expérience à une sorte d'ascenseur émotionnel. J'ai commencé par y croire avant de me résigner à le voir. Ce cahier des charges qui impose, qui enferme et détruit à petit feu les beaux efforts. Patty Jenkins et la comédienne Gal Gadot ont manifestement conscience des espoirs placés en elles et de la nécessité d'un personnage fort. Mais ce n'est pas en le cloisonnant dans une formule qui a déjà largement montré ses limites que Wonder Woman pourra briser ses chaînes. Tout au plus retiendra-t-on le film pour le contexte inédit dans lequel il est sorti. Et même sur ce terrain, la victoire n'a pas été remportée...
Le premier était intéressant , malheureusement ce second épisode n'a pas grand chose à raconter d'intéressant. Le scénario et le traitement de ses personnages est vraiment classique, notamment ‘‘la méchante'' stéréotype du personnage lambda mal dans sa peau invisible au yeux du monde qui va se rebeller. Les scènes d'actions sont globalement réussies mais paraissent cheap par moment notamment
lorsque Wonder woman coure ou vole. De plus difficile d'intégrer pleinement cet opus dans la saga DC, dans Batman vs Superman, Bruce Wayne/Batman découvre clairement pour la première fois Wonder woman et les méta humain en général, notamment grâce à une photo datant de la première guerre mondiale pour cette dernière, or ce film se déroule en 84, ou nôtre super héroïne se ballade en pleine ville réalisant exploit sur exploit au yeux de tous, pas besoin donc de remonter aussi loin pour découvrir son existence et le Bruce Wayne de BvS était déjà née a cette époque même s'il n'était pas forcément encore Batman. La musique de Hans Zimmer est oubliable , les meilleures restant Adagio in D minor de Murphy extraite de Sunshine et Beautiful lie issu de l'intro de BvS. Un divertissement honnête mais vraiment trop anecdotique.
lorsque Wonder woman coure ou vole. De plus difficile d'intégrer pleinement cet opus dans la saga DC, dans Batman vs Superman, Bruce Wayne/Batman découvre clairement pour la première fois Wonder woman et les méta humain en général, notamment grâce à une photo datant de la première guerre mondiale pour cette dernière, or ce film se déroule en 84, ou nôtre super héroïne se ballade en pleine ville réalisant exploit sur exploit au yeux de tous, pas besoin donc de remonter aussi loin pour découvrir son existence et le Bruce Wayne de BvS était déjà née a cette époque même s'il n'était pas forcément encore Batman. La musique de Hans Zimmer est oubliable , les meilleures restant Adagio in D minor de Murphy extraite de Sunshine et Beautiful lie issu de l'intro de BvS. Un divertissement honnête mais vraiment trop anecdotique.
Je n'ai pas du tout apprécié ce film. Il y a trop d'incohérences, de réactions incongrues.
spoiler:
le personnage principal qui n'en a rien à faire de son fils dans tout le film et à la fin il se rend compte qu'il est là et annule tous ses vœux?!? spoiler:
et le film en est rempli, spoiler:
l'armure qui ne sert à rien et qui est détruite en cinq minutes par une seule fille léopard mais qui n'a pas été détruite par 5000 hommes spoiler:
en plus l'histoire n'apporte rien à l'évolution du personnage et est franchement incohérente avec la Wonder woman qu'on a avec Bruce Wayne spoiler:
donc Diana ne sait plus voler dans les années 2000 ? spoiler:
. Bref je comprends qu'il soit mal noté.
le personnage principal qui n'en a rien à faire de son fils dans tout le film et à la fin il se rend compte qu'il est là et annule tous ses vœux?!? spoiler:
et le film en est rempli, spoiler:
l'armure qui ne sert à rien et qui est détruite en cinq minutes par une seule fille léopard mais qui n'a pas été détruite par 5000 hommes spoiler:
en plus l'histoire n'apporte rien à l'évolution du personnage et est franchement incohérente avec la Wonder woman qu'on a avec Bruce Wayne spoiler:
donc Diana ne sait plus voler dans les années 2000 ? spoiler:
. Bref je comprends qu'il soit mal noté.
Autant le 1er volet durant la guerre 39/45 avait du sens, autant cet épisode marque le pas. La faute à un scénario confus d'abord puis, prévisible. Au milieu de bon nombre d'invraisemblances, on nous ressort les éternels "méchant" aux folies des grandeurs, la défiance usa/russie, le lourd message humaniste final... par ailleurs, il y a de longs moments sans rythme. Divertissant tout au plus!
Je mets rarement 5 étoiles pour une film de super héros, mais j'ai vraiment adoré. De bonnes valeurs, un excellent scénario, une Gal Gadot impressionnante de justesse, un Pedro Pascal en mode un peu loufoque vraiment sympa. Un bon dosage d'action, d'émotions et de suspens. Vraiment la mayonnaise prend. L'alchimie est la bonne.
Un divertissement d'excellente facture. Les mauvaises notes sont incompréhensibles.
Sans parler de l'excellente musique d'Hans Zimmer.
Un divertissement d'excellente facture. Les mauvaises notes sont incompréhensibles.
Sans parler de l'excellente musique d'Hans Zimmer.
spoiler:
Ce film est une nullité sans commune mesure dans l'univers DC...
Moi l'ardent combattant anti-pensée unique et # de haters le déclare ouvertement: Les scènes démontrant à quel points tous les hommes caucasiens sont des pervers harceleurs de rue sont les scènes les moins nulles du film !!! Tout est dit 0.5 est la note minimum mais c'est tout de même 0.5 de trop. Scénario éclaté au sol puis ramassé et à nouveau éclaté au sol une dizaine de fois, évolution des personnages frustrante et sans intérêt, combats incohérents aux chorégraphies tellement douteuses et sans homogénéité qu'on a parfois l'impression que 3 super héros différents combattent à tour de rôle dans la même tenue... Quand on est aussi nul on se contente de faire du Netflix: faites-lui porter des pantalons et combattre le mansplanning mais ne vous basez pas sur le scénario le plus nul de la saison 11 du dessins-animé de superman pour en faire un film de 2 heures. Respectez les téléspectateurs et vos acteurs, donnez-nous une wonder-woman black et lesbienne mais n'obligez pas la sublime et talentueuse Gal Gadot à s'humilier dans un film aussi nul agrémenté d'une histoire d'amour mal amenée, sans aucune émotion et des incohérences spatio-temporel à donner la courante à Doc Brown. Exemple de scène nullissime: spoiler: moi Steve pilote de la 1er guerre mondiale, moi prendre avion de chasse moderne j’appuie sur deux trois boutons et hop je maîtrise et fait décoller un avion de chasse dont 98% du tableau de bord m'est inconnu (ah oui il a y un manche et des pédales....) pendant que wonder-woman oui la fille qui a un lasso de la vérité, des protège-poignet pare-balle, une super force, une super vitesse et pour une raison qui m'échappe un serre-tête batarang, se fait un trip je suis magicienne-mutante-alien je rends les objets invisibles aussi...
mais sinon les professionnels qui ont écrit le scénario il y a une chance qu'ils aient regardés le résultat à un moment donné ? on me dit dans l'oreillette qu'il y en a même un qui à crié au génie ! C'est donc ça le monde moderne ? Je vais aller m'enfermer dans une cabane avec des livres, des comics des VHS et je vais attendre la fin...
Moi l'ardent combattant anti-pensée unique et # de haters le déclare ouvertement: Les scènes démontrant à quel points tous les hommes caucasiens sont des pervers harceleurs de rue sont les scènes les moins nulles du film !!! Tout est dit 0.5 est la note minimum mais c'est tout de même 0.5 de trop. Scénario éclaté au sol puis ramassé et à nouveau éclaté au sol une dizaine de fois, évolution des personnages frustrante et sans intérêt, combats incohérents aux chorégraphies tellement douteuses et sans homogénéité qu'on a parfois l'impression que 3 super héros différents combattent à tour de rôle dans la même tenue... Quand on est aussi nul on se contente de faire du Netflix: faites-lui porter des pantalons et combattre le mansplanning mais ne vous basez pas sur le scénario le plus nul de la saison 11 du dessins-animé de superman pour en faire un film de 2 heures. Respectez les téléspectateurs et vos acteurs, donnez-nous une wonder-woman black et lesbienne mais n'obligez pas la sublime et talentueuse Gal Gadot à s'humilier dans un film aussi nul agrémenté d'une histoire d'amour mal amenée, sans aucune émotion et des incohérences spatio-temporel à donner la courante à Doc Brown. Exemple de scène nullissime: spoiler: moi Steve pilote de la 1er guerre mondiale, moi prendre avion de chasse moderne j’appuie sur deux trois boutons et hop je maîtrise et fait décoller un avion de chasse dont 98% du tableau de bord m'est inconnu (ah oui il a y un manche et des pédales....) pendant que wonder-woman oui la fille qui a un lasso de la vérité, des protège-poignet pare-balle, une super force, une super vitesse et pour une raison qui m'échappe un serre-tête batarang, se fait un trip je suis magicienne-mutante-alien je rends les objets invisibles aussi...
mais sinon les professionnels qui ont écrit le scénario il y a une chance qu'ils aient regardés le résultat à un moment donné ? on me dit dans l'oreillette qu'il y en a même un qui à crié au génie ! C'est donc ça le monde moderne ? Je vais aller m'enfermer dans une cabane avec des livres, des comics des VHS et je vais attendre la fin...
clairement au niveau du 1er ,point fort l'introduction qui est génial et la musique d hans zimmer et un dernier quart d'heure époustouflant... point négatif beaucoup de temps mort et un Chris pine insipide... bonne surprise après le générique !!
mention spéciale à christen wiig et pedro Pascal qui sont parfaits dans leurs rôles !
mention spéciale à christen wiig et pedro Pascal qui sont parfaits dans leurs rôles !
J'ai beaucoup aimé. C'était très divertissant et sans prise de tête. Les acteurs sont bons, les décors et les effets spéciaux sont magnifiques. J'ai particulièrement appréciées les premières scènes du film quand Diana était enfant. Ça mérite vraiment le détour.
Ce petit film DC m'a surpris
l'intro à la Harry Potter m a glacé le sang mais j ai tenu bon !
y a de belles choses dans ce film
de chouettes scènes d'action un peu kitch mais cool
j'ai beaucoup aimé quand Diana se révèle, vers la fin au dessus des nuages
j' ai trouvé ça assez beau!
le film a le charme de ces seconds films décomplexés qui ont plus envie de se faire plaisir que de plaire au plus grand nombre
l'intro à la Harry Potter m a glacé le sang mais j ai tenu bon !
y a de belles choses dans ce film
de chouettes scènes d'action un peu kitch mais cool
j'ai beaucoup aimé quand Diana se révèle, vers la fin au dessus des nuages
j' ai trouvé ça assez beau!
le film a le charme de ces seconds films décomplexés qui ont plus envie de se faire plaisir que de plaire au plus grand nombre
Patty Jenkins est de retour au manette pour le deuxième opus de Wonder Woman. Sans être transcendant j'ai un souvenir plutôt agréable du premier opus sortie en 2017.
On suit une nouvelle aventure de Diana Prince, une amazone devenue la super-héroïne Wonder Woman. Après la première guerre mondiale, l'action se déroule dans les années 80 et plus précisément en 1984 comme son titre l'indique. Elle se retrouve face à deux ennemis redoutables.
Je n'attendais pas vraiment cette suite donc je ne suis pas déçu. Wonder Woman 1984 s'avère un blockbuster super-héroïque insipide. Anecdotique par des enjeux peu originaux dans le genre, et par son côté kitch à souhait rappelant les productions faites dans les années 80 qui n'apporte pas grand chose. Puis 2h30min c'est très long pour ce que ça raconte. En plus le film est fade visuellement. C'est très lambda et rien ne ressort de la mise en scène de Patty Jenkins si ce n'est une scène bien tournée qui aurait pu être touchante si la relation entre Diana et Steve était moins mielleuse et plus approfondie.
Dans les points positifs qu'on peut relevé, Gal Gadot campe une Wonder Woman toujours aussi convaincante. Même si ils sont présentés avec de gros sabots, le personnage secondaire de Kristen Wig fonctionne mais c'est surtout celui de Pedro Pascal qui sort l'épingle du jeu, dont l'évolution est très réussit.
En fin de compte Wonder Woman 1984 s'avère un blockbuster anecdotique et générique, à peine divertissant, qui n'apporte pas grand chose voir rien au mythe de Wonder Woman.
On suit une nouvelle aventure de Diana Prince, une amazone devenue la super-héroïne Wonder Woman. Après la première guerre mondiale, l'action se déroule dans les années 80 et plus précisément en 1984 comme son titre l'indique. Elle se retrouve face à deux ennemis redoutables.
Je n'attendais pas vraiment cette suite donc je ne suis pas déçu. Wonder Woman 1984 s'avère un blockbuster super-héroïque insipide. Anecdotique par des enjeux peu originaux dans le genre, et par son côté kitch à souhait rappelant les productions faites dans les années 80 qui n'apporte pas grand chose. Puis 2h30min c'est très long pour ce que ça raconte. En plus le film est fade visuellement. C'est très lambda et rien ne ressort de la mise en scène de Patty Jenkins si ce n'est une scène bien tournée qui aurait pu être touchante si la relation entre Diana et Steve était moins mielleuse et plus approfondie.
Dans les points positifs qu'on peut relevé, Gal Gadot campe une Wonder Woman toujours aussi convaincante. Même si ils sont présentés avec de gros sabots, le personnage secondaire de Kristen Wig fonctionne mais c'est surtout celui de Pedro Pascal qui sort l'épingle du jeu, dont l'évolution est très réussit.
En fin de compte Wonder Woman 1984 s'avère un blockbuster anecdotique et générique, à peine divertissant, qui n'apporte pas grand chose voir rien au mythe de Wonder Woman.
N'est vraiment pas à la hauteur du premier volet de la série. Scénario bancale et effet visuel en dessous aussi. Dommage car Gal Gador creve toujours l'écran ! Besoin de revoir le premier pour me faire plaisir.
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