Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Culturopoing.com
par Alex Terror
POUR : WW84 déjoue ses propres enjeux super-héroïques, mais il possède cette nature rare, dans une telle proposition de culture industrielle, d’être un véritable film avec de belles idées de mise en scène et un cœur immense.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Parisien
par Renaud Baronian
Outre ses spectaculaires scènes d’action, le film, très réussi, met en scène une héroïne encore plus proche des humains que lors du premier volet…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
par Caroline Vié
Même si ce deuxième film est mollasson, Gal Gadot est bien dans les bottes rouges de Wonder Woman.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Simon Riaux
Imparfait, souvent schizophrène et souffrant de finitions parfois cosmiques, Wonder Woman 1984 étonne souvent par ses bonnes idées, une conception du spectacle étonnamment fidèle aux canons des comics, et un récit à hauteur de ses personnages, et donc des émotions du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Sébastien Socias
Malgré l'enthousiasmante partition d'Hans Zimmer, une interprétation empathique et un caméo qui ravira les fans de la série télévisée éponyme des années 70, le film apprécié par défaut à l'aune d'un écran de salon se classe hélas un cran en deçà de l'épisode initial.
Critikat.com
par Thomas Grignon
Souvent mièvre, WW84 a au moins le mérite d'injecter un peu d'humanité chez les übermenschen de la Justice League.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Filmsactu
par Veronica Sawyer
Grosse déception pour ce Wonder Woman 2 qui, après un démarrage certes kitsch mais porté par un charme naïf et lumineux, s'écroule totalement dans une très très longue seconde partie qui flirte sans honte avec le vrai navet.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
La Voix du Nord
par Christophe Caron
La candeur est assumée, certaines thématiques sont d’actualité et les effets spéciaux renouent avec le charme des Superman version Christopher Reeve, avec câbles et poulies cachées. D’un autre côté, ça ne suffit pas à donner du rythme à cette très longue romance juste rehaussée de quelques séquences d’action assez désuètes.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Geek
par Julie Hay
Wonder-Woman 1984 se prend trop au sérieux et ne parvient pas à nous émouvoir comme il le voudrait, pire il en devient parfois risible.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Les Echos
par Adrien Gombeaud
La réalisatrice du beau « Monster » (2003) s'amuse à reconstituer les années 1980, avec ce qu'il faut de tenues fluo. Elle y égare malheureusement son héroïne qui n'apparaît vraiment en Wonder Woman qu'après quatre-vingt-dix longues minutes.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Patrice Blouin
La réalisatrice Patty Jenkins et l’actrice Gal Gadot ont fait basculer ce monde sévère dans un grand bain radieux de femmes et de couleurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marius Chapuis
Amusant, certes. Mais le film a une façon assez terrifiante de remplacer le grand relativisme de l’ère Trump – où les faits eux-mêmes sembl(ai)ent ne plus avoir d’importance – par une autre forme d’extrémisme : la croyance en l’existence d’absolus moraux qui se donneraient à comprendre de façon évidente et incontestable.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Adrien Gombeaud
[...] 2 h 30, étrangement molles. Même Gal Gadot paraît avoir perdu l’énergie de l’épisode précédent.
Culturopoing.com
par Jean-François Dickeli et Vincent Nicolet
CONTRE : Définitivement raté sur tous les tableaux, Wonder Woman 1984, non content d’incarner un point de non-retour dans le genre par son absence totale de cinéma, devient contre-productif tant son message superficiellement asséné se retrouve parasité, voire retourné, par l’absence de charisme de ses figures héroïques et la démesure de son méchant.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par Clarisse Fabre
La suite des aventures de Diana Prince, réalisé par Patty Jenkins, souffre de longueurs et d’un scénario simpliste, avec un personnage de méchant inspiré de Donald Trump.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Philippe Guedj
Au terme de ce chemin de croix, nous le crions donc sans altruisme, ni amour ni compassion : la deuxième course de Wonder Woman tourne au bouillon. La chute est rude et la super-héroïne au lasso nous assomme. Suivant !
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Mad Movies
par François Cau
[...] une gestion catastrophique du rythme, des enjeux, du concept même de divertissement.
Première
par François Léger
Et quand, enfin, Jenkins se décide à s’attaquer au seul sujet de cinéma qui aurait pu animer Wonder Woman 1984, la mièvrerie consternante du propos dévore tout. On cherche encore la dose de fun et d’insouciance qu’on était venu chercher.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Le blockbuster, qui aurait dû sortir en salles en décembre dernier, arrive directement en ligne. L’attente n’en valait pas la peine : en transposant dans les années 1980 ses aventures, la réalisatrice Patty Jenkins ne fait qu’aseptiser la fameuse amazone.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
POUR : WW84 déjoue ses propres enjeux super-héroïques, mais il possède cette nature rare, dans une telle proposition de culture industrielle, d’être un véritable film avec de belles idées de mise en scène et un cœur immense.
Le Parisien
Outre ses spectaculaires scènes d’action, le film, très réussi, met en scène une héroïne encore plus proche des humains que lors du premier volet…
20 Minutes
Même si ce deuxième film est mollasson, Gal Gadot est bien dans les bottes rouges de Wonder Woman.
Ecran Large
Imparfait, souvent schizophrène et souffrant de finitions parfois cosmiques, Wonder Woman 1984 étonne souvent par ses bonnes idées, une conception du spectacle étonnamment fidèle aux canons des comics, et un récit à hauteur de ses personnages, et donc des émotions du spectateur.
L'Ecran Fantastique
Malgré l'enthousiasmante partition d'Hans Zimmer, une interprétation empathique et un caméo qui ravira les fans de la série télévisée éponyme des années 70, le film apprécié par défaut à l'aune d'un écran de salon se classe hélas un cran en deçà de l'épisode initial.
Critikat.com
Souvent mièvre, WW84 a au moins le mérite d'injecter un peu d'humanité chez les übermenschen de la Justice League.
Filmsactu
Grosse déception pour ce Wonder Woman 2 qui, après un démarrage certes kitsch mais porté par un charme naïf et lumineux, s'écroule totalement dans une très très longue seconde partie qui flirte sans honte avec le vrai navet.
La Voix du Nord
La candeur est assumée, certaines thématiques sont d’actualité et les effets spéciaux renouent avec le charme des Superman version Christopher Reeve, avec câbles et poulies cachées. D’un autre côté, ça ne suffit pas à donner du rythme à cette très longue romance juste rehaussée de quelques séquences d’action assez désuètes.
Le Journal du Geek
Wonder-Woman 1984 se prend trop au sérieux et ne parvient pas à nous émouvoir comme il le voudrait, pire il en devient parfois risible.
Les Echos
La réalisatrice du beau « Monster » (2003) s'amuse à reconstituer les années 1980, avec ce qu'il faut de tenues fluo. Elle y égare malheureusement son héroïne qui n'apparaît vraiment en Wonder Woman qu'après quatre-vingt-dix longues minutes.
Les Inrockuptibles
La réalisatrice Patty Jenkins et l’actrice Gal Gadot ont fait basculer ce monde sévère dans un grand bain radieux de femmes et de couleurs.
Libération
Amusant, certes. Mais le film a une façon assez terrifiante de remplacer le grand relativisme de l’ère Trump – où les faits eux-mêmes sembl(ai)ent ne plus avoir d’importance – par une autre forme d’extrémisme : la croyance en l’existence d’absolus moraux qui se donneraient à comprendre de façon évidente et incontestable.
Positif
[...] 2 h 30, étrangement molles. Même Gal Gadot paraît avoir perdu l’énergie de l’épisode précédent.
Culturopoing.com
CONTRE : Définitivement raté sur tous les tableaux, Wonder Woman 1984, non content d’incarner un point de non-retour dans le genre par son absence totale de cinéma, devient contre-productif tant son message superficiellement asséné se retrouve parasité, voire retourné, par l’absence de charisme de ses figures héroïques et la démesure de son méchant.
Le Monde
La suite des aventures de Diana Prince, réalisé par Patty Jenkins, souffre de longueurs et d’un scénario simpliste, avec un personnage de méchant inspiré de Donald Trump.
Le Point
Au terme de ce chemin de croix, nous le crions donc sans altruisme, ni amour ni compassion : la deuxième course de Wonder Woman tourne au bouillon. La chute est rude et la super-héroïne au lasso nous assomme. Suivant !
Mad Movies
[...] une gestion catastrophique du rythme, des enjeux, du concept même de divertissement.
Première
Et quand, enfin, Jenkins se décide à s’attaquer au seul sujet de cinéma qui aurait pu animer Wonder Woman 1984, la mièvrerie consternante du propos dévore tout. On cherche encore la dose de fun et d’insouciance qu’on était venu chercher.
Télérama
Le blockbuster, qui aurait dû sortir en salles en décembre dernier, arrive directement en ligne. L’attente n’en valait pas la peine : en transposant dans les années 1980 ses aventures, la réalisatrice Patty Jenkins ne fait qu’aseptiser la fameuse amazone.