Je suis le premier commentaire *-*. Moi qui suis fan des film d'horreur je peut vous dire que celui la est juste génial. L'histoire tien la route du début à la fin, j'espère qu'il y en aura un deuxième qui sera a la hauteur du premier. franchement il mérite un 10/10. Les acteurs sont au top l'enfant joue merveilleusement bien sont rôle. Bref je recommande le film a film à tous les amateurs de films d'horreur. D'ailleurs le film ma fait pensée a esther pour se qui connaisse vous serait de quoi je parle ;) Bonne journée à tous :*
La réincarnation du côté sombre, encore faut-il y croire ! Certaines scènes nous mettent en haleine, mais elles sont beaucoup trop rares dans ce scénario plutôt lent et sans réelles actions
Carré dans sa réalisation, le scénario est malin et procure quelques frissons. Plaisir de voir Taylor Schilling (Orange OCS) dans un rôle de mère dépassée par les événements irrationnels... La fin change des films de genre US.
Un film de possession qui sonne déjà-vu, rien qu’en terme d’ambiance et de mise en scène, mais qui prend néanmoins quelques virages scénaristiques le sortant du marasme, la fin est d’ailleurs assez inattendue. Regardable.
Mais non !! C'était bien parti, plutôt ficellé sur une intrigue bien renseignée... spoiler: Dommage que la fin soit si attendue et décevante...[/spoiler[spoiler]]Dommage qu'encore une fois le gore l'emporte!
Super bien ficelé. Angoissant et très bien interprété. Un sujet qui reste une belle énigme encore aujourd'hui entre maladies psychiatriques et possession. Je recommande.
Pour précision, ce n'est pas le diable, mais simplement un psychopathe qui meurt au même moment que le petit garçon naît, et prend place dans son corps. C'est expliqué dès le début du film... J'ai vu la version canadienne et ça ne casse vraiment pas 3pattes à un canard comme on dit ici ��. Le scénar est convenu, les acteurs font ce qu'ils peuvent, et les décisions prises font dresser les cheveux sur la tête... bref, sitôt vu, sitôt oublié! Vous pouvez passez votre chemin...
On se réjouissait tellement de voir le nom de Nicholas McCarthy accolé à un film d'enfant maléfique que l'on n'avait même pas imaginé un seul instant la possibilité d'être déçu... Hélas, il ne faut pas bien longtemps pour comprendre que "The Prodigy" n'aura pas grand chose de prodigieux sinon les fulgurances de son réalisateur pour tenter de transcender une histoire qui a pour seule réelle particularité d'être un curieux mix entre "Chucky" et "La Malédiction"...
Encore relativement discret (ces deux premiers films sont des DTV qui ne méritaient pas ce sort), McCarthy s'est fait remarquer pour sa capacité à créer des films d'épouvante où règnent une atmosphère aussi viscérale que sensorielle de la peur, la rendant pour ainsi dire presque palpable à l'écran. Ses jumpscares, qu'il utilise comme un simple outil parmi une large palette et non comme unique ressort, font d'ailleurs partie des plus efficaces que l'on ait vu et servent toujours ces ambiances anxiogènes qu'il construit savamment. Après avoir revisité le thème du fantôme avec "The Pact" (enfin...) et celui de la possession dans "At The Devil's Door" (deux réussites), l'imaginer se confronter à un enfant déviant était donc une perspective plus qu'alléchante mais une donnée capitale aurait dû pourtant attirer notre attention dès le départ : McCarthy n'est pour une fois pas le scénariste de son film ! On le réalise assez rapidement devant le classicisme éhonté de l'entreprise, le début du long-métrage grille même bêtement le peu de mystère qu'il aurait pu entretenir sur les origines du phénomène en les dévoilant d'emblée et s'enfourne ensuite dans tous les lieux communs possibles que la dénomination de "film d'enfant maléfique" peut faire venir à l'esprit d'un spectateur lambda. Pendant une grosse demi-heure, il n'y a foncièrement rien d'original dans "The Prodigy" et le spectateur n'a plus qu'à se raccrocher aux rares wagons de satisfaction que McCarthy essaie de faire surgir. Les tentatives d'installer une vraie ambiance sont bien réelles mais elles ne peuvent rien face à la platitude du déroulement de l'histoire, la personnalité tordue derrière l'apparente innocence du petit Miles (excellent Jackson Robert Scott) permet néanmoins de jolis pics malsains et deux, oui, deux jumpscares, celui du visage (vous comprendrez...) et du couloir, font vraiment leur petit effet. On reprend un peu espoir devant la mise en avant de la réincarnation abordée par un prisme pseudo-scientifique, celle-ci aboutira d'ailleurs sur la meilleure séquence du film, la séance d'hypnose brillamment réalisée et exploitant à son paroxysme le côté glauque du "patient". Tout cela apparaîtra hélas à nouveau très vain devant notamment une dernière partie qui aurait pu pousser le curseur du malsain très loin (l'idée de la mère aurait pu être encore bien plus extrême) mais la frilosité agaçante à embrasser pleinement la cruauté de cette histoire pour toujours se réfugier dans ses issues les plus banales achèvera d'envoyer "The Prodigy" dans les limbes de l'anecdotique.
Peut-être que Nicholas McCarthy a voulu s'essayer à un style plus grand public en réalisant le scénario horriblement ordinaire d'un autre ? En tout cas, mal lui en a pris, "The Prodigy" devient instantanément le point noir de sa courte filmographie où seuls ses coups de génie en matière de mise en scène surnagent. Alors, Nicholas, on prend sa plus belle plume et on se met fissa à l'écriture du prochain film ! "The Prodigy" est clairement la preuve que tu n'es jamais mieux servi que par toi-même...
Cela se laisse regarder mais alors niveau originalité on repassera. Le scénario reste très simplet et emprunte à beaucoup de film ces différents codes, le tous mieux utiliser et exploiter ailleurs, Insidious en tête. Ne vous attendez pas à être surpris.
Film trop convenu avec un scénario bien trop souvent traité, linéaire et une fin sans surprise. Quelques scènes de tension rares et un rythme lent. Interprétations moyennes et comportements souvent décalés dans de telles circonstances. 2.5/5 !!! (pas plus).
Du rêve au cauchemar... Sarah et John sont heureux, ils vont enfin avoir un enfant après des années à essayer seulement, leur petit ange va vite les faire déchanter. Miles a toujours été un enfant particulier sauf que durant ses premières années, tout le monde pensait que c'était un génie sauf qu'en fait il n'est pas seul... "The Prodigy" est en quelque sorte un mélange de "Le bon fils" pour tout ce qui tourne autour de la méchanceté de l'enfant, et de "Chucky" parce qu'il est également question d'une réincarnation d'une personne peu fréquentable sauf que c'est un enfant qui devient maléfique et non pas une poupée. Le film n'a rien de bien original, tout ce qui est proposé a déjà été fait, mais il est efficace. Une bonne ambiance, une intrigue solide et des acteurs convaincants notamment Taylor Schilling qui est excellente ou encore le gamin qui joue bien son rôle. Au-delà de l'aspect horrifique, le réalisateur parle du rôle des parents lorsqu'ils sont confrontés à une situation si délicate qui peut être crédible si l'on omet le fait qu'il s'agit d'une réincarnation. Si ce n'était pas compliqué de faire mieux que les premiers films de Nicholas McCarthy, "The Prodigy" est clairement le meilleur film du réalisateur à ce jour. En somme, un bon thriller horrifique.