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Ykarpathakis157
4 708 abonnés
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1,5
Publiée le 31 juillet 2020
The Prodigy a commencé avec un réel potentiel mais est ensuite devenu si incroyablement horrible. Il y a juste trop de trous dans l'intrigue pour en faire un film crédible. Oui je sais que c'est un film et écrire un film n'est certainement pas une tâche facile. Mais un écrivain devrait être capable de regarder ce qui est écrit concernant un film et de dire simplement c'est bon ou mauvais. Ensuite proposez et faites des suggestions. Très probablement le réalisateur a été entraîné dans des directions différentes pour répondre aux désirs des producteurs. Mais allez l'homme conduire son enfant à la maison des survivant ou le psychiatre ne filme pas la séance avec le mineur. Le facteur incroyable était bien trop difficile à gérer pour moi...
Du rêve au cauchemar... Sarah et John sont heureux, ils vont enfin avoir un enfant après des années à essayer seulement, leur petit ange va vite les faire déchanter. Miles a toujours été un enfant particulier sauf que durant ses premières années, tout le monde pensait que c'était un génie sauf qu'en fait il n'est pas seul... "The Prodigy" est en quelque sorte un mélange de "Le bon fils" pour tout ce qui tourne autour de la méchanceté de l'enfant, et de "Chucky" parce qu'il est également question d'une réincarnation d'une personne peu fréquentable sauf que c'est un enfant qui devient maléfique et non pas une poupée. Le film n'a rien de bien original, tout ce qui est proposé a déjà été fait, mais il est efficace. Une bonne ambiance, une intrigue solide et des acteurs convaincants notamment Taylor Schilling qui est excellente ou encore le gamin qui joue bien son rôle. Au-delà de l'aspect horrifique, le réalisateur parle du rôle des parents lorsqu'ils sont confrontés à une situation si délicate qui peut être crédible si l'on omet le fait qu'il s'agit d'une réincarnation. Si ce n'était pas compliqué de faire mieux que les premiers films de Nicholas McCarthy, "The Prodigy" est clairement le meilleur film du réalisateur à ce jour. En somme, un bon thriller horrifique.
On se réjouissait tellement de voir le nom de Nicholas McCarthy accolé à un film d'enfant maléfique que l'on n'avait même pas imaginé un seul instant la possibilité d'être déçu... Hélas, il ne faut pas bien longtemps pour comprendre que "The Prodigy" n'aura pas grand chose de prodigieux sinon les fulgurances de son réalisateur pour tenter de transcender une histoire qui a pour seule réelle particularité d'être un curieux mix entre "Chucky" et "La Malédiction"...
Encore relativement discret (ces deux premiers films sont des DTV qui ne méritaient pas ce sort), McCarthy s'est fait remarquer pour sa capacité à créer des films d'épouvante où règnent une atmosphère aussi viscérale que sensorielle de la peur, la rendant pour ainsi dire presque palpable à l'écran. Ses jumpscares, qu'il utilise comme un simple outil parmi une large palette et non comme unique ressort, font d'ailleurs partie des plus efficaces que l'on ait vu et servent toujours ces ambiances anxiogènes qu'il construit savamment. Après avoir revisité le thème du fantôme avec "The Pact" (enfin...) et celui de la possession dans "At The Devil's Door" (deux réussites), l'imaginer se confronter à un enfant déviant était donc une perspective plus qu'alléchante mais une donnée capitale aurait dû pourtant attirer notre attention dès le départ : McCarthy n'est pour une fois pas le scénariste de son film ! On le réalise assez rapidement devant le classicisme éhonté de l'entreprise, le début du long-métrage grille même bêtement le peu de mystère qu'il aurait pu entretenir sur les origines du phénomène en les dévoilant d'emblée et s'enfourne ensuite dans tous les lieux communs possibles que la dénomination de "film d'enfant maléfique" peut faire venir à l'esprit d'un spectateur lambda. Pendant une grosse demi-heure, il n'y a foncièrement rien d'original dans "The Prodigy" et le spectateur n'a plus qu'à se raccrocher aux rares wagons de satisfaction que McCarthy essaie de faire surgir. Les tentatives d'installer une vraie ambiance sont bien réelles mais elles ne peuvent rien face à la platitude du déroulement de l'histoire, la personnalité tordue derrière l'apparente innocence du petit Miles (excellent Jackson Robert Scott) permet néanmoins de jolis pics malsains et deux, oui, deux jumpscares, celui du visage (vous comprendrez...) et du couloir, font vraiment leur petit effet. On reprend un peu espoir devant la mise en avant de la réincarnation abordée par un prisme pseudo-scientifique, celle-ci aboutira d'ailleurs sur la meilleure séquence du film, la séance d'hypnose brillamment réalisée et exploitant à son paroxysme le côté glauque du "patient". Tout cela apparaîtra hélas à nouveau très vain devant notamment une dernière partie qui aurait pu pousser le curseur du malsain très loin (l'idée de la mère aurait pu être encore bien plus extrême) mais la frilosité agaçante à embrasser pleinement la cruauté de cette histoire pour toujours se réfugier dans ses issues les plus banales achèvera d'envoyer "The Prodigy" dans les limbes de l'anecdotique.
Peut-être que Nicholas McCarthy a voulu s'essayer à un style plus grand public en réalisant le scénario horriblement ordinaire d'un autre ? En tout cas, mal lui en a pris, "The Prodigy" devient instantanément le point noir de sa courte filmographie où seuls ses coups de génie en matière de mise en scène surnagent. Alors, Nicholas, on prend sa plus belle plume et on se met fissa à l'écriture du prochain film ! "The Prodigy" est clairement la preuve que tu n'es jamais mieux servi que par toi-même...
Pour précision, ce n'est pas le diable, mais simplement un psychopathe qui meurt au même moment que le petit garçon naît, et prend place dans son corps. C'est expliqué dès le début du film... J'ai vu la version canadienne et ça ne casse vraiment pas 3pattes à un canard comme on dit ici ��. Le scénar est convenu, les acteurs font ce qu'ils peuvent, et les décisions prises font dresser les cheveux sur la tête... bref, sitôt vu, sitôt oublié! Vous pouvez passez votre chemin...
Une histoire comme on en a deja vu avec un twist final assez basique en fin de compte. Mais la mise en scène et le jeu du petit garçon est au top. Pour le deroulement du film rien de bien nouveau ni effrayant mais une trame qui se pose peu a peu. Je pense que l histoire aurait du etre traité plus en profondeur d autant qu il y a quelques moments qui pourraient amener sur d autre chemin et exploité d autre façon. Sa reste assez simple et basique mais se laisse regarder. Pourquoi meme si avec l avancement du film je l attendais a une fin plus percutante.
Un film de possession qui sonne déjà-vu, rien qu’en terme d’ambiance et de mise en scène, mais qui prend néanmoins quelques virages scénaristiques le sortant du marasme, la fin est d’ailleurs assez inattendue. Regardable.
Et bien ce n'est pas mal du tout ce petit film d'épouvante ! On y retrouve miss "Orange is the New Black" en proie à un sacré dilemme, à savoir croire son propre fils ou le combattre. L'atmosphère est très bonne, sujette à la tension, la réalisation tout à fait honnête et quelques jump scares s'avèrent bien efficaces. Le scénario n'a rien de bien nouveau mais est assez étoffé pour nous maintenir en haleine, le reste des sensations est procuré par le gamin qui joue à merveille et prend visiblement un malin plaisir à angoisser son monde. Voilà ce n'est pas un chef d'œuvre mais le cahier des charges est parfaitement comblé et le spectateur peut passer un bon moment.
The prodigy met en scène un enfant possédé par l'âme d'un tueur en série qui revient à la vie à travers son corps. Un film correct qui se laisse regarder sans à aucun moment se démarquer de la masse de films sortant récemment sur les enfants possèdes.
"The Prodigy" n'est pas ce qu'on peut appeler un gros raté ou une catastrophe industrielle mais il souffre d'un syndrome très fréquent dans le monde du cinéma d'épouvante-horreur: tout se ressemble!!! En effet, "The Prodigy" reproduit les mêmes choses que les sagas Conjuring, Ouija et Insidious, qui inondent le marché ces dernières années. Enfant possédé spoiler: (il frappe un camarade; les yeux vairons; il ne pleure jamais; il est surdoué) , parents désabusés spoiler: (la mère enregistre les paroles de son fils la nuit; le père est agressé; les 2 sont espionnés dans leur chambre) , événements étranges spoiler: (le chien qui disparaît, le fils sort de son corps la nuit, le père soupçonné de battre son enfant) , une histoire du passé qui rejaillit spoiler: (la fille à la main coupée) , quelques pics d'effroi, une mise en scène lente qui imprègne de l'atmosphère, un visuel entre le gris sombre et le rouge sang, et une fin violente spoiler: (la mère est tuée par ce qui était son fils) , rien ne surprend vraiment. Pire encore, au bout de 10 minutes, on a déjà compris tous les rouages de l'intrigue (la réalisation est pas très subtile) et il ne reste qu'à attendre l'issue, plutôt prévisible à partir du moment où on peut supposer que les créateurs ont déjà une suite en tête. L'ensemble repose alors entièrement sur l'excellente Taylor Schilling et surtout l'exceptionnel Jackson Robert Scott, capable de passer du gentil petit garçon à l'esprit terrifiant en 2 secondes, c'est bluffant. Au final, "The Prodigy" ne restera pas dans les mémoires, c'est juste une resucée de ce que le cinéma d'horreur produit de stéréotypé ces derniers temps, à l'exception du très bon Conjuring, de l'effrayant Insidious et du correct Ouija Origin of Evil.
Film trop convenu avec un scénario bien trop souvent traité, linéaire et une fin sans surprise. Quelques scènes de tension rares et un rythme lent. Interprétations moyennes et comportements souvent décalés dans de telles circonstances. 2.5/5 !!! (pas plus).
« The prodigy » est un film fantastique, sorti directement en DVD, mais qui mérite d'être découvert avec bienveillance. Pourtant, l'intrigue ne brille guère par son originalité, tant les histoires d'enfants possédés sentent le réchauffé depuis que « L'exorciste » ou un certain « Damien » ont défrayé la chronique il y a « quelques temps ». Ceci dit, notre jeune garçon joue parfaitement son rôle et la réussite du film repose en grande partie sur ses frêles épaules. Son côté juvénile lui donne un air inoffensif... mais il a un je ne sais quoi d'insidieux dans le regard qui rend vraiment mal à l'aise (c'est plutôt flippant). Les seconds rôles ne sont pas mal non plus et on se laisse totalement embarquer dans cette histoire au goût de « déjà vu » mais qui ne se déshonore à aucun moment. Au final, la tension nerveuse est donc bien au rendez-vous et place ce titre dans la bonne moyenne du genre.
Cela se laisse regarder mais alors niveau originalité on repassera. Le scénario reste très simplet et emprunte à beaucoup de film ces différents codes, le tous mieux utiliser et exploiter ailleurs, Insidious en tête. Ne vous attendez pas à être surpris.
The Prodigy est franchement intéressant et mérite largement le coup d'oeil. Le pitch est assez simple : alors qu'un tueur en série se fait abattre par la police, un bébé naît dans le même temps. En grandissant, cet enfant semble montrer des comportements de plus en plus violents, au point d'en effrayer ses propres parents. De ce point de départ somme toute assez banal traitant d'un thème surexploité dans le cinéma de genre (la possession), Nicholas McCarthy nous entraîne dans un exercice de style parfaitement maîtrisé. Sans s'éloigner des balises du cinéma horrifique, ce qui est parfois regrettable, on prend plaisir à suivre son casting sans fautes durant les 90 minutes du métrage. La tension est palpable dans certaines scènes, et les rares jumpscare trouvent une cohérence dans le récit. Seul problème, comment se retrouver encore surpris par une histoire déjà racontée mille fois ? En l'absence de trouvailles visuelles et de mise en scène osée, bien que l'on prenne pas mal de plaisir devant la bobine, on en ressort avec la sensation d'avoir revu la même chose pour la énième fois. Reconnaissons tout de même que le cinéma horrifique ne nous procure ces dernières années que rarement du plaisir, alors ne le boudons pas face à une oeuvre dans laquelle on s'immerge facilement.
Je ne suis pas certain que" the prodigy" empêche un amateur du genre de dormir....bonne idée de départ mais pas trop bien exploitée, sans grandes surprises... (n'est pas James Wan qui veut ! ) le doublage euh... Sinon ça se laisse regarder à condition de laisser son sens critique en mode "pause"
La réincarnation du côté sombre, encore faut-il y croire ! Certaines scènes nous mettent en haleine, mais elles sont beaucoup trop rares dans ce scénario plutôt lent et sans réelles actions