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Marjolaine A.
133 abonnés
500 critiques
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2,0
Publiée le 30 septembre 2020
L'histoire est plutôt bien trouvée et bien écrite, mais était plutôt faite pour un court métrage que pour un film d'une heure et demie. Fatalement le film souffre de quelques longueurs, surtout que la fin est beaucoup trop facile à deviner. L'absence de toute mise en perspective ou d'explications réduit le film à une sorte de long épisode de la quatrième dimension. Heureusement que les acteurs sont bons, ce sont eux qui sauvent le film. C'est tout de même de la science fiction qui sent la naphtaline et les années 50.
L'idée est intéressante mais finalement pas développer. En soit on tourne en rond mais on avance pas réellement. spoiler: Seul le moment où l'un des protagonistes tentent de tuer l'enfant (devenu adulte) amène à un semblant d'avancement mais en fait non, retour à la case départ. Certes cet élément nous permet de comprendre un peu plus l'avancement du film. Mais justement il n'y a pas d'interaction réellement avec les lieux alors que spoiler: l'idée de labyrinthe était bonne...
C’est d’un ennui mortel, a moins d’être un philosophe qui arrivera a trouver la logique et la morale a cet chose indigeste et ennuyeuse qu’est ce film. C’est trop tordupour le commun des mortel,,qui comme moi cherche a travers le visionnage d’un film, un simple divertissement. Mais je ne me suis pas diverti un seul instant, c’est long, gnangnan, sans queue ni tête. Rien d’intéressant dans ce huis clos. Je ne sais pas comment j’ai tenu jusqu’au bout, j’espérais une fin logique qui aurait donner un sens a cette histoire, mais non, a l’image de l’ensemble du film, ça n a pas vraiment de sens a moins d’être, comme je le dis au début un philosophe capable de trouver les métaphores cachées derrière cette histoire abracadabranqueste.... Je ne comprends même pas que l’on puisse appeler ça un film, c’est plutôt un essai philosophique sur notre propre existence et sa raison d’être... C’est une perte de temps que d’avoir regarder ce pseudo film, on’espère tout le ,o’g qu’il va se passer quelque chose, mais non... rien, c’est le vide, le néant tout du long. Sa seule utilité est peut-être de pouvoir remplacer un somnifère en cas d’insomnie, ou un laxatif tellement c’est ch****....
Froid, angoissant, cruel et pesant, ce film reflète l'aliénation de notre société consumériste. Malheureusement, il semble étirer sa bonne idée de départ pour tourner un peu en rond. Suffisant toutefois pour mettre mal à l'aise et faire réfléchir...
Un bon film fantastique. Basé sur un scénario habile et bien exploité, on reste aspiré par cette étrange histoire. Dommage que la fin manque d'explications plus concrètes.
Ne dit-on pas que pour faire une bonne histoire il faut répondre à 4 grandes questions : Qui? Quand? Comment? et Pourquoi? Ce film a pris le parti inverse: le spectateur est amené à se poser en permanences ces questions. Qui est derrière tout ça? Le temps s'est-il arrêté ou au contraire avance-t-il en accéléré? Comment est-ce possible et surtout dans quel but? La fin du film ne résoud pas tout. Mais qu'importe puisque l'on a passé un bon moment... d'angoisse. Pour finir, je reviendrai sur les similarités avec la Quatrième Dimension évoquées dans plusieurs autres commentaires: il s'agit de l'épisode 5x29: Etape dans une petite ville. Mais on pensera également à l'excellent épisode The House That Jack Built de Chapeau Melon et bottes de cuir.
Ce labyrinthe résidentiel est original et mystérieux, mais il est traité comme une sorte de docufiction psychologique. Résultat, l'ennui et la monotonie de la vie de ce couple emprisonné dans ce labyrinthe aseptisé sont parfaitement bien communiqués aux spectateurs qui voient le temps passer de plus en plus long. Un effort pas franchement récompensé par le dénouement et la révélation des dessous farfelus de ce labyrinthe.
Une bonne idée ne suffit pas à faire un bon film. Celui-ci aurait pu durer trente minutes. L'heure supplémentaire relève du remplissage. Dommage, il aurait sans doute suffi d'engager un vrai scénariste pour faire de ce film original un petit bijou. Quant à la critique sociétale signalée par divers critiques, il faut tout de même creuser profondément, comme le principal personnage du film, pour la trouver...
Il est essentiel d'adhérer d'emblée, spontanément et sans arrières-pensées, à la proposition du film de Lorcan Finnegan, qui peut sembler banale et un brin incohérente en surface mais se révèle en fin de compte aussi surréaliste et anxiogène que pouvait l'être une référence inattaquable comme 'Cube'. Sur les conseil d'un agent immobilier au comportement singulier, un jeune couple en recherche d'un nid d'amour se rend dans un lotissement pensé comme fonctionnel et idéal mais truffé d’incompréhensibles fautes de goût qui suscitent un indéfinissable sentiment d'inconfort. Bientôt, ils se rendent compte qu'ils sont prisonniers de l’endroit, qui ne comporte aucune issue apparente. Le lendemain, ils découvrent sur le pas de leur porte une caisse contenant des vivres et un nourrisson qu'ils auront l'obligation d'élever pour prix de leur liberté. Les premières images de 'Vivarium' constituent un bon indice, peut-être un brin trop évident, de ce qui va suivre, et auraient peut-être gagné à apparaître à un autre moment mais le scénario se garde bien de toute sur-explication. Au-delà de la critique sous-jacente d'un bonheur matériel factice et aseptisé qui détruit les êtres plus rapidement que n'importe quelle puissance surnaturelle, 'Vivarium' fonctionne surtout sur sa nature de solide huis-clos dont le scénario, quoi qu'il relève d’un high-concept idéal pour court-métrage ou d’un épisode de la Quatrième Dimension, tient étonnamment bien la longueur, sans que le résultat soit sujet à des réelles baisses de régime. L'amusement sardonique face à l'absurdité du supplice ce pauvre couple confronté à un "rêve familial" qu'il n'avait jamais souhaité ne faiblit pas mais cohabite avec un authentique malaise à mesure qu'on les observe perdre pied, sombrer dans la névrose et baisser les bras devant ce qui défie tout ce qui se rattache à l'humanité la plus élémentaire. L'ensemble est parfois un peu schématique mais comme le scénario se refuse à fournir la moindre solution clé sur porte, on aura toujours de quoi cogiter un peu après la séance.
Je n'ai pas beaucoup aimé ce film. Tout d'abord, l'idée est excellente, avec un jeune couple très sympathique (d'ailleurs, s'il y a une chose que j'ai bien aimé dans ce film, c'est la sympathie qu'ont pu m'inspirer les deux personnages principaux) qui se retrouve piégé dans un immense quartier complètement vide. où ils se retrouvent comme naufragés. Souvent, justement, les naufrages (par exemple dans un film comme "Seul au monde") sont propices à l'introspection et à la réflexion sur soi-même (on est seul, on a donc le temps de réfléchir...); et à la nécessité de se débrouiller par soi-même pour tenter de se sortir de ce faux-pas, ce qui permet de se révéler tel qu'on est réellement, en dehors de la société et des oripeaux de la vie moderne. Là où j'ai eu horreur de ce film, c'est qu'il prend volontairement ce principe totalement à contre-sens, et notre couple glisse au contraire vers la monotonie, l'absence de réflexion sur soi-même (qui leur est rendue impossible); bref ils sont totalement aliénés par le piège qui s'est refermé sur eux...Donc une très bonne idée gâchée par un fond et une réflexion qui sont consistants mais dont j'ai détesté la philosophie et la morale sous-jacente...
Sorti dans l'anonymat et réalisé par un cinéaste méconnu irlandais(Lorcan Finnegan),ce petit petit bijou fantastique est l'une des meilleures surprises de ces dernières années en matière d'étrangeté et de bizarre.Climat angoissant et anxiogène,personnages tordus et flippants(agent immobilier et enfant) rendent ce film par moment insupportable et perturbant.Claustrophobes,s'abstenir.Bienvenue dans la quatrième dimension...
le huit clos sf ou ses vrai on se perd facilement totalement perchée par contre jesse eisenberg joue bien attention au agents immobilier film que je déconseille
de bonnes idées, notamment graphiques. un black mirrori croisé avec un Truman show du néant, matinée du générique little boxes de Weeds. Mais c'est vrai qu'un format 40 ou 52 mn aurait mieux convenu. Un peu étiré