Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
On se laisse prendre au piège. Quelle claque !
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Point
par Marc Godin
À l'arrivée, Vivarium est une incroyable réussite, un cauchemar pavillonnaire implacable, bourré de surprises démentes, de rebondissements ahurissants et de quelques moments de pure terreur.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par Thierry Chèze
Par le prisme de la science-fiction, Vivarium raconte brillamment les angoisses des trentenaires.
Bande à part
par Olivier Pélisson
Bienvenue dans la dystopie brillante de Lorcan Finnegan, miroir grossissant de notre société du conformisme consumériste.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Une ambiance glaçante pour un huis clos qui terrifie.
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
Avec "Vivarium", Lorcan Finnegan invite son spectateur à un voyage sans promesse de retour et parvient à mettre le fantastique au service d’une fable terriblement dérangeante.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le réalisateur irlandais dit avoir été visuellement inspiré par une série de tableaux de Magritte, L’Empire des lumières. Mais c’est à l’esthétique des tableaux d’Edward Hopper que l’on songe, leurs décors avec de larges à-plats de couleurs, leurs compositions géométriques simples, leurs personnages enfermés dans leur solitude.
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Malin, cruel et ludique, "Vivarium" est un conte horrifique vertigineux, qui offre quelques belles raisons de cauchemarder. Un digne héritier de "La Quatrième Dimension", qui place directement Lorcan Finnegan parmi les réalisateurs à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Le scénario rappelle le style de la série La Quatrième Dimension, habile à susciter la peur avec peu d'effets. Une réussite.
L'Ecran Fantastique
par Ava Cahen
[un] film de genre qui obsède longtemps encore après sa vision.
L'Humanité
par Vincent Ostria
La mise en scène rigoureuse, le scénario bien écrit et les acteurs impeccables concourent à la réussite de ce film fantastique drôle et astucieux.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
C’est une fable sur les injonctions de la vie domestique dans nos sociétés standardisées. Le type de film-concept dont l’argument, digne d’un épisode de « la Quatrième Dimension », ne supporte généralement pas la durée d’un long-métrage. Là, si.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Le réalisateur irlandais dit avoir été visuellement inspiré par une série de tableaux de Magritte, L’Empire des lumières. Mais c’est à l’esthétique des tableaux d’Edward Hopper que l’on songe, leurs décors avec de larges à-plats de couleurs, leurs compositions géométriques simples, leurs personnages enfermés dans leur solitude.
Le Figaro
par La Rédaction
Il y a du Beckett en banlieue, du Cioran en pavillon dans Vivarium, mélange d’humour noir et de terreur fantastique. Le coronavirus n’a rien à voir là-dedans. L’existence humaine est la plus implacable des pandémies.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
À l’image d’un épisode de "La Quatrième Dimension" ou de son héritier "Black Mirror", le cauchemar des deux personnages prend des allures de fable cruelle et un brin horrifique où le fantastique, l’absurde et l’irrationnel se mêlent pour pointer du doigt les travers de nos sociétés matérialistes et ultra-consuméristes.
Mad Movies
par Cédric Delelée
La grande force de "Vivarium" est d'adopter un point de départ à la "Quatrième dimension" qui laisse craindre le symptôme du court-métrage-étiré-en-long, puis de contourner cet écueil en proposant une montée paranoïaque qui doit beaucoup à la série "Le Prisonnier".
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
"Vivarium" est un film-concept ludique et effrayant sur la façon dont nos pulsions de singularité finissent inévitablement par échouer sur les rives de nos existences normatives.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Sud Ouest
par Sophie Avon
De cette réclusion, le cinéaste Lorcan Finnegan tire une fable abstraite, impitoyable, effrayante. Entre deux rires qui deviennent des grimaces de terreur, on y contemple nos propres vies…
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Un thriller très prenant [...] servi par une magnifique mise en scène, à la fois clinique et ultracolorée.
Télérama
par Marie Sauvion
Un jeune couple se retrouve pris au piège d’un lotissement pimpant mais cauchemardesque. L’art de rendre le banal terrifiant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Le film décline avec talent et humour les figures imposées du genre.
Le Monde
par Clarisse Fabre
Présenté à la Semaine de la critique à Cannes, en 2019, ce second longmétrage a l’habileté de déployer une critique radicale du consumérisme sans forcer le trait, avec juste ce qu’il faut de décalage et d’invention (...).
Le Parisien
par Michel Valentin
Cette volonté de tirer le long-métrage vers la satire philosophique au lieu de livrer une version 2020 de ce qui aurait pu être un épisode de « La quatrième dimension » ou « Black Mirror » plombe hélas au bout d'un moment le propos, ses personnages tournant, au propre comme au figuré, un peu trop en rond.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un conte fantastique magnifiquement filmé questionnant le besoin de posséder.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Film plastique, "Vivarium" est un conte horrifique réussi, un suburb movie inquiété par les aspirations matérialistes de la société contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Baptiste Roux
[...] l’œuvre séduit et embarque le spectateur dans sa logique de cauchemar. La suite révèle malheureusement toutes les limites d’une bonne idée étirée sur une heure et demie [...], sans que les quelques rebondissements narratifs prévisibles ne viennent déroger au programme cyclique dont le spectateur aura pu anticiper les conséquences bien longtemps avant le dénouement.
Première
par Thierry Chèze
Dire que Finnegan révolutionne le genre serait mentir. Mais il réussit l’essentiel : installer et maintenir un climat angoissant sans jamais faire sursauter gratuitement le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par La Rédaction
Un thriller plus froid que glaçant, qui flirte avec l'étrange, façon La Quatrième dimension.
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Conte horrifique philosophique, huis clos stressant au possible, le film reste une parabole intéressante qui interroge.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Bien que le réalisateur utilise à merveille et à bon escient l’imagerie et l’ironie publicitaires, le film manque un peu d’esprit, de méchanceté, ou une écriture inattaquable (le récit est répétitif) pour que le film ait une puissance politique. En l’état, le message reste un peu consensuel.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
L'idée de départ du film est prometteuse. Malheureusement, ce scénario plein de promesses se met très vite à tourner en rond, comme les personnages dans le labyrinthe de leur lotissement.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Il n’y a pas de hors-champ ici, "Vivarium" est tout en surface, en concept, ce qui explique qu’il commence par séduire, avec ses faux airs de "Quatrième Dimension" ancienne époque, puis lasse et déçoit.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
On se laisse prendre au piège. Quelle claque !
Le Point
À l'arrivée, Vivarium est une incroyable réussite, un cauchemar pavillonnaire implacable, bourré de surprises démentes, de rebondissements ahurissants et de quelques moments de pure terreur.
Ouest France
Par le prisme de la science-fiction, Vivarium raconte brillamment les angoisses des trentenaires.
Bande à part
Bienvenue dans la dystopie brillante de Lorcan Finnegan, miroir grossissant de notre société du conformisme consumériste.
CNews
Une ambiance glaçante pour un huis clos qui terrifie.
Culturopoing.com
Avec "Vivarium", Lorcan Finnegan invite son spectateur à un voyage sans promesse de retour et parvient à mettre le fantastique au service d’une fable terriblement dérangeante.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le réalisateur irlandais dit avoir été visuellement inspiré par une série de tableaux de Magritte, L’Empire des lumières. Mais c’est à l’esthétique des tableaux d’Edward Hopper que l’on songe, leurs décors avec de larges à-plats de couleurs, leurs compositions géométriques simples, leurs personnages enfermés dans leur solitude.
Ecran Large
Malin, cruel et ludique, "Vivarium" est un conte horrifique vertigineux, qui offre quelques belles raisons de cauchemarder. Un digne héritier de "La Quatrième Dimension", qui place directement Lorcan Finnegan parmi les réalisateurs à suivre.
Femme Actuelle
Le scénario rappelle le style de la série La Quatrième Dimension, habile à susciter la peur avec peu d'effets. Une réussite.
L'Ecran Fantastique
[un] film de genre qui obsède longtemps encore après sa vision.
L'Humanité
La mise en scène rigoureuse, le scénario bien écrit et les acteurs impeccables concourent à la réussite de ce film fantastique drôle et astucieux.
L'Obs
C’est une fable sur les injonctions de la vie domestique dans nos sociétés standardisées. Le type de film-concept dont l’argument, digne d’un épisode de « la Quatrième Dimension », ne supporte généralement pas la durée d’un long-métrage. Là, si.
Le Dauphiné Libéré
Le réalisateur irlandais dit avoir été visuellement inspiré par une série de tableaux de Magritte, L’Empire des lumières. Mais c’est à l’esthétique des tableaux d’Edward Hopper que l’on songe, leurs décors avec de larges à-plats de couleurs, leurs compositions géométriques simples, leurs personnages enfermés dans leur solitude.
Le Figaro
Il y a du Beckett en banlieue, du Cioran en pavillon dans Vivarium, mélange d’humour noir et de terreur fantastique. Le coronavirus n’a rien à voir là-dedans. L’existence humaine est la plus implacable des pandémies.
Le Journal du Dimanche
À l’image d’un épisode de "La Quatrième Dimension" ou de son héritier "Black Mirror", le cauchemar des deux personnages prend des allures de fable cruelle et un brin horrifique où le fantastique, l’absurde et l’irrationnel se mêlent pour pointer du doigt les travers de nos sociétés matérialistes et ultra-consuméristes.
Mad Movies
La grande force de "Vivarium" est d'adopter un point de départ à la "Quatrième dimension" qui laisse craindre le symptôme du court-métrage-étiré-en-long, puis de contourner cet écueil en proposant une montée paranoïaque qui doit beaucoup à la série "Le Prisonnier".
Marie Claire
"Vivarium" est un film-concept ludique et effrayant sur la façon dont nos pulsions de singularité finissent inévitablement par échouer sur les rives de nos existences normatives.
Sud Ouest
De cette réclusion, le cinéaste Lorcan Finnegan tire une fable abstraite, impitoyable, effrayante. Entre deux rires qui deviennent des grimaces de terreur, on y contemple nos propres vies…
Télé Loisirs
Un thriller très prenant [...] servi par une magnifique mise en scène, à la fois clinique et ultracolorée.
Télérama
Un jeune couple se retrouve pris au piège d’un lotissement pimpant mais cauchemardesque. L’art de rendre le banal terrifiant.
Cahiers du Cinéma
Le film décline avec talent et humour les figures imposées du genre.
Le Monde
Présenté à la Semaine de la critique à Cannes, en 2019, ce second longmétrage a l’habileté de déployer une critique radicale du consumérisme sans forcer le trait, avec juste ce qu’il faut de décalage et d’invention (...).
Le Parisien
Cette volonté de tirer le long-métrage vers la satire philosophique au lieu de livrer une version 2020 de ce qui aurait pu être un épisode de « La quatrième dimension » ou « Black Mirror » plombe hélas au bout d'un moment le propos, ses personnages tournant, au propre comme au figuré, un peu trop en rond.
Les Fiches du Cinéma
Un conte fantastique magnifiquement filmé questionnant le besoin de posséder.
Les Inrockuptibles
Film plastique, "Vivarium" est un conte horrifique réussi, un suburb movie inquiété par les aspirations matérialistes de la société contemporaine.
Positif
[...] l’œuvre séduit et embarque le spectateur dans sa logique de cauchemar. La suite révèle malheureusement toutes les limites d’une bonne idée étirée sur une heure et demie [...], sans que les quelques rebondissements narratifs prévisibles ne viennent déroger au programme cyclique dont le spectateur aura pu anticiper les conséquences bien longtemps avant le dénouement.
Première
Dire que Finnegan révolutionne le genre serait mentir. Mais il réussit l’essentiel : installer et maintenir un climat angoissant sans jamais faire sursauter gratuitement le spectateur.
Voici
Un thriller plus froid que glaçant, qui flirte avec l'étrange, façon La Quatrième dimension.
aVoir-aLire.com
Conte horrifique philosophique, huis clos stressant au possible, le film reste une parabole intéressante qui interroge.
CinemaTeaser
Bien que le réalisateur utilise à merveille et à bon escient l’imagerie et l’ironie publicitaires, le film manque un peu d’esprit, de méchanceté, ou une écriture inattaquable (le récit est répétitif) pour que le film ait une puissance politique. En l’état, le message reste un peu consensuel.
Franceinfo Culture
L'idée de départ du film est prometteuse. Malheureusement, ce scénario plein de promesses se met très vite à tourner en rond, comme les personnages dans le labyrinthe de leur lotissement.
Libération
Il n’y a pas de hors-champ ici, "Vivarium" est tout en surface, en concept, ce qui explique qu’il commence par séduire, avec ses faux airs de "Quatrième Dimension" ancienne époque, puis lasse et déçoit.