AlloCiné
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Votre avis sur Le rituel ?
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Le début est pas mal est l'histoire tient la route jusqu'au moment on la créature apparait...
spoiler:
pourquoi l'enfant batard d'un dieu fait-il des trous dans le vide d'une personne sur 5 ? pourquoi ne tue-t-il pas notre héros à la fin ? pourquoi a-t-il peur de faire 5 mètres pour le récupérer ???
Ça commence pourtant assez bien! La photo sombre et la musique oppressante apporte une touche idéale au film du genre, malheureusement ça tourne vite en ridicule et d’ autant plus quand on aperçoit le fils non legitime d une ancienne divinité viking...c’ est long et prévisible et encore une fois le film d’ horreur n’ apporte rien qui me fasse lever les poils!
Film mais tellement nul. Ni queue ni tête. J ai perdu mon temps. Quand on sait qu'à la fin il fait 200 mètres pour sortir de la forêt.
Arrivé sur Netflix de façon discrète, ''Le Rituel'' s'est construit en l'espace de quelques jours une petite réputation qui méritait qu'on y jette un œil. Et on va dire qu'on a vraiment du mal à comprendre tous les avis hautement positifs sur le film qui, en dépit de quelques idées, ne fait que rabâcher de vieilles recettes du cinéma d'horreur. Sorte de mélange entre ''The Descent'' (pour les potes partant en randonnée alors qu'ils sont endeuillés par la mort récente d'un ami) et ''Le projet Blair Witch'' (pour les bois et ses objets de sorcellerie), ''Le Rituel'' peine à vraiment briller. Certes, David Bruckner a le mérite de ne pas faire de jump-scare faciles et préfère miser sur une ambiance délicieusement anxiogène où le moindre craquement dans les bois peut faire sursauter mais il a sérieusement du mal à proposer autre chose. En dépit de la prestation solide de Rafe Spall en type rongé par la culpabilité, le reste du film ne vaut que pour ses décors et quelques plans habilement mis en scène. Tout ce qui constitue l'ensemble du récit est finalement convenu pour quiconque avec un peu d'expérience dans le genre. Traînant en longueurs dans sa première partie, partant en sucette dans sa seconde, ''Le Rituel'' peine à vraiment convaincre et offre un divertissement arrachant quelques frissons certes, mais pas vraiment à la hauteur des louanges qu'on lui chante...
7eme critique
"Promenons-nous dans les bois, tant que le loup n'y est pas...!"
Effectivement, le loup n'est pas là, mais le monstre traqueur digne d'une mythologie grecque, lui, oui !
Netflix nous propose sa randonnée originale. "Un rituel" ni vraiment effrayant, ni vraiment emballant, ne servant qu'à tuer le temps !
Effectivement, le loup n'est pas là, mais le monstre traqueur digne d'une mythologie grecque, lui, oui !
Netflix nous propose sa randonnée originale. "Un rituel" ni vraiment effrayant, ni vraiment emballant, ne servant qu'à tuer le temps !
Avec sa sympathique ambiance à la Blair Witch (sans malheureusement égaler ce dernier), Le Rituel se laisse agréablement regarder. Netflix nous propose ici un petit film sans prétention auquel il ne manque finalement qu'un bon pitch. A voir si vous aimez le genre.
Bon début ,Ça m’à fait penser à Predator mais bien en dessous sur le plan du scenario et des effets speciaux .On ne sait pas d’ou sort cet animal mi-homme mi démon ,la fin est baclée .
Très angoissant par une mise en scène virtuose, un sens du cadrage, la musique et les sons, le jeu des acteurs. Pas de rythme hystérique, d'effets spéciaux surabondants ou de jumpscare ridicules. Un film minimaliste, onirique, horrifique, poétique et terriblement humain.
Le rituel n'est pas un mauvais film, mais ce n'est pas un bon film non plus. Pour une histoire de ce genre, on regrette la patte de Guillermo Del Toro. L'idée est là, dommage. Le traitement reste superficiel et ce survival ne nous prend pas aux tripes...
La première partie est bien exploitée avec un survival dans les belles forêts suédoises, et la montée en pression façon "projet Blair Witch". Mais malheureusement tout s'effondre sur la fin quand le mystère se révèle et qu'on se demande si les scénaristes n'ont pas abusé de bière Skoll pour achever leur script...C'est dommage, il y avait de quoi faire.
Sauf à interpréter au 4e degré, pas grand’chose à sauver dans ce film. C’était pourtant pas trop mal parti. Donc un groupe de trentenaires, pas vraiment sortis de l’adolescence, traîne son ennui dans les bars après le boulot en faisant des projets pas trop ambitieux pour les prochaines vacances…
L’un de ces glandeurs patentés, Luc, se trouve mêlé au meurtre de l’un des amis et agit lâchement sur le moment. A la suite du drame, le groupe organise un treck en mémoire du cher disparu : cap sur la Suède. Jusque là ça va.
Tout se gâte au moment où, s’étant égaré, le groupe s’aventure dans une sombre forêt qui s’avère rapidement maléfique. La tension monte dangereusement entre les amis qui se dévoilent enfin au grand jour, quand, les uns après les autres, ils disparaissent dans des conditions violentes et inexplicables. On imagine un moment une mise en scène macabre des amis pour punir Luc de sa lâcheté passée ; pas du tout. Et là, on bascule dans l’irréel, le fantastique de 3e zone : un improbable et grotesque monstre tue les amis chacun leur tour. Un ours, on aurait admis, mais non. Le pire est atteint lorsque, dans leur fuite, les survivants rejoignent un sombre village oublié, habité par une bande de décérébrés congénitaux qui n’ont pas encore atteint le Moyen Age et adorent le dit monstre en lui offrant des victimes ! On se pince, non on ne rêve pas. Luc, grâce à un courage dont il n’a su faire preuve en un autre temps, vient ici à bout de toutes les difficultés obtenant ainsi la rédemption et, accessoirement, la mort de tous ses « amis ». Alléluia !
L’un de ces glandeurs patentés, Luc, se trouve mêlé au meurtre de l’un des amis et agit lâchement sur le moment. A la suite du drame, le groupe organise un treck en mémoire du cher disparu : cap sur la Suède. Jusque là ça va.
Tout se gâte au moment où, s’étant égaré, le groupe s’aventure dans une sombre forêt qui s’avère rapidement maléfique. La tension monte dangereusement entre les amis qui se dévoilent enfin au grand jour, quand, les uns après les autres, ils disparaissent dans des conditions violentes et inexplicables. On imagine un moment une mise en scène macabre des amis pour punir Luc de sa lâcheté passée ; pas du tout. Et là, on bascule dans l’irréel, le fantastique de 3e zone : un improbable et grotesque monstre tue les amis chacun leur tour. Un ours, on aurait admis, mais non. Le pire est atteint lorsque, dans leur fuite, les survivants rejoignent un sombre village oublié, habité par une bande de décérébrés congénitaux qui n’ont pas encore atteint le Moyen Age et adorent le dit monstre en lui offrant des victimes ! On se pince, non on ne rêve pas. Luc, grâce à un courage dont il n’a su faire preuve en un autre temps, vient ici à bout de toutes les difficultés obtenant ainsi la rédemption et, accessoirement, la mort de tous ses « amis ». Alléluia !
The ritual s'en sort bien, on joue pas trop sur les screamers, plus sur une ambiance pesante, et c'est un bon point. Par contre l'histoire est quand même un peu trop survolée, et la fin est complètement débile, spoil : Les villageois se soumettent a la bête depuis des années alors qu'en pleine journée ils n'avaient qu'a faire 500 mètre pour sortir du bois et être sauvé................ Pas mal 3/5
un navet,On s'ennuie!! Du déjà vu et revu de plus la fin est juste grossière. S'abstenir de regarder ce film. Netflix nous habitue à des films de troisième zone comme d'habitude.
Pas mal du tout. Un film plaisant et intéressant.
Le scénar, sans être exceptionnel, a le mérite d'être intéressant et de sortir du lot.
La mise en scène est tout de même au dessus de l'énorme tas de films d'horreurs sans saveur qui se basent seulement sur les jumpscares, mais on sent qu'elle aurait pu améliorer pour apporter plus de tension et d'angoisse au film.
Le scénar, sans être exceptionnel, a le mérite d'être intéressant et de sortir du lot.
La mise en scène est tout de même au dessus de l'énorme tas de films d'horreurs sans saveur qui se basent seulement sur les jumpscares, mais on sent qu'elle aurait pu améliorer pour apporter plus de tension et d'angoisse au film.
Une belle idée, nichée quelque part entre le dynamisme initié par le projet Blair Witch et l'inconfort souvent moins adroit de productions proches de Cabin in the Woods ou de The Witch. La force du film réside indéniablement dans l'heureux mariage entre un casting très appliqué et une dimension esthétique parfaitement assumée. La trame, elle, suit un rythme tout à fait satisfaisant : on ne s'ennuie pas, on s'accroche aux protagonistes et on se surprend à découvrir cette sordide affaire de légende nordique.
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