Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Cplanet.com
par Jean-Luc Brunet
Même les non-sportifs convaincus devraient se laisser séduire par le charisme et le sourire incroyables de ce petit homme qu'aucun obstacle (au sens propre comme au figuré) ne semble devoir arrêter.
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
FHM
par B.R.
(...) le résultat est d'une insolente simplicité. Rafraîchissant. Cours, Haïlé, cours !
La critique complète est disponible sur le site FHM
Le Figaro
par Claude Baignères
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaro Magazine
par François Dauré
Homme de coeur, de courage et génie de la course, Haile est grand. Il est un prince. Et le mérite du film (...) est bien de le montrer dans sa simplicité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Haile (...) joué par le champion lui-même, force le respect par sa détermination mais aussi par sa belle âme. On est d'ailleurs frustré de ne plus entendre le champion s'exprimer. Les quelques phrases qu'il confie, face à la caméra, sont simples et fortes.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Parisien
par Eric Leguèbe
La sincérité du propos et la simplicité de la réalisation confèrent à ce film une force que bien des fictions ne peuvent transmettre. « Endurance » a le souffle de son héros.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Annie Coppermann
Ce film à la fois hagiographique et émouvant fera-t-il rêver les marathoniens, et les enfants des écoles ? Il a, en tout cas, le mérite de montrer le revers... de la médaille : l'obstination, et le rude effort.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Ciné Live
par Iris Mazzacurati
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
par Grégoire Leménager
C'est magnifique de sobriété. Dommage que le doublage (pénible) et la musique (...) ne partagent pas toujours cette retenue. Comme si le film hésitait entre la pudique authenticité du documentaire et la fiction édifiante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Lenouveaucinema.com
par Jean-Philippe Guerand
Dommage que le réalisateur de cette hagiographie naïve se soit senti obligé de tronçonner la plus belle des courses en une série de vignettes entrecoupées de flash-back. On se consolera en damirant Hailé Gébrésélassié courir à Sydney.
La critique complète est disponible sur le site Lenouveaucinema.com
Repérages
par Frank Beauvais
Leslie Woodhead travaille à l'entretien d'une mythologie, traitant une victoire aux Jeux Olympiques comme s'il s'agissait d'une accession au Paradis, et oublie son travail de documentariste au profit de celui d'enthousiaste laudateur.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
(...) d'une aventure humaine âpre ils ne tirent qu'une biographie édifiante, répétitive, enluminée de bons sentiments et de belles images. Dommage car, à l'écran, Haile Gebreselassie ne fait pas de cinéma (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
(...) une ode à l'olympisme qui (...) vire au panégyrique édfiant, rappelant les grandes heures du cinéma de propagande soviétique (...)
La critique complète est disponible sur le site Aden
Première
par Christophe Narbonne
Il y a quelque chose de troublant à faire jouer à Gebreselassie sa propre histoire, quelque chose qui tient du culte de la personnalité et qu'on a un peu de mal à cautionner, même si son histoire est en elle-même émouvante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
(...) film puant le colonialisme d'un autre âge.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Cplanet.com
Même les non-sportifs convaincus devraient se laisser séduire par le charisme et le sourire incroyables de ce petit homme qu'aucun obstacle (au sens propre comme au figuré) ne semble devoir arrêter.
FHM
(...) le résultat est d'une insolente simplicité. Rafraîchissant. Cours, Haïlé, cours !
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaro Magazine
Homme de coeur, de courage et génie de la course, Haile est grand. Il est un prince. Et le mérite du film (...) est bien de le montrer dans sa simplicité.
Le Figaroscope
Haile (...) joué par le champion lui-même, force le respect par sa détermination mais aussi par sa belle âme. On est d'ailleurs frustré de ne plus entendre le champion s'exprimer. Les quelques phrases qu'il confie, face à la caméra, sont simples et fortes.
Le Parisien
La sincérité du propos et la simplicité de la réalisation confèrent à ce film une force que bien des fictions ne peuvent transmettre. « Endurance » a le souffle de son héros.
Les Echos
Ce film à la fois hagiographique et émouvant fera-t-il rêver les marathoniens, et les enfants des écoles ? Il a, en tout cas, le mérite de montrer le revers... de la médaille : l'obstination, et le rude effort.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
C'est magnifique de sobriété. Dommage que le doublage (pénible) et la musique (...) ne partagent pas toujours cette retenue. Comme si le film hésitait entre la pudique authenticité du documentaire et la fiction édifiante.
Lenouveaucinema.com
Dommage que le réalisateur de cette hagiographie naïve se soit senti obligé de tronçonner la plus belle des courses en une série de vignettes entrecoupées de flash-back. On se consolera en damirant Hailé Gébrésélassié courir à Sydney.
Repérages
Leslie Woodhead travaille à l'entretien d'une mythologie, traitant une victoire aux Jeux Olympiques comme s'il s'agissait d'une accession au Paradis, et oublie son travail de documentariste au profit de celui d'enthousiaste laudateur.
Studio Magazine
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Télérama
(...) d'une aventure humaine âpre ils ne tirent qu'une biographie édifiante, répétitive, enluminée de bons sentiments et de belles images. Dommage car, à l'écran, Haile Gebreselassie ne fait pas de cinéma (...)
Aden
(...) une ode à l'olympisme qui (...) vire au panégyrique édfiant, rappelant les grandes heures du cinéma de propagande soviétique (...)
Première
Il y a quelque chose de troublant à faire jouer à Gebreselassie sa propre histoire, quelque chose qui tient du culte de la personnalité et qu'on a un peu de mal à cautionner, même si son histoire est en elle-même émouvante.
Urbuz
(...) film puant le colonialisme d'un autre âge.