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zafkiel
54 abonnés
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0,5
Publiée le 31 décembre 2021
Rarement vu un téléfilm aussi pourri. Faut vraiment pas connaitre la licence du jeu vidéo pour aimer ce film, et encore, il faut avoir du guano dans les yeux et le cerveau pour ne pas voir le jeu d'acteur moisi. A part les décors plutôt pas mal retranscrits, tout est bon à mettre à la benne à ordures.
le début laisse présager une nouvelle vision de la franchise l ambiance est bonne et on se dit enfin un réalisateur a compris qu il suffirait juste d etre fidèle... cependant on déchante vite car on se perd rapidement dans ce scénario qui fait des grosses coupes et assemble les lieux ,scènes pour nous proposer une histoire fidèle mais qui s enchainent et ne nous donne pas un fil conducteur on passe d un personnage à l autre ,du manoir qui a l air d une cabane au commissariat cela dit tees bien fait au labo au train....zombies sans intérêt, lickers fakes....personnages transparent et une bande son correcte. ...dommage pour ce retour aux sources ils auraient pu se focaliser que sur la ville ou le manoir au lieu de ça on obtient un mélange brouillon
affligeant de nullité... Prévisible, cousu de fils blancs...même la scène post générique ne le donne plus envie de voir un épisode de la franchise et ça fait un moment mais là on touche le fond , surtout niveau effets spéciaux.... bref du temps de perdu
seigneur que c'est mauvais. Le choix des acteurs c'est simplement pas possible sauf pour claire, Léon depuis quand il ressemble à ça (Léon c'est vraiment le summum). les monstres sont eux aussi Bof, pas grand chose à se mettre sous la dent. Ah et comment oublier les dialogues, ça aussi c'est mauvais. Mauvais + mauvais + mauvais égale mauvais. Passer votre chemin.
Après la franchise créée par Paul W Anderson, voici un petit reboot revenant aux sources et essayant de s'approcher du jeu video. Pas mauvais pas excellent, c'est un film fait par un passionné avec de jeunes acteurs qui se débrouillent pas trop mal. Ce n'est pas un massacre comme beaucoup de commentaires l'annoncent, mais peut-être avec moins de CGI et des maquillages plus soignés, ça aurait été un bon film.
Pour les hardcore gamers, ce film est très bien ! On est vraiment dans un résident evil 1,2,3. Loin de la soupe indigeste de Jovovich. Le meilleur RE fait sous ce format là : mieux également que la série netflix. Tout y est ! Sauf les piles, les cartes, les passages de portes et d’escaliers incessants, et Léon... mon dieu qu’ont-ils fait à ce personnage. ? Il y a aussi un problème avec la bande son, ce film est ‘plat’. Il manque aussi des headshots et le fameux labo... Enfait pour une fois il y a eu trop de choses en peu de temps. Ce sont eux qui auraient dû faire la série. Car on en redemande finalement. On aimerait voir un Léon Kennedy chez les plagas et Wesker rapide comme l’éclair dans un deuxième volet. Ce jeu donne envie de rejouer les 3 premières sagas. Mas une question se pose toujours : est-il bien nécessaire de faire un/des RE en film quand le jeu se suffit à lui même car c’est un chez d’œuvre ....?
Nous avions cru la franchise « Resident Evil » éteinte, dans un dérapage aussi gargantuesque que sa bêtise. Mais la saga de Milla Jovovich derrière nous et des sorties de jeux florissantes, jusqu’à étendre l’univers dans des films d’animation plus ou moins jubilatoires, il n’est donc pas surprenant de retrouver la licence sur le grand écran, encore au moins une fois de plus… On fait tous des erreurs, mais Johannes Roberts pouvait au moins rendre l’ambiance assez décalée, voire rigolote, sachant sa tentative de faire la brasse avec les squales de son « 47 Meters Down ». Hélas, nous nous situons plutôt dans la lignée de son « Strangers : Prey at Night ». Entre le gâchis et le manque de discernement, il régresse encore plus dans son envie de satisfaire un studio qui ne voit pas plus loin que son potentiel éphémère, des cinéphiles et des fans au sang chaud.
De toute évidence, il s’agit d’une recette qui n’a pas pris forme et ne prend surtout pas la peine de se concentrer sur la maigre saveur qu’elle dégage. Tout le monde ne s’appelle pas Spielberg et ce n’est pas faute d’avoir essayé. Mais peut-être faut-il comprendre les enjeux et les codes que l’on souhaite soumettre à notre volonté, au lieu de se laisser dominer par autant de maladresses ? Retour aux sources et retour au Raccoon City de la Capcom pour mieux rebondir. C’est ce qui se chuchote dans les premiers instants intrigants, qui feintent d’investir un la paranoïa dans un orphelinat. Et ce sera de la même trempe pour tout ce qui suivra. Le cinéaste britannique tente désespérément de recréer cette atmosphère d’effroi, partagé par les joueurs de la PlayStation. Mais le scénario non cohérent et le montage en avance rapide sabote toute possibilité de maintenir une tension. Le fait de compiler le best-of des deux premiers volets des jeux régale sur le papier, mais l’interaction n’y est pas et tout ce qui en résulte, c’est une détresse qui nous poussera le plus loin possible de l’écran, le plus loin possible de ce reboot, aux airs pop et mal interprété.
Pourtant, toute la trique y est, à commencer par les Redfield. Claire (Kaya Scodelario) reste badass, mais lui servir de la CGI de mauvaise facture en guise ne caractérise pas plus sa combativité et son indépendance. Chris (Robbie Amell) est un outil obsolète, tout comme Albert Wesker (Tom Hopper) et Jill Valentine (Hannah John-Kamen), mais qui auront l’honneur d’hériter des scènes les plus épicées. Mais la pire de toutes les infamies reste dans le personnage oublié de Leon S. Kennedy (Avan Jogia). Il y a une différence entre un apprenti dans le métier et une victime infinie. Roberts ne voit sans doute pas la différence. C’est une des raisons qui fait que tout ce qu’il touche blesse et inquiète pour ses futurs projets. Les initiés reconnaîtront tout ce qu’il faudra pour se sentir à l’aise, mais si c’est pour vomir la présence du scientifique William Birkin (Neal McDonough) et de la mystérieuse Lisa Trevor (Marina Mazepa), il n’y aura pas assez d’adoucissant, même pour convaincre le spectateur occasionnel.
Ni proche de l’expérience du jeu vidéo, ni de celle attendue cinématographiquement, la nouvelle ère de « Resident Evil » s’enracine sur une pente raide. Il en faudrait peu pour que tout s’écroule de nouveau. La ville hantée par sa misère, le manoir par sa solitude et le commissariat pour sa stérilité… Tant de sujets que l’on effleure, sans jamais comprendre ce qui motive l’animation des zombies, d’une race militarisée. Pas non plus d’issues pour se cajoler ou pour jubiler d’un nanar préfabriqué, car ce n’en est pas un. Nous ne sommes que des fantômes, errant dans le cimetière des jeux, qui garderont pour eux toutes ces valeurs horrifiques et humoristiques, qu’on refuse de transposer sur le grand écran. Nous avons beau chercher le nom de Paul W.S. Anderson inscrit quelque part, pour se réconforter ou pour compléter l’échiquier, mais à peine arrivé en face du panneau « Welcome to Raccoon City » que nous avons déjà envie de la quitter, sans peine et sans regret.
Si bancals et délirants soient-ils, les films de la franchise entamée par Paul W. S. Anderson étaient au moins bien plus fun et divertissants que ce reboot réalisé par Johannes Roberts et sorti en 2021. Je ne porte pourtant pas aux nues la précédente saga mais j'avoue que j'en apprécie grandement le côté second degré et l'action complètement décomplexé. Ici, la mode est au réalisme, ce qui tombe de plus plutôt bien dans le contexte où le film est sorti, c'est-à-dire un contexte de pandémie mondiale. Le film se veut également beaucoup plus fidèle aux jeux vidéo homonymes dont il en est l'adaptation. Sur ce point, mis-à-part évidemment des personnages connus, je ne pourrai pas tellement donner mon avis étant donné que je n'ai jamais joué aux jeux en question. Enfin bref, on retrouve en tout cas ici Claire Redfield qui, après s'être enfuit de son orphelinat dans les années 80, retourne à Racoon City en 1998 afin de prévenir son frère que quelque-chose cloche. Et elle fait bien puisque tous deux vont vivre une nuit plutôt agitée, aux côtés de Jill Valentine et Leon S. Kennedy. Alors, c'est très bien d'avoir opté pour du réalisme, il y a
Apres la saga orchestrée par Paul W.S. Anderson entre 2002 et 2016, L'univers de Biohazard revient dans un reboot cinématographique qui veut tenter de re-charmer les fans des jeux vidéo. Pari réussi ? Pas tout à fait... Bienvenue à Racoon city ne fait pas l'erreur de changer tout le scénario pour vouloir introduire une héroïne sortie de nul-part, il cherche plutôt à retranscrire l'histoire des premiers jeux, à suivre les mêmes protagonistes. La recherche de fidélité a un prix : les premiers épisodes vidéoludiques datent de 1996, 1998 et 1999, ce qui fonctionnait à l'époque ne marche plus forcément maintenant. La retranscription de certaines séquences des jeux donne vraiment un aspect très nanar au film, la mise en scène fait ridicule, tiré par les cheveux, mais c'était comme ça a l'époque, par faute de moyen technique. Il faut avouer qu’on n’a pas non plus une brochette d'acteurs talentueux, ils manquent de finesse et de prestance. C'est là où les avis seront divisés : Si vous regardez le film avec un cœur plein de souvenirs, ça peut titiller votre fibre nostalgique et vous plaire malgré les défauts et le mélange un peu brouillon et rapide de l'histoire des premiers jeux. Mais pour peu que vous soyez pointilleux et que vous attendiez un film qui tient la route à notre époque, vous n'y verrez qu'un nanar, plus drôle qu’horrifique.
Cette énième adaptation sur grand écran du jeu vidéo éponyme se contente de juxtaposer des scènes d’action et d’horreur les unes à la suite des autres et de balancer des références en veux-tu en voilà sans justification réelle. Alors quand en plus on a une musique omniprésente et que les personnages agissent de façon incohérente tout en étant que très peu brossés d’un point de vue psychologique, on se dit qu’on tient-là un film consommable, c’est-à-dire un long-métrage que l’on va voir entre potes sans réfléchir et qu’on aura oublié à la sortie de la séance ! Car si du côté casting, il est assez bien fourni (ah la belle Kaya Scodelario !) et côté effets spéciaux aussi : les monstres sont très bien faits et le maquillage des infectés également, il est vrai que d’un point de vue scénaristique, c’est la platitude absolue !
N'ayant pas de grosses attentes je ne suis pas déçu. L'actrice qui joue Claire est sympathique même si Mila Jovivitch avait des qualités athlétiques qui étaient un gros plus. On ne peut pas dire que tous les personnages se rendent aussi charismatiques mais j'ai passé un moment de divertissement honorable car la dose d'action est bien présente.
Lorsque j'ai entendu dire que Johannes Roberts voulait plus s'axer sur l'esthétique qu'une intrigue réussite, j'étais très sceptique à l'idée de revoir un reboot. Puis il s'est avéré vrai : 90% d'esthétique, 10% d'intrigue. Bravo à Maxime Alexandre pour avoir délivré une image et une lumière pré-apocalyptique très agréable à regarder. On retrouve très bien toutes les écoles esthétiques propre du jeu de Capcom sur l'ambiance visuelle et sonore. Mais pour une personne qui n'a jamais joué au premier jeu sera complètement perdu. C'est un film uniquement dédié au club des fans des parapluies rouge et blanc. Mise à part, on notera un très mauvais choix des comédiens pour le rôle de Jill Valentine, Leon Kennedy (et un peu Wesker) qui sont pour moi, tous très loin du caractère des réels personnages dans les jeux-vidéos.
Sur un postulat de départ intéressant, avec ses décors et son atmosphère qui reprennent fidèlement les bases de la franchise, on se retrouve au final avec le fait d'avoir juste caressé en surface l'objet. La faute due à un bourrage d’éléments (personnages, trame narrative, lieux symboliques ...) qui, sur 1h45, ne peuvent être correctement développés. Le trop plein de fan-service prend le pas sur l'homogénéité de l'adaptation.
L'ambiance et l'univers sont bien présents mais à force de vouloir trop en montrer, on explore et on développe quasiment rien. Frustrant.
film parlant d’événement a raccoon City point de départ pour que le virus T transformant les gent en zombie se repende. l'idée est alléchante et tu t’attend probablement de voir Claire Redfield ou Leon S. Kennedy qui sont en premier jour de patrouille (resident evil 2 remake). VOUS POUVEZ RÊVER rien est respecté, le thème en premier lieux: t'est vite plongé dans un film de zombie sans logique, le scénario est pas du tout respecté, ça suppose qu'il y a une infection pendant presque la moitié du film avant de commencer, les moment long et pas intéressant de gent confiné avec un ou deux zombie qui daigne apparaitre a l'écran et les acteurs ne savent pas du tout ce qu'il font, les effet spéciaux (surtout les maquillage des rares zombies qui apparentent a l'écran sont très mal fait). nul