Avis : Resident Evil : Bienvenue à Raccoon City - Page 8

très hype pour ce film ,j'ai pas beaucoup jouer aux jeux non-plus c'était le côté film de zombie qui m'intéressait . je ne suis pas si déçu que sa ! les acteurs sont tous excellent , le film a beaucoup de bonne idée de réalisation mais le gros problème : le film manque clairement de budget ,les maquillages manque de beaucoup de détail ,et la 3D a un effet bâclée même si la nullité des effet spéciaux son exagérer .le film reste bien écrit est bien réalisée et très agréable ,on ne peux que espérer un meilleur budget pour le prochain film

Après la série des Resident Evil avec Milla Jovovich, aux épisodes inégaux, le meilleur étant « Resident Evil- Retribution »… Après l’excellent mais court « Resident Evil : Infinite Darkness » de Hiroyuki Kobayashi…

Nous voici dans « Resident Evil : Bienvenue à Raccoon City ». L’univers de Resident Evil est bien présent. Le côté horreur, zombies, les Lickers, la transformation William Birkin, désormais sous l'emprise du Virus-G, qu'il avait créé avec son épouse, Annette, très réussi. Des clins d’œil appuyés avec le commissariat de Racoon City de Resident Evil 2 et le manoir, pas très fidèle, en référence du premier opus. Le fan-service est omniprésent, et il faut le reconnaître, c’est pour cela que le film était attendu.

Faisant abstraction de l’univers dont le film est inspiré, cela pourrait être un très bons film du genre.
Mais là, il s’agit d’une licence, et pas n’importe laquelle, Resident Evil. Les fans, dont je fais parti, cochent une à une les cases attendues. Si. Beaucoup le sont, soyons sincère… ambiance, décors, la ressemblance de certains acteurs, Robbie Amell dans le rôle de Chris Redfield, Kaya Scodelario dans le rôle de sa sœur Claire Redfield, le camionneur jusqu’à la couleur de son camion, Lily Gao dans le rôle d’Ada Wong… d’autre, en revanche, ne le sont pas.

Et là, vous l’attendez tous, le très mignon, intrépide, courageux, aventurier, policier de sont état, sans peur et sans reproche, sexy à tomber (à genoux…), j’ai nommé : Leon S. Kennedy… du jeu Resident Evil 2 - Remake… of course !

Parce que, celui du film, Avan Jogia…même de loin, en plissant les yeux… ben non, ce n’est pas lui !
Il est beau gosse, j’en conviens, son rôle décalé pouvait convenir pour un personnage secondaire, apportant un peu d’humour et de légèreté à cette angoissante atmosphère… Mais Leon S. Kennedy, Leon, Leoooooon, quoi !

Et des acteurs pouvant l’incarner, est-ce nécessaire de chercher bien loin ?

- À commencer par Eduard Badaluta, juste celui qui a servi à modéliser son avatar dans le jeu « Resident Evil 2 - Remake ». Le Graal, tout simplement.
- Johann Urb, son interprète dans « Resident Evil - Retribution ». 40 ans, certes, mais il lui ressemble et incarnait déjà un Leon assez convaincant. Du maquillage et un tour chez le Barbier-coiffeur aurait donné un Leon sexy et à la hauteur de nos attentes.
- puis, en vrac, citons : Owen Wilson, Lucas Till, Ryan Gosling, Ethan Cutkosky, Nat Wolff, Ansel Elgort… Et tant d’autres à caster pour incarner LE Leon de nos phantasmes (avouons-le)… Et oui, il y a du glamour dans Resident Evil, et pour tous. Leon et Chris sont devenus des icônes gays, Claire et Ada ont un côté James Bond girls, surtout Ada…

Mais ce film, Resident Evil - Bienvenue à Racoon City,
Il a un goût de « oui, mais ». Jusqu’à la fin, on est pris, puis lâché, puis repris. Le camion vert sous la pluie, oui. Le commissariat, ah… oui quand-même. Chris Redfield, hello boy… Claire Redfield, badass aussi à l’aise avec un fusil à pompe qu’avec ses yeux… dont elle fait le même usage. L’orphelinat, clin d’œil bien exploité. Le manoir, pourquoi pas, il est là, c’est tout. Tout comme les quatre fameuses clés, dont une seule servira et même pas dans le commissariat.
Puis Leon S Kennedy qui se débat dans son personnage inadapté, voire insultant son rôle originel, malgré lui (il n’est pas responsable du scripte qu’on lui inflige). Le pire… ou le meilleur, selon, on finit par s’y attacher.

Oubliant assez vite son « rôle » de Leon, on finit par voir en lui un héros ordinaire, parfois distrait, peureux qui gagne en confiance puis la notre et nous surprend à la fin, débarquant avec son bazooka (légendaire du R.E. 2 Remake), en mode badass détendu du treillis. « Le gros vilain ! » dit-il, d’un ton à la fois détaché, tonitruant et menaçant, à la John McClane, avant d’exploser la tronche du monstrueux William Birkin qui ne tenait pas à lâcher l’affaire si facilement. Jubilatoire !

Et puis, franchement, franchement, faites pause, après son tir réussi (dans un wagon avec un bazooka… tout de même), quand il est en gros plan, bazooka à l’épaule, quel regard Bad boy et coquin à la fois. On en mang… oups, je m’égare !

Chers réalisateurs, dans le prochain, deux autres sont prévus je crois, gardez Avan Jogia ! On le tient finalement « notre » Leon ! Mais LE Leon de Resident Evil est blond, raie au milieu et imberbe, tout au plus, une barbe naissante de deux jours.
Il y a bien au générique coiffure et maquillage… Alors Avan Jogia y a droit pour se rapprocher du Leon S Kennedy d’origine que l’on aime. Il a un beau visage qui s’y prête. Sans oublier un script plus à sa mesure pour Leon S Kennedy, le vrai. Celui qu’on a en tête dès que l’on mentionne cette licence. Il n’y a pas que lui dans Resident Evil, mais soyez certain que son nom vient en premier à chaque fois, bien qu’il ne soit que dans 3 jeux sur 8. Ce personnage doit être respecté.

Voilà, mes amis. « Resident Evil - Bienvenue à Racoon City » est au final un bon film. Un film pop-corn qu’il est bon de savourer de temps à autre.
Le voir comme un film de zombies est le meilleur moyen de l’apprécier. Vous y verrez des clins d’œil à Resident Evil et vous serez comblés.
Le voir comme un Resident Evil, vous serez plus à l’affût du détail, de ce qui cloche et des incohérences. Et vous n’en profiterez pas.

4 étoiles, donc. J’aime le genre. J’aime Resident Evil. L’alliance des deux donne « Bienvenue à Racoon City ».

Franchement discutable, mais j'ai passé un bon moment dans les univers du 1 et du 2.

Des défauts, Léon la grosse erreur en espérant qu'il évoluera pour la suite, le reste est plutôt sympas . 1h45 sont passées très vite 👍

Tant de monde pour chouiner au sujet de Léon qui n'est pas un "super-flic" dans le film... Alors qu'avec sa frange de boys-band moitié hippie, déjà dans le jeu, c'était évident qu'il ne pouvait pas en être un, même si au bout du compte il se débrouillait plutôt bien jusqu'au bout ! ( à la limite, je préfère ce genre-là de non-filcs aux robocops qui se prennent pour des cow-boys et mutilent ou tuent des gens ) ...Bref, perso, au contraire, j'ai trouvé ça intelligent d'en faire un anti-héros même si, à contrario, Claire est du coup vachement trop bad-ass sans qu'il ne soit jamais porté à notre connaissance qu'elle aurait reçu le moindre entraînement - mais bon, admettons : On ne sait pas tout sur elle, donc bon... Mais, dans le genre super-héroïne sans défaut, la précédente saga des Resident Evil a déjà donné, et c'est précisément ce que le jeu n'était pas, puisque pour nous faire peur, il cherchait à nous immerger comme étant de "simples" personnes, pas des super-héros.
Ce sont des points de détails, au regard du travail global d'écriture et de mise en scène du film ; cependant, celui-ci cherche clairement le retour aux sources, tout en essayant de donner une cohérence scénaristique aux deux premiers jeux, Or, il faut se souvenir que dans ces jeux, les facilités, clichés et invraisemblances s'accumulaient sans se prendre la tête.
Il faut dire que, à l'époque, dignes héritiers techniques des "Alone in the Dark", et extrêmement démocratisés par la nouvelle console de Sony, les Resident Evil ne s’embarrassaient pas spécialement d'offrir des jeux cohérents et vraisemblables : C'était avant tout une question d'ambiance, de réussir à faire peur avec des angles 3D de caméras et des jumpscares avec des graphismes plus ou moins inédits dans les jeux en ce temps-là ; L'écriture n'ayant jamais été le point fort de Capcom, malgré certes des saillies imaginatives, les deux jeux contenaient leur lot de "n'importe quoi !" :
Ainsi, on ne regrettera pas forcément l'absence du crocodile géant dans le grenier des Spencer, et autres absurdités pouvant passer dans les vieux jeux vidéos, mais certainement pas dans un film, encore moins aujourd'hui où pas mal de gens se lassent des CGI - pas toujours très réussis - et placés à tout-va.
Du coup, compte tenu de cette difficulté des matériaux scénaristiques initiaux, le film réussit pour moi l'exploit d'offrir une histoire qui, dans l'ensemble, se tient, fonctionne même pas trop mal, tout en restant largement fidèle à de nombreux éléments du jeu, et, globalement, à son esprit. C'est pourquoi je ne vois pas l'intérêt de le descendre en flèche, même si, évidemment, ce ne sera jamais pareil que de s'immerger interactivement dans un jeu contemporain réussi... A ce titre, je suppose que, même avec de jolies cascades sur les toits d'immeubles, un film "Dying Light" ne pourrait jamais valoir le jeu du même nom ! Bref, un film pas si mal, et à mes yeux beaucoup plus intéressant à regarder que le premier opus de la saga avec M.Jojovich en super-héroïne Umbrella... Pour autant, pas impatient du tout de voir une suite.

Ce "long métrage" n'est ni un film Resident evil ni du fan service Re; Jill Valentine ressemble physiquement (psychologiquement un peu plus, quand même, "ouf" ) à son homologue console comme si elle ne l'avait jamais vue, avec force tatouages sur les bras pour faire tendance, Leon S. Kennedy est bien plus abruti (sans y ressembler non plus une seconde, ni physiquement ni mentalement) qu'idem son homologue console, Wesker aurait très bien pût figurer dans un film d' Uwe boll sans faire tâche, tous plus interchangeables les uns que les autres, hormis les zombis, bien plus "sérieux" et typés qu'eux.. Alexia Ashford, s'en sort aussi haut la main, surpassant presque allègrement (et non sans peine, puisqu'elle elle souffre toujours autant..) son homologue "quasi-modesque 128 bits plus vraie que nature "virtuelle"..!! Sans référence directe (mais, comment l'éviter, puisque le titre lui-même est transposé directement de celui du jeu..?) au jeu-vidéo, il est un bon défouloir zombiesque des samedis soirs en mal de sensations apeurés bons marchés, réchauffés au système endémique de l'infection "Umbrellacienne", qui sévit depuis plus de 25 ans, pour le bonheur des ("petits"..?) (et) "grands" sur consoles et, dans une très très moindre grande mesure au cinéma (c quoi tous ces films gâchés avec la "flamboyante slave crève-écran" Mila Jovovitch..??). Je note 3,5 car, je suis trop trop fan de la série vidéoludique du génie de Mr Shinji Kamiya et de l'intention fort louable de vouloir retranscrire tout cela au cinéma

tellement déçue du film, trop de jeux mélange, toit est survolé, le casting est très mauvais ( Léon/Wesker/Jill) manque trop de choses, trop de personnages, de lieux, de musiques effrayantes. Je pense qu'ils auraient dû faire le film uniquement centré sur le 1, il y avait largement de quoi faire. plutôt que casté une claire, un Léon, prendre plutôt une Rebecca et un Barry... Extrêmement déçue du personnage de Léon, boulet de service alors Wtf ? alors oui il est perdu au début forcément il débarque et c'est le bordel, oui il se fait mener en bateau par la belle Ada Wong mais il fait quand même des choses badass, il n'a servi à rien durant TOUT LE FILM... Wesker décontracté relax, relation ambiguë avec Jill ... Wesker qui s'excuse auprès de Chris mdr bref vraiment trop mauvais. ah et j'oubliais le magnifique rôle de Lisa Trévor, pote de Claire mdr c'est ridicule

Sortie de la salle avec l'impression d'avoir passé un bon moment et en même temps un peu déçu encore une fois par ce Resident Evil. Alors oui on s'approche plus du jeu vidéo mais on est encore loin de la tension ressenti en y jouant... On aurait aimé plus d'exploration du manoir... de pièces en pièces... avec vue embarqué à l'épaule et éclairage à la lampe torche... Moins de dialogues comiques... Je pense qu'il est aussi bcp trop tard pour un film sur resident evil 1 et 2.. il aurait fallu sortir ce film bien avant... Autant en faire un sur le 7 et 8 ça me semble plus logique.

j'ai tout les resident evil depuis le 1 en jeu. C'est une M.... sans nom. et pourtant le casting est sympa. honte à eux de ne respecter presque rien sur les persos.

Une incroyable bouillie mélangeant à peu près tous les scénarios de la saga vidéo ludique avec un j'm'enfoutisme presque insultant. Hormis deux ou trois clins d'œil au jeu vidéo, cette série B à moitié fauchée est une honte intégrale, on y retrouve absolument tous les perso de la saga dans un seul et même film où tout est expédié et où les incohérences et énormités sont légions, c'est bien simple, rien ne va. Ajoutons à cela des personnages complètement idiots, des dialogues bien pires et des comédiens perdus ainsi que des effets spéciaux indignes, et on y est, Johannes Roberts a tout simplement déféqué sur la saga. Au moins, on aura pas tout perdu, il y a matière à bien se marrer, à se demander si ce n'était pas une parodie ...

Quelle est l'idée ? On n'sait pas !
On s'ennuie énormément, le casting est raté, rien ne colle et je ne comprends pas ou les réalisateurs voient du potentiel chez Kaya Scodelario,
Les effets spéciaux, alors qu'on est quand même sur un énième volet de Resident Evil, sont catastrophiques. C'est difficile de réellement situer le film. A éviter

Il vaut mieux passer son chemin sur cette nouvelle adaptation de Resident Evil. A part le sursaut du début de film qui met un coup de frisson, et on pense qu'on va passer un bon moment, ensuite on est déçu par le scénario et les acteurs tout juste moyen. Une histoire mal travaillé et qui aurai pu avoir de meilleures explications, dommage.

Reboot bienvenue après plus d'une décennie de massacre pour la franchise initiée par Paul W.S. Anderson, Resident Evil Welcome To Raccoon City redonne ses lettres de noblesse à l'adaptation du survival horror tiré de la licence de jeux vidéos à succès du même nom. Enfin ses lettres de noblesse par rapport aux six ratages précédents entendons nous bien car cette nouvelle mouture est seulement moyenne. L'histoire nous fait suivre plusieurs protagonistes qui vont se retrouvés piégés dans la ville de Raccoon City ou un virus s'est propagé rendant les habitants hostiles. Ce scénario est d'une grande fidélité et respecte l’œuvre originale en revisitant les deux premiers opus de la série. Toutefois l'ensemble est assez ennuyant tant il se passe peu de choses durant une heure quarante que l'ont voit passé. Toutes les scènes tirent en longueur afin de créer un faux suspens qui accouche quasiment tout le temps d'une souris. Même si l'ambiance horrifique est bien présente, on est pas surpris tant il y a peu d'enjeu et de rebondissements. Ce script n'est pas bien écrit, en atteste le déroulement des heures sans idées et grossier. Hélas ce ne sont pas les personnages qui vont rattraper la faiblesse du scénario puisque ces derniers n'ont aucune profondeur. Pourtant c'est un plaisir de retrouver réunis tous les protagonistes principaux de la franchise, mais les rôles qu'ils en ont fait sont loin de l'image qu'on a d'eux. Le choix du casting est discutable pour certains rôles par rapport à leur apparence physique. De plus ces jeunes acteurs sont loin d'êtres convaincants au niveau de leur jeu. Chris est surement le personnage le plus crédible, Léon pour sa part passe pour un véritable idiot et Wesker interroge sur sa présence parmi eux. Les autres protagonistes sont acceptables diront nous. Mais tout ce beau monde a peu d’intérêt tant leurs relations ne fonctionnent pas entre la prestation des comédiens et les répliques médiocres qu'ils échangent. Si le fond n'est pas fameux, la forme est plus plaisante et est l'attraction majeure de ce long-métrage. C'est visuellement très fidèle à l'univers du jeu vidéo, la réalisation de Johannes Roberts fait bien son travail sans être créative pour autant. Mais elle est soignée et couplée à un jeu de lumière particulièrement travaillé, cela donne une jolie esthétique à travers sa photographie. Les environnements rendent également fidèlement hommage à la série et certains détails là pour ravir les fans fonctionnent à merveille. Les effets-spéciaux mélangeants décors en dur et numériques, donnent un aspect parfois surprenant mais ce côté légèrement grossier à un certain charme puisqu'il fait penser aux cinématiques d'antan. En plus les zombies et autres créatures restent crédibles en tant que danger. La b.o. accompagnant l'action est quant à elle dans le ton et tient son rôle même si elle se montre aussi parfois plus surprenante et osée, dénotant un peu. Reste une fin convenable venant mettre un terme à Resident Evil Welcome To Raccoon City, qui au final s'avère être un film plutôt correct au vu de tout ce qu'on nous à proposer auparavant et devient clairement la meilleure adaptation de la franchise vidéoludique à ce jour même s'il est largement possible de faire mieux.

Peut-être que c'est bien plus fidèle que les premiers jeux (je n'y ai jamais joué mais c'est l'image que j'en ai). mais je dois bien reconnaitre que c'est assez fade. les scènes s'enchainent sans grand intérêt, les personnes sont creux et les effets spéciaux sont pour un film de 2021 assez moyen. Bref, c'est ennuyeux, plutôt brouillon et sans grande explication (le coup du rétroprojecteur et des archives papiers et photos, qu'est ce que c'est cliché!). et je vois que je ne suis pas le seul à le penser!

Plus proche du jeu vidéo avec des petits détails du jeu plutôt sympa, on dirait un mélange de resident evil 1 avec le 2. Alors plus proche oui mais très éloigné également... Ah oui, que s'est il passé avec Léon.. C'est quoi ça .. En plus d'avoir des personnages non charismatiques, on nous sort des dialogues ridicules sans parler du montage qui laisse à penser qu'il manque des morceaux dans certaines scènes. Bref déception totale. En même temps j'aurais du m'en douter. Finalement je me demande si je préfère pas la premier version, c'est pour dire. Donc bien essayé mais c'est raté.

je ne suis pas fan de la licence de base, donc je n'attache pas d'importance à la qualité de l'adaptation, mais même en temps que film simple, il est bâclé et surtout mal rythmé. Le film veut trop en faire en peu de temps et donc les personnages sont résumé au pires clichés de leurs fonctions sans pouvoir se développer. A cela on ajoute des effets spéciaux de ps3.