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Ykarpathakis157
4 541 abonnés
18 103 critiques
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5,0
Publiée le 25 juillet 2020
At Eternity's Gate est une immersion dans le monde de Van Gogh. L'art véhicule quelque chose sur le monde et la condition humaine que les mots ne peuvent jamais exprimer. Après avoir regardé le film je me suis rendu compte que d'autres manières d'essayer de comprendre Van Gogh et son art permettaient cette immersion. Tout dans le film est simple réduit à un nœud essentiel. Le dialogue n'a pas d'importance. Ce qui compte ce sont les longues scènes silencieuses de Van Gogh dans la nature à la maison et les moments où il s'adresse directement au public. Les prises de vue parfois instables et le dialogue qui se chevauchent n'ont peut-être pas été tout à fait nécessaires mais ils aident à établir ce que cela a pu être d'être Van Gogh. La démence ? Bien sûr si cette étiquette fonctionne pour vous. Van Gogh était différent fou ou pas et il avait ses difficultés à s'intégrer à la société. Les 20 dernières minutes sont les plus picturales. Tout le film et Van Gogh nous permette de comprendre son monde. Quand il parle de lumière l'écran est inondé de lumière mais lorsque l'écran devient sombre vous voyez le monde comme Van Gogh. Et vous le spectateur ? Vous vous asseyez et buvez tout...
le film est basé sur le fait de nous faire ressentir le vent les lumières et l’ambiance Dans laquelle voulait être ce peintre en dépit de tous ces traquas quotidiens. Malheureusement même si c’est grandement interprété et très bien filmé on a aucune émotions. Dommage
Magnifique …la 1 ère fois que j.ai vu un Van Gogh ,je suis restée pétrifiée devant la force et la lumière du tableau …ce film est au plus près de cette force et de la lumière que pouvait peut être voir le peintre …
Tout est parfait dans ce film. Le seul petit défaut est l'utilisation de l'anglais à outrance. Mais le résultat est vraiment merveilleux. Le langage de la caméra est celui de quelqu'un qui a compris Van Gogh.
Plutôt bien. Une forme de biopic succeptible d'éduquer les masses sur le mythe du peintre maudit. Un film plutot fait pour en discuter à la fin, tout du moins discuter de la peinture et de la place de l'artiste dans la société.
Les derniers mois de la vie de Vincent Van Gogh, de son départ de Paris à sa vie dans le sud de la France (Arles), puis sa remontée en asile (Auvers-Sur-Oise). Un film qui parle de peinture, de la création et des états d’âmes de Vincent Van Gogh, de sa relation avec Paul Gaugin ou avec son frère Théo, de ses interactions difficiles avec les gens à Arles: les enfants, ses camarades dans l’hôpital psychiatrique, les habitants du village dans le sud de la France, sa logeuse et son personnel. Mais aussi de sa recherche de solitude tout en ne voulant pas être seul et souffrant de cette solitude. C'est d'ailleurs ce qui marque, cette solitude du personnage, sa souffrance qui en résulte. Malgré ses pauses plastiques (visuelles et musicales, multiples plans d'ensemble avec Vincent Van Gogh marchant, quelquefois avec comme bande-son uniquement un piano) et ses silences, le film rend attachant le personnage et suscite de l’émotion. Très beau personnage donc, avec un Willim Dafoe envouté et convaincant qui traduit parfaitement sur son visage la souffrance du personnage. La direction d'acteur est subtile. La séquence de Mads Mikkelsen est étonnante (la meilleure prestation de Mads Mikkelsen à ce jour) et permet de donner des informations sur le personnage Vincent Van Gogh et sa conscience de la situation et sur sa vision du monde, et ceci au bon moment de la narration.
Pénible, pénible, pénible : voilà mon ressenti sur ce film. Rien à voir avec le Van Gogh de Maurice Pialat. Quelques belles images, mais c'est tout. La voix de Vincent en version française est particulièrement énervante ! J'ai quand même été jusqu'au bout. Heureusement la photographie est assez belle. Quelques bons acteurs aussi dans ce film. Je regrette Dutronc dans le rôle de Vincent, qui lui était merveilleux.
Ce film ne s'est pas contenté de réinventer de manière fausse et anachronique une partie très bien connue de la vie de Van Gogh, il a aussi osé refaire ses tableaux de manière différente, dans le style de, avec plus de relief, de couleur, et peu importe si le dernier tableau du peintre se retrouve d'un coup à Arles en changeant de couleur... Si vous voulez un reflet original et pertinent, revoyez Dreams de Kurozawa, qui n'a pas eu besoin de soupe à la grimace !
Quelle est cette manie d'agiter la caméra dans tous les sens ? Cela dessert complètement les dialogues, les interprétations et même les paysages magnifiques.
Plutôt que d'offrir un résultat contemplatif et philosophique où l'on suivrait Van Gogh errer, subsister dans sa misère et sa solitude, peindre librement, le récit s'alourdit d'une réalisation pompeuse doublée de dialogues didactiques sur l'art et la passion.
Exclusivité Netflix, At Eternity's Gates est un très bon biopic sur Vincent Van Gogh qui aurait mérité une sortie au cinéma. Le film est une véritable introspection sur la vie et la vision du peintre. On est véritablement immergé dans son esprit, et ce grâce à de nombreuses astuces : point de vue subjectif, vue à la première personne, etc... La caméra est d'une intimité rare, elle se pose véritablement comme un témoin, un témoin qui permet de sublimer de son art malheureusment. La mise en scène traduit aussi l'état d'esprit, en témoigne cette tempête dehors qui vient se superposer à sa tempête intérieure qui fait rage en lui. À noter que la caméra se révèle très instable, tout comme son esprit. Ainsi la peinture est pour lui une véritable source d'épanouissement, de liberté, comme la nature qui l'inspire constamment. J'ai trouvé que Van Gogh est un personnage fascinant, nottamment avec sa manière de se considérer comme un Messi pour les Hommes. Willem Dafoe s'approprie parfaitement ce rôle en lui apportant une énorme dose de sincérité, voir même, de pitié. Les seconds rôles ; Oscar Isaac, Mads Mikkelsen et Matthieu Amalric en tête ; sont également très bon. Enfin, le film bénéficie d'une multitude de plans magnifiques et le rare usage du noir et blanc est parfait.
Un nouveau film sur Van Gogh avec une direction artistique plutôt originale et un grand Willem Dafoe dans le rôle de van Van gogh ! Le film se concentre tout le long sur la folie de l'artiste pour justifier le style artistique de van Van gogh ! Malgré une fin trop floue qui manquerait d'explication comme d'ailleurs d'autres scènes, même si c'est sûrement voulu ! Il me manque à voir les autres films fait sur cet artiste pour me faire un réel avis sur cette oeuvre !
Ce film vous en apprend plus sur la vie, la nervosité, la crise intérieur et le combat qu'a mener Vincent Van Gogh tout au long de sa vie. La photographie est incroyablement réussi, il faut dire qu'à Arles il y'a de la matière à utiliser :) . Le film mets aussi l'accent sur le fait que Van Gogh n'était pas apprécier ou célèbre de son vivant, on voit bien la haine et la répugnance qu'expriment sa ville envers lui. Sa folie qui le mènera jusqu'à l'hp est brillamment expliqué lors d'un dialogue où il dit être perdu, qu'il ne comprend pas le sens de la vie... et que la seule chose qui peut le sauver et qui l'anime dans la vie et la peinture.
Commençons par ce qui ne vas pas les plan ne sont pas très bon, plutôt mauvais et je n'aime pas le jeu d'actrice d'Emmanuelle Seigner on a du mal à croire à son jeu en revanche le jeu d'acteur de Willem Dafoe est excellent presque troublant et l'histoire de Vincent van Gogh est passionnante.