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    At Eternity's Gate
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    Bruno O
    Bruno O

    2 abonnés 1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 février 2019
    très belle interprétation avec un wilem dafoe véritablement habité par van gogh. la réalisation est magistrale, des plans à quelques cm des visages qui nous font ressentir la souffrance du peintre, mais aussi ses joies internes,
    surtout, les images sont colorées et les plans sont réalisés de façon telle qu'on voit des tableaux du maître en train de se réaliser sous nos yeux ! jamais je n'avais ressenti cette impression d'être au coeur de chefs d'oeuvres que tous nos contemporains connaissent et admirent, alors qu'à l'époque sa peinture était totalement incomprise.
    Hulufo
    Hulufo

    7 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 novembre 2020
    Inspiration Malickienne. Peinture destructurée. Plans expérimentaux. La vie passionnée et pleine de folie, vécu par Vincent Van Gogh. Voilà ce que nous offre "Au porte de l'éternité", un titre plein de sens. Une œuvre majeure, rendant un hommage ultime, à ce génie né bien trop tôt.
    ffred
    ffred

    1 695 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mars 2019
    Casting de luxe pour ce nouveau film de Julian Schnabel (Le scaphandre et le papillon), avec à sa tête le toujours excellent Willem Dafoe (prix d'interprétation pour ce rôle à Venise l'an passé et nouvelle nomination aux Oscars, mais reparti encore bredouille pour la quatrième fois). Rien de nouveau côté mise en scène pour le réalisateur américain, toujours autant de mouvements de caméra et d'effets de style, mais à la télé ça passe mieux (je n'avais pas pu voir Miral en entier tellement ça bougeait). Rien de bien nouveau dans cet énième biopic de Van Gogh, on connait l'histoire. Cela se laisse regarder, surtout pour les belles images, les moments contemplatifs et l'interprétation de Dafoe. Pour les autres, ils parlent tous anglais même les acteurs français. Toujours la même histoire pour ce genre de film, je trouve toujours cela gênant. Seulement sur Netflix chez nous, c'est sans doute bien suffisant. Au final, je me suis un peu ennuyé quand même...
    Jorik V
    Jorik V

    1 268 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 décembre 2018
    Julian Schnabel est un cinéaste qui a toujours frayé avec les arts dont la peinture dans la majorité de ses œuvres et de ses documentaires hormis peut-être dans son film le plus connu chez nous « Le scaphandre et le papillon » avec Mathieu Amalric, ici dans un second rôle. Celui qui a mis en lumière le plus contemporain Basquiat avec son film éponyme fait un énorme saut arrière dans le temps en mettant en images l’un des peintres les plus connus qui soient : Vincent Van Gogh. Le sujet a déjà été traité avec le récent documentaire « La passion Van Gogh » ou dans le film des années 90 de Maurice Pialat avec Jacques Dutronc dans le rôle titre. Un traitement naturaliste à l’époque dont « A la porte de l’éternité » s’éloigne pour un style plus contemplatif et plus psychologique. Schnabel tente de percer les démons qui habitaient l’artiste-peintre en sondant les dernières années de sa vie. Tout en se frottant à l’aspect créatif de ses œuvres.

    Il n’y a pas à dire, sur ce versant, c’est plutôt réussi. Le film exprime bien la relative folie qui s’emparait de l’homme et qui, peut-être car le cinéaste se garde bien de donner une réponse, se déversait sur son œuvre. Ensuite, il reste difficile d’innover dans le domaine du biopic, même si ce film n’en est pas vraiment un, mais également dans un des sous-genres qui lui est affilié, en l’occurrence le biopic de peintres. On en a eu une flopée dont récemment « Gauguin » avec Vincent Cassel que l’on retrouve ici incarné par un Oscar Isaac pas forcément le mieux indiqué pour le rôle. Mais aussi au sein de long-métrages qui, sans être des biopics, touchent à l’essence même de la peinture comme le très beau « La jeune fille à la perle » de Peter Webber qui s’intéressait à Vermeer. Difficile d’innover dans ce domaine donc et encore plus avec l’un des plus connus d’entre eux, dont les grandes lignes de la vie sont connues de tous. Mais Schnabel fait des choix de mises en scène originaux et adaptés. Pour nous soumettre aux tourments de Van Gogh, il choisit des plans caméras à l’épaule, des plans très rapprochés ou encore une voix off qui se superpose aux dialogues en cours. Des effets de mise en scène payants et en corrélation avec ce qu’il veut nous faire ressentir. Quant au travail sur la lumière, il est impressionnant et donne au film de sublimes plans sur la campagne autour d’Arles.

    Mais le metteur en scène tombe trop souvent dans le piège du contemplatif. Certaines scènes s’étirent plus que de raison. Elles pourront charmer certains spectateurs et leur envoûter la rétine mais elles en lasseront aussi beaucoup. De plus, le film est très bavard et certains dialogues semblent trop pompeux et extraits d’un cinéma d’auteur pur jus plus que détestable. Dommage, car d’autres échanges sont passionnants, notamment lorsqu’ils parlent de peinture, Schnabel ne rendant pas cet art trop abstrait pour les profanes. Willem Dafoe est impeccable dans le rôle du peintre, alternant violence renfrognée et moments candides où la folie qui habite le peintre est retranscrite avec finesse, sans excès. Les seconds rôles lui servent la soupe, c’est tout. On trouve malheureusement le temps un peu long, les passages intéressants et les choix techniques pertinents perdant face à trop de moments ennuyeux et plats. « A la porte de l’éternité » n’est donc pas le film définitif sur ce peintre qu’il aurait pu être en dépit d’un traitement tout sauf classique et tous publics.

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    Redzing
    Redzing

    1 112 abonnés 4 468 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mai 2021
    « At Eternity’s Gate » évoque les dernières années de Vincent Van Gogh, où l’artiste était particulièrement instable, mais très productif... et pas reconnu pour autant. Pas besoin d’être un expert en peinture pour apprécier le film, qui se veut didactique sur son sujet (références aux tableaux très directes, impressionnistes explicitement mentionnés…). Cependant, le résultat n’est pas pleinement satisfaisant. Le film bénéficie de réelles qualités, telles que des coloris jaunâtres qui renvoient aux tableaux de Van Gogh, une belle photographie, et de jolis paysages du Sud (tournage sur place). Un bel hommage à la peinture… quelque peu gâché par des choix de mise en scène très discutables, voire pompeux. Julian Schnabel opte très souvent pour des gros plans à courte focales, et une caméra à l’épaule tournoyante et tremblotante (on est par moment à 2 doigts de la shaky cam). L’objectif est sans doute de faire écho à l’état psychologique très fébrile de Van Gogh, et peut-être également à son style de peinture (coups de pinceaux vifs, effets de rotation). Mais c’est à la limite du prétentieux, et dommage vu le potentiel visuel de l’ensemble, qui aurait pu être sublimé par une mise en scène plus classique et éclatante. Heureusement, le long-métrage est très bien porté par ses acteurs. Willem Dafoe est un choix très étonnant pour Van Gogh, l’acteur ayant 25 ans de plus que le peintre à ce moment-là ! Toutefois cette différence d’âge est judicieusement utilisée pour renforcer l’aspect marqué du protagoniste. Et Dafoe excelle dans ce rôle d’homme meurtri et asocial, dont le talent n’est ni apprécié ni reconnu, et dont la peinture est la seule raison de vivre. Dafoe est appuyé par un panel de guest stars de luxe très appréciables (Mads Mikkelsen, Oscar Isaac, Niels Arestrup…), et on peut aussi l'entendre prononcer quelques phrases en français ! Ces interprètes participent grandement à rendre cette introspection relativement fluide, malgré des choix narratifs étonnants (la célèbre altercation de l’oreille est par exemple traitée en ellipse !).
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    395 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 février 2019
    Un biopic qui tente des choses en terme de mise en scène comme ces travellings subjectifs semblant être filmés avec un smartphone ou quelques champ-contrechamp en regard caméra, pour le reste c’est assez classique, où Schnabel s’intéresse aux divagations d’un Van Gogh désabusé et rongé par l’alcool, à son recul face à sa propre oeuvre et son caractère posthume. Sa faute étant sans doute d’appuyer son propos à défaut d’être réellement contemplatif et sonnant vrai, tout est un peu trop explicatif, en plus de convoquer sa pléiade d’acteurs reconnus pour combler un hypothétique manque d’attention (genre Mikkelsen en prêtre, pourquoi ?).
    Un film qui s’emmêle quelque peu les pinceaux mais reste honorable.
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    130 abonnés 2 230 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 décembre 2022
    VINCENT, THEO, PAUL ET LES AUTRES. Trouve beau tout ce que tu peux. Un peintre, une vie, une oeuvre. L'onde de la camera, la magie des couleurs. Jacques Dutronc a aimé.
    kibruk
    kibruk

    145 abonnés 2 545 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 juin 2021
    Il y a maintenant tant de biographies sur Vincent van Gogh qu'on n'a plus le sentiment d'apprendre quoi que ce soit sur le personnage et l'exercice devient compliqué. Si "La passion Van Gogh" est parvenue admirablement à proposer une plongée merveilleuse au cœur même de sa peinture, "At eternity's gate" veut nous plonger dans son esprit. Et c'est sans doute à ce jour la meilleure proposition qu'on ait eue pour nous immerger dans son esprit génial mais malade, dans l'extase de la création artistique et l'horreur de la souffrance mentale. Mais pourquoi diable Schnabel a-t-il sabordé sa réalisation avec des effets tocs, alors qu'il disposait d'une matière incroyable de force et de justesse avec la seule prestation d'un Willem Dafoe habité par son personnage ? On comprend la volonté d'essayer de matérialiser la maladie mentale avec cette caméra portée aux mouvements désagréables, l'usage de filtres et autres effets de distorsions vocales, mais les plus beaux, justes et bouleversants moments sont bien ceux où on voit simplement le regard perdu de Dafoe/Van Gogh. La simplicité aurait suffit à elle même pour faire de "At eternity's gate" une magnifique biographie, mais il convient quand même de le découvrir pour voir l'incroyable performance de Dafoe. 
    Cinememories
    Cinememories

    481 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 mars 2022
    C’est par des biopics ou documentaire que l’Américain Julian Schnabel s’illustre derrière la caméra. Il y développe toute la complexité de l’Art, de sa conception même à son exploitation selon ses œuvres. Nous pouvons citer « Basquiat », « Avant La Nuit », « Lou Reed's Berlin » ou encore l’exaltant « Le Scaphandre et le Papillon », où le metteur en scène signe une démarche loin d’être arbitraire. Il arrive alors à un épisode dramatique dans sa carrière, où le peintre néo-impressionniste le rattrape, car il y a encore quelque chose à raconter derrière certaines œuvres. Van Gogh constitue alors une option prometteuse, car son affiliation avec ses portraits évoque bien des méandres du temps et notamment celles qui ont rongé l’artiste jusqu’à sa disparition.

    Nous y découvrons donc un Vincent Van Gogh très tendu et très désemparé. Willem Dafoe lui donne d’ailleurs une touche très poignante dans les règles de l’art. Codifié au mieux afin que le support tienne la route, on décide de garder l’authenticité pour les moments où le peintre est isolé mentalement. La caméra subjective nous met en relation avec la quête de Vincent. Et c’est là le point fort du réalisateur qui sait mettre en avant le parti-pris de l’artiste torturé, en recherche d’inspiration malgré l’ombre de l’éternité qui le guette. Et la particularité du cadre nous démontre un fossé qui nous sépare du génie qui a eu une meilleure clairvoyance que nous autres, aussi paysans que son entourage. Personne n’arrive à le comprendre, pas même Paul Gaugain (Oscar Isaac), un confrère à la vision trop brusque selon lui. Il faudra toutefois s’attendre à une adaptation partielle de l’artiste, car les faits qui retracent sa vie ne sont pas toujours raccords, mais cela aidera davantage à comprendre les motivations et la puissance de ses coups de pinceau.

    L’évolution du personnage est à la couleur de ses portraits, qui trouvent peu à peu une teinte plus éclatante. L’image est sublimée par un lyrisme qu’on reconnaît au réalisateur, adepte et même expert dans l’adaptation. C’est pourquoi son voyage vers le Sud fut une aubaine pour lui, car le soleil lui-même le guidait vers des tableaux somptueux, où la finesse de ses traits fut à l’image de sa rapidité de capture. À la fois chargé en émotion et en encre, chaque portrait qu’il dessinera alors lui apportera un peu plus la paix, celle qu’il n’arrivait pas à trouver, malgré le soutien ambigu de son frère cadet Théo (Rupert Friend). Le contact humain ne l’a pas tant aidé et cela nous est illustré avec force, jusqu’à en perdre la raison, ou même l’écoute de son entourage généreux et pourtant imparfait.

    Le mythe de Vincent n’est pas toujours pertinent si l’on retrace le parcours de sa vie, c’est pourquoi ce court mais riche segment, qui l’oppose à ses confrères, lui a donné l’élan qu’il convoitait pour enfin se dessiner les ailes dont il avait besoin. « At Eternity’s Gate » évoque ainsi la tendresse à travers des instants simples et efficaces, notamment dus à un interprète de qualité qui ne cache rien de son humanité. Il fallait en apprendre plus de son vivant, afin de mieux comprendre ce qui le possédait et ce qu’il ne possède plus, à savoir ses toiles. Et tout le récit mentionne cet héritage comme une nécessité, car sans la mort d’un artiste comme lui, il y avait peu de chance de le voir triompher de son vivant. Cela remet alors en question cette temporalité que le peintre avait de toute évidence anticipé dans ses exploits. Il a réussi à tenir son discours à main levée, afin qu’il résonne dans le futur, là où il n’a sa place qu’à travers ses œuvres.
    Vincenzo M.
    Vincenzo M.

    42 abonnés 271 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 novembre 2020
    Film assez plaisant à regarder. Difficile de comprendre où le réalisateur veut nous amener tant la caméra est vivante et tremblante. Beaucoup de gros plans.
    Un bon film de Julian Schnabel . Mention spéciale pour willem Dafoe en van gogh. Apres en vf cest Patrick chesnais qui double Defoe dc assez perturbant.
    Belle relation entre van Gogh et Gauguin. Gros casting quand même.
    fabrice d.
    fabrice d.

    26 abonnés 1 507 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mai 2024
    C'est une belle performance d'acteur que nous livre ici W. Dafoe en interprétant ce rôle de Van Gogh. Le réalisateur tente de nous plonger dans les tourments du peintre tout en nous livrant sa volonté de peindre, sa personnalité. Le film est parfois un tantinet ennuyeux et les effets de style ne sont pas toujours intéressants pour le spectateur. La mort du peintre est décrite selon la version non-officielle je dirais. Un film intéressant donc, qui nous en apprend un peu plus sur Van Gogh.
    Fabien S.
    Fabien S.

    544 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mars 2020
    Un très bon biopic sur Vincent van Gogh incarné par William Dafoe . Un très bon film de Julian Schnabel.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 mars 2020
    Un film sur les quatre ou cinq dernières années de la vie de Van Gogh, qui donne envie d'en savoir plus, sur la vie, sur sa pathologie, sur ses amis... Ce qui m'a dérangé le plus c'est la manière de filmer, caméra à l'épaule, c'est toujours un peu tremblant, et les effets de flou pour montrer que Vincent ne va pas bien sont un peu trop fréquent. Mais comment raconter une histoire qui se passe dans sa tête ? De même que les longs monologues au piano sont-il représentatifs de cette époque, de cette personnalité ? On n'a pas beaucoup de clefs pour le comprendre. C'est un choix du réalisateur. Mais alors pourquoi le piano ? Une musique un peu destructurée par moment qui accompagne bien les images. Des tonalités très marquées pour entrer dans ce que voit Vincent. Un rôle de composition très fort qui montre la progression de la folie, et une hypothèse autours de sa mort... C'est un point de vue. Ce n'est vraisemblablement pas un documentaire historique.
    TUTUR29
    TUTUR29

    32 abonnés 1 115 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mars 2023
    At Eternity's Gate est un sympathique découverte de mon côté. J'aime beaucoup la manière de réaliser ce biopic : plutôt que de suivre de manière linéaire tout les éléments importants de la vie de Van Gogh, on est plus dans une sorte de plongée onirique dans ses pensées. On est toujours derrière son dos à le suivre avec une caméra très mouvante, ce qui donne au film une aura très poétique et assez raccord avec le personnage qu'on suit. Le seul problème que ça pose évidemment c'est que le film manque un peu d'un fil conducteur, j'avoue que je me suis souvent ennuyé et que j'ai ressenti beaucoup de longueurs devant At Eternity's Gate. Mais bon, je trouve quand même la démarche artistique intéressante donc ce fut une belle découverte, je recommande. Les acteurs sont d'ailleurs excellents !
    ZOC
    ZOC

    53 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 mai 2019
    Magnifique film sur Vincent Van Gogh. Certains plans séquences nous transportent carrément dans les peintures du maitre. Willem Dafoe est magistral. Il mériterait un oscar. Bravo !
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