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    The Souvenir - Part II
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    18 critiques spectateurs

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    SUZY AND MEE
    SUZY AND MEE

    138 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 février 2022
    Cette seconde partie n'a que très peu d'intérêt : en regardant la première, on imaginait bien que l'héroïne allait en faire un film puisqu'elle a toujours une caméra à la main... elle finit donc par faire un film de ses souvenirs mais je cherche encore la plus -value...?? J'aurais aimé que les souvenirs soient subtilement différents ou bien triés ou enjolivés ... non c'est la même chose mais filmé dans un hangar ... bof ! Deux étoiles pour Julie qui mûrit un peu et pour sa relation avec sa mère!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 8 mars 2022
    Julie est une jeune étudiante en cinéma, réalisatrice en devenir. Elle fait la connaissance d’un homme plus âgé et charismatique. Si Julie trouve à Anthony un charme mystérieux, il devient évident pour son entourage ainsi que pour le spectateur que son mystère cache en réalité une violente addiction à l’héroïne. Joanna Hogg dresse – en deux tableaux – le portrait fataliste d’une rencontre vouée à la séparation.

    Les circonstances de la rencontres interéssent moins la cinéaste que ses répercussions. La première partie de The Souvenir nous plonge sans concession dans les tumultes de cette relation passionnelle mais dangereuse. Une séparation immédiate s’opère alors entre ce qui nous est conté et ce qui nous est montré. Hogg filme ces vertigineux méandres émotionnels avec une douceur plastique implacable. L’œuvre prend la forme de souvenirs, parfois confus, souvent segmentés et presque toujours chimériques. Là où le spectateur voit la désintégration d’un couple, les signes manifestes d’un échec, Julie voit des moments de partage utopiques et précieux.

    lire la suite : https://cultureauxtrousses.com/2022/02/12/the-souvenir-part-i-ii/
    Yves G.
    Yves G.

    1 454 abonnés 3 480 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 février 2022
    Julie est une jeune étudiante en école de cinéma. Fille unique d’un couple déjà âgé de riches propriétaires terriens, elle habite un vaste duplex dans un des quartiers les plus huppés de Londres.
    Julie s’éprend d’Anthony, un homme plus âgé qu’elle, qu’elle accueille dans son appartement et qui y vit bientôt à ses crochets. Anthony, qui prétend travailler au ministère anglais des affaires étrangères, se révèle être un mythomane et un héroïnomane.

    "The Souvenir" est un film largement autobiographique tourné en 2019 par Joanna Hogg à partir d’un épisode tragique de sa jeunesse dans les années 80. Il est constitué de deux parties, presqu’autonomes, qui, comme leurs belles affiches, se font miroir. La première se focalise sur la liaison entre Julie et Anthony. La seconde raconte comment la jeune étudiante en cinéma fera de cet idylle tragique le sujet de son film de fin d’études.

    Si l’on visionne ses deux parties à la suite l’une de l’autre, "The Souvenir" dure donc près de quatre heures. Ce n’est pas rien. Et c’est sans doute trop.

    Certes, le film nous montre, dans sa seconde partie, sur un mode quasi documentaire, comment se tourne un film, quelles questions un jeune réalisateur, pas toujours préparé à le faire, doit trancher, quelles sourdes dissensions émergent dans l’équipe de tournage au point de la fissurer. Il interroge aussi l’écriture d’une fiction autobiographique, tiraillée entre deux impératifs parfois contradictoires : la fidélité aux faits tels qu’ils ses sont déroulés et leur paradoxal manque d’authenticité si on les rejoue tels quels devant la caméra.

    Mais "The Souvenir" souffre d’un défaut rédhibitoire. L’histoire d’amour entre Julie et Anthony ne fonctionne pas. Ce n’est pas la faute des deux acteurs, l’un et l’autre excellents : la jeune Honor Swinton-Byrne (dont la mère à la ville, la célèbre Tilda Swinton, une amie de longue date de la réalisatrice Joanna Hogg, joue ici le propre rôle de sa mère à l’écran) est une révélation et Tom Burke est déjà un acteur confirmé (il interprétait le personnage de Orson Welles dans "Mank"). Mais aucune alchimie ne se dégage de leur couple disharmonieux. On ne voit pas, on ne comprend pas, ce que diable elle lui trouve. Alors, certes, la seconde partie du film éclaire les mystères de cette union contre-nature. En tournant son film, Julie doit s’interroger sur les raisons profondes de sa passion et en informer les acteurs qu’elle a choisis (on reconnaît la toujours juste Ariane Labed). Sans cette seconde partie, la première aurait été lugubre. Mais avec elle, elle n’en devient pas pour autant passionnante.
    Ufuk K
    Ufuk K

    514 abonnés 1 471 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 février 2022
    " The Souvenir Part II" acclamé par la presse qui a obtenu 9 nominations dont 3 victoires aux British Independent Film Awards est une suite bien médiocre. En effet j'étais déjà mitigé à la suite de la vision du premier volet, j'ai quand même décidé de voir la suite, l'intrigue présente que peu d'intérêt, trop intellectuel, trop bourgeois , trop nombriliste même si une certaine élégance se dégage de l'histoire..
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    227 abonnés 973 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 février 2022
    La deuxième partie s’ouvre à la suite du final du premier film : la disparition d’Anthony, mort de son addiction à la drogue. Éprouvée par ce drame, Julie trouve réconfort chez ses parents puis décide de consacrer un film à sa passion amoureuse avec Anthony. Elle va alors revivre à travers les acteurs son histoire d’amour et guérir de ce chagrin. Une ode à la reconstruction mais qui se perd dans des scènes inutiles. Le spectateur met un temps fou à comprendre le sens de cette seconde partie. Au final, il y a un réel contraste entre la première partie dense en péripéties et qui installe un univers. La seconde tente de prolonger celui ci en tirant beaucoup trop sur la corde.
    traversay1
    traversay1

    3 554 abonnés 4 847 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 février 2022
    Même si l'on n'est pas forcément séduit par The Souvenir, impossible de ne pas être fasciné, d'une manière ou d'une autre, par le geste cinématographique de Joanna Hogg, qui se remémore ses jeunes années, quarante ans plus tard, marquées notamment par l'apprentissage de son futur métier. Dans The Souvenir 2, un tantinet plus abordable et moins dans une pose auteuriste que la première partie de ce diptyque, exit l'amoureux de son héroïne, ce qui au-delà du deuil à faire, la rend plus libre et prête à s'engager dans la grande aventure professionnelle. Le film ressemble cependant toujours à une séance de psychanalyse, avec une mémoire qui peut embellir ou noircir les faits et les états d'âme mais cette recherche a sans doute fait beaucoup de bien à Joanna Hogg, tout en elle pouvant donner l'impression au spectateur de naviguer dans des zone très intimes, laquelle, hormis la curiosité intrinsèque du cinéphile, peut s'avérer gênante et surtout tellement étrangère à son vécu et à ses aspirations en termes de fiction. L'on comprend bien la volonté de la réalisatrice de montrer comment l'art en général, et le cinéma en particulier, sont capables de transcender les traumatismes les plus profonds (il faut bien que genèse se passe) mais cette expérience est filmée comme quelque chose de très personnel (ce qui en fait le pricx pour certains) et ne tend que peu la main à ses observateurs pour se rendre universel. C'est une question d'appréciation :chacun appréhendera à sa façon le style de la cinéaste et sa griffe narrative qui sont singuliers et sensibles mais un brin trop travaillés, voire affectés.
    Cinephille
    Cinephille

    155 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 février 2022
    Autant la première partie m’a plu et m’est restée plusieurs jours dans le cerveau, autant celle-ci m’a franchement déçue. En fait elle n’apporte rien puisqu’on sait que cette histoire est autobiographique et que Joanna Hogg en a fait son film de fin d’etudes. Ce deuxième film est beaucoup plus brouillon, certaines séquences sont totalement inutilement chichiteuses. Le plus intéressant est sans doute la relation entre la jeune femme et ses parents, la mere en tous points parfaite, le pere plus maladroit mais tout aussi ”supportive”. Voir Tilda Swinton en Anglaise de bonne famille, en bottines jupe en tweet et cheveux gris, est un regal mais c’est mince.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    267 abonnés 1 637 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 février 2022
    Une page s’est tournée à l’issue de la partie 1. Celle d’un mélodrame que l’on pouvait juger étrangement aseptisé. La suite apparaît plus riche et intéressante, cumulant l’expression délicate d’un deuil et d’une mélancolie, et le déploiement d’une mise en abyme aux vertus cathartiques, mise en abyme dont la dimension réaliste trouve une étonnante expansion baroque. Au final, le jeu de miroirs est double : la réalisatrice Joanna Hogg se voit dans le personnage de Julie qui se voit dans le personnage de Garance (Ariane Labed) qu’elle met en scène dans son film de fin d’études. Film dont le tournage prend des airs de roman d’apprentissage. Tout cela est habilement structuré, malgré quelques longueurs ou répétitions thématiques. Et même si l’on n’entre toujours pas complètement en empathie avec les tourments de l’héroïne, jeune bourgeoise qui apprend le cinéma, on peut, dans cette seconde partie, ressentir davantage de stimulations que dans la première.
    Cinememories
    Cinememories

    481 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2022
    Il serait vain de penser que cette partie pourrait s’autosuffire, contrairement au premier chapitre. C’est bien un film dans le film que Joanna Hogg nous promet, dans un dénouement où il ne reste plus que le cinéma pour épouser le deuil et le surmonter. Enchainer les deux volets est donc nécessaire, sur le fil ou à quelques jours d’intervalle, afin de récupérer la tension et la tragédie là où nous l’avions quitté. Mais l’étau se resserre également du côté de ce fameux film de fin d’étude, qui validera ou non les fractures narratives du premier film, car cette conclusion correspond bien au nœud scénaristique qui mêlera tous les hommages et toutes les pensées aux genres qui ont inspiré la réalisatrice. Celle-ci, qui a d’ailleurs brillé avec son court-métrage « Caprice », viendra non seulement feuiller les pages du scénario de Julie, mais également l’enrober du dressing en satin de ce projet qui a vu naître Tilda Swinton à l’écran.

    La vie conjugale de Julie s’est renversée par l’absence de réponse et c’est à présent le moment de libérer ses émotions, à travers la caméra et les artifices mis à sa disposition, notamment des comédiens remarquables et une équipe compétente. Le cadre nous offre de plus en plus de scènes en extérieur, comme en témoigne des décors fleuris et autres idées d’un espace clos que l’on échafaude en studio. C’est la fin de l’apprentissage pour l’étudiante, qui est désormais mise à l’épreuve, où elle convoque la réalité dans sa propre fiction. Ou bien est-ce l’inverse ? C’est tout un jeu de cadre et de lumière qui opère dans son esprit, que l’on ressent encore mutilé. Elle demande le jour et la nuit dans la même scène, et à côté, son cœur bouillonne d’un rouge vif ou d’un rouge sang, au choix. La perte d’Anthony la pousse au bout de sa réflexion, au bout de son reflet mystérieux, où sa culpabilité restreint sa clairvoyance.

    Pourtant, son approche est la bonne, sa délivrance est proche. Mais pour ne pas gâcher tout le suspense sur sa réparation, la réalisatrice nous rappelle ce détachement soudain du personnage avec son environnement. Ce sera encore plus fort et flagrant dans ce volet, où elle ne trouvera pas les mots pour apaiser les tensions qui règnent en elle et sur le plateau de tournage. Les parents ont également plus de place ans l’intrigue, qui ne recule devant rien, même pour distiller un semblant d’humour et de tendresse, au détour d’une poterie qui offre un refuge intime et chaleureux pour Julie. Et comme dans la peinture de Jean-Honoré Fragonard, dont le film tire son titre, Julie placera l’amour et le deuil sur le même plan. Et l’ironie de la chose réside dans le film qu’elle finalise et qui reprend énormément de la texture de « Caprice ». Ce n’est que par le mouvement ans le cadre, l’image de son imaginaire et la puissance des émotions qu’elle dégage, que Julie se fait enfin écouter et reconnaître par ses pairs.

    « The Souvenir – Part II » embrase tout sur son passage, mais avec suffisamment de subtilités pour que le spectateur se laisse librement dériver avec une héroïne, une autrice galvanisante, qui hausse la voix pour les femmes muettes dans une entreprise de rêverie. Elle s’émancipe ainsi de tout le mal qu’elle couve, de tout l’argent qu’elle a emprunté, de tout cet amour qu’elle a gaspillé, mais dans le but de tout réinjecter dans un geste honorable et ambitieux. Julie renaît de ses cendres et le flambeau de Joanna Hogg vers sa jeunesse gagne à être découverte et redécouverte, tout comme sa filmographie, à commencer par ce double commentaire sur sa vie et son sens onirique du portrait féminin.
    Aubert T.
    Aubert T.

    124 abonnés 138 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 février 2022
    Légèrement en dessous de la Part I, cette Part II est pourtant indispensable pour saisir combien la création peut transcender un trauma - ce qui semble être finalement l'élan qui a poussé à l'existence de ce fabuleux dyptique.
    Isabel I.
    Isabel I.

    38 abonnés 317 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2022
    pourquoi avoir eu  envie d'aller voir la  seconde partie  ..
    Comme si on savait qu'on allait découvrir l'effet miroir, comme si on pressentait qu'on allait enfin avoir des clefs,  des réponses, l'éclairage nécessaire  
    Cette partie 2 de The souvenir prend la suite direct du précédent . Quelques adjectifs :  dynamique,  fluide, léger, vivant .
    Si ce n'est pour des  questions de distribution,  on aurait du le voir comme un seul et unique  film. Voir le 1 et se priver du 2 est une erreur. C'est un "tout". Ils sont totalement complémentaires . Dans le 1 la réalisatrice filme de manière très contemplative son personnage, dans le second c'est le personnage qui prend la caméra.  Ça change totalement la donne. Julie metteur en scène décide, intervient, ordonne,  maîtrise. Elle met en scène sa propre existence. Pas de manière réaliste ou même véridique, non selon ses choix subjectifs,  ses points de vue. Ce n'est pas le souvenir qui compte mais le ressenti de celui ci. Le traumatisme n'est pas important  mais c'est la trace indélébile  qu'il  a laissé dans l'esprit, le cœur . Cette seconde partie est une veritable thérapie qui laisse place aux rêves,  aux fantasmes. Les scènes oniriques sont superbes, quelques images du film 1 laissaient déjà  supposer ces rêveries, cet imaginaire. J'aime cette idée de la mise en abyme, du film dans le film, du film fantasmé dans le film d'études.
    Christoblog
    Christoblog

    825 abonnés 1 672 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 mars 2022
    J'ai dit tout le mal que je pensais de l'épisode I dans un article précédent,

    Force est de constater que ce deuxième opus évite les principaux écueils de son prédécesseur. Il est moins poseur, moins apprêté et globalement plus émouvant.

    Le sujet du film se prête à cette simplification : il s'agit de montrer l'héroïne de l'épisode précédent en train de tourner un film sur l'histoire d'amour toxique qu'elle a vécu. Les évènements sont donc moins déjantés et l'émotion plus palpable.

    On est plus enclin à s'attacher à la personnalité de Julie et à son approche sensible du travail de deuil. Les rencontres avec sa mère et avec les parents d'Anthony sont particulièrement touchantes.

    Toutefois, je ne peux m'empêcher de trouver le projet de la réalisatrice un peu léger et nombriliste, à l'image de cette longue séquence onirique ou de ce dernier plan sous forme de mise en abîme élégante, mais sans beaucoup de sens.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 354 abonnés 4 167 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 novembre 2022
    The Souvenir - Part II de Joanna Hogg est une déclaration d'amour sensible pour faire face au deuil et aux mensonges.
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    79 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 février 2022
    La première partie nous raconte « l’histoire d’amour » vécue dans les années 80 par Anthony et Julie
    et toutes les ambiguïtés et mystères de cette relation nocive. On s’interroge sur les mensonges d’Anthony ?
    Et même sur l’attitude de Julie…...

    Dans la partie 2, Julie réalise son film de « fin d’études » sur son histoire d'amour; un autre regard……
    Elle réécrit son histoire….
    L’incompréhension de ses comédiens sur son »inertie » ….

    J’ai préféré la 1ère partie; la seconde m’a semblé sophistiquée à l’excès…..et du coup je suis resté observateur à son histoire d'amour.

    Cependant j’ai aimé la photo et le regard de la réalisatrice; cette relecture de son drame vécu...
    Pascal
    Pascal

    159 abonnés 1 641 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 février 2022
    Seconde partie de "the souvenir ", le film est la suite rigoureuse de la première. Ni plus réussie, ni moins que la première, elle perd en intensité d'être vue avant la première. Dans son ensemble, le dyptique propose ici la catharsis et le dépassement d'un écueil existentiel exposé dans la première. Une jeune étudiante anglaise en cinéma y rencontrait un fonctionnaire du ministère des affaires étrangères, dont l'emploi exact reste flou. Leur relation amoureuse se révèle toxique et déséquilibrée. Dans cette seconde partie, la jeune étudiante qui vient d'une famille bourgeoise et aimante, tente de sortir de cette épreuve. La réalisation de son film de fin d'études lui permettra de se relever ( ce que nous montre cette partie). Mêmes défauts que pour la première : beaucoup de longueur et un manque de rythme. Malgré tout, le prétexte de départ est intéressant, mais malheureusement, à l'écran le résultat ne fût pas à la mesure de mon attente. Déception donc. Il faut toutefois voir les deux parties pour véritablement juger et saisir l'intégralité du propos de la réalisatrice. C'est loin d'être un mauvais film, il n'est pas dépourvu de créativité, mais la critique professionnelle me semble survendre le dyptique. Le style du film se rapproche du cinéma de Mike Leigh ( pas de ses meilleures réalisations) de celui de Cassavetes ou des premiers films américains de Forman. A l'intention du spectateur éventuel, "the souvenir part 1 et 2" s'adresse exclusivement aux aficionados de cinéma d'auteur.
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