Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un sublime et déchirant drame amoureux en deux parties.
Elle
par Françoise Delbecq
Produit par Scorsese, ce film splendide sur l'aveuglement et l'illumination amoureuse donne son premier grand rôle à Honor Swinton-Byrne, fille de Tilda Swinton, qui irradie à l'écran aux côtés de sa mère.
L'Humanité
par Michèle Levieux
La vraie valeur du cinéma de Joanna Hogg tient avant tout dans sa manière de filmer extrêmement délicate et son découpage fragmenté dans la mesure où ce qui la passionne est de nous faire entrer dans les méandres de la mémoire de sa jeune héroïne, Julie, ses abysses, ses mystères et ses oublis parfois délibérés.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un puissant récit d’amour et de deuil, en même temps qu'une belle déclaration d’amour à un cinéma de consolation et de réparation des âmes.
Le Figaro
par Éric Neuhoff
Chef-d’œuvre, The Souvenir ? On ne sait pas. Film culte, oui, mille fois oui.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Florence Colombani
Ce n'est pas un film, c'est une apparition. D'abord l'éblouissement de l'image, la plus belle qu'on ait vue depuis Kubrick et Barry Lyndon : vaporeuse, sensuelle... Du Fragonard sur Pellicule. Et puis l'émotion dévastatrice du récit (...).
Les Echos
par Adrien Gombeaud
A travers le destin d'une jeune femme dans le Londres des années 1980, Joanna Hogg réalise une œuvre splendide en deux volets sur la mémoire et le temps qui passe. L’occasion pour la France de découvrir enfin cette grande cinéaste britannique.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Une combustion permanente : la fascination qu’on éprouve à regarder un film de Joanna Hogg se situe quelque part dans ces oxymores. Sa mise en scène est une caresse gantée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Emily Barnett
Quatre heures d'intelligence et de pure délicatesse. Un sommet de fiction elliptique et impressionniste.
Ouest France
par Thierry Chèze
Quatre heures d’une sensibilité à fleur de peau, à la mise en scène inventive qui révèlent l’immense Honor Swinton-Byrne.
Positif
par Alain Masson
Une des révélations majeures de Cannes 2021, avec son étrange mélange de tons, partant du réalisme social pour aboutir à l’imaginaire de Powell et Pressburger !
Sud Ouest
par Sophie Avon
L’art de Joanna Hogg tient à sa façon de ressusciter le présent dans toute son intensité sans perdre de vue qu’il s’agit du passé, filtré par le travail d’une mémoire, voire d’un songe aux multiples ellipses.
Transfuge
par Séverine Danflous
Un double film en forme de tombeau cinématographique.
Télérama
par Louis Guichard
L’éclat du résultat montre que formalisme et émotion vont parfois très bien ensemble : au gré des scènes et des sentiments qui les imprègnent, Joanna Hogg passe de la limpidité au baroque, oscille avec grâce entre épure et onirisme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Hogg ne se limite pas à filmer une version de sa propre histoire (Part I), mais aussi comment son alter ego pourrait filmer cette histoire (Part II). Télescopage qui permet à la cinéaste, sans jamais s’éloigner de son héroïne autofictionnelle, de convoquer également tout ce qui dépasse et entoure celle-ci et de donner au film une allure de liberté et d’imprévisibilité. (...) Le projet du film est de raconter dans un même mouvement la naissance d’une cinéaste et la naissance de la mélancolie.
CinemaTeaser
par Renan Cros
L’expérience de ces deux films (vu l’un à la suite de l’autre, ou non) est singulière. Comme une thérapie par le cinéma, la déflagration d’une histoire intime au ralenti. Mais surtout, elle tient par le charisme et la douceur d’Honor Swinton Byrne, actrice singulière dont les fractures, les sourires et les doutes deviennent de beaux moments de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Bastien Gens
C’est en poussant plus loin le geste narcissique que le projet de Hogg se déploie pleinement.
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
The Souvenir Part I & II est une oeuvre expérimentale passionnante, capable de dépasser les limites de la fiction pour offrir une fresque émancipatrice hors du temps. Un double grand film exigeant mais hors du commun.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Jeune étudiante en cinéma dans l’Angleterre tristounette de Thatcher, Julie fait la rencontre d’un homme charismatique. De cette relation toxique et fusionnelle, la cinéaste britannique nourrit les deux chapitres autobiographiques de ce diptyque exutoire.
Les Fiches du Cinéma
par Jef Marcadé
Premier volet d’un diptyque remarquable, le film est une plongée dans les années 1980, quand la réalisatrice vivait une liaison amoureuse compliquée et apprenait son métier de cinéaste. En fusionnant ces deux faits à l’écran, elle propose une œuvre originale et profonde.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
D’une précision fascinante dans ses cadres et son écriture, Hogg ne s’appuie pourtant sur aucun scénario, reconstruisant son film au jour le jour dans un geste cinématographique saisissant.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
En confiant à la caméra l’odyssée tragique d’une jeune-femme, de surcroit réalisatrice, aux prises avec un homme toxicomane, Joanna Hogg transforme ce qui pourrait être une simple auto-fiction en un drame esthétique et sensible.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par La rédaction
Conceptuel mais terriblement romantique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Cette chronique à l'ambiance lancinante, un charme tout en candeur pour raconter l'apprentissage, parfois douloureux, des sentiments.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Clarisse Fabre
Le charme entêtant de The Souvenir tient autant au dispositif qu’à la qualité d’interprétation de la jeune actrice, qui n’est autre que la fille de Tilda Swinton.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
L'Obs
par François Forestier
C’est un interminable pensum (3h45 !) sur le thème qui-suis-je-d’où-viens-je-dans-quel-état-j’erre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Sandra Onana
Le résultat n’offre pas vraiment la révélation annoncée, et on le rangerait plutôt sur l’étagère des œuvres oubliées sitôt vues. C’est que l’ensemble paraît souffrir d’un flegme dépassionné qui le rend terne à force de vouloir être feutré.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un sublime et déchirant drame amoureux en deux parties.
Elle
Produit par Scorsese, ce film splendide sur l'aveuglement et l'illumination amoureuse donne son premier grand rôle à Honor Swinton-Byrne, fille de Tilda Swinton, qui irradie à l'écran aux côtés de sa mère.
L'Humanité
La vraie valeur du cinéma de Joanna Hogg tient avant tout dans sa manière de filmer extrêmement délicate et son découpage fragmenté dans la mesure où ce qui la passionne est de nous faire entrer dans les méandres de la mémoire de sa jeune héroïne, Julie, ses abysses, ses mystères et ses oublis parfois délibérés.
Le Dauphiné Libéré
Un puissant récit d’amour et de deuil, en même temps qu'une belle déclaration d’amour à un cinéma de consolation et de réparation des âmes.
Le Figaro
Chef-d’œuvre, The Souvenir ? On ne sait pas. Film culte, oui, mille fois oui.
Le Point
Ce n'est pas un film, c'est une apparition. D'abord l'éblouissement de l'image, la plus belle qu'on ait vue depuis Kubrick et Barry Lyndon : vaporeuse, sensuelle... Du Fragonard sur Pellicule. Et puis l'émotion dévastatrice du récit (...).
Les Echos
A travers le destin d'une jeune femme dans le Londres des années 1980, Joanna Hogg réalise une œuvre splendide en deux volets sur la mémoire et le temps qui passe. L’occasion pour la France de découvrir enfin cette grande cinéaste britannique.
Les Inrockuptibles
Une combustion permanente : la fascination qu’on éprouve à regarder un film de Joanna Hogg se situe quelque part dans ces oxymores. Sa mise en scène est une caresse gantée.
Marie Claire
Quatre heures d'intelligence et de pure délicatesse. Un sommet de fiction elliptique et impressionniste.
Ouest France
Quatre heures d’une sensibilité à fleur de peau, à la mise en scène inventive qui révèlent l’immense Honor Swinton-Byrne.
Positif
Une des révélations majeures de Cannes 2021, avec son étrange mélange de tons, partant du réalisme social pour aboutir à l’imaginaire de Powell et Pressburger !
Sud Ouest
L’art de Joanna Hogg tient à sa façon de ressusciter le présent dans toute son intensité sans perdre de vue qu’il s’agit du passé, filtré par le travail d’une mémoire, voire d’un songe aux multiples ellipses.
Transfuge
Un double film en forme de tombeau cinématographique.
Télérama
L’éclat du résultat montre que formalisme et émotion vont parfois très bien ensemble : au gré des scènes et des sentiments qui les imprègnent, Joanna Hogg passe de la limpidité au baroque, oscille avec grâce entre épure et onirisme.
Cahiers du Cinéma
Hogg ne se limite pas à filmer une version de sa propre histoire (Part I), mais aussi comment son alter ego pourrait filmer cette histoire (Part II). Télescopage qui permet à la cinéaste, sans jamais s’éloigner de son héroïne autofictionnelle, de convoquer également tout ce qui dépasse et entoure celle-ci et de donner au film une allure de liberté et d’imprévisibilité. (...) Le projet du film est de raconter dans un même mouvement la naissance d’une cinéaste et la naissance de la mélancolie.
CinemaTeaser
L’expérience de ces deux films (vu l’un à la suite de l’autre, ou non) est singulière. Comme une thérapie par le cinéma, la déflagration d’une histoire intime au ralenti. Mais surtout, elle tient par le charisme et la douceur d’Honor Swinton Byrne, actrice singulière dont les fractures, les sourires et les doutes deviennent de beaux moments de cinéma.
Critikat.com
C’est en poussant plus loin le geste narcissique que le projet de Hogg se déploie pleinement.
Ecran Large
The Souvenir Part I & II est une oeuvre expérimentale passionnante, capable de dépasser les limites de la fiction pour offrir une fresque émancipatrice hors du temps. Un double grand film exigeant mais hors du commun.
La Septième Obsession
Jeune étudiante en cinéma dans l’Angleterre tristounette de Thatcher, Julie fait la rencontre d’un homme charismatique. De cette relation toxique et fusionnelle, la cinéaste britannique nourrit les deux chapitres autobiographiques de ce diptyque exutoire.
Les Fiches du Cinéma
Premier volet d’un diptyque remarquable, le film est une plongée dans les années 1980, quand la réalisatrice vivait une liaison amoureuse compliquée et apprenait son métier de cinéaste. En fusionnant ces deux faits à l’écran, elle propose une œuvre originale et profonde.
Première
D’une précision fascinante dans ses cadres et son écriture, Hogg ne s’appuie pourtant sur aucun scénario, reconstruisant son film au jour le jour dans un geste cinématographique saisissant.
aVoir-aLire.com
En confiant à la caméra l’odyssée tragique d’une jeune-femme, de surcroit réalisatrice, aux prises avec un homme toxicomane, Joanna Hogg transforme ce qui pourrait être une simple auto-fiction en un drame esthétique et sensible.
La Croix
Conceptuel mais terriblement romantique.
Le Journal du Dimanche
Cette chronique à l'ambiance lancinante, un charme tout en candeur pour raconter l'apprentissage, parfois douloureux, des sentiments.
Le Monde
Le charme entêtant de The Souvenir tient autant au dispositif qu’à la qualité d’interprétation de la jeune actrice, qui n’est autre que la fille de Tilda Swinton.
L'Obs
C’est un interminable pensum (3h45 !) sur le thème qui-suis-je-d’où-viens-je-dans-quel-état-j’erre.
Libération
Le résultat n’offre pas vraiment la révélation annoncée, et on le rangerait plutôt sur l’étagère des œuvres oubliées sitôt vues. C’est que l’ensemble paraît souffrir d’un flegme dépassionné qui le rend terne à force de vouloir être feutré.