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Votre avis sur Le Pape François - Un homme de parole ?
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Vendredi 14 septembre 2018 : il s'agit d'un documentaire qui m'a profondément touché et interpellé.
Wim Wenders signe une oeuvre réussie qui invite à la réflexion sur une multitude de sujets qui touchent notre quotidien.
Aussi, quelques soient nos convictions religieuses, il est impossible de demeurer indifférent aux propos du Pape François : sourire gratuit, amour et espoir sur l'avenir. . ..
Wim Wenders signe une oeuvre réussie qui invite à la réflexion sur une multitude de sujets qui touchent notre quotidien.
Aussi, quelques soient nos convictions religieuses, il est impossible de demeurer indifférent aux propos du Pape François : sourire gratuit, amour et espoir sur l'avenir. . ..
Très beau film. J’ai été ému aux larmes. Un pape qui partage mes idées comme celles de Nicolas Hulot sur l’état de notre planète.
Un film qui donne la pêche !
Allez-y en famille, avec des amis 💖😀
Un film qui donne la pêche !
Allez-y en famille, avec des amis 💖😀
Un très beau message du Pape filmé par Wim Wenders, qui peut se résumer en quelques mots : "c'est à chacun de nous de faire un effort pour que le monde aille mieux". De belles images et des moments d'émotion pour aider à recevoir tout cela avec le coeur. Si chaque spectateur en sort avec une résolution simple (donner au pauvre dans la rue, abandonner le superflus, jouer avec ses enfants...), François et Wim Wenders auront fait un très beau cadeau à notre monde.
L'Info Tout Court
L’œuvre revêt donc un caractère qui va au-delà des religions, nous laissant penser un instant à ce qu’on tirerait de positif devant de tels enseignements. La fascination d’un autre temps de Wenders pour l’iconographie religieuse comme les questions très bienveillantes soumises au Pape n’atteignent pas ce qui est au cœur de ce beau projet : convaincre l’humanité de revenir à l’essentiel.
J’ai aimé le choix du réalisateur de faire un parallèle entre les orientations données par le Pape pour l’Eglise et la spiritualité de St Francois d’Assise.
Le message du pape y est remarquablement bien exposé, sur l’écologie, la justice sociale, les réfugiés, la famille… Les textes du Pape François sont magnifiques, ils m’ont profondément touchée.
Le message du pape y est remarquablement bien exposé, sur l’écologie, la justice sociale, les réfugiés, la famille… Les textes du Pape François sont magnifiques, ils m’ont profondément touchée.
Film de commande qui annule la carrière de Wenders, ex cinéaste mythique, devenu la caricature de lui-même, d'une tristesse infinie pour ce ratage artistique total, hagiographique, sans aucun intérêt, très ennuyeux, qui répète des histoires qu'on connait déjà sur la figure du nouveau pape...
Réalisé par un autre que Wim Wenders, ce documentaire sur la figure du pape aurait été un véritable carnage. Le film, qui n'évite pas le piège de l'hagiographie,ne traite pas des sujets qui fâchent. Entre ferveur religieuse et interrogations existentielles, le film fascine par intermitences. C'est un objet curieux, un film de commande auquel Wenders croit malgré tout. La fascination pour le sujet, l'intérêt porté sur les questions environnementales maintiennent l'intérêt malgré des longueurs et le côté figé de la structure très classique de l'ensemble. Un Wenders mineur mais pas le ratage annoncé.
Film extraordinaire! Le Pape François décrit à travers des interviews et des événements où il est intervenu, les valeurs du créateur dont l’église Catholique et le monde moderne se sont éloignés.
C’est un retour à l’essentiel aux valeurs humaines à la bienveillance, au respect de la nature.
C’est un retour à l’essentiel aux valeurs humaines à la bienveillance, au respect de la nature.
Portrait d'un homme de foi exceptionnel à l'image de St Francois d'Assises, son modèle et sa référence majeure.
Sauf que Wim Wenders commet selon moi un écueil important : il axe son film uniquement selon le point de vue qui intéresse tant les médias : l'écologie, les abus dans l'Eglise de prêtres pédophiles ou du point de vue de Francois sur les LGBT....
Ca c'est bien, mais à la longue c'est assez saoulant, car le Pape François va bien au-delà de ces seuls thèmes.
Rien sur la Vierge Marie qui apparaît de plus en plus partout dans le monde, rien sur les innombrables massacres de chrétiens au Moyen-Orient et en Égypte.
C'est assez dommage.
Le film reste captivant cependant.
Sauf que Wim Wenders commet selon moi un écueil important : il axe son film uniquement selon le point de vue qui intéresse tant les médias : l'écologie, les abus dans l'Eglise de prêtres pédophiles ou du point de vue de Francois sur les LGBT....
Ca c'est bien, mais à la longue c'est assez saoulant, car le Pape François va bien au-delà de ces seuls thèmes.
Rien sur la Vierge Marie qui apparaît de plus en plus partout dans le monde, rien sur les innombrables massacres de chrétiens au Moyen-Orient et en Égypte.
C'est assez dommage.
Le film reste captivant cependant.
Documentaire remarquable dans sa mise en perspective de l’action moderne et profonde de ce pape hors du commun. Wim Wenders et David Rosier ont su retracer le parallèle entre St François d’Assise et le pape François. Le fait religieux est pour une fois bien mis en images. L’invisible devient palpable. Ce film nous interroge également sur le bien commun et la nécessaire survie de notre planète.
Un film exceptionnel sur l'une des personnalités les plus inspirantes de ce siècle, réalisé par un réalisateur très inspiré. 1h30 d'audience privée avec le Pape, les yeux dans les yeux. Que du bonheur !
Yves G.
Le pape François. Wim Wenders. Affiche attrayante pour le cinéphile, pour le croyant et, plus largement, pour tous ceux qu'intéresse la personnalité du 266ème Souverain pontife, le premier pape du Nouveau monde, le premier venu de l'hémisphère Sud, le premier Jésuite, le premier à avoir choisi le prénom de François d'Assise.
Sans doute le croyant, conquis d'avance, ressortira-t-il de la salle plus convaincu encore - sauf à appartenir aux franges les plus conservatrices de l’Église que le modernisme du nouveau pape pourrait effrayer. Car François a de quoi séduire. Il a le sourire généreux, l’œil malicieux. Surtout il tient un discours d'une humanité bouleversante qui résonne avec les défis de notre temps sans rien renier au dogme. Chaussant les bottes de Jean-Paul II, son antéprédécesseur - dont pourtant il n'évoque jamais la mémoire - il parcourt le monde, de Bangui à Philadelphie, de Jérusalem à Rio à la rencontre des plus humbles et des plus puissants (on voit défiler dans le bureau du pape Obama, Trump, Poutine et Erdogan - mais ni François Hollande ni Emmanuel Macron).
L'observateur lucide de la papauté analysera le contenu de ce documentaire comme le témoignage de ce que son service de relations publiques entend laisser voir au monde. Il ne s'agit pas en effet d'un biopic qui raconterait la vie de Jorge Mario Bergoglio mais plutôt d'un exposé méthodique des grands dossiers dont le pape s'est saisi : la pauvreté et l'inégalité des revenus, l'environnement, la famille, l'immigration... François est filmé seul. On ne le voit jamais entouré de ses collaborateurs. Cette présentation, si elle est cohérente avec l'objet du documentaire qui a le pape pour héros, renvoie de la papauté, qui repose sur un seul homme, une image paradoxalement fragile.
Les sujets les plus polémiques ne sont pas tus. En réponse à une question sur le "lobby gay", François affirme que les homosexuels sont des enfants de Dieu et doivent être traités avec amour. Au sujet des prêtres pédophiles il prône une tolérance zéro - qu'on aimerait voir mise en pratique avec la même fermeté que celle avec laquelle il la promet. Seule sortie de route : les femmes dont la "complémentarité" (sic) avec les hommes est vantée, François renvoyant dos à dos "machistes et féministes" (re-sic).
Reste le cinéphile, laissé pour compte. On se pince de voir la signature de Wim Wenders sous cette œuvre de propagande, ce documentaire convenu, qu'on croirait tout droit sorti du "Centro Televiso de Vaticano". Où est passé le réalisateur si prometteur de "Paris Texas" et des "Ailes du désir" ? Pourquoi a-t-il abandonné la fiction pour le - mauvais - documentaire ?
Sans doute le croyant, conquis d'avance, ressortira-t-il de la salle plus convaincu encore - sauf à appartenir aux franges les plus conservatrices de l’Église que le modernisme du nouveau pape pourrait effrayer. Car François a de quoi séduire. Il a le sourire généreux, l’œil malicieux. Surtout il tient un discours d'une humanité bouleversante qui résonne avec les défis de notre temps sans rien renier au dogme. Chaussant les bottes de Jean-Paul II, son antéprédécesseur - dont pourtant il n'évoque jamais la mémoire - il parcourt le monde, de Bangui à Philadelphie, de Jérusalem à Rio à la rencontre des plus humbles et des plus puissants (on voit défiler dans le bureau du pape Obama, Trump, Poutine et Erdogan - mais ni François Hollande ni Emmanuel Macron).
L'observateur lucide de la papauté analysera le contenu de ce documentaire comme le témoignage de ce que son service de relations publiques entend laisser voir au monde. Il ne s'agit pas en effet d'un biopic qui raconterait la vie de Jorge Mario Bergoglio mais plutôt d'un exposé méthodique des grands dossiers dont le pape s'est saisi : la pauvreté et l'inégalité des revenus, l'environnement, la famille, l'immigration... François est filmé seul. On ne le voit jamais entouré de ses collaborateurs. Cette présentation, si elle est cohérente avec l'objet du documentaire qui a le pape pour héros, renvoie de la papauté, qui repose sur un seul homme, une image paradoxalement fragile.
Les sujets les plus polémiques ne sont pas tus. En réponse à une question sur le "lobby gay", François affirme que les homosexuels sont des enfants de Dieu et doivent être traités avec amour. Au sujet des prêtres pédophiles il prône une tolérance zéro - qu'on aimerait voir mise en pratique avec la même fermeté que celle avec laquelle il la promet. Seule sortie de route : les femmes dont la "complémentarité" (sic) avec les hommes est vantée, François renvoyant dos à dos "machistes et féministes" (re-sic).
Reste le cinéphile, laissé pour compte. On se pince de voir la signature de Wim Wenders sous cette œuvre de propagande, ce documentaire convenu, qu'on croirait tout droit sorti du "Centro Televiso de Vaticano". Où est passé le réalisateur si prometteur de "Paris Texas" et des "Ailes du désir" ? Pourquoi a-t-il abandonné la fiction pour le - mauvais - documentaire ?
Quelques actions du pape François, mais surtout beaucoup de paroles et de réflexions sur le monde, les hommes, la foi et nos politiques, nos peurs... J'aime beaucoup la simplicité qui se dégage de ce documentaire, mais aussi la difficulté qu'exige parfois les choses les plus simples, comme un simple sourire.
Cinéphiles 44
Peut-être n’aurions-nous pas vu ce documentaire sur le 266ème Pape de l’Eglise catholique s’il n’avait pas été réalisé par Win Wenders. « Paris, Texas », « Les Ailes du désir », ou plus récemment « Every thing will be fine » sont des exemples de la qualité de ce cinéaste. Face à son « Pape François, un homme de parole » nous restons sceptiques. Extrêmement bien monté, le film nous donnerait presque envie d’admirer à notre tour Jorge Mario Bergoglio, qui fût le premier Pape à choisir le nom de François, en référence à Saint François d'Assise, le Saint des pauvres. Grâce à des images d’archives et une longue rencontre avec le concerné, nous suivons le parcours de cet homme pas comme les autres au travers de ses actions et de ses pensées. Wenders en profite pour le comparer à Saint-François d’Assise avec les extraits d’un autre film. Mais voici qu’un malaise s’installe chez le spectateur. Il n’existe aucune critique un tant soit peu négative. De nombreux organes de presse affirment que « Le Pape François, un homme de parole » est une commande du Vatican. Win Wenders nie et se défend d’avoir réalisé ce film en toute liberté. Quoi qu’il en soit, ce film de communication est quelque peu déroutant.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
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Un film plutôt un documentaire très intéressant qui m'a beaucoup plus ainsi que tout la famille très inductive
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