Note moyenne
2,5
14 titres de presse
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Télé Loisirs
Fascinant.
La Croix
Centré sur la force et la portée du message du pape François, le documentaire de Wim Wenders, qui revendique sa subjectivité, tire sa force du troublant face-à-face dans lequel il nous entraîne avec un homme en guerre contre les défis de notre temps.
CNews
Charmé par l’Argentin Jorge Mario Bergoglio, qu’il considère comme un «homme aimant et honnête», le cinéaste allemand revient sur son rapport étroit avec saint François d’Assise et le suit dans ses déplacements auprès des plus pauvres. Certains pourront lui reprocher un manque de recul et d’objectivité.
Le Figaro
Le réalisateur allemand signe un film de commande sur le Souverain Pontife. Forcément hagiographique mais bien à propos.
Le Journal du Dimanche
Wim Wenders signe un documentaire empathique sur ce pape tout-terrain, qui délivre son sermon face à la caméra du réalisateur allemand, soutient les réfugiés, aborde la question de l’homosexualité ou s’insurge contre la pédophilie et le consumérisme.
Le Parisien
Un film simple, mais lumineux.
Les Fiches du Cinéma
Film de commande nourri d’archives vaticanes, destiné à faire connaître au monde la personnalité et l’action du pape François, inspiré par la visionnaire spiritualité franciscaine, ce portrait, signé par un Wim Wenders en mode thuriféraire, ne convainc qu’en partie.
Première
Wim Wenders passe le pape François à confesse dans un documentaire qui (se) pose de bonnes questions mais n’évite pas toujours les ornières de l’hagiographie.
Critikat.com
Le charisme de Jorge Mario Bergoglio suffit-il à surmonter les tares de ce film dédié à sa gloire ? Rien n'est moins sûr, le souverain pontife ayant affaire à forte partie : un réalisateur persuadé depuis trop longtemps que son art doit se signaler au-dessus de son sujet.
La Voix du Nord
Indépendamment de la personnalité de ce pape peu commun, nous n’avons pas été convaincus par ce qui s’apparente à un spot hagiographique privé d’un regard de cinéaste.
L'Obs
Wenders dresse le portrait le plus hagiographique possible, et le moins cinématographique, de l’actuel chef de l’église catholique. Entre extraits totalement prosélytes et entretiens face caméra, le cinéaste a définitivement perdu ses "Ailes du désir" et il assure, sans recul, la promotion de François.
Le Monde
Gageons pourtant que "Le Pape François. Un homme de parole", trouvera son public au sein d’une partie de la communauté catholique. Le document ne prétend pas à autre chose qu’à prêcher une niche de convaincus et s’assure ainsi de remplir convenablement les salles.
Les Inrockuptibles
Résultat: un road-docu où le pape babille des monologues que ne renierait pas Miss France et plante des arbres à la frontière palestinienne. On ne le remerciera jamais assez d'avoir par surprise gâché la promo et rendu le film à son refoulé.
Télérama
Wenders reconstitue des épisodes de la vie du saint aux oiseaux, dans lesquels un acteur en robe de bure regarde le ciel avec les yeux écarquillés. Ces séquences en noir et blanc voudraient renvoyer à l’innocence du cinéma muet. On y voit surtout une esthétique sulpicienne du plus mauvais goût.