Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Ouest France
par Sylvestre Picard
Une magnifique odyssée qui laissera un souvenir durable.
Positif
par William Le Personnic
Produit par le studio Chizu (co-fondé par Hosoda) "Miraï, ma petite soeur" porte l'empreinte flamboyante de l'excellence des productions Ghibli.
Télérama
par Guillemette Odicino
Miraï, ma petite sœur est un merveilleux film sur la famille, pour toute la famille.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Une magnifique chronique familiale.
20 Minutes
par Caroline Vié
Le réalisateur des Enfants-Loups, Ame & Yuki et du Garçon et la Bête met sa délicatesse au service d’une histoire tendre (...).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Miraï est avant tout un superbe film d’architecte qui fait évoluer ses personnages dans un décor intelligemment pensé et dessiné.
Critikat.com
par Thomas Choury
Cette structure visible qui se dérègle raconte précisément ce qu’est "Miraï, ma petite sœur", un film orageux qui épouse les lignes discontinues de la psyché d’un petit homme en construction.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Hosoda ne juge pas, il accompagne le petit jaloux, le prend par la main par le scénario d’un original trajet familial, sous l’arbre de la maison. Il anime de magie l’apprentissage de la nouvelle relation fraternelle, par un voyage fantastique et imaginaire dans le passé et le futur de sa famille, à la rencontre de sa mère enfant, de son arrière-grand-père jeune, de sa petite sœur qui a grandi. Un souriant récit d’apprentissage, comme cure à la jalousie.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Ecran Large
par Christophe Foltzer
"Miraï, ma petite soeur" nous met dans une position inconfortable parce qu'il n'arrive pas à se décider sur ce qu'il veut être. D'un côté, il s'agit du "pire" film de Mamoru Hosoda, blindé de défauts, maladroit dans sa construction. D'un autre, c'est son "meilleur", dans ce qu'il nous raconte et dans la grande beauté de certaines de ses scènes. C'est peut-être surtout le signal d'alarme qu'Hosoda sacrifie de plus en plus la forme au profit du fond. Mais cela reste un très joli film à conseiller à toute la famille.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Christophe Carrière
Bref, un vrai bon film familial.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Nicolas Schaller
A mi-chemin entre l'approche réaliste d'Isao Takahata dans "le Tombeau des lucioles" et celle fantasmagorique de Hayao Miyazaki dans "Mon voisin Totoro", Mamoru Hosoda signe une merveille de récit d'apprentissage et de transmission.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Fin observateur de la famille, Mamoru Hosoda, réalisateur des Enfants Loups et du Garçon et la bête, livre un nouveau film d’animation plein de charme sur la découverte des liens fraternels.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Hosoda compose un labyrinthe psychanalytique et visuel, ébouriffant écrin de beauté démesurée où jeunes spectateurs comme adultes sont invités à s’égarer avec un plaisir vertigineux.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un film d’animation certes tous publics, mais d’une maturité incroyable et d’une clairvoyance parfois inconfortable dans sa description des relations familiales. En plus, c’est visuellement magnifique.
Le Figaro
par La Rédaction
La vie comme elle vient dresse un portrait d'une formidable mère courage brésilienne qui maintient à flot une maisonnée, contre vents et marées. La caméra y est toujours en mouvement. Comme l'héroïne, elle capte avec finesse la vie et les émotions.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Geek
par Benjamin Benoit
Avec un postulat aux atours mineurs, Mamoru Hosoda en fait un film dont le grandiose est en concurrence permanente avec le petit espace d’un foyer à Yokohama.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Monde
par Thomas Sotinel
Cette forme, ce récit intime et libre, nourri de l'invention graphique de Hosoda, qui, s'il n'atteint pas la puissance épique des "Enfants loups", offre un bain de jouvence indispensable en ce solstice d'hiver.
Le Parisien
par Catherine Balle
Ce récit moderne est servi par un dessin magnifique, d’une incroyable précision, dans la veine des films de Hayao Miyazaki (dont le réalisateur est un héritier).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film en tout point lumineux.
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Visuellement foisonnant, "Miraï, ma petite soeur" reste par essence une énième relecture d'"Un chant de Noël" de Charles Dickens [...].
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Le dessin animé idéal pour les petits et les grands en cette période de Noël.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Sylvestre Picard
Une chronique familiale aussi surprenante qu’émouvante.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Un conte métaphysique plein de charme et d’esprit, qui prouve qu’on n’est pas mieux préparé à être père qu’à être grand frère.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
Cependant, malgré une maîtrise graphique toujours impeccable, le réalisateur ne retrouve pas toute la magie qui était la sienne jusqu'alors, les intrusions du fantastique étant inexpliquées, [...].
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une fable à la Miyazaki : initiatique, nostalgique et à la lisière du fantastique.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Une banale histoire de rivalité fraternelle par le champion de l’animation japonaise, prétexte à une créativité foisonnante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marius Chapuis
Aux premières scènes qui jouent à merveille de la perméabilité entre réel et onirique succèdent des surgissements de l’imaginaire tristement mécaniques. Un torpillage.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
Une magnifique odyssée qui laissera un souvenir durable.
Positif
Produit par le studio Chizu (co-fondé par Hosoda) "Miraï, ma petite soeur" porte l'empreinte flamboyante de l'excellence des productions Ghibli.
Télérama
Miraï, ma petite sœur est un merveilleux film sur la famille, pour toute la famille.
Voici
Une magnifique chronique familiale.
20 Minutes
Le réalisateur des Enfants-Loups, Ame & Yuki et du Garçon et la Bête met sa délicatesse au service d’une histoire tendre (...).
Cahiers du Cinéma
Miraï est avant tout un superbe film d’architecte qui fait évoluer ses personnages dans un décor intelligemment pensé et dessiné.
Critikat.com
Cette structure visible qui se dérègle raconte précisément ce qu’est "Miraï, ma petite sœur", un film orageux qui épouse les lignes discontinues de la psyché d’un petit homme en construction.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Hosoda ne juge pas, il accompagne le petit jaloux, le prend par la main par le scénario d’un original trajet familial, sous l’arbre de la maison. Il anime de magie l’apprentissage de la nouvelle relation fraternelle, par un voyage fantastique et imaginaire dans le passé et le futur de sa famille, à la rencontre de sa mère enfant, de son arrière-grand-père jeune, de sa petite sœur qui a grandi. Un souriant récit d’apprentissage, comme cure à la jalousie.
Ecran Large
"Miraï, ma petite soeur" nous met dans une position inconfortable parce qu'il n'arrive pas à se décider sur ce qu'il veut être. D'un côté, il s'agit du "pire" film de Mamoru Hosoda, blindé de défauts, maladroit dans sa construction. D'un autre, c'est son "meilleur", dans ce qu'il nous raconte et dans la grande beauté de certaines de ses scènes. C'est peut-être surtout le signal d'alarme qu'Hosoda sacrifie de plus en plus la forme au profit du fond. Mais cela reste un très joli film à conseiller à toute la famille.
L'Express
Bref, un vrai bon film familial.
L'Obs
A mi-chemin entre l'approche réaliste d'Isao Takahata dans "le Tombeau des lucioles" et celle fantasmagorique de Hayao Miyazaki dans "Mon voisin Totoro", Mamoru Hosoda signe une merveille de récit d'apprentissage et de transmission.
La Croix
Fin observateur de la famille, Mamoru Hosoda, réalisateur des Enfants Loups et du Garçon et la bête, livre un nouveau film d’animation plein de charme sur la découverte des liens fraternels.
La Septième Obsession
Hosoda compose un labyrinthe psychanalytique et visuel, ébouriffant écrin de beauté démesurée où jeunes spectateurs comme adultes sont invités à s’égarer avec un plaisir vertigineux.
La Voix du Nord
Un film d’animation certes tous publics, mais d’une maturité incroyable et d’une clairvoyance parfois inconfortable dans sa description des relations familiales. En plus, c’est visuellement magnifique.
Le Figaro
La vie comme elle vient dresse un portrait d'une formidable mère courage brésilienne qui maintient à flot une maisonnée, contre vents et marées. La caméra y est toujours en mouvement. Comme l'héroïne, elle capte avec finesse la vie et les émotions.
Le Journal du Geek
Avec un postulat aux atours mineurs, Mamoru Hosoda en fait un film dont le grandiose est en concurrence permanente avec le petit espace d’un foyer à Yokohama.
Le Monde
Cette forme, ce récit intime et libre, nourri de l'invention graphique de Hosoda, qui, s'il n'atteint pas la puissance épique des "Enfants loups", offre un bain de jouvence indispensable en ce solstice d'hiver.
Le Parisien
Ce récit moderne est servi par un dessin magnifique, d’une incroyable précision, dans la veine des films de Hayao Miyazaki (dont le réalisateur est un héritier).
Les Fiches du Cinéma
Un film en tout point lumineux.
Mad Movies
Visuellement foisonnant, "Miraï, ma petite soeur" reste par essence une énième relecture d'"Un chant de Noël" de Charles Dickens [...].
Paris Match
Le dessin animé idéal pour les petits et les grands en cette période de Noël.
Première
Une chronique familiale aussi surprenante qu’émouvante.
aVoir-aLire.com
Un conte métaphysique plein de charme et d’esprit, qui prouve qu’on n’est pas mieux préparé à être père qu’à être grand frère.
L'Ecran Fantastique
Cependant, malgré une maîtrise graphique toujours impeccable, le réalisateur ne retrouve pas toute la magie qui était la sienne jusqu'alors, les intrusions du fantastique étant inexpliquées, [...].
Le Journal du Dimanche
Une fable à la Miyazaki : initiatique, nostalgique et à la lisière du fantastique.
Les Inrockuptibles
Une banale histoire de rivalité fraternelle par le champion de l’animation japonaise, prétexte à une créativité foisonnante.
Libération
Aux premières scènes qui jouent à merveille de la perméabilité entre réel et onirique succèdent des surgissements de l’imaginaire tristement mécaniques. Un torpillage.