Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Ouest France
par La Rédaction
Un puissant documentaire.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Avec ce documentaire vivifiant, Peter Webber nous fait découvrir l’exceptionnelle force d’âme et de résilience de la musique jamaïcaine.
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Inna de Yard est davantage qu’un documentaire musical bien exécuté : une leçon de vie.
Télérama
par Frédéric Péguillan
Une rareté : le reggae conté par ceux qui le font. A chacun son histoire, parfois dure, toujours touchante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Joffray Vasseur
Un brin d’humour mêlé à de vives émotions, l’influence du passé dans le présent des chanteurs et une passion déroutante pour la musique ; en bref : un véritable plaisir auditif et visuel.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Certes, le cinéaste abuse parfois des entretiens face caméra, mais le montage, avec images d’archives et vues plongeantes sur la beauté sauvage de l’île, confère au film une force à la fois mémorielle et sensorielle.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Les amateurs de reggae se réjouiront de cette immersion. Et les néophytes découvriront un univers musical et spirituel terriblement attachant, qui leur donnera envie de s’aventurer plus loin sur ce chemin de traverse en écoutant d’autres morceaux et musiciens.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par La Rédaction
Malgré quelques jolis moments d'émotion, le documentaire français est avant tout destiné aux fans de reggae.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Jacques Denis
Pas toujours convaincant dans sa réalisation privilégiant le cadre bien léché, le film trouve pourtant sa trame scénaristique dans ce canevas au-delà de la seule musique, un puzzle de parcours dont les pièces mises bout à bout forment un ensemble aussi éclaté qu’éclatant de vérité quant au quotidien sur l’île.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
En dépit de son charme, il règne un petit côté paresseux dans ce documentaire où Webber peine à apporter un réel plus comme cinéaste, rendant du coup la présence sur grand écran d’Inna de Yard pas foncièrement indispensable.
Ouest France
Un puissant documentaire.
Les Fiches du Cinéma
Avec ce documentaire vivifiant, Peter Webber nous fait découvrir l’exceptionnelle force d’âme et de résilience de la musique jamaïcaine.
Rolling Stone
Inna de Yard est davantage qu’un documentaire musical bien exécuté : une leçon de vie.
Télérama
Une rareté : le reggae conté par ceux qui le font. A chacun son histoire, parfois dure, toujours touchante.
aVoir-aLire.com
Un brin d’humour mêlé à de vives émotions, l’influence du passé dans le présent des chanteurs et une passion déroutante pour la musique ; en bref : un véritable plaisir auditif et visuel.
L'Obs
Certes, le cinéaste abuse parfois des entretiens face caméra, mais le montage, avec images d’archives et vues plongeantes sur la beauté sauvage de l’île, confère au film une force à la fois mémorielle et sensorielle.
La Croix
Les amateurs de reggae se réjouiront de cette immersion. Et les néophytes découvriront un univers musical et spirituel terriblement attachant, qui leur donnera envie de s’aventurer plus loin sur ce chemin de traverse en écoutant d’autres morceaux et musiciens.
Le Parisien
Malgré quelques jolis moments d'émotion, le documentaire français est avant tout destiné aux fans de reggae.
Libération
Pas toujours convaincant dans sa réalisation privilégiant le cadre bien léché, le film trouve pourtant sa trame scénaristique dans ce canevas au-delà de la seule musique, un puzzle de parcours dont les pièces mises bout à bout forment un ensemble aussi éclaté qu’éclatant de vérité quant au quotidien sur l’île.
Première
En dépit de son charme, il règne un petit côté paresseux dans ce documentaire où Webber peine à apporter un réel plus comme cinéaste, rendant du coup la présence sur grand écran d’Inna de Yard pas foncièrement indispensable.