Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
Il y a ici l’aboutissement d’un regard singulier porté par une cinéaste sur ce qui la fonde et la fait avancer. Un regard personnel et si généreux qu’il devient universel, nous renvoie à nos rêveries, nos désirs, nos choix. Et à la puissance de nos imaginaires.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Un long-métrage surprenant, doux et mélancolique, d'une élégance et d'une fluidité admirables.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
La réussite du film repose ici sur la mise en scène. Des premiers plans, superbes, en cinémascope, aux dernières images magiques du film, on est saisi par la beauté, l’élégance du style de la cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Louis Guichard
Une subtile et orageuse réflexion sur l’amour, où plane l’ombre de Bergman.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Le film dépaysant de Mia Hansen-Love est une bulle de bonheur pour les amoureux du 7e Art.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Renan Cros
Un beau film solaire sur ce que fait le cinéma à nos vies.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Bergman Island se métamorphose en film-paysage magnifiant la beauté sauvage de Fårö, non pas comme la visiterait un touriste, à la recherche d’une carte postale et d’un pèlerinage cinéphile. La caméra de Mia Hansen-Løve en donne à voir l’âme profonde.
L'Obs
par Sophie Grassin
La force d’Hansen-Løve est de s’en tenir aux pointillés et d’adopter au pied de la lettre la phrase de Flaubert citée à Vicky Krieps par Tim Roth en forme de vacherie : « Pour qu’une chose soit intéressante, il suffit de la regarder longtemps. »
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Une variation, cérébrale et sensuelle, sur le couple et la création, dans le cadre magnifique de l’île suédoise où vécut le cinéaste Ingmar Bergman.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Lucas Charrier
Et c'est dans le débordement d'une dimension sur l'autre, dans la réconciliation d'une fougue adolescente avec une forme de maturité et d'apaisement, de deux âges et de deux désirs, que le film s'incarne pleinement.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Ce n’est pas juste un décor naturel : comme Bergman, Mia Hansen-Løve fait entrer dans les pierres l es états émotionnels intérieurs de ses personnages, leur immense et tragique solitude.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une mise en abyme solaire et mélancolique, résolument romanesque, qui véhicule l’émotion à travers les silences.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le cahier de devoirs de vacances de Mia Hansen-Love offre un programme chargé. Pourtant, quand on le referme, au bout des presque deux heures de projection de Bergman Island, c’est le goût des vacances qui reste en bouche, pas celui des devoirs.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Une fiction sensible et surprenante.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Laura Tuillier
Bouleversant sans crier gare (en un raccord, qu’on ne dévoilera pas), grâce à cette mise en scène précise et souveraine que Mia Hansen-Løve affûte de film en film, Bergman Island ne tranche pas sur la question sentimentale mais choisit clairement son camp pour le reste : celles qui comptent ce sont celles qui doutent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
Le film donne naissance au récit d'une double émancipation, celle de cette cinéaste et de son héroïne.
Positif
par Ariane Allard
Mia Hansen-Løve ne se « contente » pas, ici, de dérouler une chronique intimiste et gracieuse, à fleur de peau et de visages, comme elle sait si bien le faire. Inspirée par la force des lieux, elle nous projette aussi dans une matière troublante, poreuse, aussi ludique que fantastique. Nouvelle, donc.
Première
par Thierry Chèze
Il règne sur ce double récit la mélancolie de ces histoires terminées qui continuent pourtant à briller comme des étoiles mortes. Ce film a la grâce. Celle de sa comédienne principale, l’éblouissante Vicky Krieps.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ecran Large
par Salim Belghache
Malgré un certain nombrilisme de la part de sa réalisatrice (qu'il soit volontaire ou involontaire), Bergman Island n'en demeure pas moins un ensemble touchant et bien exécuté, dans lequel chaque maladresse arrive pourtant à ne pas tâcher sa sincérité. Et la rencontre de Mia Wasikowska et le cinéma de Mia Hansen-Løve est sans doute la plus belle réussite de ce projet.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Paris Match
par Yannick Vely
C’est élégant, bien écrit, bien joué, cela ressemble un peu/beaucoup à une version féminine du cinéma de Hong Sang-Soo [...]. Cela manque aussi un peu d’enjeu dramatique, mais ce n'est clairement pas l'ambition de Mia Hansen-Love qui explore la voie d'un cinéma tout en nuances et en non-dits.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
De surface à surface, couche sur couche, tout glisse, donc, et c’est précisément la limite du film que de ne trouver aucune résistance – ni sociale, ni pulsionnelle, ni réelle – à cette fluidité qui s’accomplit dans la pure stratosphère des sentiments et des idées désincarnées.
Critikat.com
par Josué Morel
De cet exercice narcissique et passablement paresseux, on peut toutefois sauver la revenante Mia Wasikowska, dont le visage a tant manqué ces dernières années.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Les fantômes de l’île de la tentation bergmanienne risquent de laisser pas mal de monde à quai.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Un couple de cinéastes part écrire sur l’île où Bergman a vécu et tourné. À force de vouloir faire du Bergman “mais sans prise de tête” et de l’autobiographie “mais sans impudeur”, le film glisse à côté de lui-même et peine à s’habiter réellement.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Le problème de Mia Hansen-Love, c’est qu’elle ne s’autorise pas à filmer avec son âme et son inconscient mais qu’elle s’épuise à chercher une sophistication auteuriste et une fantaisie intelligente qui aplatissent tous les enjeux de son film.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
L'intérêt romantique de Mia Hansen-Løve pour son propre rapport à la création, à l'amour et au cinéma de Bergman ne suffit pas à donner un souffle à son œuvre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par Eric Neuhoff
L’inconscience de l’autrice saute aux yeux : elle envoie ses protagonistes se recueillir devant la sépulture de Bergman. Il n’est pas interdit de penser qu’à cet instant le cinéaste se retourne dans sa tombe. Wah !
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Bande à part
Il y a ici l’aboutissement d’un regard singulier porté par une cinéaste sur ce qui la fonde et la fait avancer. Un regard personnel et si généreux qu’il devient universel, nous renvoie à nos rêveries, nos désirs, nos choix. Et à la puissance de nos imaginaires.
CNews
Un long-métrage surprenant, doux et mélancolique, d'une élégance et d'une fluidité admirables.
Les Inrockuptibles
La réussite du film repose ici sur la mise en scène. Des premiers plans, superbes, en cinémascope, aux dernières images magiques du film, on est saisi par la beauté, l’élégance du style de la cinéaste.
Télérama
Une subtile et orageuse réflexion sur l’amour, où plane l’ombre de Bergman.
20 Minutes
Le film dépaysant de Mia Hansen-Love est une bulle de bonheur pour les amoureux du 7e Art.
CinemaTeaser
Un beau film solaire sur ce que fait le cinéma à nos vies.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Bergman Island se métamorphose en film-paysage magnifiant la beauté sauvage de Fårö, non pas comme la visiterait un touriste, à la recherche d’une carte postale et d’un pèlerinage cinéphile. La caméra de Mia Hansen-Løve en donne à voir l’âme profonde.
L'Obs
La force d’Hansen-Løve est de s’en tenir aux pointillés et d’adopter au pied de la lettre la phrase de Flaubert citée à Vicky Krieps par Tim Roth en forme de vacherie : « Pour qu’une chose soit intéressante, il suffit de la regarder longtemps. »
La Croix
Une variation, cérébrale et sensuelle, sur le couple et la création, dans le cadre magnifique de l’île suédoise où vécut le cinéaste Ingmar Bergman.
La Septième Obsession
Et c'est dans le débordement d'une dimension sur l'autre, dans la réconciliation d'une fougue adolescente avec une forme de maturité et d'apaisement, de deux âges et de deux désirs, que le film s'incarne pleinement.
Le Dauphiné Libéré
Ce n’est pas juste un décor naturel : comme Bergman, Mia Hansen-Løve fait entrer dans les pierres l es états émotionnels intérieurs de ses personnages, leur immense et tragique solitude.
Le Journal du Dimanche
Une mise en abyme solaire et mélancolique, résolument romanesque, qui véhicule l’émotion à travers les silences.
Le Monde
Le cahier de devoirs de vacances de Mia Hansen-Love offre un programme chargé. Pourtant, quand on le referme, au bout des presque deux heures de projection de Bergman Island, c’est le goût des vacances qui reste en bouche, pas celui des devoirs.
Les Echos
Une fiction sensible et surprenante.
Libération
Bouleversant sans crier gare (en un raccord, qu’on ne dévoilera pas), grâce à cette mise en scène précise et souveraine que Mia Hansen-Løve affûte de film en film, Bergman Island ne tranche pas sur la question sentimentale mais choisit clairement son camp pour le reste : celles qui comptent ce sont celles qui doutent.
Ouest France
Le film donne naissance au récit d'une double émancipation, celle de cette cinéaste et de son héroïne.
Positif
Mia Hansen-Løve ne se « contente » pas, ici, de dérouler une chronique intimiste et gracieuse, à fleur de peau et de visages, comme elle sait si bien le faire. Inspirée par la force des lieux, elle nous projette aussi dans une matière troublante, poreuse, aussi ludique que fantastique. Nouvelle, donc.
Première
Il règne sur ce double récit la mélancolie de ces histoires terminées qui continuent pourtant à briller comme des étoiles mortes. Ce film a la grâce. Celle de sa comédienne principale, l’éblouissante Vicky Krieps.
Ecran Large
Malgré un certain nombrilisme de la part de sa réalisatrice (qu'il soit volontaire ou involontaire), Bergman Island n'en demeure pas moins un ensemble touchant et bien exécuté, dans lequel chaque maladresse arrive pourtant à ne pas tâcher sa sincérité. Et la rencontre de Mia Wasikowska et le cinéma de Mia Hansen-Løve est sans doute la plus belle réussite de ce projet.
Paris Match
C’est élégant, bien écrit, bien joué, cela ressemble un peu/beaucoup à une version féminine du cinéma de Hong Sang-Soo [...]. Cela manque aussi un peu d’enjeu dramatique, mais ce n'est clairement pas l'ambition de Mia Hansen-Love qui explore la voie d'un cinéma tout en nuances et en non-dits.
Cahiers du Cinéma
De surface à surface, couche sur couche, tout glisse, donc, et c’est précisément la limite du film que de ne trouver aucune résistance – ni sociale, ni pulsionnelle, ni réelle – à cette fluidité qui s’accomplit dans la pure stratosphère des sentiments et des idées désincarnées.
Critikat.com
De cet exercice narcissique et passablement paresseux, on peut toutefois sauver la revenante Mia Wasikowska, dont le visage a tant manqué ces dernières années.
La Voix du Nord
Les fantômes de l’île de la tentation bergmanienne risquent de laisser pas mal de monde à quai.
Les Fiches du Cinéma
Un couple de cinéastes part écrire sur l’île où Bergman a vécu et tourné. À force de vouloir faire du Bergman “mais sans prise de tête” et de l’autobiographie “mais sans impudeur”, le film glisse à côté de lui-même et peine à s’habiter réellement.
Transfuge
Le problème de Mia Hansen-Love, c’est qu’elle ne s’autorise pas à filmer avec son âme et son inconscient mais qu’elle s’épuise à chercher une sophistication auteuriste et une fantaisie intelligente qui aplatissent tous les enjeux de son film.
aVoir-aLire.com
L'intérêt romantique de Mia Hansen-Løve pour son propre rapport à la création, à l'amour et au cinéma de Bergman ne suffit pas à donner un souffle à son œuvre.
Le Figaro
L’inconscience de l’autrice saute aux yeux : elle envoie ses protagonistes se recueillir devant la sépulture de Bergman. Il n’est pas interdit de penser qu’à cet instant le cinéaste se retourne dans sa tombe. Wah !