Mon compte
    Gloria Bell
    Note moyenne
    2,7
    699 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Gloria Bell ?

    92 critiques spectateurs

    5
    4 critiques
    4
    19 critiques
    3
    27 critiques
    2
    21 critiques
    1
    17 critiques
    0
    4 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    JudyCarlotta
    JudyCarlotta

    77 abonnés 166 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 mai 2019
    Pas moyen de faire original sur cette critique ! Moore est formidable dans le rôle d'une femme qui a appris à être seule et à apprécier et gérer sa solitude, Turturro est formidable dans le rôle du minable harceleur, tous les acteurs font leur boulot. N'ayant pas vu l'original, je ne saurais comparer. Mais bon sang, on leur a jamais dit aux réalisateurs, que pour faire un film, il faut une histoire, une histoire et une histoire ? Il se passe plus de trucs dans un épisode des feux de l'amour
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 3 mai 2019
    J'y suis allé après avoir été seduit par le thème et la bande annonce, cependant le film ne m'a pas vraiment intéressé et tenu en haleine.
    Certains passages sont bien menés mais l'ensemble m'a paru long et superficiel.
    Spéciale dédicace à Julianne Moore qui simule en faisant des bruits de canard... Ça m'a beaucoup fait rire.
    chonchonparis
    chonchonparis

    2 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 mai 2019
    Alors évidemment, ce remake du magnifique "Gloria" n'est pas du tout à la hauteur de l'original. Toutefois, Julianne Moore parvient à jouer autrement qu'une actrice étasunienne, en atténuant, en épurant son jeu, s'inspirant de la retenue que sav(ai)ent avoir les Jeanne Moreau, Catherine Deneuve, Isabelle Huppert, Isabelle Adjani, Sandrine Bonnaire... Je n'en attendais pas moins de Julianne Moore (on se rappelle sa remarquable prestation dans "A Single Man" de Tom Ford), mais ça ne parvient à grandir beaucoup le film. Notons une bande originale populaire qui fait plaisir à entendre.
    RedArrow
    RedArrow

    1 682 abonnés 1 538 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mai 2019
    Avoir le physique de Julianne Moore et être encore célibataire à la cinquantaine passée est une probabilité qui a de quoi mettre un sérieux coup au moral de toutes les âmes esseulées de la planète mais c'est pourtant bel et bien le cas de Gloria Bell, héroïne de ce remake américain de "Gloria" toujours réalisé par Sebastían Lelio (n'ayant pas vu ce dernier, je m'abstiendrai donc de toute comparaison dans cet avis).
    Divorcée depuis de nombreuses années et mère de deux enfants n'ayant ostensiblement plus besoin de sa présence dans leurs vies respectives, Gloria est une femme de plus en plus victime de sa solitude qu'elle tente désespérément de combler par des rencontres éclairs lors de ses sorties dans des discothèques pour personnes d'âge mûr. Un soir, son regard croise par hasard celui d'Arnold (le toujours excellent John Turturro), un homme divorcé depuis un an mais qui peine à couper les ponts avec son ancienne vie de famille. Quelques étincelles amoureuses plus tard, tous deux entament une relation qui va peu à peu pousser Gloria dans ses derniers retranchements...

    Impossible de commencer à parler de "Gloria Bell" sans évoquer son plus bel atout : Julianne Moore pour qui on ne sait plus utiliser quel qualitatif élogieux tant la prestation de l'actrice, omniprésente à l'écran, irradie le film en permanence. On le sait, son talent n'est bien évidemment plus à prouver depuis longtemps mais "Gloria Bell" est sans doute une de ces œuvres dans sa riche filmographie mettant le plus en avant cette sorte de magnétisme émotionnelle qui émane d'elle et qui est à même de briser la carapace du spectateur le plus endurci. Que Julianne Moore/Gloria Bell rit, pleure ou exalte tout le spectre de nuances émotionnelles entre ces deux extrémités, elle vous contamine instantanément et vous vous surprenez à voir vos propres sentiments échapper à votre contrôle pour épouser ceux transmis par l'actrice (peu de ses consoeurs peuvent se targuer d'un tel pouvoir d'attraction émotionnel, preuve si besoin en était que l'on a affaire à une très grande en son domaine). Ce morceau de vie essentiel traversé par Gloria Bell et conté par le film permet donc à Julianne Moore de briller à chaque instant, à tel point qu'il en devient impossible de ne pas être touché par le parcours du personnage magnifié par la puissance du jeu de son interprète.
    Seulement et cela va être le coeur du problème, la présence de Julianne Moore est d'une telle force que l'on vient à se demander si le film, lui, est vraiment à sa hauteur...

    "Gloria Bell" est un joli long-métrage, dur de le contester, mais il paraît toujours courir après la performance de son immense actrice pour être à son niveau.
    La question ne se pose pas quand il se fixe sur la relation entre Gloria et Arnold, c'est là que le film fait le plus preuve de finesse, comme si les interactions entre ces deux personnages suffisaient à elles seules à le porter à un palier d'excellence (en ce sens, leur dernière confrontation dans les ultimes instants est sera bien sûr le point culminant auquel il sera impossible de ne pas succomber). De même lorsqu'il suffit seulement de scruter le visage de Julianne Moore pour comprendre cette héroïne, comme on l'a dit, la comédienne transcende tout sur son passage.
    Là où la donne est beaucoup plus compliquée, c'est quand "Gloria Bell" cherche à nous transmettre les non-dits émotionnels de ses personnages par l'intermédiaire d'éléments externes. En la matière, le film se transforme alors en une espèce de catalogue d'artifices faciles pour les nuls : entre un voisin bruyamment dépressif, un chat sphynx envahissant, un problème médical, des signes rappelant sans cesse la fin de vie ou une playlist record de chansons tristes, Sebastían Lelio se montre aussi subtil qu'un phacochère invité à un dîner mondain pour traduire les sentiments cachés de son héroïne. On en vient même parfois à rester vraiment interloqué tant ce déluge d'astuces grossières prend des proportions ahurissantes, un peu comme si aucune comédie dramatique indé de ce genre n'avait existé depuis au moins vingt ans. C'est bien simple, à peu près tout ce que Gloria croise, voit ou entend est balancé à la tête du spectateur comme un potentiel indice/symbole/subterfuge se voulant malin sur son état actuel... sauf qu'à chaque fois, ben, tout ça n'a absolument rien de malin ! Avec la légèreté d'une cerise bigarreau sur un gâteau bavarois, l'utilisation obligatoire d'une certaine chanson en bout de course viendra résumer cette impression d'usage perpétuel de grosses ficelles (attention, la dernière scène est magnifique dans ce qu'elle veut nous transmettre mais c'est encore une fois plus le fruit de Julianne Moore que de Sebastían Lelio -on imagine sans mal le bougre tout fier d'avoir trouvé l'idée de passer ce morceau...).

    En définitive, on sort de "Gloria Bell" pétri de contradictions : oui, le film nous a indéniablement touché et ce bien plus d'une fois, cela veut dire qu'on l'a forcément apprécié quelque part mais l'a-t-on adoré pour autant ? La réponse ne peut rester qu'en suspens vu ce yo-yo agaçant dans son traitement capable du meilleur comme du pire dans la justesse du regard porté par son auteur. Une chose est sûre, Dame Moore y est tellement grandiose qu'elle vaut à elle seule le déplacement. Une révérence pour elle.
    traversay1
    traversay1

    3 677 abonnés 4 890 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mai 2019
    Les portraits de femme, le cinéaste chilien Sebastian Lelio sait comment les façonner et il y excelle, de Désobéissance à Une femme fantastique, en passant par Gloria, petite pépite dont le souvenir reste gravé pour ceux qui l'ont découvert en 2014. 5 ans plus tard, en voici déjà le remake, fruit d'une volonté commune de son réalisateur et de Julianne Moore, avec bien entendu l'idée de toucher un plus large public, via la nationalité américaine de cette nouvelle version. Laquelle reprend peu ou prou les éléments principaux de l'intrigue initiale avec la même empathie et bienveillance du metteur en scène pour cette quinquagénaire qui s'étourdit en dansant et mène sa vie en toute indépendance. Confrontée à une relation amoureuse toxique, s'en sortira t-elle indemne ? Ce qui frappe dans Gloria Bell, comme dans la plupart des longs-métrages de Lelio, c'est l'élégance de sa mise en scène, sa grâce même, et sa capacité à épurer les scènes de toutes scories, quitte à passer par des ellipses temporelles. Les dialogues du film sont le plus souvent anodins, volontairement, les paroles n'étant que de peu d'importance par rapport aux actes qui définissent bien mieux l'essence d'un être. Cette femme fantastique, d'une splendide "banalité", est magnifiée par la caméra de Lelio, c'est Julianne Moore qui l'incarne, dans la magnificence de ses 58 ans, solaire et libre, avec la même vivacité d'adolescente que l'on trouvait dans le Gloria originel. Chatoyant portrait de femme, cette fois encore, moins nuancée peut-être que le personnage incarné par Paulina Garcia, à l'époque. Une "américanisation" certaine de son caractère qui n'a que peu de conséquences sur l'affection que l'on porte d'emblée à Gloria Bell (you can ring my ...).
    selenie
    selenie

    6 392 abonnés 6 221 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mai 2019
    Le cinéaste rétro-pédale pour ainsi dire en signant son auto-remake de son film "Gloria" (2013). La première chose qui frappe est l'approche du personnage, qui, après 5 ans, insiste beaucoup plus sur une Gloria est sans nul doute dépressive. Ce choix s'impose alors au récit qui s'avère moins drôle, plus mélodramatique même si un optimisme sous-jacent tente d'exister. L'histoire respire au rythme de la musique que Gloria écoute en voiture. Ainsi on commence par des chansons tristes avec l'espoir de connaître l'amour pour terminer sur un titre d'une banalité confondante et si attendue ! Un auto-remake maladroit qui ne surnage que grâce à une Julianne Moore toujours étincelante de justesse et de grâce.
    Site : Selenie
    fornasetti
    fornasetti

    2 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 mai 2019
    Le cinéaste chilien, Sebastien Lelio avec le remake du film qui l’a fait connaître en 2013, GLORIA, réalise-là un film américain pas du tout abouti, très très ennuyeux, avec des scènes à hurler de rire de par le grotesque des situations. Ne vous laisser pas influencer par la publicité. Malgré la présence des merveilleux : John Turturro, Michael Cerra et Julianne Moore, essayez de voir plutôt l'original.
    .
    Isabelle E.C.
    Isabelle E.C.

    60 abonnés 307 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mai 2019
    J’ai aimé ce film, une tranche de vie simple d’une femme intelligente, charmante, courageuse, autonome, divorcée depuis 12 ans.
    Quelqu’un de bien sur qui on peut compter.
    Des enfants adultes, une fille et un garçon, qui l’aiment. Des amis proches de longue date, des collègues et une mère avec lesquels elle a des échanges clairs et honnêtes.
    Elle danse, c’est son plaisir, elle a de l’humour, elle rit beaucoup, elle chante aussi beaucoup des trucs des années 80 qui parlent d’histoires d’amour qui finissent mal et de solitude.
    Elle rencontre un homme.
    Une version contemporaine solaire et simple, qui m’a fait penser à un autre film beaucoup plus noir des années 1970 avec Diane Keaton « À la recherche de Mr Goodbar », mais ici pas de noirceur ou de tragédie, juste la vie.
    Michel C.
    Michel C.

    280 abonnés 1 480 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mai 2019
    Julianne Moore exceptionnelle dans le rôle omniprésent de Gloria, ne laissant aucune autre place, que ce soit à Arnold (John Turturro) ou les autres membres de la famille. Une belle femme indépendante qui s'assume et s'épanouit presque complètement, et qui progressivement bascule dans des interrogations et des lenteurs - à l'image du film lui-même - qui nuisent le bon démarrage encourageant..... Dommage. Dommage surtout pour n'avoir pas laissé écouter les fabuleuses musiques, - quelques scènes très réussies et joyeuses où Julianne chante au volant, musique à fond, et des prises de vues magnifiques - et bien sur la meilleure "GLORIA" pour le final (logique).... !! **
    Serge V
    Serge V

    85 abonnés 446 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 mai 2019
    on suit la vie d' une femme d ' une cinquantaine d ' années , divorcée , mère de deux enfants qui vivent leur vie personnelle .elle s ' interroge plus ou moins sur son avenir et s ' étourdit dans des soirées dansantes . la rencontre avec un homme lui-même divorcé va amener l ' espoir d ' une vie plus complète . ce scénario pouvait être intéressant , malheureusement le film s ' englue dans les rapports des deux héros qui tour à tour s ' éloignent puis se retrouvent , chacun à leur tour ! le film est trop lent , les états d ' âme des héros finissent par lasser ! heureusement , pour tromper l ' ennui , la bande-son est formidable , avec des tubes innombrables ( gloria en finale , bien sûr ! ) , des tubes trop vite coupés alors que le film lui-même s ' éternise .
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 2 mai 2019
    Le seul point positif la musique !
    Très déçue par ce film, que des longueurs. Une vision de la vie médiocre... aucun rebondissement. On s’ennuie !
    Ufuk K
    Ufuk K

    527 abonnés 1 491 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 mai 2019
    " Gloria Bell " de Sébastien Lelio remake de " Gloria " réalisé par le même réalisateur est un film plutôt réussit. En effet même si l'histoire peut paraître anodine, la réussite du film doit beaucoup à Julianne Moore en femme solitaire, brise et courageuse victime d'un pervers narcissique avec de beaux moments émotions.
    Clélia
    Clélia

    7 abonnés 27 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 mai 2019
    Un scénario qui donne envie, mettre en avant une femme d'une cinquantaine d'années à laquelle on peut s'identifier grâce à sa vie "normale", malheureusement à vouloir être trop prêt de la réalité, le réalisateur ne parvient pas à donner sens et vigueur à ce qu'il montre.
    zorro50
    zorro50

    118 abonnés 249 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 mai 2019
    Une femme divorcée, seule, mûre et libérée entame une liaison inattendue avec un homme récemment rencontré qui pourrait bien être l’homme parfait. Ce film a une bien jolie bande-son et Julianne Moore qui est dans tous les plans, s’en sort plutôt pas mal. Cependant, entre les comportements et les réactions irrationnels excessifs de chacun, et les longueurs où l’on doit se contenter de déchiffrer sur son visage ses états d’âme qui passent continuellement du rose au noir et inversement, en surveillant son regard subitement perdu dans le vague ou le pincement de ses lèvres plus ou moins appuyé, on finit par trouver le temps long surtout pour une histoire qui est loin d’être captivante, alors c’est un film que je ne saurais recommander à quiconque
    Arectos
    Arectos

    10 abonnés 84 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 mai 2019
    À rechercher le bien être absolu et fréquenter le premier venu on fini par se perdre à Las Vegas, autrement dit au milieu de nul part, à mi-chemin entre une cinquantaine insolante, si on a de la chance, et ´l’horizon incertain d’une retraite où tout ne sera plus tout à fait comme avant et risque d’être un peu long… Un carpe diem féministe où les hommes sont faibles face au femmes, qu’elles soient divorcées ou leur propres progénitures… S’en suis un spleen bien orchestré
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top