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    Uncut Gems
    Note moyenne
    3,4
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    199 critiques spectateurs

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    LaBrute
    LaBrute

    14 abonnés 364 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 juillet 2022
    Un film très prenant !, le scénario est très bien écrit, beaucoup de suspense avec un final très en suspense, par contre les dialogues constamment "agressif" et les "cries" sont fatiguant..
    Acidus
    Acidus

    721 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 juin 2022
    "Uncut Gems" est un film nerveux, très nerveux, trop nerveux. Ce personnage principal qui court partout, passe son temps à crier, à chercher le moyen de rembourser sa dette colossale est hautement anxiogène et stressant. De plus, étalé sur plus de deux heures, ce manège devient pénible à visionner. Beaucoup trop long et redondant pour ce qu'il a à raconter. On devine également facilement les tenants et aboutissants d'un tel scénario.


    Pourtant, il y a de la qualité dans la mise en scène et dans le montage. Idem du côté du casting. Mais le traitement de l'intrigue et le style de ce long métrage me laisse de glace.
    Morgan Blaise
    Morgan Blaise

    3 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juin 2022
    Le film réussi entièrement son pari : nous faire ressentir la fièvre du personnage principal. Quel supplice que de regarder cet homme ne prendre que les décisions les plus risquées tout le long du film ! Quel soulagement lorsque le film se termine et que l'on peut enfin souffler au rythme que l'on souhaite.
    Ludovic Foulon
    Ludovic Foulon

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juin 2022
    Un jeu d'acteur en mode frénésie survitaminée de la part de Sandler. Un croisement inoffensif entre un Begbie intenable (Trainspotting) et un Tommy DeVito ingérable (Les Affranchis). Saupoudré d'un zeste de loose à la Tommy (Snatch).
    Un langage un brin vulgaire, soit rien de rédhibitoire, mais un rythme scénariste hyper soutenu.
    Et si en plus vous appréciez les surprises, foncez.
    Alexis maj
    Alexis maj

    4 abonnés 81 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 janvier 2023
    Globalement bien réalisé et un casting plutôt bien choisie , rien d'incroyable des scènes inutiles qui n'apportent pas grand chose mais globalement on ce laisse facilement emporter par le film qui a un sujet original au final, je recommande pour un film netflix en plus.
    snakevincent69
    snakevincent69

    3 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 avril 2022
    Film incroyable, vous n'avez jamais vu ça ailleurs. Un shot d'adrénaline de 2 heures. Et puis on apprend qu'Adam Sandler peu être un excellent acteur.
    À voir absolument
    Dora M.
    Dora M.

    64 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 février 2022
    Howard (Adam Sandler) est un bijoutier new-yorkais embourbé dans ses petits trafics pour gagner de l’argent mais les dettes s’accumulent.
    Dès le début, on rentre dans le bain, c’est immédiatement très bruyant, très rapide, ça part dans tous les sens. Le personnage de Howard est à la fois attachant et agaçant.
    Toute cette agitation est un peu éprouvante car elle dure sur tout le film, mais c’est aussi ce qui permet de conserver un rythme élevé et de n’avoir aucun temps mort pendant 2h15.
    Le suspens est aussi maintenu par le fait que le héros fait des paris sportifs pour des matchs de basket, ce qui crée aussi une tension à chaque pari.
    Raw Moon Show
    Raw Moon Show

    135 abonnés 832 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 janvier 2022
    La dernière image ? Celle qui me hantera longtemps, c'est ce moment, en apparence très quelconque. Le héros et sa fille ont un échange dans la cuisine familiale. Le spectacle de ce père et la façon dont il cherche en fouillant du regard quelque chose dans celui de sa grande fille... Désespérément. Quelque chose qu'on pourrait appeler de l'amour et qu'il cherche en vain. Déchirant. Fantastique.

    Ce film a du flow. John Cassevetes was here. Forcément. Bookmakers et bijoutiers sont de grands rêveurs, d'inusables pare-feux contre les irascibles de tout poil, d'indécrottables mystiques cherchant dans les reflets d'une opale, dans un décolleté profond, dans le money Time d'un match au sommet leur raison de vivre, leur graal...

    Les nappes d'électro eghties dans la nuit New-yorkaise font irrémédiablement leur effet... Des séquences en apparence anodines comme celle des poubelles dit beaucoup du fardeau que porte sur ses épaules ce stakhanoviste de la réussite à tout crin, par tous les moyens. Le mythe de Sisyphe à l'oeuvre et à l'écran dans cette brève progression nocturne heurtée qui dit tout du chemin de croix que nous vivons à ses côtés... La grimpette au sommet de sa petite colline d'adrénaline puis patatras... Equilibres précaires, comme le milieu fragile dans lequel croient vivre peinards ses fantastiques poissons-rêves. Une prison de verre. La sienne. Or tout cet univers est constellé de portes vitrées, de caméras, d'écrans et de lunettes indispensables au héros pour déformer la réalité, pour faire vivre sa réalité. Faites de reflets multicolores et de croyances irrationnelles venant se heurter au prétendu esprit cartésien d'un monde qui ne fait que se donner les apparences de la normalité. Qu'est-ce qui est normal par ici ?

    C'est d'ailleurs dans ses "temps morts" comme au Basket que se livre beaucoup de la vérité du film et de celle de son héros, de ce clown triste. Le choix d'Adam Sandler est en cela brillantissime. Quelque part entre Jerry Lewis et Docteur Love. Ses deux visages. Janus doublement mis à nu. Il y a celui qui est perdu, qui pleure comme un enfant, deux mèches rougies dans le pif et il y a l'autre, celui qui gesticule dans son verre d'eau privé d'oxygène à l'instar du spectateur cherchant de l'air. Pas un hasard qu'on ait fait appel à Adam Sandler (King of Comedy) pour ce rôle tragicomique. Et je repense d'ailleurs à la grande dépression fatale d'un Robin Williams ou de ces grands humoristes qui tombent le masque une fois loin des regards, une fois seul avec eux-mêmes. Et ce qu'ils dévoilent est souvent bouleversant.

    C'est pourquoi au-delà de ce qu'il est, un très grand film noir (dans la lignée de Meurtre d'un bookmaker chinois), je retiens surtout la prestation extraordinaire de cet acteur (le rôle de sa vie probablement) et son personnage tour à tour haïssable, consternant et attendrissant. Lui dans cette petite boutique des erreurs qui devient la grotte dangereuse (son cerveau enflammé), de la séquence d'ouverture, un terrain à explorer, à creuser sans relâche à ses risques et périls. J'ai d'ailleurs repensé à l'univers anxiogène de Pi (Darren Aronofsky) dans lequel Max, brillant mathématicien, cherche jusqu'à la folie à trouver la formule mathématique qui se cacherait cyniquement derrière les énigmatiques soubresauts du marché des changes. Deux personnages en quête de leurs personnages, de leurs fins dernières et qui se brûlent les ailes ou tombent sur un os. Une pierre. Précieuse ou pas. Uncut. J'aime à la folie !
    Come Ranjard
    Come Ranjard

    3 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 décembre 2021
    Un bon thriller où les enjeux vitaux se dénouent aussi vite que dans un Scorsese. Grande performance d'Adam Sandler dans un monde où le traitement des couleurs et la musique vous embarque dans une vision bien originale du cinéma, on sent que les frères Safdie savent où il veulent aller...
    Stéphane D
    Stéphane D

    119 abonnés 2 122 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 décembre 2021
    Adam Sandler change de registre, et il est plutôt convaincant. Mais ce film est un énorme bazar où tout le monde crie dans tous les sens et l'histoire se borne à suivre ce bijoutier gangréné par le démon du jeu (les paris sportifs) et toutes les galères dans lesquelles ça le conduit. Au final il n'y a aucun intérêt car peu de cohérence.
    Alexis Barkley
    Alexis Barkley

    11 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 novembre 2021
    Un film qui part son acteur principal, sa bande son et son visuel nous tiens en haleine tout le long. A la frontière de la SF en gardant une teneur légère ça fait du bien, en revanche je reste vraiment sur le côté de la route avec le pouce en l'air vis à vis du dénouement ..
    The Movies chronicles
    The Movies chronicles

    5 abonnés 84 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 septembre 2021
    Nous voilà avec un film qui nous montre que Adame Sandler peut sortir de son rôle habituel de personnage loufoque et dégenté pour nous montré qu'il sais jouer les rôles dramatique à la perfection. Serte pour sertain personnes se film peux paraître longue qui et du a quelques scene qu'on aurait pue emputé mais pour ma part je n'ai pas trouvé qu'il était bien long j'ai trouvé l'histoire très intéressante et intense à des moment avec un dénouement vraiment inattendu.
    gregbutton
    gregbutton

    27 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 juillet 2021
    Plutôt sympa de voir Ben Stiller dans ce genre de rôle plutôt que l'idiot habituel. Sinon le film ne raconte pas grand chose mais saisit quand même par le personnage principal, sa pitoyable quête et la fin.
    Luiz
    Luiz

    8 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 juin 2021
    Le film présente une succession de scènes telle qu'il n'y a pas de temps mort. On suit la vie très remplie de cet homme d'affaire plus ou moins douteux et "touche à tout" avec curiosité, humour et désolation.
    L?c!s_H00d
    L?c!s_H00d

    185 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juin 2021
    Produisant et distribuant des films tels que Spring Breakers d’Harmony Korine, Under the Silver Lake de David Robert Mitchell ou encore A Ghost Story de David Lowery, A24 s’est consolidé comme l’un des producteurs majeurs au niveau international, devenant l’une des références du cinéma indépendant américain.

    Le précédent film des frères Safdie, Good Time (2017), était remarquable par sa frénésie et Robert Pattinson y tenait sa meilleure performance. Joshua et Benny Safdie sont devenus les représentants inattendus d’un cinéma new-yorkais underground et indépendant, réalisant le clip de Marcy Me de Jay-Z en 2017 et captant la vie chaotique, interlope et sale de New York City, plus précisément de Manhattan avec Lenny and The Kids et d’Upper West Side dans Mad Love in New York. « Energie » et « intensité » sont dès lors apparus comme les maîtres-mots de leur cinéma. Chaque endroit investi, chaque quartier, chaque square, chaque vitrine, est un lieu de tension permanente, un parcours urbain accumulant les catastrophes.

    Si l’écriture d’Uncut Gems par les frères Safdie a commencé en 2010, la genèse du film est bien plus ancienne. « Durant notre enfance, notre père nous racontait les histoires qui circulaient au sein du Diamond District, un quartier spécialisé dans le commerce de diamants, à Manhattan, où il a travaillé quelque temps. Ces mini-thrillers, d’une grande drôlerie, auraient très bien pu figurer dans un « pulp magazine » », confie Joshua au Monde le 31 Janvier 2020, date de la sortie de leur film en France, sur Netflix.

    On suit donc dans Uncut Gems Howard Ratner, un bijoutier, au sein de Diamond District à New York, qui voit sa vie bouleversée lorsque son opale (son « uncut gem ») fraîchement arrivée est dérobée, l’entraînant dans une étourdissante course contre la montre.

    Le scénario d’Uncut Gems n’a rien d’original, le film est un peu long, mais paradoxalement il parvient à allier modestie et ambition, virtuosité et agacement pour une belle proposition de cinéma. Uncut Gems questionne le ressenti du spectateur face à un travail de mise en scène pertinent, mais ô combien éprouvant. Ce film est une crise d’hystérie collective, et en ce sens, Uncut Gems peut être insupportable. Les personnages hurlent pour échapper à une bande originale trop forte et se débattent, serrés les uns les autres, dans un espace le plus souvent confiné et sans échappatoire pour le regard (bijouterie, bureau, escalier, vestiaire, rooftop). Comme pour Good Time, par une caméra constamment à l’épaule et un travail sur les gros plans (voire les très gros plans), les frères Safdie capturent chaque secret de ces micro-territoires voire de ces micro-univers (chaque lieu a son esthétique et introduit un rapport de force amenant à un échec) où s’amassent les micro-péripéties, favorisant alors un sentiment d’enfermement et d’étouffement pour nous et le personnage. New York est donc présenté comme un milieu morcelé où tous se connaissent, jamais envisagé à grande échelle (les plans vraiment larges sont inexistants), une succession d’espaces épuisants et galvanisants gouvernés par la fortune et le risque, et les deux metteurs en scène épousent ainsi le point de vue d’Howard Ratner. Howard fonce tête baissée et s’appuie sur la chance dans une course contre la montre de tous les instants. Il joue avec l’exaspération de ceux qu’il fréquente pour tenter des coups de plus en plus gros, il emprunte à l’un pour rendre à l’autre tout en en gardant pour lui et sa famille ; il est un loser magnifique qui donne le rythme du long-métrage, notamment dans l’euphorie quasi béatifique d’un évènement sportif qui tend à nous faire oublier les problèmes qui courent après lui, une illusion qui disparaitra rapidement.

    Comme ce fut le cas pour Robert Pattinson, Adam Sandler tient, grâce aux frères Safdie, à son tour son meilleur rôle. Depuis Punch-Drunk Love (2002) de Paul Thomas Anderson, il n’avait plus retenu une telle attention. Dans Uncut Gems, il endosse avec virtuosité et charisme ce rôle mélangeant arrogance, roublardise, mythomanie et lâcheté qui font toute l’ambiguïté du personnage qui ne peut plus tenir compte des contingences entre le gain et la perte et qui s’est affranchi de toute morale. Adam Sandler a d’ailleurs remercié les frères Safdie aux Spirit Awards 2020 de lui avoir apporté pour la première fois une reconnaissance critique avec ce film. Les deux frères ont poussé le comédien dans les retranchements de sa bêtise et de son génie, de sa force et de sa faiblesse. « This is how I win », lance Howard à Kevin Garnett (le champion américain de basketball jouant son propre rôle) dans le dernier tiers du film, qui peut finalement sonner comme une réelle victoire pour Adam Sandler. Il fait l’unanimité.

    Avec Howard se tient le chaos, une chute telle qu’elle peut apparaître pour un héros scorsesien. Cependant les frères Safdie n’iconisent aucunement le personnage, ils dépeignent un homme. En ce sens, Howard agit comme une déflagration qui peut parfois être pénible à suivre, démontrant alors un travail d’écriture réussi. Howard ne peut s’empêcher de se mettre en danger, c’en est à la limite du masochisme. Sa vie n’est que suspense et angoisse, stupidité et exaltation, nous amenant à croire en lui malgré l’antipathie qu’il dégage. Cette antipathie est due à sa névrose, mais également au fait que l’opale (l’« uncut gem ») est pourrie au plus profond : elle est le symbole d’un commerce égoïste et autolâtre aussi captivant qu’avilissant (la séquence d’ouverture se déroule dans une mine et nous montre la jambe cassée d’un ouvrier éthiopien, accompagné par une révolte, révélant les mauvaises conditions de ces travailleurs). Par l’accumulation abusive des humiliations et des obstructions dans une chute perpétuelle, cela tend même vers le comique, échos à l’After Hours (1985) de Martin Scorsese (producteur d’Uncut Gems), on se place entre deux eaux : d’un côté on espère qu’Howard retrouve cette pierre et que le vacarme finisse, d’un autre on condamne cette exploitation déconnectée du réel et la futilité d’une telle agitation dans une épuisante fuite en avant.

    Cependant, une telle frénésie fatigue. Là où Good Time est plus onirique et sensoriel, jouissant d’une frénésie comparable certes mais avec des enjeux plus forts et évidents, Uncut Gems enchaîne ses péripéties pour faire d’Howard un homme rongé par le manque de temps et d’argent, un épicurien piégé par un système qu’il rêve pourtant d’animer. Epicure écrivait d'ailleurs dans Les lettres à Ménécée : « Gardez-vous de regarder la fortune comme une déesse. »

    Uncut Gems nous emmène de force dans une spirale électrisante, à travers boutiques, clubs, trottoirs et hôtels, sans prendre le temps de respirer. Tout peut basculer, à chaque instant. Le visionnage devient parfois éreintant, car un peu long, par les engueulades incessantes et les constants allers-retours des personnages. Le film manque d’une pause, d’un moment de calme, permettant d’appuyer cette fougue du personnage et cette virtuosité de l’image (le chef opérateur Darius Khondji travaille superbement les couleurs pour une imagerie clinquante) et permettant de faire repartir de plus belle cette descente en enfer, comme d’un moment de lucidité pour Howard qui retrouverait alors notre empathie. La course constante empêche le film d’avoir un climax percutant et bouleversant, un point culminant où les émotions explosent. Si le plan-séquence dans la bijouterie est une maîtrise d’intensité, le film ne retrouve pas par la suite cette apothéose qui marquerait à plus grande ampleur l’esprit. On regrettera également de ne pas voir Uncut Gems sur grand écran en France, ce qui aurait donné lieu à une expérience plus forte.

    Uncut Gems est pourtant une réussite, malgré un paradoxal essoufflement, car témoigne d’un aboutissement du cinéma des frères Safdie qui certes ressassent la même vitalité de leur précédent film mais égalent leur travail de mise en scène. Good Time est sur un personnage voué à chercher un « chez soi » qui n’existe pas, Uncut Gems poursuit cela avec un personnage qui n’a pas sa place au sein de son « chez soi », l’obligeant à courir après matérialité et succès tout en prenant du plaisir à se mettre en danger. Epicure écrivait également dans ses lettres : « Il n'y a pas moyen de vivre agréablement si l'on ne vit pas avec prudence.»
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