Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
L'Humanité
par Dominique Widemann
Le cinéaste japonais aborde pour la première fois le thriller judiciaire, qu’il tisse avec ses thèmes récurrents, drames familiaux et filiations. Une réussite spectaculaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Bande à part
par Danièle Heymann
Intrigue austère, dont Kore-eda s’empare sans trembler. Semblant mettre à l’épreuve ses propres ressources d’empathie et de résilience si prégnantes dans son œuvre, il va, comme l’avocat, tenter de dynamiter en douceur les plus brutales évidences.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Derrière le whodunnit se cachent les mécanismes habituels du cinéma de Kore-eda. On ne s’étonne donc pas de voir le réalisateur se désintéresser des rouages du procedural pour privilégier l’humain...
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Axel Scoffier
Adoptant l’esthétique d’un polar néo-noir, The Third Murder décrit patiemment un engrenage qui met le spectateur sous pression (...).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Eric Libiot
C'est ce qu'il y a de très beau et de très apaisant avec les films (réussis) de Kore-eda : ils tiennent en équilibre sur un fil sans forcément savoir où mettre les pieds. Et, finalement, ne se terminent jamais.
La Croix
par Céline Rouden
Le propos en est d’autant plus fort qu’il est servi par une mise en scène très maîtrisée et dépouillée.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Un film cérébral à l'élégance glacée.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Avec ce drame sombre où il s’amuse à brouiller les pistes, le Japonais Kore-eda s’éloigne de ses thèmes habituels -la famille- pour signer un film noir superbement mis en scène, notamment pendant les scènes de parloir, et interprété par un formidable duo d’acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marie Toutée
Un drame judiciaire haletant et maîtrisé avec brio, révélant qu’un verdict peut tomber sans connaissance évidente de la “vérité”.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Olivier Lamm
Assez peu engageant dans sa facture de polar télé et ses discours ambigus assenés ici ou là sur l’éventuelle pertinence de la peine de mort, "The Third Murder" n’en reste pas moins le film le plus complexe et retors de Kore-eda depuis "Nobody Knows", en 2004 – et à ce titre, si ce n’est le plus plaisant, l’un de ses plus intéressants.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Toujours aussi habile pour dresser le portrait nuancé d'un homme en plein doute face à ses certitudes passées, le cinéaste (...) s'interroge sur le rôle de l'institution judiciaire et la pièce de théâtre qui s'y joue.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Gérard Delorme
Un coup de maître.
Télé 2 semaines
par Gwénola Trouillard
Un implacable huis clos judiciaire (...).
Télérama
par Samuel Douhaire
Dans les chroniques familiales du réalisateur, l’élégance et la sérénité révèlent souvent névroses, angoisse et cruauté. Dans The Third Murder, c’est l’inverse : à partir d’un fait divers sordide, Hirokazu Kore-eda parvient à insuffler, par petites touches, de la délicatesse et même de la tendresse dans son récit si noir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Télérama
par Samuel Douhaire
Sous la noirceur du polar, un subtil portrait d'homme en souffrance.
Voici
par La Rédaction
Une énigme morale passionnante.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
La délicatesse du cinéma de Kore-eda est ici greffée à une trame policière surprenante. Ou comment renouveler son art tout en lui restant fidèle.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
D’une lenteur toute asiatique, un effort est nécessaire pour entrer dans ce long métrage mélancolique aux teintes atones, d’une grisaille dominante et aux fulgurances tour à tour glaciales et brûlantes.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par David Caviglioli
Une mise en scène blafarde rend le film monotone, mais la noirceur et l'intelligence du propos maintiennent éveillé.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
À partir de la dualité entre justice et vérité, Kore-eda compose un polar dont la résolution l’intéresse moins qu’une réflexion souvent captivante sur la destinée de l’homme ainsi que sur notre droit de vie et de mort.
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Un thème puissant, mais un peu trop dilué.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
À partir d'un récit à tiroirs truffé de faux-semblants et de manipulations, il propose une réflexion passionnante sur la justice, la vérité et le mensonge pour épaissir le mystère et entretenir le doute dans la tête du spectateur.
Positif
par Hubert Niogret
Comme toujours avec le cinéaste le style est cohérent, élégant, exigeant, avec une direction de la photo remarquable, mais l’aspect du film est un peu trop lisse, sans doute aussi pour ne pas avoir creusé ce qui est révélé et reste du plus scandaleux.
Sud Ouest
par Sophie Avon
S’éloignant de la veine familiale où il excelle, le cinéaste japonais Koré-Eda réalise un drame judiciaire, proche d’un film noir, dont les multiples fils s’entremêlent pour questionner le mensonge, le droit, la justice, la vérité. La démonstration, spectaculaire, a tendance malgré tout, à virer au jus de crâne.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
L’ensemble déroule une petite musique habile mais entendue mille fois.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Une certaine dimension un peu démonstrative et rhétorique est ici compensée par l’intense interprétation de Koji Yakusho.
L'Humanité
Le cinéaste japonais aborde pour la première fois le thriller judiciaire, qu’il tisse avec ses thèmes récurrents, drames familiaux et filiations. Une réussite spectaculaire.
Bande à part
Intrigue austère, dont Kore-eda s’empare sans trembler. Semblant mettre à l’épreuve ses propres ressources d’empathie et de résilience si prégnantes dans son œuvre, il va, comme l’avocat, tenter de dynamiter en douceur les plus brutales évidences.
CinemaTeaser
Derrière le whodunnit se cachent les mécanismes habituels du cinéma de Kore-eda. On ne s’étonne donc pas de voir le réalisateur se désintéresser des rouages du procedural pour privilégier l’humain...
Critikat.com
Adoptant l’esthétique d’un polar néo-noir, The Third Murder décrit patiemment un engrenage qui met le spectateur sous pression (...).
L'Express
C'est ce qu'il y a de très beau et de très apaisant avec les films (réussis) de Kore-eda : ils tiennent en équilibre sur un fil sans forcément savoir où mettre les pieds. Et, finalement, ne se terminent jamais.
La Croix
Le propos en est d’autant plus fort qu’il est servi par une mise en scène très maîtrisée et dépouillée.
Le Figaro
Un film cérébral à l'élégance glacée.
Le Parisien
Avec ce drame sombre où il s’amuse à brouiller les pistes, le Japonais Kore-eda s’éloigne de ses thèmes habituels -la famille- pour signer un film noir superbement mis en scène, notamment pendant les scènes de parloir, et interprété par un formidable duo d’acteurs.
Les Fiches du Cinéma
Un drame judiciaire haletant et maîtrisé avec brio, révélant qu’un verdict peut tomber sans connaissance évidente de la “vérité”.
Libération
Assez peu engageant dans sa facture de polar télé et ses discours ambigus assenés ici ou là sur l’éventuelle pertinence de la peine de mort, "The Third Murder" n’en reste pas moins le film le plus complexe et retors de Kore-eda depuis "Nobody Knows", en 2004 – et à ce titre, si ce n’est le plus plaisant, l’un de ses plus intéressants.
Paris Match
Toujours aussi habile pour dresser le portrait nuancé d'un homme en plein doute face à ses certitudes passées, le cinéaste (...) s'interroge sur le rôle de l'institution judiciaire et la pièce de théâtre qui s'y joue.
Première
Un coup de maître.
Télé 2 semaines
Un implacable huis clos judiciaire (...).
Télérama
Dans les chroniques familiales du réalisateur, l’élégance et la sérénité révèlent souvent névroses, angoisse et cruauté. Dans The Third Murder, c’est l’inverse : à partir d’un fait divers sordide, Hirokazu Kore-eda parvient à insuffler, par petites touches, de la délicatesse et même de la tendresse dans son récit si noir.
Télérama
Sous la noirceur du polar, un subtil portrait d'homme en souffrance.
Voici
Une énigme morale passionnante.
aVoir-aLire.com
La délicatesse du cinéma de Kore-eda est ici greffée à une trame policière surprenante. Ou comment renouveler son art tout en lui restant fidèle.
Franceinfo Culture
D’une lenteur toute asiatique, un effort est nécessaire pour entrer dans ce long métrage mélancolique aux teintes atones, d’une grisaille dominante et aux fulgurances tour à tour glaciales et brûlantes.
L'Obs
Une mise en scène blafarde rend le film monotone, mais la noirceur et l'intelligence du propos maintiennent éveillé.
La Septième Obsession
À partir de la dualité entre justice et vérité, Kore-eda compose un polar dont la résolution l’intéresse moins qu’une réflexion souvent captivante sur la destinée de l’homme ainsi que sur notre droit de vie et de mort.
Le Figaroscope
Un thème puissant, mais un peu trop dilué.
Le Journal du Dimanche
À partir d'un récit à tiroirs truffé de faux-semblants et de manipulations, il propose une réflexion passionnante sur la justice, la vérité et le mensonge pour épaissir le mystère et entretenir le doute dans la tête du spectateur.
Positif
Comme toujours avec le cinéaste le style est cohérent, élégant, exigeant, avec une direction de la photo remarquable, mais l’aspect du film est un peu trop lisse, sans doute aussi pour ne pas avoir creusé ce qui est révélé et reste du plus scandaleux.
Sud Ouest
S’éloignant de la veine familiale où il excelle, le cinéaste japonais Koré-Eda réalise un drame judiciaire, proche d’un film noir, dont les multiples fils s’entremêlent pour questionner le mensonge, le droit, la justice, la vérité. La démonstration, spectaculaire, a tendance malgré tout, à virer au jus de crâne.
Cahiers du Cinéma
L’ensemble déroule une petite musique habile mais entendue mille fois.
Le Monde
Une certaine dimension un peu démonstrative et rhétorique est ici compensée par l’intense interprétation de Koji Yakusho.