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Votre avis sur Aïlo : une odyssée en Laponie ?
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dominique P.
J'ai vu ce documentaire en avant-première le dimanche 10 mars.
C'est vraiment remarquable et de toute beauté.
On suit ce petit renne avec sa maman, son troupeau ainsi que d'autres animaux rencontrés en chemin.
On va le voir grandir, apprendre à vivre, se confronter à la nature mais aussi à tous les dangers et autres animaux pacifiques ou menaçants.
Je recommande, pour petits et grands.
C'est vraiment remarquable et de toute beauté.
On suit ce petit renne avec sa maman, son troupeau ainsi que d'autres animaux rencontrés en chemin.
On va le voir grandir, apprendre à vivre, se confronter à la nature mais aussi à tous les dangers et autres animaux pacifiques ou menaçants.
Je recommande, pour petits et grands.
Un excellent moment passé à visionner en famille ce superbe documentaire. Le réalisateur a su alterner le suivi de Aïlo avec quelques interludes animalières (l'hermine -terrible-, le lapin, le glouton...), ce qui permet de ne pas tomber dans la monotonie.
Certes certains passages sont un peu "romancés" mais les montages sont très bien réalisés.
Mention spéciale à la musique magnifique qui colle merveilleusement bien au film.
Bien entendu si vos passions sont votre iphone ou vos dernières nike, ce documentaire ne vous séduira pas. Mais si vous vous intéressez aux documentaires animaliers, à la nature en générale ou aux beaux paysages sauvages, foncez.
Certes certains passages sont un peu "romancés" mais les montages sont très bien réalisés.
Mention spéciale à la musique magnifique qui colle merveilleusement bien au film.
Bien entendu si vos passions sont votre iphone ou vos dernières nike, ce documentaire ne vous séduira pas. Mais si vous vous intéressez aux documentaires animaliers, à la nature en générale ou aux beaux paysages sauvages, foncez.
Aïlo invite (surtout le jeune public) à suivre la première année de vie d’un renne en Laponie. L’idée de d’accompagner le cycle des saisons dans ce territoire sauvage est excitante, tant la nature spectaculaire et grandiose s’avère être un décor idéal. Malheureusement, le film n’a pas grand-chose à raconter.
On ne doute pas une seule seconde du travail acharné qu’a dû fournir le réalisateur et son équipe pour filmer des images spectaculaires dans des conditions climatiques extrêmes. Il y a une sincère volonté de s’inscrire dans la ligne directe des fictions animalières chères à Jean-Jacques Annaud (L’Ours, Deux frères, Le Dernier Loup). Dommage que ce labeur soit sabordé par un récit si simpliste, répétitif et plombé par un anthropomorphisme crasse.
Passé l’âge de 8 ans, il n’est guère probable qu’on se passionne pour cette histoire, dont le ressort dramatique se résume surtout à l’affrontement des autres prédateurs ou des éléments. Le chanteur Aldebert a beau se donner de la peine dans sa narration, il finit par lasser à force d’asséner à quel point Aïlo se doit d’être brave, courageux, valeureux, fort, afin devenir le Prince des rennes (et non pas le renne des neiges). Ces valeurs paraissent très désuètes, andro-centrées et ultra-réductrices dans un environnement soumis à de complexes effets du réchauffement climatique et de la destruction des habitats. Certes, on décèle parfois un saupoudrage de discours écologique, mais la démarche ne convainc pas, tant elle est superficielle. Et ça n’est pas les scénettes humoristiques qui s’insèrent dans le film de manière mécanique et téléphonée, qui relèveront l’intérêt du spectateur.
Tous ces défauts n’ont pas empêché Aïlo de devenir le plus grand succès du cinéma français en Finlande, traduisant plus l’attachement d’une population à son patrimoine naturel qu’un engouement pour du bon cinéma. Quitte à sensibiliser ses chères têtes blondes à la beauté des paysages sauvages, on préfèrera leur projeter La Vallée des Loups, film capable de passionner petits et grands pour une grande odyssée naturelle, sans forcément adopter le ton didactico-pédagogique de sir David Attenborough commentant un documentaire de la BBC.
Blaise Petitpierre
On ne doute pas une seule seconde du travail acharné qu’a dû fournir le réalisateur et son équipe pour filmer des images spectaculaires dans des conditions climatiques extrêmes. Il y a une sincère volonté de s’inscrire dans la ligne directe des fictions animalières chères à Jean-Jacques Annaud (L’Ours, Deux frères, Le Dernier Loup). Dommage que ce labeur soit sabordé par un récit si simpliste, répétitif et plombé par un anthropomorphisme crasse.
Passé l’âge de 8 ans, il n’est guère probable qu’on se passionne pour cette histoire, dont le ressort dramatique se résume surtout à l’affrontement des autres prédateurs ou des éléments. Le chanteur Aldebert a beau se donner de la peine dans sa narration, il finit par lasser à force d’asséner à quel point Aïlo se doit d’être brave, courageux, valeureux, fort, afin devenir le Prince des rennes (et non pas le renne des neiges). Ces valeurs paraissent très désuètes, andro-centrées et ultra-réductrices dans un environnement soumis à de complexes effets du réchauffement climatique et de la destruction des habitats. Certes, on décèle parfois un saupoudrage de discours écologique, mais la démarche ne convainc pas, tant elle est superficielle. Et ça n’est pas les scénettes humoristiques qui s’insèrent dans le film de manière mécanique et téléphonée, qui relèveront l’intérêt du spectateur.
Tous ces défauts n’ont pas empêché Aïlo de devenir le plus grand succès du cinéma français en Finlande, traduisant plus l’attachement d’une population à son patrimoine naturel qu’un engouement pour du bon cinéma. Quitte à sensibiliser ses chères têtes blondes à la beauté des paysages sauvages, on préfèrera leur projeter La Vallée des Loups, film capable de passionner petits et grands pour une grande odyssée naturelle, sans forcément adopter le ton didactico-pédagogique de sir David Attenborough commentant un documentaire de la BBC.
Blaise Petitpierre
Destiné aux enfants prioritairement, ce docu qui prend des airs de conte (ou ce conte qui prend des airs de docu ?) est avant tout, il faut le souligner, un enchantement pour les yeux. Tout au plus pourra-t-on regretter que la naissance d'Aïlo ne soit pas filmée plus en détail (au vu des images proposées ça aurait sûrement été possible, et très pédagogique), et que les messages attirant l'attention du jeune public sur les menaces écologiques pour le cercle polaire ne soient pas plus appuyés....
Le texte dit par Aldebert est plutôt bien vu, et même si, encore une fois, je l'aurais préféré plus alarmiste (sensibilisation aux problématiques écolo oblige) il mêle avec mesure humour et dramaturgie, sans excès de pathos ni mièvrerie. Au sortir de la salle me reviennent des séquences particulièrement réussies : la scène de l'hermine espiègle-énervée jouant à cache-cache avec le renard blanc est un moment réjouissant ; sur les hauteurs riches en lichen, l'arrivée des rennes s'éloignant progressivement des conifères enneigés, cheminant entre eux comme dans une armée de pélerins changés en statues de sel, en contre-haut d'un panoramique impressionnant, est une pure splendeur ; enfin la stratégie prédatrice du glouton fait bien froid dans le dos, même en automne après que les aurores boréales nous en aient mis plein les yeux.
Ces scènes qui me restent en mémoire à chaud (si on peut dire "à chaud"), comme le reste du film sont valorisées par une bande son qui fait le job, pas à dire. Donc oui,ce film est de la belle ouvrage, chapeau aux chasseurs d'image, chapeau au montage ! Espérons toutefois, eu égard à la réalité du réchauffement climatique, qu'en Laponie comme ailleurs on pourra encore longtemps se dire "Winter is coming" !...
Le texte dit par Aldebert est plutôt bien vu, et même si, encore une fois, je l'aurais préféré plus alarmiste (sensibilisation aux problématiques écolo oblige) il mêle avec mesure humour et dramaturgie, sans excès de pathos ni mièvrerie. Au sortir de la salle me reviennent des séquences particulièrement réussies : la scène de l'hermine espiègle-énervée jouant à cache-cache avec le renard blanc est un moment réjouissant ; sur les hauteurs riches en lichen, l'arrivée des rennes s'éloignant progressivement des conifères enneigés, cheminant entre eux comme dans une armée de pélerins changés en statues de sel, en contre-haut d'un panoramique impressionnant, est une pure splendeur ; enfin la stratégie prédatrice du glouton fait bien froid dans le dos, même en automne après que les aurores boréales nous en aient mis plein les yeux.
Ces scènes qui me restent en mémoire à chaud (si on peut dire "à chaud"), comme le reste du film sont valorisées par une bande son qui fait le job, pas à dire. Donc oui,ce film est de la belle ouvrage, chapeau aux chasseurs d'image, chapeau au montage ! Espérons toutefois, eu égard à la réalité du réchauffement climatique, qu'en Laponie comme ailleurs on pourra encore longtemps se dire "Winter is coming" !...
Top film, féerique, pour toute la famille !
Une belle fable, pas un documentaire animalier...
Bravo !
Une belle fable, pas un documentaire animalier...
Bravo !
C'est un splendide documentaire qui se passe en Laponie.
La faune et la flore y sont magnifiques et c'est un régal de pouvoir visionner toute cette beauté.
C'est amusant, reposant et remarquable.
La faune et la flore y sont magnifiques et c'est un régal de pouvoir visionner toute cette beauté.
C'est amusant, reposant et remarquable.
Amateur de beaux paysages et de nature ce film est pour vous. Musique magnifique en plus j'ai vraiment beaucoup aimé!
J'ai emmené mon fils (8 ans) et ma nièce (11 ans) et eux et moi nous avons été éblouis par cette histoire très touchante et magnifique.
Ce fut un moment de repos, de bonheur et de paix dans ce monde actuel si dur.
Les animaux et la nature arrivent à nous redonner du calme et du bonheur.
Je recommande ce film à tout un chacun, enfant, adolescent ou adulte, vous serez émerveillés si vous avez un minimum d'intelligence et de sensibilité en vous.
Ce fut un moment de repos, de bonheur et de paix dans ce monde actuel si dur.
Les animaux et la nature arrivent à nous redonner du calme et du bonheur.
Je recommande ce film à tout un chacun, enfant, adolescent ou adulte, vous serez émerveillés si vous avez un minimum d'intelligence et de sensibilité en vous.
Superbe film pour petits et grands, plusieurs niveaux de compréhension. Un excellent moment avec de sublimes images, de beaux textes, de l'humour, de la tendresse et rythmé par une super qualité de montage ! �
Surfait, tout est faux. On sent les grosses ficèles à la Disney. Le commentaire est édifiant de mièvrerie. Les images sont belles et les décors aussi. Mais franchement ce film ne sert à rien ! Mes enfants ( 10 et 12 ans) nous sommes ennuyés comme jamais.
Benito G
Un film un peu docu mais qui montre de superbe images et l on s'attache assez vite. Aussi prenant et attacher au fil et à mesure que l'on avance. Le tout 'e durant pas trop longtemps mais c est suffisant.
La grande aventure d'un petit renne dans une nature hostile et pleine de dangers mais également somptueuse et magnifiquement filmée. Un superbe documentaire appuyé par les commentaires amusants d'Aldebert.
Un an dans la vie d'un jeune renne de Laponie. Un conte initiatique animalier attachant à travers des paysages splendides.
de belles images, mais surtout un commentaire souvent drôle et toujours vivant, qui joue avec le spectateur, ce qui m'a rendu le film vivant et plaisant alors que je ne suis pas fan de documentaire animalier (j'accompagnais quelqu'un). Aucun problème pour y emmener ses enfants, qui je pense devraient aussi apprécier.
Cinéphiles 44
« Aïlo : une odyssée en Laponie » est un documentaire familial qui n’a rien à envier aux documentaires animaliers de Disney Nature. Nous allons suivre Aïlo, un renne, de sa naissance jusqu’à la fin de sa première année. Le réalisateur français Guillaume Maidatchevsky filme les paysages avec détails et sensibilité. La voix d’Aldebert apporte l’humour nécessaire aux enfants après avoir osé parler d’abandon, de lois de la nature et de la chaîne alimentaire. « Aïlo : une odyssée en Laponie » est instructif tout en nous offrant un moment d’évasion.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
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