Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Ce biopic joue avec talent la carte de l'humain et de l'anti-spectaculaire.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Classique dans la forme, sobre dans sa mise en images, cela n’empêche pas "England Is Mine" d’être fort dans cette ascèse qui correspond si bien au poème, donc à Morrissey. Bien vu.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Positif
par Olivier de Bruyn
England Is Mine dresse avec une tendresse amusée le portrait de son jeune personnage et restitue avec un certain brio la réalité morose de Manchester.
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Une plongée originale dans la jeunesse de l'ex-chanteur des Smiths.
Transfuge
par Damien Aubel
Mark Gill n’a rien d’un médecin-légiste de la caméra, il émane de son film une douce atmosphère de tendresse mélancolique, ce qui ne l’empêche pas de procéder à une radioscopie convaincante et fouillée de ce qu’on appellerait aujourd’hui un geek.
Critikat.com
par Laetitia Scherier
Au-delà de l’angle choisi qui se démarque des biopics sortant à la chaîne sur nos écrans depuis quelques mois, "England Is Mine" permet d’aborder à travers le passé de Morrissey le délicat sujet de la dépression adolescente.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par Olivier Nuc
Le biopic de Mark Gill raconte la jeunesse de Morrisey avant l'émergence des Smiths qui ont fait de lui une star de la pop. Dommage que le film tourne en rond.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Marcos Uzal
L’idée un peu aberrante d’"England is Mine" consistant à montrer Morrissey avant qu’il devienne la star que l’on connaît s’avère être la singularité la plus intéressante de ce film attachant mais sans souffle.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Michaël Patin
Mark Gills évite l'idolâtrie mais pas les clichés.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
Ce premier long métrage séduit davantage par sa chronique du Manchester populaire de la fin des années 1970. Et par la qualité des seconds rôles féminins : les trois jeunes filles, plus ou moins admiratives et/ou amoureuses qui gravitent autour de Morrissey sont, au fond, plus intéressantes que lui.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Ce biopic un peu tristounet raconte le chemin qui conduira Steven Patrick Morrissey à devenir le leader iconique des Smiths, après sa rencontre avec le guitariste Johnny Marr.
L'Obs
par Nicolas Schaller
L’originalité de ce énième biopic musical – se concentrer sur la procrastination maladive du futur chanteur et parolier des Smiths, qui ne cessa de remiser son ambition – est aussi son problème : l’apathie du Moz d’avant la célébrité a raison du film, le premier du réalisateur. Lequel, passé la première moitié, n’a plus grand-chose à raconter.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
"England Is Mine" ne parvient toutefois pas à percer le mystère des forces qui tirèrent ce garçon timide de sa chambre pour le précipiter sur les scènes du monde entier.
Les Fiches du Cinéma
par T.F.
A réserver aux aficionados.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Biopic sans consistance d’un poète rock à l’adolescence mollassonne.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Morissey écrivait des lettres enflammées au New Musical Express («Dear NME » qu’on entend « Dear Enemy ») pour conspuer les groupes locaux. Mais que dirait-il d’un film aussi ennuyeux et académique ? « Dear NME, I found my enemy : a biopic about me ! ».
Le Parisien
par E.M.
"England is Mine" raconte la jeunesse de Morrissey, le chanteur des Smiths, avant la création du légendaire groupe britannique des années 1980. (...) Tout ça n'est pas passionnant. Jusqu'à ce qu'il rencontre le guitariste Johnny Marr, son futur alter ego des Smiths. Sauf que c'est à ce moment-là que le film s'arrête, alors qu'on commençait à s'y intéresser.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Pour jouer cette partition mille fois entendue et vue, Gill s’inscrit dans un naturalisme honnête à défaut d’être enthousiasmant.
CinemaTeaser
Ce biopic joue avec talent la carte de l'humain et de l'anti-spectaculaire.
Franceinfo Culture
Classique dans la forme, sobre dans sa mise en images, cela n’empêche pas "England Is Mine" d’être fort dans cette ascèse qui correspond si bien au poème, donc à Morrissey. Bien vu.
Positif
England Is Mine dresse avec une tendresse amusée le portrait de son jeune personnage et restitue avec un certain brio la réalité morose de Manchester.
Rolling Stone
Une plongée originale dans la jeunesse de l'ex-chanteur des Smiths.
Transfuge
Mark Gill n’a rien d’un médecin-légiste de la caméra, il émane de son film une douce atmosphère de tendresse mélancolique, ce qui ne l’empêche pas de procéder à une radioscopie convaincante et fouillée de ce qu’on appellerait aujourd’hui un geek.
Critikat.com
Au-delà de l’angle choisi qui se démarque des biopics sortant à la chaîne sur nos écrans depuis quelques mois, "England Is Mine" permet d’aborder à travers le passé de Morrissey le délicat sujet de la dépression adolescente.
Le Figaro
Le biopic de Mark Gill raconte la jeunesse de Morrisey avant l'émergence des Smiths qui ont fait de lui une star de la pop. Dommage que le film tourne en rond.
Libération
L’idée un peu aberrante d’"England is Mine" consistant à montrer Morrissey avant qu’il devienne la star que l’on connaît s’avère être la singularité la plus intéressante de ce film attachant mais sans souffle.
Première
Mark Gills évite l'idolâtrie mais pas les clichés.
Télérama
Ce premier long métrage séduit davantage par sa chronique du Manchester populaire de la fin des années 1970. Et par la qualité des seconds rôles féminins : les trois jeunes filles, plus ou moins admiratives et/ou amoureuses qui gravitent autour de Morrissey sont, au fond, plus intéressantes que lui.
Voici
Ce biopic un peu tristounet raconte le chemin qui conduira Steven Patrick Morrissey à devenir le leader iconique des Smiths, après sa rencontre avec le guitariste Johnny Marr.
L'Obs
L’originalité de ce énième biopic musical – se concentrer sur la procrastination maladive du futur chanteur et parolier des Smiths, qui ne cessa de remiser son ambition – est aussi son problème : l’apathie du Moz d’avant la célébrité a raison du film, le premier du réalisateur. Lequel, passé la première moitié, n’a plus grand-chose à raconter.
Le Monde
"England Is Mine" ne parvient toutefois pas à percer le mystère des forces qui tirèrent ce garçon timide de sa chambre pour le précipiter sur les scènes du monde entier.
Les Fiches du Cinéma
A réserver aux aficionados.
aVoir-aLire.com
Biopic sans consistance d’un poète rock à l’adolescence mollassonne.
Cahiers du Cinéma
Morissey écrivait des lettres enflammées au New Musical Express («Dear NME » qu’on entend « Dear Enemy ») pour conspuer les groupes locaux. Mais que dirait-il d’un film aussi ennuyeux et académique ? « Dear NME, I found my enemy : a biopic about me ! ».
Le Parisien
"England is Mine" raconte la jeunesse de Morrissey, le chanteur des Smiths, avant la création du légendaire groupe britannique des années 1980. (...) Tout ça n'est pas passionnant. Jusqu'à ce qu'il rencontre le guitariste Johnny Marr, son futur alter ego des Smiths. Sauf que c'est à ce moment-là que le film s'arrête, alors qu'on commençait à s'y intéresser.
Les Inrockuptibles
Pour jouer cette partition mille fois entendue et vue, Gill s’inscrit dans un naturalisme honnête à défaut d’être enthousiasmant.