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Eminemment politique, La Mission aurait pu sombrer dans le pensum lourdingue sur la liberté de la presse. S’il évite certains pièges, il est avant tout un néo-western inspiré et sec, porté par l’humanité et l’alchimie de son duo d’acteurs. Une belle surprise.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Mieux structuré et équilibré que le trop foisonnant Un 22 juillet, le précédent film de Greengrass, La Mission réussit à se faire sa petite place aux côtés des westerns modernes essentiels.
Avec sa mise en scène constamment inventive et son impeccable direction d’acteurs, le film s’impose comme l’une des plus belles réussites de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Greengrass réfléchit au rôle qu’ont tenu la presse et l’art du storytelling dans la cristallisation du rêve américain. Le tout sans angélisme, dans un mélange idéal de sécheresse et de lyrisme.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Que l’on découvre La Mission quelques semaines après les images folles du Capitole (où certains participants portaient fièrement le drapeau confédéré), dans la foulée du mouvement Black Lives Matter, et sur fond de révisionnisme (les affaires Autant en emporte le vent ou Fredric March) est symptomatique de la permanence, cent cinquante ans plus tard, de ces combats.
Une odyssée aux sources de l'âme américaine, marquée par la violence de la vie des pionniers, celle des puissances de l'argent et par la possession d'armes, l'ultime symbole de liberté individuelle.
Dans la veine de True Grit, ce somptueux western renoue avec le plaisir des chevauchées sauvages et des espaces hostiles pour raconter le parcours initiatique de deux êtres fracassés par leur passé
Grandiose et minimaliste, Tom Hanks, déjà oscarisé deux fois pour Forrest Gump et Philadelphia , livre une performance éblouissante dans un western paternaliste de Paul Greengrass.
Magnifiques paysages, quête de rédemption, récit initiatique et règlements de comptes : tous les ingrédients conventionnels du western sont réunis dans La Mission, adaptation du roman Des nouvelles du monde de Paulette Jiles.
La « mission » consiste désormais à insister sur la fracture et à en rappeler la persistance actuelle, et rappeler qu’au fond une partie des États-Unis sera toujours du mauvais côté de l’histoire.
Le Parisien
Epoustouflant western contemplatif - mais pas seulement - qui conte le rapprochement entre deux êtres qui n'auraient jamais dû se rencontrer [...].
Ecran Large
Eminemment politique, La Mission aurait pu sombrer dans le pensum lourdingue sur la liberté de la presse. S’il évite certains pièges, il est avant tout un néo-western inspiré et sec, porté par l’humanité et l’alchimie de son duo d’acteurs. Une belle surprise.
La Croix
Paul Greengrass revisite le mythe du western hollywoodien en lui donnant des accents contemporains.
Le Figaro
[Un] western épique, sombre, inspiré.
Les Fiches du Cinéma
Mieux structuré et équilibré que le trop foisonnant Un 22 juillet, le précédent film de Greengrass, La Mission réussit à se faire sa petite place aux côtés des westerns modernes essentiels.
Marianne
Avec sa mise en scène constamment inventive et son impeccable direction d’acteurs, le film s’impose comme l’une des plus belles réussites de son auteur.
Ouest France
Greengrass réfléchit au rôle qu’ont tenu la presse et l’art du storytelling dans la cristallisation du rêve américain. Le tout sans angélisme, dans un mélange idéal de sécheresse et de lyrisme.
Positif
Que l’on découvre La Mission quelques semaines après les images folles du Capitole (où certains participants portaient fièrement le drapeau confédéré), dans la foulée du mouvement Black Lives Matter, et sur fond de révisionnisme (les affaires Autant en emporte le vent ou Fredric March) est symptomatique de la permanence, cent cinquante ans plus tard, de ces combats.
Télé 7 Jours
Une odyssée aux sources de l'âme américaine, marquée par la violence de la vie des pionniers, celle des puissances de l'argent et par la possession d'armes, l'ultime symbole de liberté individuelle.
Télé Loisirs
Dans la veine de True Grit, ce somptueux western renoue avec le plaisir des chevauchées sauvages et des espaces hostiles pour raconter le parcours initiatique de deux êtres fracassés par leur passé
Dernières Nouvelles d'Alsace
Grandiose et minimaliste, Tom Hanks, déjà oscarisé deux fois pour Forrest Gump et Philadelphia , livre une performance éblouissante dans un western paternaliste de Paul Greengrass.
Le Journal du Dimanche
Magnifiques paysages, quête de rédemption, récit initiatique et règlements de comptes : tous les ingrédients conventionnels du western sont réunis dans La Mission, adaptation du roman Des nouvelles du monde de Paulette Jiles.
Télérama
On est loin de “La Prisonnière du désert” mais les échos historiques d’une Amérique divisée et le talent de l’acteur suffisent à notre plaisir.
aVoir-aLire.com
Assez balisé mais solide, La Mission propose un joli moment, mais s’oubliera vite à n’en pas douter.
Les Inrockuptibles
Malgré un regard historique saisissant d’actualité sur les Etats-Unis, le film reste trop simpliste dans son analyse.
Libération
Un western qui n’offre rien d’intéressant à voir, avec un Tom Hanks en pilotage automatique.
Cahiers du Cinéma
La « mission » consiste désormais à insister sur la fracture et à en rappeler la persistance actuelle, et rappeler qu’au fond une partie des États-Unis sera toujours du mauvais côté de l’histoire.