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(...) Julien Donkey-Boy repousse les bornes de l'expérimentation et de la provocation (...). Au-delà des quelques moments chocs, il se dégage de cette ouvre étrange et décousue une véritable poésie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Ici, on avance à tâtons, ce qui déroute mais change de la routine dramaturgique du cinéma américain standard. de ce brouillard narratif et formel émergent des choses formidables.
(...) une recherche formelle qui a digéré à la fois l'inachèvement, le chaos poétique et les contusions esthétiques, une forme qui ne se contente plus de mettre à sac l'équilibre du plan mais qui s'apprête à comparer les cieux et la fange.
La critique complète est disponible sur le site Libération
(...) difficile de cerner le pari que tente l'autiste (ou déclaré autiste) Harmory Korine avec ce cinéma qui se prive délibérément de toute colonne vertébrale, narrative et à présent visuelle. Une chose est sûre : il cherche, lui au moins.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Julien Donkey-boy aspire à l'improvisation pure et à la poésie du muet (...). Son électricité très particulière innerve par éclairs un flot confus mêlant réalisme douloureux et pose arty.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
C'est tout le mérite de ce beau film désespéré que de pirater un procédé déjà à bout de souffle pour en révéler une facette inattendue : dépasser le simple film de famille pour ouvrir sur un monde d'une étrangeté fascinante.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Korine expérimente toujours autant, mais semble avoir oublié le pourquoi de son art, à l'affût d'un miracle qui, faute d'un minimum d'élaboration visuelle, n'arrive que tardivement (les trois dernières séquences sont magnifiques).
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
La poésie et l'humour décalé de Gummo rendaient l'inintelligible superficiel et accessoire (...). Trop compliqué, trop lointain, Julien Donkey-boy n'atteint pas cet état second qui nous fait apprécier l'inimaginable et le glauque.
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
Malgré ces excès de provocation facile, "Julien Donkey-Boy" reste un film qui a l'audace de s'afficher différent, de garder une force émotionnelle classique masquée sous une forme toujours plus avant-gardiste.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
(...) revendiquée avec tambours et trompettes, la radicalité du regard frappait en fait bien davantage dans son premier film, Gummo, dont on amerait qu'il retrouve la veine dans son oeuvre future (...)
Ce deuxième film, réalisé par l'indie forcené Harmony Korine (...), tombe dans les clichés du genre : tremblante caméra, image sale, ralentis, ruptures de cadres sans raison, propos dérangeant ou onirique (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
(...) Julien Donkey-Boy repousse les bornes de l'expérimentation et de la provocation (...). Au-delà des quelques moments chocs, il se dégage de cette ouvre étrange et décousue une véritable poésie.
Les Inrockuptibles
Ici, on avance à tâtons, ce qui déroute mais change de la routine dramaturgique du cinéma américain standard. de ce brouillard narratif et formel émergent des choses formidables.
Libération
(...) une recherche formelle qui a digéré à la fois l'inachèvement, le chaos poétique et les contusions esthétiques, une forme qui ne se contente plus de mettre à sac l'équilibre du plan mais qui s'apprête à comparer les cieux et la fange.
Repérages
(...) difficile de cerner le pari que tente l'autiste (ou déclaré autiste) Harmory Korine avec ce cinéma qui se prive délibérément de toute colonne vertébrale, narrative et à présent visuelle. Une chose est sûre : il cherche, lui au moins.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Julien Donkey-boy aspire à l'improvisation pure et à la poésie du muet (...). Son électricité très particulière innerve par éclairs un flot confus mêlant réalisme douloureux et pose arty.
Urbuz
C'est tout le mérite de ce beau film désespéré que de pirater un procédé déjà à bout de souffle pour en révéler une facette inattendue : dépasser le simple film de famille pour ouvrir sur un monde d'une étrangeté fascinante.
Aden
100% insupportable... ou fascinant.
Chronic'art.com
Korine expérimente toujours autant, mais semble avoir oublié le pourquoi de son art, à l'affût d'un miracle qui, faute d'un minimum d'élaboration visuelle, n'arrive que tardivement (les trois dernières séquences sont magnifiques).
Cplanet.com
La poésie et l'humour décalé de Gummo rendaient l'inintelligible superficiel et accessoire (...). Trop compliqué, trop lointain, Julien Donkey-boy n'atteint pas cet état second qui nous fait apprécier l'inimaginable et le glauque.
Fluctuat.net
Malgré ces excès de provocation facile, "Julien Donkey-Boy" reste un film qui a l'audace de s'afficher différent, de garder une force émotionnelle classique masquée sous une forme toujours plus avant-gardiste.
Positif
(...) revendiquée avec tambours et trompettes, la radicalité du regard frappait en fait bien davantage dans son premier film, Gummo, dont on amerait qu'il retrouve la veine dans son oeuvre future (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Lenouveaucinema.com
Korine fait les poubelles de l'Amérique. Mais pour quoi ? On se le demande. Harmony Korine a un nom magnifique. Et c'est tout.
Première
Ce deuxième film, réalisé par l'indie forcené Harmony Korine (...), tombe dans les clichés du genre : tremblante caméra, image sale, ralentis, ruptures de cadres sans raison, propos dérangeant ou onirique (...)