AlloCiné
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Votre avis sur Hellboy ?
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Ce film est d’une nullité absolue. Je m’étais plain récemment que celui sortit en 2004 n’était pas génial, et pourtant comparé à celui-ci c’était une réussite. J’ai beau chercher, je ne trouve rien pour le sauver. Je m’étonne en voyant ses lacunes scénaristiques flagrantes, que Mike Mignola est participé à son élaboration. Le récit est inintéressant au possible et ne réserve aucune surprise. Ce ne sont pas les combats qui vont hausser la barre car ils sont vraiment mal faits. Ce Hellboy a un plus petit budget que les deux autres déjà sorti, et cela se ressent. C’est dégueulasse. Il n’y a pas d’autre mot. En 2019, nous présenter cela dans un film distribué à grande échelle n’est pas normal. Signe de sa mauvaise qualité, on va nous mettre une quantité de sang hallucinant. Ça n’a vraiment aucun sens à ce niveau-là. Ce n’est pas sans faire penser les sombres heures des DESTINATIONS FINALES. On touche le fond quand le sang est fait en images de synthèse avec la qualité d’un jeu de Playstation 2 des années 2000. Milla Jovovich malgré ses déclarations ridicules pour défendre le film, reste une des seules qui tire son épingle du jeu, avec Daniel Dae Kim. Je ne m’attarderai pas sur la prestation de David Harbour qui est loin de valoir le détour.
Ce remake des films de Del Toro montre à quel point ces films étaient loin du blockbusters de super-héros que Marvel à largement contribué à en faire la norme. Ce Hellboy se veut donc un film avec une absence totale d'identité de mise en scène, un scénario sans queue si tête où on en vient à se demander à quelle époque on est, dans quel monde. D'autant que comme tout est numérique, aucun moyen de croire ce que l'on voit. Artificiel, conventionnel et, on peut le dire, nanardesque, ce remake a le mérite de mettre en évidence la réussite des premières adaptations du singe rouge de Dark Comics (Delcourt en France). Leur originalité et leur singularité face aux nombres propositions actuelles. Le MCEU aurait-il tué les super-héros au cinéma ? Disons qu'il en reste encore quelques uns qui le font survivre (The Batman, Spiderman: New Generation).
Rien à voir avec les deux films réalisés par Del Toro. Ici, c'est une bonne série Z assumée, avec baston, hard rock à fond, hémoglobine, plaisanteries ados, etc. Un exemple ? Le gars qui envoie une tête coupée au loin avec son pied et qui crie "but"!!
Donc, si vous êtes bien luné vous mettrez ce film à hauteur de "Citizen Kane", et si vous broyez du noir ce jour là, à hauteur du "Retour des bronzés ".
Donc, si vous êtes bien luné vous mettrez ce film à hauteur de "Citizen Kane", et si vous broyez du noir ce jour là, à hauteur du "Retour des bronzés ".
Ben je tiens à remonter la moyenne de ce film qui mérite mieux comme traitement .Bien sûr il ne faut pas comparer avec les films de Guillermo del Toro mais on passe un très bon moment . Tout ça est plutôt très bien fait et la réalisation très efficace . A voir
J ai trouvé assez dur les critiques qui se sont abattues sur ce film réalisé par Nelson Marshall, dont je n ai aucune connaissance de sa filmographie.
Alors certes les acteurs joue très mal, milla jojovitch est catastrophique, mais je trouve l intrigue assez plaisante et je ne me suis pas ennuyé un seul instant, les scènes d action sont correctes.
Bref je ne trouve pas que c est un grand film mais y a vraiment pire.
Alors certes les acteurs joue très mal, milla jojovitch est catastrophique, mais je trouve l intrigue assez plaisante et je ne me suis pas ennuyé un seul instant, les scènes d action sont correctes.
Bref je ne trouve pas que c est un grand film mais y a vraiment pire.
Ce remake est loin des excellentes adaptations de Guillermo del Toro. Bien trop brouillon dans sa structure, le film manque de profondeur. Les personnages (en particulier Hellboy) manquent de charisme et n'arrivent pas a nous entraîner dans cet univers pourtant si riche a la base. Dommage...
je comprends pas les notes de ce film! il est le film parfait pour représenter hellboy! un film qui s'assume totalement! Un divertissement total
Le nouveau film Hellboy manque terriblement d'ambition, le film est pas crédible, on s'attache pas aux personnages, l'idée de base du scénario est pas mal mais sinon il pas terrible, on voit que les scènes d'action sont sympas, et qu'il se sont plus donner a faire les scènes d'action que l'histoire en elle-même. Le film est pas ennuyant en mort, c'est loin d'être le pire film qu'on est vu. Le visuel de Hellboy est sympa, les décors sont pas mal, mais j'ai pris aucun plaisir devant le film.
Passer après Guillermo del Toro demande une sacré paire de bollocks, surtout quand on est un réalisateur qu’avec beaucoup de mansuétude, on peut qualifier de “secondaire” : peu importe le relatif insuccès commercial des deux films qu’il avait consacré à Hellboy, Del Toro les avait dopés en le dotant d’une personnalité visuelle hyper travaillée et d’une identité unique : deux excellents films de genre, à une époque où les adaptations de Comics n’étaient pas encore devenues d’immenses safe-zones toutes conçues dans le même moule. Etant donné que cette version 2019 s’applique à rebooter la franchise, le scénario passe beaucoup de temps à refonder le personnage, à revenir sur sa genèse, ses rapports avec autrui, sa dualité de créature démoniaque au service de l’humanité...et beaucoup moins à développer un affrontement eschatologique avec la fée Viviane jouée en mode monodimensionnel - mâchoires serrées, grands yeux écarquillés, Leeloo, Alice, Jeanne d’Arc, même combat - par Milla Jovovich. Bon point pour lui, David Harbour - c’est le shérif de ‘Stranger things’ - a presque la même genre de gueule en coin que Ron Perlman : il faut préciser que c’est la condition sine qua non pour incarner Hellboy et il ne démérite pas face à son prédécesseur. Il y a surtout que cette nouvelle version souffre de gros problèmes d’écriture, comme si plusieurs scénaristes avaient bossé dessus sans se consulter, et l’histoire laisse une impression permanente de déséquilibre et de foutoir. Si le ton pose également certains problèmes et si les saillies ordurières de Hellboy semblent parfois forcées, au moins le film ne rechigne-t-il pas à se vautrer dans une violence frontale totalement assumée, avec des touches gores qu’on n’a que rarement l’occasion de voir en dehors du cinéma d’épouvante le plus mal élevé. Titubant entre ses maladresses répétées, ses problèmes de structure et son refus punk des conventions molles de l’épopée super héroïque, ‘Hellboy’ s’impose comme un divertissement idiot et bancal, mais qui possède la générosité des nanards qui n’ont rien à perdre, le paradoxe étant qu’il en devient quelque chose de beaucoup moins ennuyeux que les superproductions Marvel autrement friquées que lui et agencées au millimètre près.
Le Rabzz
Déçu dans l’ensemble , mais le côté Gore et Violent rattrape un petit peu le coup , le scénario est beaucoup trop mou.
Pas terrible, tout de même je m'attendais à pire.
Pour commencer, les effets spéciaux sont excellent est extrêmement bien fait. C'est bien gore par moment. L'histoire est trop simpliste, elle n'est pas prise au sérieux, pourtant il s'agit de sauver la fin du monde
Pour commencer, les effets spéciaux sont excellent est extrêmement bien fait. C'est bien gore par moment. L'histoire est trop simpliste, elle n'est pas prise au sérieux, pourtant il s'agit de sauver la fin du monde
correct.
le gros monstre rouge Hellboy est de retour , son humour toujours subtil comme ces coups de poings.
Beaucoup d'hémoglobine et de cadavres , pas vraiment familial comme film.
le gros monstre rouge Hellboy est de retour , son humour toujours subtil comme ces coups de poings.
Beaucoup d'hémoglobine et de cadavres , pas vraiment familial comme film.
Neil Marshall si un jour tu lis ce commentaire sache que ton nom sera pour moi une référence de mauvais film.
J'ai regardé le premier Hellboy dans mon adolescence et je l'ai revu et revu sans jamais m'en lasser. Alors ce soir pour profiter de ma soirée qui avait si bien commencé je suis allez voir ce film au cinéma GAUMONT LABEGE non loin de Toulouse.
Comment dire ? Au-delà d'un scénario qu'un enfant de 12 ans, mal élevé, aurait pu écrire, j'ai trouvé le rythme absolument affreux. Aucune pause, aucune intrigue, juste un amat de chair et d'os qui ce mélange avec mauvais goût.
J'ai mal pour Guillermo Del Toro, réalisateur du premier Hellboy, dont je salue le film quand M. Marshall le réduit à néant.
Je déconseille plus que fortement, ne perdez pas de l'argent pour ce torchon cinématographique.
J'ai regardé le premier Hellboy dans mon adolescence et je l'ai revu et revu sans jamais m'en lasser. Alors ce soir pour profiter de ma soirée qui avait si bien commencé je suis allez voir ce film au cinéma GAUMONT LABEGE non loin de Toulouse.
Comment dire ? Au-delà d'un scénario qu'un enfant de 12 ans, mal élevé, aurait pu écrire, j'ai trouvé le rythme absolument affreux. Aucune pause, aucune intrigue, juste un amat de chair et d'os qui ce mélange avec mauvais goût.
J'ai mal pour Guillermo Del Toro, réalisateur du premier Hellboy, dont je salue le film quand M. Marshall le réduit à néant.
Je déconseille plus que fortement, ne perdez pas de l'argent pour ce torchon cinématographique.
L'histoire a été bâclée et les personnages ont été très peu développés et le point culminant a été très décevant. Ils auraient dû financer un troisième film de Guillermo del Toro à la place. J'essaie de donner une chance aux films y compris a celui-ci mais ce film était vraiment mauvais rien d'autre a dire...
RealPrime
Après Del Toro, c'est une toute nouvelle version de la BD qui nous est offerte en plus d'une nouvelle histoire et d'un casting 100% neuf.
spoiler:
Ce qui est drôle, du moins si j'ose dire, c'est qu'au moment de me renseigner sur le personnage auprès de fans suite à la séance, ils m'ont confirmé que les films de 2004 et 2008 sont le version plus poétique et moins violente du comics.
Il est vrai que niveau script, la vulgarité fut de mise, bien loin du gentil héros bien moins volumineux imaginé par Del Toro. Niveau aspect visuel, plus agressif donc plus moderne, mais temps mieux. spoiler: Un caractère plus adolescent par moment mais une quasi vrai complicité avec son paternel. Nouveau casting donc plus de femme enflammée, plus de mutant amphibien et encore moins de robot allemand gonflé à de l'air.
Mais un bureau entièrement dirigé par un père et non plus par un agent gouvernemental. C'est à ce genre de moment que l'on se pose la question : "Quelle version est la bonne ?". Puis notre ennemi, la sorcière de sang, jouée par une Milla Jovovich qui n'à rien perdu de son charme. Un personnage aussi déterminé mais peu vulgaire, une femme par excellence. Niveau technique maintenant, une imagination débordante sur ces créature venant de l'enfer, un nombre de démons assez incroyable qui nous à rarement été offert sur grand écran. spoiler: Visuellement, le digital était bon mais pas au point ultime, mais le design de ces ces dernier était bien horrible par moment, les scènes ou le personnage de Alice Monaghan sort de sa bouche, les âme des récents mort était vraiment dégueux mais réellement bien penser.
La grande scène d'ouverture sur l'histoire spoiler: médiévale avec le Roi Arthur donna le ton du film, puis la mutilation de la reine de sang par les chevaliers fut franchement bien répugnante. Mais encore une fois, le fait de filmer ce genre de scène avec du numérique et non du mécanique rend le visuel plus supportable. Mais associer Arthur à çà, plutôt surprenant.
L'autre scène m'ayant bien marquer est cet échange entre notre héros et la vieille démoniaque spoiler: dans sa battisse marchant sur des pattes de poulet, un moment assez improbable qui donne encore un aperçu de toute ces horreurs de l'enfer. Un personnage non numérique, quoique par moment, réellement bien fabriquer. Une quasi référence à la trilogie "Le seigneur des anneaux".
Pour conclure, les 2 scènes aussi épique mais qui aurait puent être peu supportable à un moment donné, la vision de l'enfer lorsqu'Hellboy prend Excalibur. spoiler: Un visuel dantesque ou le feu et l'obscur sont roi, une imagination débordante qui n'aura pas durer longtemps mais qui était très sympa à voir. Par contre, l'autre vision avec Londres en proie à ces mêmes horreurs fut bien moins glamour. La violence gratuite contre des humains dont j'aurais parié le côté innocent. Pour moi l'enfer est le royaume des criminels et non l'inverse. Là, entre un démon de la taille d'un immeuble qui décape littéralement un homme bien comme il faut, des volatiles qui écartèlent un autre ou encore un qui marche avec des corps transpercer à ses jambes. Je l'avoue sans crainte, j'aurai plus regarder et écouter plus si la scène avait durée plus longtemps. Mais bon, disons le honnêtement, cette vision de l'enfer fut la meilleur. Douleur, agonie, torture, c'est là le principe d'enfer.
C'est bien le seul mauvais point du film, après quelques fioritures dans le script mais peu importe. Une nouvelle vision d'Hellboy bien loin de l'ancienne, non plus basé sur le couple, le fantastique ou la romance mais bien sur l'horreur, le gore et l'humour bien placé. Le DeadPool de Dark Horse Comics mais en bien plus poli.
Il est vrai que niveau script, la vulgarité fut de mise, bien loin du gentil héros bien moins volumineux imaginé par Del Toro. Niveau aspect visuel, plus agressif donc plus moderne, mais temps mieux. spoiler: Un caractère plus adolescent par moment mais une quasi vrai complicité avec son paternel. Nouveau casting donc plus de femme enflammée, plus de mutant amphibien et encore moins de robot allemand gonflé à de l'air.
Mais un bureau entièrement dirigé par un père et non plus par un agent gouvernemental. C'est à ce genre de moment que l'on se pose la question : "Quelle version est la bonne ?". Puis notre ennemi, la sorcière de sang, jouée par une Milla Jovovich qui n'à rien perdu de son charme. Un personnage aussi déterminé mais peu vulgaire, une femme par excellence. Niveau technique maintenant, une imagination débordante sur ces créature venant de l'enfer, un nombre de démons assez incroyable qui nous à rarement été offert sur grand écran. spoiler: Visuellement, le digital était bon mais pas au point ultime, mais le design de ces ces dernier était bien horrible par moment, les scènes ou le personnage de Alice Monaghan sort de sa bouche, les âme des récents mort était vraiment dégueux mais réellement bien penser.
La grande scène d'ouverture sur l'histoire spoiler: médiévale avec le Roi Arthur donna le ton du film, puis la mutilation de la reine de sang par les chevaliers fut franchement bien répugnante. Mais encore une fois, le fait de filmer ce genre de scène avec du numérique et non du mécanique rend le visuel plus supportable. Mais associer Arthur à çà, plutôt surprenant.
L'autre scène m'ayant bien marquer est cet échange entre notre héros et la vieille démoniaque spoiler: dans sa battisse marchant sur des pattes de poulet, un moment assez improbable qui donne encore un aperçu de toute ces horreurs de l'enfer. Un personnage non numérique, quoique par moment, réellement bien fabriquer. Une quasi référence à la trilogie "Le seigneur des anneaux".
Pour conclure, les 2 scènes aussi épique mais qui aurait puent être peu supportable à un moment donné, la vision de l'enfer lorsqu'Hellboy prend Excalibur. spoiler: Un visuel dantesque ou le feu et l'obscur sont roi, une imagination débordante qui n'aura pas durer longtemps mais qui était très sympa à voir. Par contre, l'autre vision avec Londres en proie à ces mêmes horreurs fut bien moins glamour. La violence gratuite contre des humains dont j'aurais parié le côté innocent. Pour moi l'enfer est le royaume des criminels et non l'inverse. Là, entre un démon de la taille d'un immeuble qui décape littéralement un homme bien comme il faut, des volatiles qui écartèlent un autre ou encore un qui marche avec des corps transpercer à ses jambes. Je l'avoue sans crainte, j'aurai plus regarder et écouter plus si la scène avait durée plus longtemps. Mais bon, disons le honnêtement, cette vision de l'enfer fut la meilleur. Douleur, agonie, torture, c'est là le principe d'enfer.
C'est bien le seul mauvais point du film, après quelques fioritures dans le script mais peu importe. Une nouvelle vision d'Hellboy bien loin de l'ancienne, non plus basé sur le couple, le fantastique ou la romance mais bien sur l'horreur, le gore et l'humour bien placé. Le DeadPool de Dark Horse Comics mais en bien plus poli.
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