AlloCiné
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Votre avis sur Peppermint ?
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Peppermint est un film très efficace. C'est un scénario, certes , classique et mainte fois exploité, mais le film bouge bien et la réalisation est bonne. Bref, ce film fait le job.
Un très bon film d’action sans temps morts ni dialogues bavards. Jennifer Garner est excellente et très crédible en « Charles Bronson » au féminin. Allez le voir, vous ne serez pas déçus !
Voir un gang de mexicains, privés de doudous à la naissance, se faire décoiffer le moral par une maman contrariée, n’est pas plus invraisemblable que de voir Liam Neeson dans Taken se débarrasser de tous les albanais de Paris en deux demi-journées. Ça y est, c’est fait, la femme est devenue l’avenir de l’homme. Je ne sais même pas pourquoi on a donné un flingue à Jennifer Garner. J’y suis allé pour elle, ça ne s’explique pas, c’est comme ça. Du coup, c’est la première fois que j’assume la demi-étoile qu’il est impossible de supprimer. Pour le reste, à quoi bon détailler une séance de ball-trap où les assiettes font couler du sang en criant « salope » d’un regard torve. Mais bon, Pierre Morel a su nous éviter le tueur à gages qui fait dans sa culotte, qui demande pitié parce que lui aussi il a une femme et des enfants (c’est normal, il n’a pas voulu déconner avec les invraisemblances ni faire baisser notre taux de testostérone). La fin est ouverte, comme on dit, et laisse peut-être deviner une suite si le film fait plus de spectateurs qu’il a fait de morts. On a bien compris que le destin de la maman ne sera pas de tricoter des pulls ou des slips aux tueurs et aux trafiquants de tous poils. J’ai hâte.
Pierre Morel, avec Peppermint, démontre que la nullité n'est pas l'apanage des films dont le héros est un homme. Cherchant à nous convaincre que la vengeance est encore plus froide quand on est une femme, Morel parvient uniquement à nous confirmer que l'absence de talent n'est pas un frein à une certaine forme de "créativité"...
Passé maitre dans l'art délicat de conjuguer opportunisme et vacuité, celui-ci s'échine, pendant l'heure et demi que dure son film, à démontrer que les femmes sont aussi capables que les hommes pour ce qui est de l’accomplissement des basses œuvres !
Faisant montre d'une grande créativité pour l'enfumage marketing, il réussit, là où peu ont échoué, à combler l'absence de scénario par des dialogues oiseux que l'on croirait destinés à un public ayant loupé quelques épisodes de l'évolution.
La vengeance, moteur absurde de cette farce triste, incitera le spectateur malheureux à bannir définitivement ce réalisateur de sa liste et à éviter pendant 5 ans tous les cinémas ayant poussé l'infamie jusqu'à garder à l'affiche le film pendant plus plus d'une journée !
A éviter donc, même si vous n'avez rien de mieux à faire.
Passé maitre dans l'art délicat de conjuguer opportunisme et vacuité, celui-ci s'échine, pendant l'heure et demi que dure son film, à démontrer que les femmes sont aussi capables que les hommes pour ce qui est de l’accomplissement des basses œuvres !
Faisant montre d'une grande créativité pour l'enfumage marketing, il réussit, là où peu ont échoué, à combler l'absence de scénario par des dialogues oiseux que l'on croirait destinés à un public ayant loupé quelques épisodes de l'évolution.
La vengeance, moteur absurde de cette farce triste, incitera le spectateur malheureux à bannir définitivement ce réalisateur de sa liste et à éviter pendant 5 ans tous les cinémas ayant poussé l'infamie jusqu'à garder à l'affiche le film pendant plus plus d'une journée !
A éviter donc, même si vous n'avez rien de mieux à faire.
J'ai ADORÉ !!! C'est super de retrouver Jennifer Garner dans des scènes d'action qui déchirent tout (un flingue dans chaque main, comme à la grande époque d'Alias !!). C'est tellement jouissif de la voir se faire justice elle-même après avoir été déboutée par la justice corrompue !! Et elle est aussi top dans les scènes d'émotion mais bon, elle a plus rien à prouver. Pour moi, mieux que "Taken".
vraiment pas terrible
le jeu des acteurs est très mauvais, en dehors de Jenifer Garner qui arrive malgré tout à tirer son épingle du jeu
scénario léger et pas crédible
passez votre chemin
le jeu des acteurs est très mauvais, en dehors de Jenifer Garner qui arrive malgré tout à tirer son épingle du jeu
scénario léger et pas crédible
passez votre chemin
Jorik V
Comment, en 2018, peut-on encore oser produire un film pareil ? Comment un studio peut-il valider un scénario aussi mince, aussi peu original et aussi invraisemblable ? Comment les spectateurs peuvent-ils encore être avides d’un produit même pas digne d’être diffusé en VOD ou sur Netflix ? A ces questions, pas de réponses, mais en revanche une heure et demie de temps de perdu et un spectateur proche de l’hallucination tant « Peppermint » tient de la mauvaise blague. Mauvaise car on ne peut même pas prendre ce film de vengeance au second degré et en rire. Non, car le pire c’est que toute l’équipe qui a pondu ce machin y croit dur comme fer et se prend au sérieux. Et même au troisième degré, alcoolisé, stone ou tout ce que vous voulez on ne peut même pas se moquer de ce navet tant c’est navrant et qu’on enrage devant tant de bêtise et de manque de respect pour le public. Et le comble est que ce qui aurait pu être les scènes les plus intéressantes du film, celles où Garner fuit pour préparer sa vengeance font l’objet d’une ellipse notable…
Pierre Morel est quand même le réalisateur d’un film culte, en l’occurrence « Taken ». Un film certes surévalué mais qui tapait dans le mille là où c’était nécessaire et assurait niveau action et castagne de méchants. Depuis, il est vrai que le bonhomme ne nous a offert que des sous-produits dudit film bien peu palpitants (« Gunman », « Taken 2 », …). Mais là il touche le fond. On a pitié pour Jennifer Garner qui est bien la seule à y croire un temps soit peu et qui reste plutôt crédible et correcte dans le jeu. Hormis un petit retournement inattendu, le reste du scénario a été vu, revu et remâché des milliers de fois par des téléfilms anonymes, des séries B de vidéoclubs et tout un pan du cinéma depuis une trentaine d’années. Une famille assassinée, des méchants très méchants, une vengeance sèche et violente dont on connait la fin avant que le film commence, etc, ... Bref, du cinéma manichéen qui atteint son paroxysme ici.
Mais ce n’est pas tout. Non content d’être un copier-coller de bas étage, « Peppermint » se la joue invraisemblable du début à la fin. On sait bien que dans ce type de films, le héros (ou l’héroïne donc) est très endurant et presque invincible mais ici ce statut atteint des sommets dans le n’importe quoi qui décrédibilise toutes les séquences et surtout nous fait décrocher à chaque scène d’action. Des scènes d’ailleurs filmées comme il y a vingt ans sans aucune once d’innovation. Ajoutez à cela, des acteurs de seconde zone qui jouent mal et des dialogues d’une pauvreté à faire rougir une sitcom du câble et vous obtenez cette série B sans âme qui s’apparente à une purge. Enfin les poncifs s’enfilent comme des perles entre les vieux flashbacks au ralenti, les trafiquants latinos habillés comme dans des clips de rap et des flics à la ramasse. Il n’y ni nuance, ni subtilité, ni émotion, ni rien dans « Peppermint ». Un seul mot : fuyez ! Ou si vous aimez les vengeances au féminin, revoyez à la limite « Colombiana » ou surtout « Kill Bill ».
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Pierre Morel est quand même le réalisateur d’un film culte, en l’occurrence « Taken ». Un film certes surévalué mais qui tapait dans le mille là où c’était nécessaire et assurait niveau action et castagne de méchants. Depuis, il est vrai que le bonhomme ne nous a offert que des sous-produits dudit film bien peu palpitants (« Gunman », « Taken 2 », …). Mais là il touche le fond. On a pitié pour Jennifer Garner qui est bien la seule à y croire un temps soit peu et qui reste plutôt crédible et correcte dans le jeu. Hormis un petit retournement inattendu, le reste du scénario a été vu, revu et remâché des milliers de fois par des téléfilms anonymes, des séries B de vidéoclubs et tout un pan du cinéma depuis une trentaine d’années. Une famille assassinée, des méchants très méchants, une vengeance sèche et violente dont on connait la fin avant que le film commence, etc, ... Bref, du cinéma manichéen qui atteint son paroxysme ici.
Mais ce n’est pas tout. Non content d’être un copier-coller de bas étage, « Peppermint » se la joue invraisemblable du début à la fin. On sait bien que dans ce type de films, le héros (ou l’héroïne donc) est très endurant et presque invincible mais ici ce statut atteint des sommets dans le n’importe quoi qui décrédibilise toutes les séquences et surtout nous fait décrocher à chaque scène d’action. Des scènes d’ailleurs filmées comme il y a vingt ans sans aucune once d’innovation. Ajoutez à cela, des acteurs de seconde zone qui jouent mal et des dialogues d’une pauvreté à faire rougir une sitcom du câble et vous obtenez cette série B sans âme qui s’apparente à une purge. Enfin les poncifs s’enfilent comme des perles entre les vieux flashbacks au ralenti, les trafiquants latinos habillés comme dans des clips de rap et des flics à la ramasse. Il n’y ni nuance, ni subtilité, ni émotion, ni rien dans « Peppermint ». Un seul mot : fuyez ! Ou si vous aimez les vengeances au féminin, revoyez à la limite « Colombiana » ou surtout « Kill Bill ».
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Film a peine digne d’un mauvais telefilm de RTL9 a fuir une genre de revenge movie mal filmé et plein de truc plus gros les un que les autres avec un marvel au debut ca aurait donné le ton du nanar
Prévisible, aucune surprise, du déjà vu, tout est expéditive et les scène de vengeance sont très courtes ... Tout se passe quasiment au flingue avec une femme façon Sarah Connor .. Les fans de vengeance-movie n'attendez pas le dénouement à la dernière minute y en a pas.
tony-76
Depuis le succès de Taken, Pierre Morel a toujours eu le désir de faire des récits de vengeance. Ces précédentes réalisations - From Paris with Love et Gunman - étaient des produits divertissants, sans toutefois crier au génie ! Vient maintenant qu'il est de retour derrière la caméra dans une même tournure avec son Peppermint. Une énième histoire de justice mais au féminin ! La vengeance d'une mère de famille, dont la fille et son mari ont été sauvagement assassinés et dont le système judiciaire est entièrement corrompu... Il faudra prendre les armes en faisant sa propre justice ! Ce thème a été traité à maintes reprises - Blood Father, Colombiana, Death Wish ou encore le récent Breaking In - mais la recette fonctionne toujours autant ! Le film d'action de Morel se veut par moment efficace notamment dans ses scènes d'action dont
spoiler:
une au sein d'une villa
(mais cela ne vaut en aucun cas la qualité d'un Foreigner) et vaut principalement le déplacement pour le come-back de Jennifer Garner ! On n'avait pas revu l'actrice devant une telle production depuis The Kingdom ! Garner apporte une présence étonnante dans ce registre, et très éloignée de ces prestations du passé - Love, Simon et Nine Lives - qui se concentrait plus dans des drames familiales. L'ex de Ben Alleck est à contre-emploi dans Peppermint. Par contre, les méchants ne sont pas très charismatiques... Morel installe malgré ça, une atmosphère sombre où la violence domine spoiler: sur le plan nocturne.
L'intensité de certains passages sont très peu stylisées contrairement aux prenants 22 Miles, Atomic Blonde et autres John Wick ! Le réalisateur français revient également, sur des effets de montage et de ralentis à l'ancienne ainsi que des flash-backs spoiler: racontant la vie d'avant de l’héroïne...
Un aspect cliché du cinéaste ! Nous avons encore le droit à spoiler: un justicier voulant sauver les personnes les plus démunis,
faisant écho à la suite décevante d'Equalizer... De plus, le cinéphile ne fait guère attention à la trame sonore de Peppermint qui s'avère quelconque et n'atteignant pas la force d'un Cliff Martinez. Plutôt regrettable sur ce point... Moins long que Gunman, Peppermint est un film d'action à la française qui demeure acceptable (malgré ses défauts) et bien que convenu et sans surprise, on passe un bon moment de détente devant une performance musclée de Jennifer Garner. On attend dés à présent le futur et prometteur Widows qui sortira en novembre et risque d'envoyer du lourd !
(mais cela ne vaut en aucun cas la qualité d'un Foreigner) et vaut principalement le déplacement pour le come-back de Jennifer Garner ! On n'avait pas revu l'actrice devant une telle production depuis The Kingdom ! Garner apporte une présence étonnante dans ce registre, et très éloignée de ces prestations du passé - Love, Simon et Nine Lives - qui se concentrait plus dans des drames familiales. L'ex de Ben Alleck est à contre-emploi dans Peppermint. Par contre, les méchants ne sont pas très charismatiques... Morel installe malgré ça, une atmosphère sombre où la violence domine spoiler: sur le plan nocturne.
L'intensité de certains passages sont très peu stylisées contrairement aux prenants 22 Miles, Atomic Blonde et autres John Wick ! Le réalisateur français revient également, sur des effets de montage et de ralentis à l'ancienne ainsi que des flash-backs spoiler: racontant la vie d'avant de l’héroïne...
Un aspect cliché du cinéaste ! Nous avons encore le droit à spoiler: un justicier voulant sauver les personnes les plus démunis,
faisant écho à la suite décevante d'Equalizer... De plus, le cinéphile ne fait guère attention à la trame sonore de Peppermint qui s'avère quelconque et n'atteignant pas la force d'un Cliff Martinez. Plutôt regrettable sur ce point... Moins long que Gunman, Peppermint est un film d'action à la française qui demeure acceptable (malgré ses défauts) et bien que convenu et sans surprise, on passe un bon moment de détente devant une performance musclée de Jennifer Garner. On attend dés à présent le futur et prometteur Widows qui sortira en novembre et risque d'envoyer du lourd !
Bruce Willis Keanu Reeves et bien sur Liam Neeson peuvent aller se recoucher, la belle Jennifer Garner à des comptes à régler et ça va faire mal, inutile de s'attarder sur le scénario qui fait largement dans le déjà vu et qui de toute manière bien mince, le principal est dans l'interprétation de Jennifer Garner dans le rôle d'une mère au aboie qui n'a plus rien à perdre et c'est là que la magie opère et du coup on prend un plaisir pervers à suivre la quête de justice ou plutôt de vengeance de l'héroïne. Pi pour ma part ça m' a furieusement donner envie de regarder la série Alias
Voilà un énième film d'action qui se veut assez divertissant avec de très bons acteurs et une histoire certes peu recherchée mais qui fait le travail. Un nouveau film qui mêle habilement scènes de dialogues et scènes d'actions. Hélas rien de nouveau, le film innove pas, on connaît bien entendu la fin avant même que le scénario ne puisse démarrer. En bref, si vous aimez les films à la "clombiana" ou encore à la sauce taken, vous serez servi. Pour les autres qui recherchent des films un peu plus psychologiques ou avec des rebondissements scenaristiques, passez votre chemin.
Un film de vengeance bourrin et tellement pas crédible, caricatural, mais dont l'originalité est de présenter une femme dans le rôle du justicier redresseur de tort. Mais ce n’est pas tout. Non content d’être un copier-coller de bas étage, « Peppermint » se la joue invraisemblable du début à la fin. On sait bien que dans ce type de films, le héros (ou l’héroïne donc) est très endurant et presque invincible mais ici ce statut atteint des sommets dans le n’importe quoi qui décrédibilise toutes les séquences et surtout nous fait décrocher à chaque scène d’action. Des scènes d’ailleurs filmées comme il y a vingt ans sans aucune once d’innovation! 7/20.
lent,ennuyant, prévisible et tant cliché dans les dialogues, pire film d'action jamais vu, a eviter...
C'est un réalisateur français, Pierre Morel, qui signe ici ce film d'action avec en tête de gondole Jennifer Garner. Malheureusement, le cinéaste met en avant une morale assez discutable présente sur l'affiche (se faire justice soi-même après la mort de son conjoint et de sa fille). Le scénario est cousu de fil blanc et l'intrigue basique se déploie au rythme des cadavres laissés derrière elle par notre héroïne. C'est mauvais et malheureusement la scène finale laisse planer le doute sur une suite potentielle.
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