Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Mais, à qui ouvre ses yeux et son cœur, Carmen promet pourtant une expérience artistique époustouflante.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Aidan et Carmen forment un séduisant couple de cinéma. Paul Mescal, l’un des jeunes acteurs les plus en vogue de Hollywood depuis le récent succès de Aftersun de Charlotte Wells, et Melissa Barrera forment un duo incandescent.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
A partir d'un opéra, le metteur en scène trouve la juste forme filmique au croisement de la comédie musicale et de l’art lyrique. La jonction prend, tant dans la dramaturgie que dans l'art visuel et musical : beau spectacle.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
Œuvre inclassable, électrique, centrée sur les corps des acteurs et la présence de la poussière sous leurs pieds, cette « Carmen » bouscule les genres et les traditions. Comme si le cinéma se réinventait devant nos yeux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Delphine De Freitas
Une expérience de cinéma aussi désarmante que clivante.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Quelle est cette forme particulière, exaltante et originale, que prend le film, visuellement très réussi ? Une hybridation.
Voici
par La Rédaction
Une relecture moderne parfois un peu noyée par un symbolisme omniprésent, mais portée par un duo d'acteurs en osmose et d'une folle sensualité.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Scénario minimaliste, ode aux corps en mouvement, chorégraphies oniriques... Un film pas sans défauts, mais à l’atmosphère hypnotique.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Ce drôle de film hybride, entre arts de la scène et cinéma, ouvre de nombreuses pistes, qui ne mènent pas toujours à bon port, mais impressionne par son audace et ses idées visuelles.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Plus le film progresse, plus il abandonne ces stéréotypes pour s’enfermer dans un cabaret-monde, La Sombra, tenue par Masilda, la tante de Carmen, moitié magicienne d’Oz moitié fée andalouse. Rossy de Palma, qui l’incarne, donne à Millepied l’horizon de sa quête américaine : une Europe flamboyante, secrète et réenchantée.
Elle
par Manou Farine
Un road-movie au bord de la comédie musicale (...) qui se régale de ses belles images mais peine à donner de l'épaisseur à ses personnages.
La Croix
par Emmanuelle Giuliani
En voulant « moderniser » le mythe installé par Mérimée et revisité par maints artistes, Benjamin Millepied s’enlise dans une bluette sans relief où même la danse semble médiocre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Télé 2 semaines
par Mathilde Aubry
Si l'on se laisse charmer par ses chorégraphies hypnotiques, on regrette la globale désincarnation de ce premier film.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Une tragédie lourdingue et ampoulée sous forme de road-movie mêlant racisme, syndrome post-traumatique, cabaret de l’étrange, passion amoureuse et sacrificielle…
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par M. Dl.
Stylisation des lumières, grandes étendues, déambulations de podium tuent à petit feu le sel de l’amour fou pour former le cadre idéal d’une publicité pour papier glacé.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Sur le fond, entre scènes en voiture façon road-movie clinquant, tentatives maladroites de faire flirter le récit avec le thriller, et séquences de danse qui sortent de nulle part, on n’y comprend rapidement plus rien…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Dans son premier film, le chorégraphe français Benjamin Millepied revisite librement l'opéra de Georges Bizet. Malheureusement, ce coup d'essai s'abîme dans les clichés et les surenchères.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Thierry Chèze
Les scènes de danse sont évidemment superbes mais flottant au milieu d’un récit mal équilibré, étouffé par un symbolisme permanent et des facilités d’écriture. Beaucoup de bruit, de couleurs et d’énergie pour pas grand-chose.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
La photographie est tape à l’oeil, publicitaire, le récit se disperse, le propos multiplie les pistes sans en creuser aucune. Le racisme, l’exil, le deuil... Paul Mescal paraît complément perdu, nous aussi.
Télérama
par Caroline Besse
Ni les scènes de danse, maladroitement intégrées au scénario, ni la présence de la grande Rossy de Palma, en tenancière d’un cabaret, ne sauvent le film d’un scénario trop fragile, au rythme dissonant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
Mais, à qui ouvre ses yeux et son cœur, Carmen promet pourtant une expérience artistique époustouflante.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Aidan et Carmen forment un séduisant couple de cinéma. Paul Mescal, l’un des jeunes acteurs les plus en vogue de Hollywood depuis le récent succès de Aftersun de Charlotte Wells, et Melissa Barrera forment un duo incandescent.
Franceinfo Culture
A partir d'un opéra, le metteur en scène trouve la juste forme filmique au croisement de la comédie musicale et de l’art lyrique. La jonction prend, tant dans la dramaturgie que dans l'art visuel et musical : beau spectacle.
L'Obs
Œuvre inclassable, électrique, centrée sur les corps des acteurs et la présence de la poussière sous leurs pieds, cette « Carmen » bouscule les genres et les traditions. Comme si le cinéma se réinventait devant nos yeux.
LCI
Une expérience de cinéma aussi désarmante que clivante.
Le Dauphiné Libéré
Quelle est cette forme particulière, exaltante et originale, que prend le film, visuellement très réussi ? Une hybridation.
Voici
Une relecture moderne parfois un peu noyée par un symbolisme omniprésent, mais portée par un duo d'acteurs en osmose et d'une folle sensualité.
La Voix du Nord
Scénario minimaliste, ode aux corps en mouvement, chorégraphies oniriques... Un film pas sans défauts, mais à l’atmosphère hypnotique.
Les Fiches du Cinéma
Ce drôle de film hybride, entre arts de la scène et cinéma, ouvre de nombreuses pistes, qui ne mènent pas toujours à bon port, mais impressionne par son audace et ses idées visuelles.
Cahiers du Cinéma
Plus le film progresse, plus il abandonne ces stéréotypes pour s’enfermer dans un cabaret-monde, La Sombra, tenue par Masilda, la tante de Carmen, moitié magicienne d’Oz moitié fée andalouse. Rossy de Palma, qui l’incarne, donne à Millepied l’horizon de sa quête américaine : une Europe flamboyante, secrète et réenchantée.
Elle
Un road-movie au bord de la comédie musicale (...) qui se régale de ses belles images mais peine à donner de l'épaisseur à ses personnages.
La Croix
En voulant « moderniser » le mythe installé par Mérimée et revisité par maints artistes, Benjamin Millepied s’enlise dans une bluette sans relief où même la danse semble médiocre.
Télé 2 semaines
Si l'on se laisse charmer par ses chorégraphies hypnotiques, on regrette la globale désincarnation de ce premier film.
Le Journal du Dimanche
Une tragédie lourdingue et ampoulée sous forme de road-movie mêlant racisme, syndrome post-traumatique, cabaret de l’étrange, passion amoureuse et sacrificielle…
Le Monde
Stylisation des lumières, grandes étendues, déambulations de podium tuent à petit feu le sel de l’amour fou pour former le cadre idéal d’une publicité pour papier glacé.
Le Parisien
Sur le fond, entre scènes en voiture façon road-movie clinquant, tentatives maladroites de faire flirter le récit avec le thriller, et séquences de danse qui sortent de nulle part, on n’y comprend rapidement plus rien…
Les Echos
Dans son premier film, le chorégraphe français Benjamin Millepied revisite librement l'opéra de Georges Bizet. Malheureusement, ce coup d'essai s'abîme dans les clichés et les surenchères.
Première
Les scènes de danse sont évidemment superbes mais flottant au milieu d’un récit mal équilibré, étouffé par un symbolisme permanent et des facilités d’écriture. Beaucoup de bruit, de couleurs et d’énergie pour pas grand-chose.
Sud Ouest
La photographie est tape à l’oeil, publicitaire, le récit se disperse, le propos multiplie les pistes sans en creuser aucune. Le racisme, l’exil, le deuil... Paul Mescal paraît complément perdu, nous aussi.
Télérama
Ni les scènes de danse, maladroitement intégrées au scénario, ni la présence de la grande Rossy de Palma, en tenancière d’un cabaret, ne sauvent le film d’un scénario trop fragile, au rythme dissonant.