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Votre avis sur Asher, la dernière mission ?
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Plutôt typé drame qu'un action thriller, la mise en place est originale par contre très très lent. On s'attarde plus sur les à coté que le "job" en lui-même, en se focalisant sur l'isolement, les quêtes et ... l'age. Ça change des Statham et compagnie ... 3/5 !!!
Objectivons
Je pense que les spectateurs qui n'apprécient pas particulièrement Ron Perlman accorderont un 2,5/5 à Asher, film assez lent bien que correctement joué.
Je suis tombé par hasard sur ce petit film sans prétention. Le scénario n’a rien de révolutionnaire mais reste simple et élégant.
L'ambiance lente du film est appréciable, servie par de bons acteurs, ceux qu'on connait mais ne voit pas souvent. Ils sont qui plus est utilisés avec intelligence, cette histoire d'amour improbable est forte et prend le pas sur l'intrigue "flinguesques"
Un petit moment sympa.
L'ambiance lente du film est appréciable, servie par de bons acteurs, ceux qu'on connait mais ne voit pas souvent. Ils sont qui plus est utilisés avec intelligence, cette histoire d'amour improbable est forte et prend le pas sur l'intrigue "flinguesques"
Un petit moment sympa.
soniadidierkmurgia
"Asher" de Michael Caton-Jones c'est un peu sale temps pour les tueurs à gages qui ne peuvent guère compter sur leur points retraite accumulés pour assurer leurs vieux jours quand les réflexes deviennent un peu moins bons et le souffle un peu plus court. C'est exactement ce qu'il arrive à Asher (Ron Perlman)
spoiler:
ancien agent du Mossad reconverti dans l'assassinat sur commande tarifé. Les temps sont durs on l'a dit et les contrats les plus rémunérateurs, souvent les plus lointains, ne sont plus pour Asher qui a malgré tout du mal à décrocher. Jusqu'au jour où pris d'un malaise en montant l'escalier pour un contrat il atterrit sur le dos chez une jeune professeur de danse (Famke Janssen) un peu solitaire
. Le vieil ours doucement mélancolique interprété par le massif Ron Perlman, autrefois homme primitif ("La guerre du feu" en 1982) ou moine difforme ("Le nom de la rose" en 1986) chez Jean-Jacques Annaud puis héros de BD ("Hellboy 1 et 2" en 2004 et 2008) chez Guillermo Del Toro, spoiler: va se mettre à vivre à nouveau grâce à un amour inespéré
. Le propos est sans aucun doute peu probable mais voir Ron Perlman dans un rôle plus nuancé et dans un film qu'il a lui-même coproduit constitue une plutôt agréable surprise. Michael Caton-Jones s'il ne peut revendiquer le statut d'auteur, a montré depuis son arrivée à Hollywood en provenance de son Angleterre natale qu'il pouvait traiter avec une certaine efficacité les différents scénarios passant à sa portée. Comme "Asher" le héros qu'il interprète, Ron Perlman tente en fin de parcours de s'offrir un rôle qui ne soit pas uniquement basé sur son physique si particulier. Mission plutôt réussi malgré les petites faiblesses scénaristiques du film. On notera aussi la prestation assez surprenante de Jacqueline Bisset bien loin désormais des rôles glamour de sa splendeur. Quant à Richard Dreyfuss cela fait un moment que les emplois de premier plan à Hollywood lui sont inaccessibles, son étoile n'ayant brillé que deux courtes mais mémorables décennies concrétisées par un Oscar du meilleur premier rôle dans "Adieu, je reste" d'Herbert Ross en 1977 .
. Le vieil ours doucement mélancolique interprété par le massif Ron Perlman, autrefois homme primitif ("La guerre du feu" en 1982) ou moine difforme ("Le nom de la rose" en 1986) chez Jean-Jacques Annaud puis héros de BD ("Hellboy 1 et 2" en 2004 et 2008) chez Guillermo Del Toro, spoiler: va se mettre à vivre à nouveau grâce à un amour inespéré
. Le propos est sans aucun doute peu probable mais voir Ron Perlman dans un rôle plus nuancé et dans un film qu'il a lui-même coproduit constitue une plutôt agréable surprise. Michael Caton-Jones s'il ne peut revendiquer le statut d'auteur, a montré depuis son arrivée à Hollywood en provenance de son Angleterre natale qu'il pouvait traiter avec une certaine efficacité les différents scénarios passant à sa portée. Comme "Asher" le héros qu'il interprète, Ron Perlman tente en fin de parcours de s'offrir un rôle qui ne soit pas uniquement basé sur son physique si particulier. Mission plutôt réussi malgré les petites faiblesses scénaristiques du film. On notera aussi la prestation assez surprenante de Jacqueline Bisset bien loin désormais des rôles glamour de sa splendeur. Quant à Richard Dreyfuss cela fait un moment que les emplois de premier plan à Hollywood lui sont inaccessibles, son étoile n'ayant brillé que deux courtes mais mémorables décennies concrétisées par un Oscar du meilleur premier rôle dans "Adieu, je reste" d'Herbert Ross en 1977 .
Ce n'est pas que je n'aime pas Ron Perlman mais je le préfère en second rôle chez Jean-Jacques Annaud et Jean-Pierre Jeunet. Là, pour porter tout le poids d'un film, il est trop juste. En plus, je m'attendais à un film d'action vu le sujet et ce n'en est pas vraiment un. Asher est un tueur sur le déclin qui aspire à mener une petite vie tranquille. Mais il va se rendre compte que les affaires sont les affaires et on n'y échappe pas. Il fait connaissance avec une professeur de danse qui a, elle aussi, ses propres problèmes personnels. Asher plutôt que de multiplier les scènes d'action est en réalité un drame. Comment ces deux-là vont-ils faire pour entamer une relation, peuvent-ils se le permettre vu leurs différences et comment arriveront-ils à régler leurs histoires ? Trois questions pour un film lent où Perlman paraît plus concentré sur la cuisine de bons petits plats et la dégustation d'un verre de vin que sur ses activités professionnelles. Déroutant.
Par le réalisateur du Chacal, Ron Perlman en vieux tueur à gage flegmatique a carrément la classe dans ce film, il a vraiment une gueule. On ressent un peu la même ambiance que dans un film des années 90, La musique "blues" accompagnant le personnage. La réalisation est classique mais efficace, la trame est simple voire un peu creuse.
Mouais...série B moyenne, où Ron Perlman et Famke Janssen tiennent le premier rôle. Assez brouillon et sans réelle originalité, cette histoire d'amour sur fond d'histoire de tueurs à gage (à moins que ce soit l'inverse?) ne tient pas vraiment debout, malgré un jeu d'acteur et une réalisation correcte.
Ron Perlman est excellent en tant qu'Asher le vieux tueur à gages qui est très seul et perdu dans une ville dans un Brooklyn en constante évolution. Ron donne une performance superbe et presque douce en tant qu'Asher. Il dépeint cet assassin vieillissant comme un homme solitaire et calme qui regarde ses compétences comme juste un travail. Mais ce travail lui a coûté la vie car il est très seul sans femme ni enfants. Il a juste son travail qui est excellent mais maintenant l'âge le rattrape et il ne sait pas quoi faire. C'est probablement la meilleure performance de la carrière de Perlman. La réalisation est magnifique. La vieille partition musicale de jazz est superbe et si bien adaptée à l'histoire. Il y a tellement de cœur et d'âme dans ce petit thriller Noir. Il y a des moments drôles ainsi que de beaux moments tendres et des scènes d'action vraiment chouette. Ron Perlman n'a jamais été aussi bon jusqu'à ce film. Le plus grand rôle de Perlman était Hellboy mais maintenant c'est Asher. Il s'agit d'un film de série B. Mais il est si bien fait qu'il se sent plus grand et meilleur et bien au-dessus des films habituels de série B. Asher est un thriller policier à l'ancienne magnifiquement conçu...
rien de crédible dans ce film lent et décousu. Dans ces bandes de tueurs à gage, on n'arrive pas à savoir qui est avec et qui est contre qui .
l'aventure sentimentale du papy tueur à gages sentimental avec une jeunette, frise le ridicule avec ces imprévus tordus et tous ces types qui sortent d'on ne sait où.
si vous voulez regarder un vrai film d'action qui tient la route, il faut aller voir ailleurs ...
l'aventure sentimentale du papy tueur à gages sentimental avec une jeunette, frise le ridicule avec ces imprévus tordus et tous ces types qui sortent d'on ne sait où.
si vous voulez regarder un vrai film d'action qui tient la route, il faut aller voir ailleurs ...
Gros point noir : le doublage VFI aux voix banales au ton monocorde. Aussi les invraissemblances habituelles, par ex tous les immeubles d'habitations de New York ont un système d'aspersion anti-incendie.
Ron perrlman en gueule cassé nous entraîne
dans cette histoire de tueur a gage en fin de
cycle qui va découvrir l amour
film a mi chemin entre film d action et film intim
iste un bon petit film
a noter la présence de Jacqueline bisset en mère malade
dans cette histoire de tueur a gage en fin de
cycle qui va découvrir l amour
film a mi chemin entre film d action et film intim
iste un bon petit film
a noter la présence de Jacqueline bisset en mère malade
Tombé par hasard sur ce film, et avant de lire distribution et critiques, ça m'a aussitôt fait penser à un scenario écrit par ou pour Clint Eastwood dans un rôle de vieux désabusé qui aurait fait faux bond au dernier moment et remplacé. L'acteur s'en tire très bien, la jeune actrice aussi, jusqu'aux invraisemblances sur lesquelles on passe volontiers, j'arrête là ce serait spoiler.
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