Que dire ? Que dire sur oeuvre telle que celle là ? Encore une fois je vais essayé de ne pas rédiger une critique qui déborde de superlatif mais c'est un exercice difficile que d'écrire sur les film que l'on adores, écrire sur les films qui nous touche car au delà des qualités évidente de ce chef d'oeuvre il m'est très difficile de rester objectif. Romain Gavras film ici une histoire de gangsters a la françaises, avec des personnages a la fois très décaler mais aussi très cynique et réaliste. Là où un Scorces film des gangsters classe avec un code d'honneur important, Gavras lui nous montre des petite frappes qui n'on aucune parole ou un quelconque sens de l'honneur, tous le monde ce trahi et ce fait trahie a longueur de temps. Les "Affranchie" dans une banlieue française. Tous les personnages, TOUS sans exception sont une merveille d'humour, de décalage, d'écriture dans leurs personnalité, ils parviennent tous (et en seulement quelques apparition a l'écran pour certains) à nous montré quelque chose d'unique. François incarner par un Karim Leklou sidèrent de justesse est un petit dealer, éternelle soumis qui ce bats contre vent et marée pour atteindre sont but ultime, son rêve. Il devras passé par plus d'une aventures et d'une situations tantôt grotesque, tantôt malaisantes, tantôt dangereuses.... Le tous affublé de divers loustiques tous plus taré les un que les autres, la palme revenant quand même a Henry camper par un Vincent cassel qui signe ici un des meilleurs rôle de sa carrière déjà magnifique. Mais tous sont de petit bijoux, de petite gâterie qui font plaisir a voir : une mère castratrice, 2 lascars surexcité, une gamine désabusé , un françois Damiens horrible et sans scrupules... C'est un feu d'artifice de couleurs, de personnalité, un feu d'artifice de cynisme et de coup bas permanent qui dresse une fresque des seul lois qui prédomine réellement chez les voyous : la lois du plus fort, du plus fourbe, du plus malin. Des retournement de situation dans tous les sens, c'est quand tu crois avoir le pouvoir que les problèmes arrivent.
Et que dire de la Bande.Original du film, une Merveille de bout en bout, la puissances des scènes est triplé, quintuplé par ces musiques choisit avec soin. Le film s'ouvre avec du Michelle Sardou lorsque la caméra ce promène dans une cité de banlieue, on peu croisé du ToTo avec Africa lors d'une séquence grandiose, on y entend même du Juul pour illustré le tempérament d'un des protagoniste du film, et c'est comme sa pour chacun des choix musicaux, aucun n'est mit la au hasard et a un sens connecté a la séquence que l'on voit, et comment ne pas avoir des frissons sur ce final
avec "la vie ne m'apprend rien" de Daniel Balavoine ou l'on voit notre héro dans sa résidence de banlieux morne et bitumé, avec cette femme cupide en guise de copine et cette petite piscine... C'est sa la réussite de nos jours ? C'est sa le but ultime ? semble vouloir nous dire Romain Gavras. oui la vie décidément ne nous apprend rien Mais notre françois est heureux, du moins il à atteins ces objectif et tel un gangster affranchie il est venu a bout ses ennemies et doit ce sentir enfin libre une belle contradiction je trouve avec la réalité de la situation.
On peut rester en dehors de cet univers, mais dans tous les cas "Le monde est à toi" ne laisse pas indifférent et si on arrive a rentré dans ce récit, si on arrive a ressentir un attachement pour ce héro, ce Jimmy Conway de pacotille alors on ne peut que passé un moment de cinéma exceptionnelle devant ce film, la meilleurs comédie française de ces 10 dernières années, un chef d'oeuvre unique en sont genre.