Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Libération
par Luc Chessel
(...) un film libérateur et infiniment triste, infiniment beau.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Damien Bonelli
Atlal guette avec une infinie patience (et un sens de la durée que d’aucuns jugeront excessif) les larmes qui finissent par irriguer les visages minéraux de ces hommes à l’évocation de l’humiliation, de la terreur et des disparitions qu’ils ont endurées année après année.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cahiers du Cinéma
par Camille Bui
C’est la nuit, en filmant leurs visages éclairés par le feu, qu’Atlal donne le mieux à sentir la mélancolie d’une communauté isolée qui cherche à se projeter dans la vie depuis un champ de ruines.
La Septième Obsession
par Morgan Pokée
Filmer le XXIe siècle ? Sans doute faut-il en partie se reposer sur les ruines du XXe siècle. C’est tout le projet du beau "Atlal" de Djamel Kerkar.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le documentaire de Djamel Kerkar donne la parole à trois hommes de Ouled Allal, ville marquée par la guerre et les atrocités du Groupe islamique armé.
Positif
par Éric Derobert
C’est un film qui frime un peu, se satisfaisant de son concept et de la perplexité qu’il provoque. Mais l’alerte sur l’état du pays est sévère, et on l’entend.
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Ce premier film entend “ faire parler les ruines ” et, pour cela, donne la parole aux oubliés du conflit civil qui a meurtri l’Algérie dans les années 1990. La parole, précieuse, qu’entend faire partager le film, est hélas quelque peu affaiblie par la faute d’un dispositif abscons.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
(...) un film libérateur et infiniment triste, infiniment beau.
Critikat.com
Atlal guette avec une infinie patience (et un sens de la durée que d’aucuns jugeront excessif) les larmes qui finissent par irriguer les visages minéraux de ces hommes à l’évocation de l’humiliation, de la terreur et des disparitions qu’ils ont endurées année après année.
Cahiers du Cinéma
C’est la nuit, en filmant leurs visages éclairés par le feu, qu’Atlal donne le mieux à sentir la mélancolie d’une communauté isolée qui cherche à se projeter dans la vie depuis un champ de ruines.
La Septième Obsession
Filmer le XXIe siècle ? Sans doute faut-il en partie se reposer sur les ruines du XXe siècle. C’est tout le projet du beau "Atlal" de Djamel Kerkar.
Le Monde
Le documentaire de Djamel Kerkar donne la parole à trois hommes de Ouled Allal, ville marquée par la guerre et les atrocités du Groupe islamique armé.
Positif
C’est un film qui frime un peu, se satisfaisant de son concept et de la perplexité qu’il provoque. Mais l’alerte sur l’état du pays est sévère, et on l’entend.
Les Fiches du Cinéma
Ce premier film entend “ faire parler les ruines ” et, pour cela, donne la parole aux oubliés du conflit civil qui a meurtri l’Algérie dans les années 1990. La parole, précieuse, qu’entend faire partager le film, est hélas quelque peu affaiblie par la faute d’un dispositif abscons.