"Carrie", "Christine", "Shining", "Ca" chapitre 1 et 2, "La ligne verte", "Simetiere", on ne compte plus les œuvres qui ont été adapter en téléfilms, films et même séries, et cela ne cessera sans doute pas tant que le public répondra présent. Sur le fond, loin d'avoir vu un navet tel ce que j'ai pu lire avant même d'aller voir ce nouveau Stephen King, ce thriller déjà adapter par Mark L. Lester en 1984, centrer aussi bien sur la vie compliquer d'une famille et de leur enfant atteinte de pouvoir à la limite de la pyrotechnie fut dans son ensemble convaincante.
Un départ hyper canon ou le générique passe comme je l'aime, d'images d'archives aux multiples personnes de la techniques et laissant ensuite place à ce récit qui, personnellement, n'aura souffert à aucun moment de longueurs inutiles, porté un casting par moment convaincant et par d'autres légèrement laisser aller tel Sydney Lemmon dont certaines scènes furent très moyennes, n'à pas pu suffisamment brillée à l'écran, mais sa forte ressemblance avec Olga Kurylenko m'aura clairement troubler. Zac Efron (trilogie "High School Musical", "The Greatest Showman", "Baywatch : Alerte à Malibuet"...) et Ryan Kiera Armstrong par contre auront bénéficier d'une "meilleure" direction, d'un meilleur jeu et ont pu développer pour une courte durée d'1h30, ce qu'il aura juste fallut pour cette relation père/fille si particulière. Une ambiance thriller bien menée, des effets passages et une bonne ambiance musicale, le final bien prenant annonce lui et sans réellement le confirmer ou le vouloir, une possible suite.
Les adaptations du King de l'horreur ne m'ont jamais déçu ou rarement, je répondrais donc toujours présent.