Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Le Parisien
par La Rédaction
Cette adaptation d’un des premiers romans, resté relativement méconnu, de Stephen King, « Charlie », publié en 1980, pâtit d’une intrigue trop simple et trop rapidement menée. (...) Bonne surprise cependant, la musique électronique et bien mise en avant, cosignée par le grand John Carpenter.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Gilles Esposito
[...] le récit [...] prend longtemps la forme d'une chronique familiale marquée par un intense dilemme moral. [...] Cependant, cette approche ne fonctionne qu'à moitié, la matière du livre étant affadie à plusieurs égards, et pas seulement parce que le nombre d'épisodes d'action a été sensiblement réduit.
CNews
par Chloé Ronchin
Contrairement à l’œuvre originale, l’intrigue de ce drame fantastique d'1H30 est trop linéaire et manque terriblement de tension.
La critique complète est disponible sur le site CNews
L'Ecran Fantastique
par Pascal Pinteau
Les bonnes prestations des acteurs, notamment celle de la jeune Ryan Kiera Armstrong, permettent au film de conserver sa cohérence émotionnelle, mais des passages trop longs et une curieuse conclusion nuisent à l’impact de ce qui aurait pu être un thriller incandescent si le spectacle avait été à la hauteur de l’oeuvre de Stephen King.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpeche
Une série B au scénario certes sommaire, qui assume sa radicalité réjouissante et sa dimension rétro, accentuée grâce à la musique résolument eighties.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Deuxième adaptation et deuxième échec pour l’œuvre de Stephen King, Charlie. Désincarnée et anecdotique, la partition de Keith Thomas (The Vigil) tombe souvent à plat.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Nicolas Didier
Dommage que le réalisateur du remarqué The Vigil (2019) s’égare en bavardages. On rêve de ce que John Carpenter, ici auteur de la musique, aurait pu faire de cette matière inflammable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
(…) L’ambition du besogneux Keith Thomas est hélas plus limitée. Les personnages de Firestarter ne manquent pourtant pas de pouvoirs : Andy se glisse dans la tête des gens, Vicky a un petit talent pour la télékinésie, et leur fille Charlie s’emploie à maîtriser l’art délicat de la pyrokinésie. Or, il n’y aura de tout cela que les traductions les plus banales (voix-off suggestive, objets qui volent et autres mannequins enflammés).
Ecran Large
par Simon Riaux
Si fumer fait tousser, brûler fait cracher, tant on peine à sauver quoi que ce soit de ce récit précipité, grossier, stéréotypé et jamais prenant, qui carbonise jusqu'à ses rares bonnes idées.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Peu de frissons et beaucoup de trous d’air dans cette version ciné d’un roman de Stephen King paru en 1980 (déjà adapté en 1984 avec Drew Barrymore), cette fois produite par Jason Blum qui sait se faire gage de qualité (Invisible Man, Glass, Get Out).
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Inrockuptibles
par Jérémie Oro
Firestarter semble, à l’image de ses personnages, forcé de s’épanouir dans une forme d’errance cinématographique, ne choisissant (ou ne comprenant) jamais dans quel angle aborder et filmer son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
Mais passé quelques bribes de dialogue et l’introduction très Halloweenesque de cette nouvelle adaptation sans âme, il saute au visage comme une exhalaison de four à 180° que Firestarter restera jusqu’au bout engoncé dans son petit carcan d’exploitation, en sous-régime, service minimum et zéro empathie pour ses personnages [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Parisien
Cette adaptation d’un des premiers romans, resté relativement méconnu, de Stephen King, « Charlie », publié en 1980, pâtit d’une intrigue trop simple et trop rapidement menée. (...) Bonne surprise cependant, la musique électronique et bien mise en avant, cosignée par le grand John Carpenter.
Mad Movies
[...] le récit [...] prend longtemps la forme d'une chronique familiale marquée par un intense dilemme moral. [...] Cependant, cette approche ne fonctionne qu'à moitié, la matière du livre étant affadie à plusieurs égards, et pas seulement parce que le nombre d'épisodes d'action a été sensiblement réduit.
CNews
Contrairement à l’œuvre originale, l’intrigue de ce drame fantastique d'1H30 est trop linéaire et manque terriblement de tension.
L'Ecran Fantastique
Les bonnes prestations des acteurs, notamment celle de la jeune Ryan Kiera Armstrong, permettent au film de conserver sa cohérence émotionnelle, mais des passages trop longs et une curieuse conclusion nuisent à l’impact de ce qui aurait pu être un thriller incandescent si le spectacle avait été à la hauteur de l’oeuvre de Stephen King.
Le Journal du Dimanche
Une série B au scénario certes sommaire, qui assume sa radicalité réjouissante et sa dimension rétro, accentuée grâce à la musique résolument eighties.
Les Fiches du Cinéma
Deuxième adaptation et deuxième échec pour l’œuvre de Stephen King, Charlie. Désincarnée et anecdotique, la partition de Keith Thomas (The Vigil) tombe souvent à plat.
Télérama
Dommage que le réalisateur du remarqué The Vigil (2019) s’égare en bavardages. On rêve de ce que John Carpenter, ici auteur de la musique, aurait pu faire de cette matière inflammable.
Cahiers du Cinéma
(…) L’ambition du besogneux Keith Thomas est hélas plus limitée. Les personnages de Firestarter ne manquent pourtant pas de pouvoirs : Andy se glisse dans la tête des gens, Vicky a un petit talent pour la télékinésie, et leur fille Charlie s’emploie à maîtriser l’art délicat de la pyrokinésie. Or, il n’y aura de tout cela que les traductions les plus banales (voix-off suggestive, objets qui volent et autres mannequins enflammés).
Ecran Large
Si fumer fait tousser, brûler fait cracher, tant on peine à sauver quoi que ce soit de ce récit précipité, grossier, stéréotypé et jamais prenant, qui carbonise jusqu'à ses rares bonnes idées.
La Voix du Nord
Peu de frissons et beaucoup de trous d’air dans cette version ciné d’un roman de Stephen King paru en 1980 (déjà adapté en 1984 avec Drew Barrymore), cette fois produite par Jason Blum qui sait se faire gage de qualité (Invisible Man, Glass, Get Out).
Les Inrockuptibles
Firestarter semble, à l’image de ses personnages, forcé de s’épanouir dans une forme d’errance cinématographique, ne choisissant (ou ne comprenant) jamais dans quel angle aborder et filmer son sujet.
Libération
Mais passé quelques bribes de dialogue et l’introduction très Halloweenesque de cette nouvelle adaptation sans âme, il saute au visage comme une exhalaison de four à 180° que Firestarter restera jusqu’au bout engoncé dans son petit carcan d’exploitation, en sous-régime, service minimum et zéro empathie pour ses personnages [...].