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    Djam
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    3,8
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    54 critiques spectateurs

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    Eric D.
    Eric D.

    1 abonné 4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 août 2017
    Un peu décousu mais le message est fort, le road trip séduisant et puis la musique, à elle seule, mérite le déplacement, sans compter cette jeune actrice gréco-belge exceptionnelle.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 août 2017
    Un moment de légèreté magnifique malgré une histoire lourde de sens. Une actrice qui incarne son rôle à merveille : radieuse. Débutant dans l'âge adulte avec un passé, un présent complexe, elle conserve son âme d'enfant pour égayer le quotidien...Il y a en elle quelque chose du petit prince...
    Bertrand Barbaud
    Bertrand Barbaud

    202 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 avril 2020
    Le plus terne de Gatlif assis sur une tonne de conventions, en héros poussif de la pensée unique mondialisée. La musique est omniprésente mais le coeur n’y est plus. À force de tourner à chaque fois le même film, le réalisateur finit par s'épuiser et nous épuiser. Daphne Patakia en fait trop et alourdit chaque image avec ses mimiques outrées et ses pauses factices.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 août 2017
    Superbe film !!!!!! On passe du sourire aux larmes. Les actrices sont épatantes de sincérité. Bravo au réalisateur
    leobis
    leobis

    59 abonnés 252 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 septembre 2017
    Après le très bon film "Une famille syrienne" qui montrait la vie actuellement en Syrie, voici "Djam" excellent film aussi qui nous montre la vie des grecs sous le diktat des banques suite à la dette de leur pays. L'actrice principale chante, danse et joue de façon sublime, elle nous emporte avec elle tout au long de son périple.
    Edouard64
    Edouard64

    8 abonnés 45 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 octobre 2017
    Un film sur le rebetiko ? Comment hésiter quand on revient d’un voyage en Grèce et qu’on s’est imprégné au retour des mélodies envoûtantes de la maîtresse du genre, Haris Alexiou ?

    Le rebetiko est une musique d’exil, et Tony Gatlif fait de son héroïne une voyageuse… chargée par son oncle, marin à Lesbos, de se rendre à Istanbul pour y faire forger une bielle de son bateau. Istanbul: Djam, jouée par une toute nouvelle venue, y fait merveille, rappelant que Turcs et Grecs d’Asie partageaient bien sûr la même culture ! Et elle baigne les images, jusqu’à la fin, de sa présence souvent rayonnante, de ses humeurs variables, de sa fantaisie jamais en défaut.

    Le film se passe sur la route : n’est-ce pas l’endroit rêvé quand on n’a pas d’idée très claire pour construire un scénario ? Car il s’agit moins pour Tony Gatlif de construire un film que de glisser ses fiches, comme les romanciers d’un autre temps.

    La fiche principale, c’est Djam, bien sûr, Djam la libre, la délurée, l’anti-conventionnelle : elle se promène sans petite culotte sur les échelles des bateaux, pisse un peu partout, s’approche voluptueusement de sa copine française comme pour lui rappeler qu’elle vient de Lesbos… Avec un peu de recul, on peut trouver cela un peu court pour illustrer la liberté.

    La seconde fiche, c’est la crise. Un malheureux cherche timidement à se suicider en creusant lui-même la tombe où il s'enfouira, puis, quelques jours après, au hasard d'une nouvelle rencontre, assis à la table d'un cabaret où l'on joue du rebetiko, le voici résolu à partir, contraint et forcé, pour la Norvège. Plus loin, on verra une famille ruinée et expulsée. Mais on ne sait pas grand-chose de tous ces personnages croqués en quelques secondes. On peut bien sûr s'indigner de ces scènes. Mais cette indignation, ce ne sont pas les personnages qui l'auront suscitée, ils n'en ont pas le temps ni la force. C'est une indignation qui est née en quelque sorte en dehors d'eux, avant de voir le film.

    La troisième fiche, ce sont les réfugiés et les frontières. Au générique, Djam se sert des grillages flambants neufs d'une frontière indéterminée comme de support à ses pas de danse. C'est émouvant et fou, et cela fait attendre le meilleur. Mais on n'aura droit qu'à des images isolées. Des rails à la frontière avec la Turquie, vague évocation de marches harassantes et, à l'autre bout du film, de retour à Lesbos, des monceaux de gilets de sauvetage accumulées sur le rivage, juste en face de la côte turque qui découpe ses montagnes toutes proches dans la brume. La copine de Djam passe et repasse entre ces débris étranges, sans rien dire. Images impressionnantes par leur valeur documentaire, mais qui ne jouent qu'un rôle secondaire dans le déroulement de l'histoire. Bien sûr, le rebetiko est une musique de voyage et d'exil, mais est-ce assez pour servir de liant à des éléments si dispersés ?

    Bref le film permet de se convaincre, s’il en était besoin, que les bons sentiments, même accompagnés de belles mélodies, même avec des fiches empruntées au grand manuel des Indignés, ne suffisent pas pour faire un bon film. Un film, sauf cas très rare, n'est-ce pas d’abord une intrigue, une construction savante, ingénieuse, prenante, captivante ? Comme on revient de Grèce, et qu’on est touché par le rebetiko, on est prêt à pardonner beaucoup pendant le film, qui n’est d’ailleurs jamais ennuyeux ni plat. Mais l’avis se fait un peu plus sévère une fois passée la dernière image !
    PLR
    PLR

    467 abonnés 1 561 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 août 2017
    A l'heure où j'écris, 28 critiques (seulement) pour une note moyenne de 3,8 ça sent le flm d'auteur plaisant à un certain public et je me sens un peu gêné pour révéler que je me suis globalement ennuyé même si l'interprétation a retenu mon attention. Musiques et chansons, limite folkloriques, pleurnichardes au possible trop omniprésentes. Il y a un genre cinématographique pour ça mais a priori ce n'était pas vraiment ce qui était promis et attendu dans ce scénario.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 août 2017
    Film formidable qui raconte l'histoire d'une femme libre. L'actrice Daphné Patakia est une révélation ! Elle est tout simplement magnifique. Le début d'une grande carrière assurément !
    velocio
    velocio

    1 305 abonnés 3 135 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 août 2017
    Avec Tony Gatlif, les amateurs de musique savent qu'ils ne seront jamais déçus. Pour les amateurs de cinéma, il n'y a pas une telle évidence, même si ses films ne laissent jamais indifférents. Concernant "Djam", Tony Gatlif ne fait pas preuve d'une forme olympique, bien que le film ait tourné principalement en Grèce : le film pêche par la minceur de son scénario (une jeune femme grecque envoyée à Istambul pour faire fabriquer une bielle nécessaire pour réparer un bateau) qui n'est en fait qu'un vague prétexte assez artificiel permettant au réalisateur d'aborder des sujets qui lui tiennent à cœur, avec certaines scènes qui sont tout simplement bouleversantes : l'exil, les drames touchant les migrants, la situation catastrophique dans laquelle les banques et l'Europe ont placé la Grèce.

    Plus, bien sûr, la musique. Celle qui est le cœur du film, c'est le rébétiko, le blues des tavernes grecques, une musique magnifique, pleine de nostalgie, née dans les années 20 lorsque les grecs d'Asie mineure furent expulsés vers leur pays d'origine, une musique à la fois grecque et turque. Tony Gatlif fait la part belle à des interprétations magistrales de ce type de musique, avec la présence des instruments adéquats : bouzouki, baglama, santouri, kanonakouti, etc.. Autant prévenir : si vous n'aimez pas le rébétiko, n'allez pas vous faire voir chez les grecs de ce film !

    Pour jouer le rôle principal de Djam, Gatlif avait besoin de trouver une jeune comédienne parlant couramment le français et le grec. Il a eu la chance de trouver Daphné Patakia, une actrice belgo-grecque très "nature" qui a toutefois un petit défaut : il lui arrive assez souvent de surjouer (peut-être à la demande du réalisateur, allez savoir). Dans le rôle de Kakourgos, l’oncle de Djam, on trouve le toujours extraordinaire Simon Abkarian : qu'il joue le rôle d'un arménien, d'un kurde, d'un israélien, d'un grec, il est toujours parfait ! Quant à Avril, la jeune française rencontrée par Djam à Istamboul et qui ne veut plus quitter Djam, elle est interprétée par Maryne Cayon, découverte par Thierry de Peretti pour son casting de "Les apaches" et interprète d'un petit rôle dans "Geronimo" de Tony Gatlif.
    kevinsolstice
    kevinsolstice

    58 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 juillet 2018
    Un film prenant porté par l'incroyable Daphné Patakia. Le second rôle est par contre très ennuyeux. Peut-être pas le meilleur de Tony Gatlif mais tout même un bon film ou la musique a encore la part belle !
    Guichard M
    Guichard M

    16 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 août 2017
    je suis allé voir le film pour le réalisateur je ne suis pas déçu toujours de la bonne musique un film plein de générosité
    Jonathan M
    Jonathan M

    132 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 septembre 2017
    Il y a ce petit bout de femme, nerveuse et effrontée. Un garçon manqué qui dévoile sa féminité peu à peu. De l'énergie à en revendre, elle se lance dans un périple aventureux, loin de sa garde rapproché. Son beau-père, qui a tout du père, lui donne sa confiance. Et même nous spectateur, après 5 minutes de film, on n'en aurait pas fait autant. Mais on ne l'a connais pas. Bien plus qu'une vagabonde cherchant la liberté, elle tiendra tant bien que mal toutes ses promesses. C'est un portrait magnifique que dresse Tony Gatlif. A la recherche de la fougue et de l'instantané, son précieux film est un très beau voyage.
    Xavier B.
    Xavier B.

    17 abonnés 281 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 janvier 2018
    Entre la Grèce et la Turquie, la balade de deux gamines fuyant le désespoir né de la crise. Les moyens de fuites sont multiples : l’ouzo, le hash, l’exil, ou l’insouciance insolente qu’affiche -magnifiquement- Djam, et la solidarité et la musique.

    Si, pour vous, la musique grecque se limite au Sirtaki (succédané de 1964 !), vous découvrirez le Rébétiko, une musique authentique, populaire, effrontée et rebelle, avec de surprenants accents orientaux.

    La jeune Daphné Patakia incarne Djam ; elle a tout pour elle, et pour nous en fait ; elle est jolie, joue très juste un rôle difficile d’allumée, et bouge de façon magique.

    Simon Abkarian a ici un rôle sur mesure.

    A ne pas manquer.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 4 août 2018
    Tony Gatlif a ce don pour mêler légèreté et gravité, mélancolie de la musique et dureté du monde. Il nous emmène ici dans un voyage entre la Grèce et la Turquie, porté par la voix et l’énergie de la jeune Daphné Patakia. Suivant son habitude de fervent défenseur des peuples en exil, il aborde des thèmes qui lui sont chers comme la musique, le déracinement, la solidarité ou la liberté. La musique, créatrice d’émotions et point de départ de beaucoup de ses films, nous emporte et nous entraîne dans une danse au scénario d’apparence légère mais qui en dit beaucoup plus par les notes et les chants que par les dialogues.

    Enveloppé de musique rebétiko*, "Djam" est pétillant, généreux, éblouissant, fou, éclatant… un régal à la Tony Gatlif sur lequel souffle un formidable vent de liberté.

    de chroniques sur mon blog : plumeetpellicule.wordpress
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 février 2019
    Djam, jeune femme d’une vingtaine d’années, vit sur l’île de Lesbos en Grèce. Sans vraiment lui laisser le choix, son oncle l’envoie en Turquie pour acheter la pièce manquante qui fera redémarrer son bateau. La voilà partie sur les routes, seule avec son sac et son baglama – sorte de mini-guitare grecque – pour un road-trip entre la Grèce et la Turquie. La solaire Daphné Patakia, révélation du film, embarque le spectateur dès la première scène, dansant et chantant dans une lumière crépusculaire. D’abord filmée derrière un grillage, elle surgit au centre de l’écran avec une liberté et une insolence qui ne la quitteront pas. (lire la suite : https://cultureauxtrousses.com/2018/01/24/djam/)
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